Sigrun Eldrdrakens
Conversations à la Table des Puissants (ft. Lise)
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Chef des armées
Âge :
141 ans
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte (demi-géant)
Métier :
Cheffe des armées de Volheim
Magie·s :
Magie Élémentaire - Pyromancie - Feu, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Library of Ruina
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Xiao
Manichéisme :
humilité
Liges :
4450
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Chef des armées","age":"141 ans","races":"Draconide","metier":"Cheffe des armées de Volheim","magies":"Magie Élémentaire - Pyromancie - Feu, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain","manicheisme":"humilité","taille":"1m75","poids":"75 KG","orientation":"Bi","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t189-the-roar-of-the-iron-fi","nomdeloeuvre":"Library of Ruina","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Xiao","icon":"https://i.imgur.com/aKB5iyY.png","iconalt":"","autrescomptes":""}
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feat.
Lise Eurelt
À quoi ressemblait-elle ? Quels étaient ses goûts ? Devrais-je porter une robe ? Ne sera-t-elle pas trop fatiguée par la grande chasse ? Ma lettre était-elle assez claire ? Et mes intentions ? L'alcool ne sera-t-il pas trop fort ? Ne risque-t-il pas d'être un peu trop brutal pour elle ? Est-elle habituée aux coutumes de Vollheim ? Aurais-je dû étudier les coutumes de Clara Nocte ? Voudra-t-elle seulement discuter ? Viendra-t-elle seulement ? A-t-elle quelque chose contre les chats ? Peut-être aurais-je dû aménager la salle à manger différemment. A-t-elle des allergies particulières ? Ma blessure me dérangera-t-elle trop ? Aura-t-elle faim ? Le plat ne sera-t-il pas trop simple ou lourd pour elle ? Comment dois-je l'appeler ? Dois-je me présenter une fois en face d'elle ?
Mon esprit était rempli de nombreuses questions alors que je faisais des allers-retours à travers mon bureau, tentant d’y répondre une à une. J'étais dans le même état que lorsque le général Hakys avait décidé de faire une visite. Le but était de me préparer mentalement à toutes situations et gagner en assurance. Je n’étais pas chef de guerre depuis bien longtemps et c’est déjà bien assez rare d’invité des personnalités pareil chez moi. Mais aujourd'hui c'était différent, et pire ! Hakys est venu de son initiative, ce qui me laissait un peu de marge de manœuvre. C'était lui qui avait décidé de venir.
Ici. J'étais celle qui avait lancé l'initiative, et j’avais l’impression d’oublier les cours de mon père. Oui, il m'a formée pour avoir la noblesse et l'élégance des grands nobles de Vollheim. Afin que je puisse me faire respecter… Mais jamais à faire face à une personne venant de Clara Nocte, un pays connu pour son immense avancée technologique… Même si j'adore mon pays et notre culture. Je pouvais me douter qu'une personne venant du pays de l'orgueil regardait de haut toutes mes "tentatives" pour donner une ambiance agréable à ce repas, surtout en temps de fête.
Cependant, j'avais un avantage qui me poussait à croire que cette discussion se déroulerait bien. Le sujet de notre discussion. Ma lettre était claire à ce sujet. Je l'invite chez moi pour un dîner et une discussion sur les sujets importants d’Arathia. Je me doutais que malgré la distance entre nos royaumes, elle ne pouvait pas passer à côté d'une chance pareille. Vollheim ouvre ses portes pour la chasse et j'ouvre les miennes à la grande inquisitrice. L'occasion était en or. Autant pour moi que pour elle. Et des liens politiques ne peuvent pas faire de mal. Justement. Il était rare, très rare, que nous puissions discuter clairement face à face étant donnée la situation géographique et politique de nos pays. J'aurais presque envie de dire qu'il aurait été impoli de ne pas l'inviter.
Bon… Peut-être que je parlais un peu mal de mon père aussi. Cette antiquité avait des conseils sages, mais un peu secs. Si je reprenais mes questions et appliquais ses leçons, voilà à quoi ça ressemblerait. L'apparence de l'inquisitrice n'a aucune importance, c'est sa personne qui compte et je ne dois pas me laisser impressionner. Son état et ses goûts sont ses problèmes. Elle a été invitée et sera traitée avec honneur, si elle n'aime pas ce qui a été choisi, c'est son problème. Ma tenue doit être celle qui me représente, mais qui raconte aussi mon histoire et celle de mon peuple. Une tenue sérieuse et sans arrière-pensée. Franche, claire et directe. Si elle veut venir et discuter, j'ai donné un signe et je l'attends. La lettre lui a été remise en main propre par un soldat, mon sceau a été apposé sur la cire, ma parole est donc donnée. Pour ce qui est de la politesse, je dois montrer mon éducation et les efforts que j'y mets sans attendre rien en retour, mais juger ses faits et gestes. Je tends la main, elle devra la tendre aussi afin qu'une relation stable puisse commencer.
Ouais… La méthode de mon père. Sèche, mais efficace. C'est bien lui.
Enfin bon… Se tourner les pouces ne m'aidera à rien. Ajustant le col de ma tenue habituelle, j'hésite devant le miroir à remettre ma cape avant de céder à la tentation. Je dois montrer qui je suis et cette cape représente une partie de mon histoire. Je pouvais aussi sentir ma blessure sous mes bandages… Ce foutu Grammung ne m’avait pas du tout épargné. Même si je suis du genre à rapidement cicatrisé, la blessure était encore présente.
Je sors alors de ma chambre pour faire un dernier tour de la demeure, vérifiant que tout était en ordre. Cette fois, il y avait plus d'un serviteur qui travaillait, que ce soit en cuisine, pour le nettoyage, pour tout préparer. Il y en avait bien moins habituellement, mais avec la fête… Je n'avais pas trop le choix. Je commence donc à vadrouiller dans les couloirs de ma demeure, attendant l'arrivée de l'Inquisitrice, observant les tableaux et trophées de ma famille… J'accusais Clara Nocte d’être le pays de l'orgueil, mais mes ancêtres en avaient beaucoup aussi ; cette maison ressemblait presque plus à un musée en leur honneur qu'à une vraie maison.
Mon esprit était rempli de nombreuses questions alors que je faisais des allers-retours à travers mon bureau, tentant d’y répondre une à une. J'étais dans le même état que lorsque le général Hakys avait décidé de faire une visite. Le but était de me préparer mentalement à toutes situations et gagner en assurance. Je n’étais pas chef de guerre depuis bien longtemps et c’est déjà bien assez rare d’invité des personnalités pareil chez moi. Mais aujourd'hui c'était différent, et pire ! Hakys est venu de son initiative, ce qui me laissait un peu de marge de manœuvre. C'était lui qui avait décidé de venir.
Ici. J'étais celle qui avait lancé l'initiative, et j’avais l’impression d’oublier les cours de mon père. Oui, il m'a formée pour avoir la noblesse et l'élégance des grands nobles de Vollheim. Afin que je puisse me faire respecter… Mais jamais à faire face à une personne venant de Clara Nocte, un pays connu pour son immense avancée technologique… Même si j'adore mon pays et notre culture. Je pouvais me douter qu'une personne venant du pays de l'orgueil regardait de haut toutes mes "tentatives" pour donner une ambiance agréable à ce repas, surtout en temps de fête.
Cependant, j'avais un avantage qui me poussait à croire que cette discussion se déroulerait bien. Le sujet de notre discussion. Ma lettre était claire à ce sujet. Je l'invite chez moi pour un dîner et une discussion sur les sujets importants d’Arathia. Je me doutais que malgré la distance entre nos royaumes, elle ne pouvait pas passer à côté d'une chance pareille. Vollheim ouvre ses portes pour la chasse et j'ouvre les miennes à la grande inquisitrice. L'occasion était en or. Autant pour moi que pour elle. Et des liens politiques ne peuvent pas faire de mal. Justement. Il était rare, très rare, que nous puissions discuter clairement face à face étant donnée la situation géographique et politique de nos pays. J'aurais presque envie de dire qu'il aurait été impoli de ne pas l'inviter.
Bon… Peut-être que je parlais un peu mal de mon père aussi. Cette antiquité avait des conseils sages, mais un peu secs. Si je reprenais mes questions et appliquais ses leçons, voilà à quoi ça ressemblerait. L'apparence de l'inquisitrice n'a aucune importance, c'est sa personne qui compte et je ne dois pas me laisser impressionner. Son état et ses goûts sont ses problèmes. Elle a été invitée et sera traitée avec honneur, si elle n'aime pas ce qui a été choisi, c'est son problème. Ma tenue doit être celle qui me représente, mais qui raconte aussi mon histoire et celle de mon peuple. Une tenue sérieuse et sans arrière-pensée. Franche, claire et directe. Si elle veut venir et discuter, j'ai donné un signe et je l'attends. La lettre lui a été remise en main propre par un soldat, mon sceau a été apposé sur la cire, ma parole est donc donnée. Pour ce qui est de la politesse, je dois montrer mon éducation et les efforts que j'y mets sans attendre rien en retour, mais juger ses faits et gestes. Je tends la main, elle devra la tendre aussi afin qu'une relation stable puisse commencer.
Ouais… La méthode de mon père. Sèche, mais efficace. C'est bien lui.
Enfin bon… Se tourner les pouces ne m'aidera à rien. Ajustant le col de ma tenue habituelle, j'hésite devant le miroir à remettre ma cape avant de céder à la tentation. Je dois montrer qui je suis et cette cape représente une partie de mon histoire. Je pouvais aussi sentir ma blessure sous mes bandages… Ce foutu Grammung ne m’avait pas du tout épargné. Même si je suis du genre à rapidement cicatrisé, la blessure était encore présente.
Je sors alors de ma chambre pour faire un dernier tour de la demeure, vérifiant que tout était en ordre. Cette fois, il y avait plus d'un serviteur qui travaillait, que ce soit en cuisine, pour le nettoyage, pour tout préparer. Il y en avait bien moins habituellement, mais avec la fête… Je n'avais pas trop le choix. Je commence donc à vadrouiller dans les couloirs de ma demeure, attendant l'arrivée de l'Inquisitrice, observant les tableaux et trophées de ma famille… J'accusais Clara Nocte d’être le pays de l'orgueil, mais mes ancêtres en avaient beaucoup aussi ; cette maison ressemblait presque plus à un musée en leur honneur qu'à une vraie maison.
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Maitre-espion
Âge :
101 ans
Race·s :
Elfe
Métier :
Maitre espion (seconde grande inquisitrice)
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Radar, Magie Grise Illégale - Contrôle - Anti Magie
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XIV
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
WoL (OC)
Manichéisme :
orgueil
Liges :
6040
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Lise Eurelt
feat.
Sigrun Eldrdrakens
Tes grandes bottes ont claqué contre le sol froid de cette demeure, cassant le silence presque cinglant de la capitale vollhyr. Un frisson parcourt ton corps, tu n’as pas l’habitude de ces températures alors que tu remontes le col du lourd manteau en laine de wollop recouvrant tes épaules. Tu échappes un soupir, en laissant les serviteurs presser le pas pour aller prévenir la maîtresse des lieux de ton arrivée.
Bien droite, les mains dans le dos, tu observes l’intérieur de la bâtisse depuis l’entrée, encore sur le pas de la porte en attendant qu’on t’invite à découvrir les lieux plus en profondeur. Tes yeux se posent sur les moindres détails, un petit sourire étirant légèrement les traits de ton visage alors que tu oses t’avancer de quelques mètres en voyant un domestique te faire signe d’avancer, et que la Générale sera là d’une seconde à l’autre.
Une entrevue avec la cheffe des armées vollhyr, en tête à tête, loin des regards indiscrets. Qui aurait cru ça possible ? Malaval serait fou de savoir que tu es partie seule, sans le concerter en amont ; allais-tu faire n’importe quoi ? Te montrer aussi désinvolte qu’à l’accoutumée où allais-tu faire preuve d’un sérieux qu’on ne te connaît que dans les situations les plus délicates ?
Les répercussions politiques pouvaient être titanesques, si l’une comme l’autre décidait de hausser un peu trop le ton. La guerre est encore palpable, et votre participation à la tragédie de Selkryssingr fait que vos relations ne sont que trop … houleuses malgré le festival. Et si tu n’avais absolument rien contre les vollhyr - bien au contraire, tu n’en savais rien concernant la Générale Eldrdrakens.
Et ce dîner sera une occasion en or de faire le point sur vos relations.
Bien droite, les mains dans le dos, tu observes l’intérieur de la bâtisse depuis l’entrée, encore sur le pas de la porte en attendant qu’on t’invite à découvrir les lieux plus en profondeur. Tes yeux se posent sur les moindres détails, un petit sourire étirant légèrement les traits de ton visage alors que tu oses t’avancer de quelques mètres en voyant un domestique te faire signe d’avancer, et que la Générale sera là d’une seconde à l’autre.
Une entrevue avec la cheffe des armées vollhyr, en tête à tête, loin des regards indiscrets. Qui aurait cru ça possible ? Malaval serait fou de savoir que tu es partie seule, sans le concerter en amont ; allais-tu faire n’importe quoi ? Te montrer aussi désinvolte qu’à l’accoutumée où allais-tu faire preuve d’un sérieux qu’on ne te connaît que dans les situations les plus délicates ?
Les répercussions politiques pouvaient être titanesques, si l’une comme l’autre décidait de hausser un peu trop le ton. La guerre est encore palpable, et votre participation à la tragédie de Selkryssingr fait que vos relations ne sont que trop … houleuses malgré le festival. Et si tu n’avais absolument rien contre les vollhyr - bien au contraire, tu n’en savais rien concernant la Générale Eldrdrakens.
Et ce dîner sera une occasion en or de faire le point sur vos relations.
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Race·s
•
Featuring
•
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Titre du joueur :
Chef des armées
Âge :
141 ans
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte (demi-géant)
Métier :
Cheffe des armées de Volheim
Magie·s :
Magie Élémentaire - Pyromancie - Feu, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Library of Ruina
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Xiao
Manichéisme :
humilité
Liges :
4450
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Sigrun Eldrdrakens
feat.
Lise Eurelt
Continuant de traverser les couloirs de ma maison, je vois alors un servant se précipiter dans ma direction, le souffle court. Il n’était pas essoufflé, mais visiblement affolé. Oh, il a peut-être mis du temps à me retrouver. Je lève ma main, pour lui faire signe de s’arrêter et je passe à côté de lui en marchant en direction de l’entrée. « Prévenez le reste du personnel. C’est une invitée de marque, je ne veux sous aucun prétexte vous voir nous traîner dans les pattes. Faites venir Bjorn et demander lui d’être prêt à venir nous servir dans le salon, c’est aussi lui qui nous préviendra lorsque le repas sera prêt. Faites rentrer mademoiselle l’inquisitrice » Sans donner aucun autre signe et indication, je m’arrête devant un miroir, passant en revue très rapidement les différents points importants de cette réunion ainsi que ma tenue.
Le qui, le quoi, le quand, le comment, le pourquoi. Je me pose chaque question sur chaque sujet de discussion ou bien sur la personne qui était invité. Lise Eurelt. La grande inquisitrice. Dans les rangs de l’inquisition depuis presque aussi longtemps que je suis dans l’armée. Je ne connais pas vraiment son parcours, je sais juste que ça doit faire 80 ans environ qu’elle est dans l’armée de Clara Nocte. Je me demande si elle est douée en combat. Vu leur méthode, je pense qu’elle doit se battre avec des armées comme des fusils ou autre, probablement des versions plus dangereuses que celle d’Arvandor. À la lame par contre… Je secoue ma tête, essayant de rendre plus silencieuse la guerrière en moi. Oui, j’avais un peu envie de me battre avec elle, mais ce n’était pas le moment pour jouer.
Le hall n’était pas très loin, mais il devrait occuper notre invité un petit moment. Que ça soit sa grande taille, une taille normale pour un géant, ou bien les différents tableaux et armures prestigieux présenté dans le hall, ça devrait lui donner un léger aperçu du reste de la demeure. C’est dans le hall que se trouvait le tableau du fondateur de la ligne noble d'Eldrdrakens, un ancien et puissant Stryke, un parangon des valeurs de notre famille. Mais à l'apparence particulière, notre lignée a toujours eu une apparence draconique singulière après tout.
Une fois face à la porte dirigeant vers le hall, je prends une dernière inspiration. Bloquant chaque muscle, chaque nerf et vidant mon esprit dans sa totalité, jusqu’à essayer d’arrêter mon cœur un instant. Une version très simple d’un exercice de méditation. Le but étant juste de se sentir renaître et d’utiliser ce bref instant pour se lancer. Ouvrant grand la porte, j’entre dans le hall et je viens poser mon regard sur la femme en question. Premier contact, premier regard et sans perdre le premier instant, mais veillant à ne pas me presser, je m’avance vers elle. « Mademoiselle Lise Eurelt. Je suis la chef des armées de Vollheim. Sigrun Eldrdrakens. »
Une fois assez proche, je lui tends la main pour serrer la sienne avec une peur de force, disant : « Un plaisir de faire votre connaissance. » Essayant de bien garder le même ton que j’ai d’habitude, j’essaye de donner un ton calme et aimable. Noblesse oblige, j’ai appris à me comporter correctement avec des gens de même ou plus grand statut. J’espère juste ne pas lui avoir serré la main trop fort, c’est un signe de politesse et franchise selon moi de serrer une main ainsi… Non, elle n’aura rien, c’est l’inquisitrice. Même si j’y ai mis de la force, elle n’est pas faite de glace.
Remarquant sa tenue, je fais signe sans regardant à un de mes domestiques : « Il fera nettement plus chaud à l’intérieur qu’à l’extérieur, n’hésitez pas à retirer votre manteau si cela pour importune. » Je dis ceci alors que le servant salue l’inquisitrice. Je remarque alors un détail, qui pouvait paraître bizarre. Chaque servant ici était armé d’une lame à la ceinture. Ce n’était pas un signe de menace ou de pouvoir, simplement que chacun servant ici sait se battre. Ils ne sont pas des Griffes Ardentes, mais ils sont entraînés autant que des soldats. C’était assez courant d’avoir des servants capables de se battre… Ou c’était juste moi et mon étrange famille…
Ignorant cela, je m’avance en direction du couloir où je suis arrivé, gardant un œil sur notre invité. « J’espère que le voyage jusqu'à notre pays n’a pas été trop mouvementé. Les festivités sont à votre goût ? »
Le qui, le quoi, le quand, le comment, le pourquoi. Je me pose chaque question sur chaque sujet de discussion ou bien sur la personne qui était invité. Lise Eurelt. La grande inquisitrice. Dans les rangs de l’inquisition depuis presque aussi longtemps que je suis dans l’armée. Je ne connais pas vraiment son parcours, je sais juste que ça doit faire 80 ans environ qu’elle est dans l’armée de Clara Nocte. Je me demande si elle est douée en combat. Vu leur méthode, je pense qu’elle doit se battre avec des armées comme des fusils ou autre, probablement des versions plus dangereuses que celle d’Arvandor. À la lame par contre… Je secoue ma tête, essayant de rendre plus silencieuse la guerrière en moi. Oui, j’avais un peu envie de me battre avec elle, mais ce n’était pas le moment pour jouer.
Le hall n’était pas très loin, mais il devrait occuper notre invité un petit moment. Que ça soit sa grande taille, une taille normale pour un géant, ou bien les différents tableaux et armures prestigieux présenté dans le hall, ça devrait lui donner un léger aperçu du reste de la demeure. C’est dans le hall que se trouvait le tableau du fondateur de la ligne noble d'Eldrdrakens, un ancien et puissant Stryke, un parangon des valeurs de notre famille. Mais à l'apparence particulière, notre lignée a toujours eu une apparence draconique singulière après tout.
Une fois face à la porte dirigeant vers le hall, je prends une dernière inspiration. Bloquant chaque muscle, chaque nerf et vidant mon esprit dans sa totalité, jusqu’à essayer d’arrêter mon cœur un instant. Une version très simple d’un exercice de méditation. Le but étant juste de se sentir renaître et d’utiliser ce bref instant pour se lancer. Ouvrant grand la porte, j’entre dans le hall et je viens poser mon regard sur la femme en question. Premier contact, premier regard et sans perdre le premier instant, mais veillant à ne pas me presser, je m’avance vers elle. « Mademoiselle Lise Eurelt. Je suis la chef des armées de Vollheim. Sigrun Eldrdrakens. »
Une fois assez proche, je lui tends la main pour serrer la sienne avec une peur de force, disant : « Un plaisir de faire votre connaissance. » Essayant de bien garder le même ton que j’ai d’habitude, j’essaye de donner un ton calme et aimable. Noblesse oblige, j’ai appris à me comporter correctement avec des gens de même ou plus grand statut. J’espère juste ne pas lui avoir serré la main trop fort, c’est un signe de politesse et franchise selon moi de serrer une main ainsi… Non, elle n’aura rien, c’est l’inquisitrice. Même si j’y ai mis de la force, elle n’est pas faite de glace.
Remarquant sa tenue, je fais signe sans regardant à un de mes domestiques : « Il fera nettement plus chaud à l’intérieur qu’à l’extérieur, n’hésitez pas à retirer votre manteau si cela pour importune. » Je dis ceci alors que le servant salue l’inquisitrice. Je remarque alors un détail, qui pouvait paraître bizarre. Chaque servant ici était armé d’une lame à la ceinture. Ce n’était pas un signe de menace ou de pouvoir, simplement que chacun servant ici sait se battre. Ils ne sont pas des Griffes Ardentes, mais ils sont entraînés autant que des soldats. C’était assez courant d’avoir des servants capables de se battre… Ou c’était juste moi et mon étrange famille…
Ignorant cela, je m’avance en direction du couloir où je suis arrivé, gardant un œil sur notre invité. « J’espère que le voyage jusqu'à notre pays n’a pas été trop mouvementé. Les festivités sont à votre goût ? »
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Race·s
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Featuring
•
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Titre du joueur :
Maitre-espion
Âge :
101 ans
Race·s :
Elfe
Métier :
Maitre espion (seconde grande inquisitrice)
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Radar, Magie Grise Illégale - Contrôle - Anti Magie
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XIV
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
WoL (OC)
Manichéisme :
orgueil
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6040
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Lise Eurelt
feat.
Sigrun Eldrdrakens
Ton regard s’est aussitôt porté sur elle, délaissant les multiples tableaux pour te concentrer sur elle. Tu ne dis rien, la laissant arriver à ton niveau en détaillant sa silhouette : tu lui adresses un léger sourire en tendant ta main pour répondre à sa présentation d’une poigne tout aussi ferme que la sienne.
«Générale Eldrdrakens, je vous renvoie la pareille c’est un honneur de vous rencontrer. Je vous remercie encore pour l’invitation. »
Tu l’aurais … imaginé plus imposante, ou alors tu t’es encore trop grandi, comme à ton habitude. Toujours droite, ta main retournant dans ton dos tu observes, écoute, le regard perçant avant de te focaliser sur le domestique se rapprochant de vous. Si au début tu sembles hésiter, tu finis par te défaire du lourd manteau en laine de wollop pour le donner au domestique et pouvoir la suivre.
«J’ai l’habitude de voyager, même si je n’étais pas revenue à Vollheim depuis … un certain temps je dois bien l’avouer. » Depuis Selkryssingr, pour être bien précise - mais inutile de le préciser. « Les températures sont bien plus froides qu’à Munditia mais une fois couverte, c’est un souci bien minime. La chaleur des vollhyrs réchauffe bien vite les coeurs lorsqu’on se laisse aller aux festivités. Vous avez le sens de l’accueil, c’est certain. »
Restant à bonne distance, tu n’as même pas fait mention des dagues attachées à ta cuisse ou de l’arme à feu - simple pistolet, maintenu à la ceinture de ton uniforme. Question de sécurité, quand bien même tu te doutes qu’une attaque diplomatique n’a aucune chance d’arriver ici ; Vollheim ne prendra jamais ce risque, même pas vengeance.
«J’ai cru entendre dire que vous aviez participé à la Grande Chasse. Je suis restée sur le banc, contrairement à mon collègue le Grand Inquisiteur Malaval, tout s’est bien passé de votre côté ? »
«
Tu l’aurais … imaginé plus imposante, ou alors tu t’es encore trop grandi, comme à ton habitude. Toujours droite, ta main retournant dans ton dos tu observes, écoute, le regard perçant avant de te focaliser sur le domestique se rapprochant de vous. Si au début tu sembles hésiter, tu finis par te défaire du lourd manteau en laine de wollop pour le donner au domestique et pouvoir la suivre.
«
Restant à bonne distance, tu n’as même pas fait mention des dagues attachées à ta cuisse ou de l’arme à feu - simple pistolet, maintenu à la ceinture de ton uniforme. Question de sécurité, quand bien même tu te doutes qu’une attaque diplomatique n’a aucune chance d’arriver ici ; Vollheim ne prendra jamais ce risque, même pas vengeance.
«
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Race·s
•
Featuring
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icon :
Titre du joueur :
Chef des armées
Âge :
141 ans
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte (demi-géant)
Métier :
Cheffe des armées de Volheim
Magie·s :
Magie Élémentaire - Pyromancie - Feu, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Library of Ruina
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Xiao
Manichéisme :
humilité
Liges :
4450
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Chef des armées","age":"141 ans","races":"Draconide","metier":"Cheffe des armées de Volheim","magies":"Magie Élémentaire - Pyromancie - Feu, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain","manicheisme":"humilité","taille":"1m75","poids":"75 KG","orientation":"Bi","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t189-the-roar-of-the-iron-fi","nomdeloeuvre":"Library of Ruina","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Xiao","icon":"https://i.imgur.com/aKB5iyY.png","iconalt":"","autrescomptes":""}
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Sigrun Eldrdrakens
feat.
Lise Eurelt
Les politesses étaient finies, nous pourrons donc passer à la suite. Ou comme on devrait le dire, trêve de formalité. Un léger sourire, nous nous serons la main et nous nous adressons gentiment la parole. Rien de bien méchant ou provocateur… Mais qu’est-ce que je n'aime pas faire ce genre de truc. Les rencontres politiques. Ce n'est pas de mon style de faire cela. Mais bon, notre peuple en a besoin et si l’occasion se présente, il faut que je saute dessus.
L’inquisitrice semble m’écouter calmement, se débarrassant de ses affaires. Comme quoi, les elfes ne sont pas du tout comme les rumeurs le racontent. Leur ego ne les empêche pas de discuter. Ou j’ai juste eu de la chance. Mais le premier commentaire sonne déjà faux à mon oreille. Elle n’était pas revenue depuis un certain temps… Je devinais qu’elle avait peut-être fait partie des troupes qui ont participé à Selkryssingr. Je me retiens de faire n’importe quel commentaire. Vollheim a souffert et Clara Nocte a été trahie, donc lui demander la moindre chose ne serait que mettre un pied sur une mine.
Elle parle ensuite de Munditia, rajoutant un petit compliment au peuple de Vollhyr. Je hoche la tête et lui répond tranquillement : « Je suis ravi de savoir que nos festivités vous plaisent. Je pourrais vous recommander certains noms à aller voir. Que ça soit forgeron ou juste des auberges. Ils seront satisfaits vos goûts si vous êtes à la recherche de création Vollhyr. » Une simple politesse qu’elle puisse se sentir chez elle.
Marchant à travers le couloir, je regarde par-dessus mon épaule et la fourrure de ma cape pour voir correctement l’inquisitrice alors qu’elle m’adresse la parole. Elle était armée, mais ne semblait même pas le remarquer. L’habitude du poids de l’arme est la preuve qu’elle est la plupart du temps armée. Et si elle se sent en sécurité ainsi, alors qu’elle reste ainsi. De toute façon, de nombreux Vollhyr se baladent avec une épée à la ceinture, donc ça change rien.
- « Oh la Grande Chasse ? Oui, assez bien. Une belle proie, une embrassade avec la mort et une nouvelle cicatrice. J’espère que le spectacle a été appréciable depuis le banc. » Je ne cherche pas à préciser la proie ou la blessure en question. Si elle a été attentive à la grande chasse, elle doit savoir que mon équipe a su ramener un Grammung de cette chasse. Après, est-ce qu’elle n’avait que ça à faire ? Non, elle était peut-être plus intéressée par la chasse de son collègue. Et je me doute bien que nous sommes pas assez camarade pour que je relève ma tenue et lui montrer l'énorme bandage que j'ai sur l'abdomen.
Finalement, nous arrivons à la salle préparée pour notre réunion. La salle des invités, une pièce assez spacieuse et confortable, chauffée par un feu de bois, accompagné de tableau et d'arme en décoration (toutes utilisables), avec deux fauteuils et une table. Idéal pour discuter. Une fois face à la porte, je l’ouvre et la laisse rentrer avant moi par politesse. « Installer vous confortablement. Mes servants arriveront vite avec les boissons, et plus tard un repas. Si vous avez déjà faim, une allergie, n’hésite pas à me le dire. » Une fois à l’intérieur, je m’installe aussi face à elle m’installant convenablement. « Et la chasse de votre collègue. Est-ce que l’événement lui a fait plaisir ? Je sais que c’est populaire entre les Vollhyr, mais je ne sais pas si la chasse au gros gibier est une activité plaisant pour les autres habitants d’Arathia. »
L’inquisitrice semble m’écouter calmement, se débarrassant de ses affaires. Comme quoi, les elfes ne sont pas du tout comme les rumeurs le racontent. Leur ego ne les empêche pas de discuter. Ou j’ai juste eu de la chance. Mais le premier commentaire sonne déjà faux à mon oreille. Elle n’était pas revenue depuis un certain temps… Je devinais qu’elle avait peut-être fait partie des troupes qui ont participé à Selkryssingr. Je me retiens de faire n’importe quel commentaire. Vollheim a souffert et Clara Nocte a été trahie, donc lui demander la moindre chose ne serait que mettre un pied sur une mine.
Elle parle ensuite de Munditia, rajoutant un petit compliment au peuple de Vollhyr. Je hoche la tête et lui répond tranquillement : « Je suis ravi de savoir que nos festivités vous plaisent. Je pourrais vous recommander certains noms à aller voir. Que ça soit forgeron ou juste des auberges. Ils seront satisfaits vos goûts si vous êtes à la recherche de création Vollhyr. » Une simple politesse qu’elle puisse se sentir chez elle.
Marchant à travers le couloir, je regarde par-dessus mon épaule et la fourrure de ma cape pour voir correctement l’inquisitrice alors qu’elle m’adresse la parole. Elle était armée, mais ne semblait même pas le remarquer. L’habitude du poids de l’arme est la preuve qu’elle est la plupart du temps armée. Et si elle se sent en sécurité ainsi, alors qu’elle reste ainsi. De toute façon, de nombreux Vollhyr se baladent avec une épée à la ceinture, donc ça change rien.
- « Oh la Grande Chasse ? Oui, assez bien. Une belle proie, une embrassade avec la mort et une nouvelle cicatrice. J’espère que le spectacle a été appréciable depuis le banc. » Je ne cherche pas à préciser la proie ou la blessure en question. Si elle a été attentive à la grande chasse, elle doit savoir que mon équipe a su ramener un Grammung de cette chasse. Après, est-ce qu’elle n’avait que ça à faire ? Non, elle était peut-être plus intéressée par la chasse de son collègue. Et je me doute bien que nous sommes pas assez camarade pour que je relève ma tenue et lui montrer l'énorme bandage que j'ai sur l'abdomen.
Finalement, nous arrivons à la salle préparée pour notre réunion. La salle des invités, une pièce assez spacieuse et confortable, chauffée par un feu de bois, accompagné de tableau et d'arme en décoration (toutes utilisables), avec deux fauteuils et une table. Idéal pour discuter. Une fois face à la porte, je l’ouvre et la laisse rentrer avant moi par politesse. « Installer vous confortablement. Mes servants arriveront vite avec les boissons, et plus tard un repas. Si vous avez déjà faim, une allergie, n’hésite pas à me le dire. » Une fois à l’intérieur, je m’installe aussi face à elle m’installant convenablement. « Et la chasse de votre collègue. Est-ce que l’événement lui a fait plaisir ? Je sais que c’est populaire entre les Vollhyr, mais je ne sais pas si la chasse au gros gibier est une activité plaisant pour les autres habitants d’Arathia. »
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Maitre-espion
Âge :
101 ans
Race·s :
Elfe
Métier :
Maitre espion (seconde grande inquisitrice)
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Radar, Magie Grise Illégale - Contrôle - Anti Magie
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XIV
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
WoL (OC)
Manichéisme :
orgueil
Liges :
6040
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Lise Eurelt
feat.
Sigrun Eldrdrakens
« Oh si vous avez des recommandations, je serais toute ouïe. Quitte à venir quelques jours à Handrist, autant en profiter pour découvrir la culture locale. »
Un sourire, entre le faux et l’intérêt, en croisant son regard du tien. Tu te veux agréable, délicate, et te montrer réceptive à son accueil. Si tu n’as aucune raison d’être sur tes gardes, tu n’as pas non plus intérêt à jouer un total double jeu avec elle.
«Pour être totalement transparente avec vous, je n’ai pas regardé la Grande Chasse, j’étais … occupée à vagabonder dans les bars et auberges. Mais j’ai vu que vous aviez tous ramenés des proies impressionnantes. Toutes mes félicitations. »
La remerciant d’un signe de la tête polie, tu t’élance dans cette salle, d’abord timide le temps d’appréhender la pièce et porter ton attention sur les petits détails. Tu te permets quelques arrêts sur les meubles, tes doigts glissant sur la matière pour t’occuper le temps de regarder les larmes présentées aux murs. Il va sans dire que les vollhyrs ont la forge dans le sang ; si tu ne ressens pas de réelle jalousie face à leur talent - l’ingénierie elfique a toujours été plus importante à tes yeux, tu ne peux nier un certain respect.
«Aucune allergie à déclarer Générale, si ce n’est que je ne résiste pas bien à l’alcool vollhyr. Si vous avez quelque chose de plus … conventionnel, je ne serais pas contre pour ne pas avoir à écourter notre réunion. »
T’installant enfin dans ton fauteuil, tu te laisses doucement aller en reposant ton dos au fond du siège pour t’enfoncer dedans et fermer les yeux quelques secondes. Pour montrer que tu l’écoutes, tu lèves un sourire puis tu étires un sourire pour accompagner un léger rire. «Il est rentré tout bougon, puis il ne m’a pas adressé la parole. Je n’ai pas osé lui poser la question. » Un haussement d’épaule, en te redressant. « C’est typiquement vollhyr je pense. Personnellement, je pratiquais plus la chasse au maudit, quand j’officiais au Barrage d’Argent mais ça commence à remonter. »
Si tu l’observes encore un peu, tu finis par te concentrer sur le feu crépitant à vos côtés. Tu attends, tes doigts pianotant sur l’accoudoir du sofa en épiant les alentours sans le montrer ; aucun domestique dans le couloir, l’autre est assez loin pour vous laisser encore quelques minutes seules.
«Je vous en prie Générale, pour la suite, contentez-vous de m’appeler Lise. Même si nous avons nos obligations, j’espère qu’une telle invitation nécessaire une certaine familiarité pour être agréable tout du long, sauf si cela vous gêne bien évidemment. »
Un sourire, entre le faux et l’intérêt, en croisant son regard du tien. Tu te veux agréable, délicate, et te montrer réceptive à son accueil. Si tu n’as aucune raison d’être sur tes gardes, tu n’as pas non plus intérêt à jouer un total double jeu avec elle.
«
La remerciant d’un signe de la tête polie, tu t’élance dans cette salle, d’abord timide le temps d’appréhender la pièce et porter ton attention sur les petits détails. Tu te permets quelques arrêts sur les meubles, tes doigts glissant sur la matière pour t’occuper le temps de regarder les larmes présentées aux murs. Il va sans dire que les vollhyrs ont la forge dans le sang ; si tu ne ressens pas de réelle jalousie face à leur talent - l’ingénierie elfique a toujours été plus importante à tes yeux, tu ne peux nier un certain respect.
«
T’installant enfin dans ton fauteuil, tu te laisses doucement aller en reposant ton dos au fond du siège pour t’enfoncer dedans et fermer les yeux quelques secondes. Pour montrer que tu l’écoutes, tu lèves un sourire puis tu étires un sourire pour accompagner un léger rire. «
Si tu l’observes encore un peu, tu finis par te concentrer sur le feu crépitant à vos côtés. Tu attends, tes doigts pianotant sur l’accoudoir du sofa en épiant les alentours sans le montrer ; aucun domestique dans le couloir, l’autre est assez loin pour vous laisser encore quelques minutes seules.
«
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Chef des armées
Âge :
141 ans
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte (demi-géant)
Métier :
Cheffe des armées de Volheim
Magie·s :
Magie Élémentaire - Pyromancie - Feu, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Library of Ruina
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Xiao
Manichéisme :
humilité
Liges :
4450
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Sigrun Eldrdrakens
feat.
Lise Eurelt
Voilà des réponses bien honnêtes. Elle accepte mes recommandations et indique directement ensuite qu’elle n’avait pas regardé la grande chasse. Ce qui ne l’empêchait pas de glisser un petit compliment. Décidément, cette inquisitrice n’était pas du tout comme je me l’étais imaginée. Peut-être un coup du sort en ma faveur, ou je devrais refaire mon jugement sur tous les elfes en général. Il semblerait qu’elle ait préféré visiter les bars et les auberges. Vu l’ambiance de la fête, l’atmosphère de nos établissements a dû lui plaire, je pense. Tous des proies impressionnantes… Mmmh, elle disait cela par politesse aussi. Je ferme les yeux un moment, cherchant à me ressaisir. Même si je vois le combat contre un Grammung comme un exploit, il est vrai qu’une étrangère ne connaissait pas vraiment la légende derrière la proie. C’était moi qui voyais l’importance derrière ce monstre, je n’avais pas à demander à quelqu’un de l’admettre pour moi.
- « Merci bien. » Je la remercie avant de la guider dans la pièce, lui posant des questions simplistes pour m’assurer qu’elle puisse profiter tranquillement de sa journée en ma présence. Son seul souci était l’alcool Vollhyr… Et bien, je n’allais pas lui sortir une bouteille de cœur ardent, mais je pense avoir encore quelques alcools doux qu’on donnait aux plus jeunes, ou bien des alcools venus d’ailleurs. Elle voulait du conventionnel… Vu comment nous marchandons ici, du "conventionnel" est souvent plus rare qu’on le pense. Faisant confiance à mes servants, je fais signe à l’un d’eux de partir à la demande de Lise, qu’un alcool convenable lui soit sélectionné… Quand j’y pense, mes servants doivent voir ce jour comme un test. Habituellement, personne ne passe dans ma demeure. Enfin, avoir une invitée aussi prestigieuse devait peut-être mettre la pression sur certains.
Pour ce qui est de son partenaire, il semblait avoir été déçu de sa chasse. Le fait que cette chasse soit si typiquement Vollhyr qu’il n’avait pas assez l’habitude. Elle-même affirmait être plus habituée à chasser des maudits. Oh, j’avais oublié que l’inquisition chassait le maudit. Je réponds alors. « Oui, même si ce sont deux chasses très dangereuses, elles sont totalement différentes. Je ne me verrais pas mettre la main sur un maudit ou un criminel aussi facilement que vous à votre place. » Surtout les maudits. J’ai déjà chassé plus d’un criminel… Mais ils doivent sûrement avoir une façon de penser différente entre ici et là-bas. M’installant confortablement dans mon fauteuil, je profite un petit peu du calme et de l’harmonie de ma maison. Avec tout le bruit des festivités, j’adorais pouvoir profiter du simple son du feu… Et il y a des chances que le reste de notre journée ici soit plus sérieux ou agité. Donc, il vaut mieux prendre encore le temps de respirer.
La grande inquisitrice propose alors que je l’appelle plus simplement Lise. Elle préférerait que la suite de la discussion soit plus familière afin que cela ne soit pas étouffant pour le reste de notre rencontre… Je regarde un léger moment vers le feu à mon tour avant de revenir vers elle en souriant : « Oui, à la condition que vous m’appelez Sigrun, Lise. » Voulant aussi faire preuve d’un peu d’honnêteté et aborder indirectement le sujet. « Lise, que diriez-vous de me parler un peu de vous ? Je connais votre rang et votre nom, mais je ne connais rien de vous… J’imagine que vous savez que je vous ai invitée pour des raisons ultérieures à notre rencontre. Mais je pense qu’on ferait mieux de garder cela pour plus tard. Autant aborder d’abord des sujets plus sympathiques pour notre première rencontre. »
La vraie moi ressortait un peu dans cette proposition, alors que je cherchais à aborder une discussion plus simple pour le moment. Même si j’avais un sujet important à aborder. Je l’ai invitée pour la rencontrer avant tout !
- « Merci bien. » Je la remercie avant de la guider dans la pièce, lui posant des questions simplistes pour m’assurer qu’elle puisse profiter tranquillement de sa journée en ma présence. Son seul souci était l’alcool Vollhyr… Et bien, je n’allais pas lui sortir une bouteille de cœur ardent, mais je pense avoir encore quelques alcools doux qu’on donnait aux plus jeunes, ou bien des alcools venus d’ailleurs. Elle voulait du conventionnel… Vu comment nous marchandons ici, du "conventionnel" est souvent plus rare qu’on le pense. Faisant confiance à mes servants, je fais signe à l’un d’eux de partir à la demande de Lise, qu’un alcool convenable lui soit sélectionné… Quand j’y pense, mes servants doivent voir ce jour comme un test. Habituellement, personne ne passe dans ma demeure. Enfin, avoir une invitée aussi prestigieuse devait peut-être mettre la pression sur certains.
Pour ce qui est de son partenaire, il semblait avoir été déçu de sa chasse. Le fait que cette chasse soit si typiquement Vollhyr qu’il n’avait pas assez l’habitude. Elle-même affirmait être plus habituée à chasser des maudits. Oh, j’avais oublié que l’inquisition chassait le maudit. Je réponds alors. « Oui, même si ce sont deux chasses très dangereuses, elles sont totalement différentes. Je ne me verrais pas mettre la main sur un maudit ou un criminel aussi facilement que vous à votre place. » Surtout les maudits. J’ai déjà chassé plus d’un criminel… Mais ils doivent sûrement avoir une façon de penser différente entre ici et là-bas. M’installant confortablement dans mon fauteuil, je profite un petit peu du calme et de l’harmonie de ma maison. Avec tout le bruit des festivités, j’adorais pouvoir profiter du simple son du feu… Et il y a des chances que le reste de notre journée ici soit plus sérieux ou agité. Donc, il vaut mieux prendre encore le temps de respirer.
La grande inquisitrice propose alors que je l’appelle plus simplement Lise. Elle préférerait que la suite de la discussion soit plus familière afin que cela ne soit pas étouffant pour le reste de notre rencontre… Je regarde un léger moment vers le feu à mon tour avant de revenir vers elle en souriant : « Oui, à la condition que vous m’appelez Sigrun, Lise. » Voulant aussi faire preuve d’un peu d’honnêteté et aborder indirectement le sujet. « Lise, que diriez-vous de me parler un peu de vous ? Je connais votre rang et votre nom, mais je ne connais rien de vous… J’imagine que vous savez que je vous ai invitée pour des raisons ultérieures à notre rencontre. Mais je pense qu’on ferait mieux de garder cela pour plus tard. Autant aborder d’abord des sujets plus sympathiques pour notre première rencontre. »
La vraie moi ressortait un peu dans cette proposition, alors que je cherchais à aborder une discussion plus simple pour le moment. Même si j’avais un sujet important à aborder. Je l’ai invitée pour la rencontrer avant tout !
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Race·s
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Titre du joueur :
Maitre-espion
Âge :
101 ans
Race·s :
Elfe
Métier :
Maitre espion (seconde grande inquisitrice)
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Radar, Magie Grise Illégale - Contrôle - Anti Magie
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XIV
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
WoL (OC)
Manichéisme :
orgueil
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Lise Eurelt
feat.
Sigrun Eldrdrakens
« Parfait Sigrun, ça me va très bien. »
Les yeux toujours rivés sur le feu, tu sens le sien sur toi sans prendre la peine de la regarder. Te présenter plus en détails ? Tu étires un petit sourire amusé, la tête bien accoudée contre la paume de ta main, coude maintenant posé contre l’accoudoir pour profiter du crépitement hypnotisant du feu.
«Mmmh, je peux vous dire tout ce qui n’est pas secret défense si vous le désirez. Je viens d’une famille noble, proche de la royauté et j’ai rapidement rejoint l’inquisition aux côtés de ma sœur aînée. Cette année ça fera 84 ans que je suis aux côtés de la famille Victoria, et bien 59 ans que j’ai officiellement reçu le statut de Seconde Grande Inquisitrice par l’ancienne reine. Je pense qu’on peut considérer notre statut comme équivalent, bien que je ne sois pas la seule tête pensante de l’inquisition. »
Elle ne saura pas la vérité, comme tout le monde. Personne ne peut et même ne doit le savoir pour préserver ton statut au sein de l'armée noctem. Reposant ton attention sur elle, tu fais mine de réfléchir un instant avant de te permettre un léger rire.
«Je vais sur mes 101 ans, je suis célibataire, j’ai un chat, un collègue sans humour et de nombreux hommes à ma charge. Une responsabilité qui cherche à me faire plier jour après jour et une détermination mise à rude épreuve. Sinon je suis spécialisée dans le tir à longue distance, et j’ai passé mes années en tant que soldat comme sniper au Grand Barrage d’Argent. Et vous Sigrun ? Habituellement je prend le temps d’en apprendre plus sur les hôtes m’invitant chez eux mais vous m’avez prise de court et je suis toute ouïe d’entendre votre parcours. »
Quitte à en dévoiler un peu plus sur toi, autant faire en sorte que la dame te rende la pareille à sa manière.
Les yeux toujours rivés sur le feu, tu sens le sien sur toi sans prendre la peine de la regarder. Te présenter plus en détails ? Tu étires un petit sourire amusé, la tête bien accoudée contre la paume de ta main, coude maintenant posé contre l’accoudoir pour profiter du crépitement hypnotisant du feu.
«
Elle ne saura pas la vérité, comme tout le monde. Personne ne peut et même ne doit le savoir pour préserver ton statut au sein de l'armée noctem. Reposant ton attention sur elle, tu fais mine de réfléchir un instant avant de te permettre un léger rire.
«
Quitte à en dévoiler un peu plus sur toi, autant faire en sorte que la dame te rende la pareille à sa manière.
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Race·s
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Chef des armées
Âge :
141 ans
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte (demi-géant)
Métier :
Cheffe des armées de Volheim
Magie·s :
Magie Élémentaire - Pyromancie - Feu, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Library of Ruina
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Xiao
Manichéisme :
humilité
Liges :
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Sigrun Eldrdrakens
feat.
Lise Eurelt
Les yeux rivés sur le feu, elle commence à parler de ce dont elle seule peut me parler. Je roule des yeux, me disant qu'il était évident que je voulais en savoir plus sur la personne en face de moi, pas sur les secrets d'État de Clara Nocte. De plus, cela ne nous servirait à rien de connaître le secret que cache le pays à l'autre bout du monde. Nous ne gagnerons rien à nous diviser ainsi.
Le plus important pour moi ici était Lise qui parlait d'elle-même. Elle était noble, proche de la royauté et avait déjà de nombreuses années d'expérience en tant que Grande Inquisitrice. Et même si à mon avis, la différence d'expérience montrait clairement que Lise était supérieure à nous deux, elle préférait dire que nous avions des titres similaires... techniquement parlant. Mais je crois toujours que l'expérience fait tout. Et elle me bat sur cela.
Après un petit rire qui me semblait étrange, elle commence à parler plus personnellement d'elle-même. Donnant son âge, son statut social et... J'ouvre assez grand les yeux, surprise d'apprendre qu'elle avait un chat... Ahem, enfin, nous avons tous le droit d'avoir un chat, je ne m'attendais juste pas à avoir ce point commun.
À vrai dire... nous avons des points communs, elle et moi. C'était assez étonnant de voir une femme vivant à l'autre bout du monde et ayant les mêmes préoccupations malgré la différence immense entre nos sociétés. La seule chose que je note vraiment, c'est que je ne pouvais pas la défier en duel, elle se spécialise dans les armes à distance. La défier dans un combat corps à corps serait injuste... et lui laisser une arme à feu serait injuste pour moi...
- « Désolée de vous avoir coupé l'herbe sous le pied alors. Mon parcours n'est pas grandiose, même si je vous dépasse en âge. Je pense que vous avez largement plus d'expérience en tant que véritable dirigeante d'une armée que moi... » Je fixe alors le feu à mon tour, réfléchissant un peu, caressant ma cape avant de commencer. « Je viens d'une famille de grands guerriers et soldats. Mon père était le chef des armées avant moi et m'a formée toute ma vie pour devenir quelqu'un d'apté à le remplacer. » Je souris en la regardant un moment, pour lâcher une petite blague : « Il voulait un garçon, il m'a eue, moi. »
Je regarde à nouveau le feu, reprenant plus sérieusement mon autobiographie : « J'ai 141 ans, cela fait 10 ans que je suis chef des armées. J'ai été promue juste après la descente de mon père après la bataille de Selkryssingr. Aussi célibataire, aussi un chat... Mon second est celui avec l'humour. Toute une armée sous ma charge, et aussi une tonne de responsabilités, sans oublier que je dois me battre tous les jours pour prouver que je suis digne de ce titre. J'ai aussi participé à la guerre contre Arvandor depuis mes 20 ans environ et j'ai fait la majeure partie de la guerre avec un Escadron que j'avais sous mon commandement. »
Mon regard revient vers Lise : « Et je n'ai pas de secret défense contrairement à vous si vous comptez chercher sur moi. À vrai dire, je pense que c'est même un avantage. N'ayant rien à cacher, je peux me concentrer sur le reste. » Mon regard va vers la fenêtre, hésitant un petit moment, me demandant quand mon serviteur allait revenir… Mais je finis par me pencher vers elle et lui demander. « Vous avez dit que vous aviez un chat. Quelle race est-il ? » Dis-je assez intéressée et curieuse, oubliant presque déjà les questions que je devais lui demander plus tard.
Le plus important pour moi ici était Lise qui parlait d'elle-même. Elle était noble, proche de la royauté et avait déjà de nombreuses années d'expérience en tant que Grande Inquisitrice. Et même si à mon avis, la différence d'expérience montrait clairement que Lise était supérieure à nous deux, elle préférait dire que nous avions des titres similaires... techniquement parlant. Mais je crois toujours que l'expérience fait tout. Et elle me bat sur cela.
Après un petit rire qui me semblait étrange, elle commence à parler plus personnellement d'elle-même. Donnant son âge, son statut social et... J'ouvre assez grand les yeux, surprise d'apprendre qu'elle avait un chat... Ahem, enfin, nous avons tous le droit d'avoir un chat, je ne m'attendais juste pas à avoir ce point commun.
À vrai dire... nous avons des points communs, elle et moi. C'était assez étonnant de voir une femme vivant à l'autre bout du monde et ayant les mêmes préoccupations malgré la différence immense entre nos sociétés. La seule chose que je note vraiment, c'est que je ne pouvais pas la défier en duel, elle se spécialise dans les armes à distance. La défier dans un combat corps à corps serait injuste... et lui laisser une arme à feu serait injuste pour moi...
- « Désolée de vous avoir coupé l'herbe sous le pied alors. Mon parcours n'est pas grandiose, même si je vous dépasse en âge. Je pense que vous avez largement plus d'expérience en tant que véritable dirigeante d'une armée que moi... » Je fixe alors le feu à mon tour, réfléchissant un peu, caressant ma cape avant de commencer. « Je viens d'une famille de grands guerriers et soldats. Mon père était le chef des armées avant moi et m'a formée toute ma vie pour devenir quelqu'un d'apté à le remplacer. » Je souris en la regardant un moment, pour lâcher une petite blague : « Il voulait un garçon, il m'a eue, moi. »
Je regarde à nouveau le feu, reprenant plus sérieusement mon autobiographie : « J'ai 141 ans, cela fait 10 ans que je suis chef des armées. J'ai été promue juste après la descente de mon père après la bataille de Selkryssingr. Aussi célibataire, aussi un chat... Mon second est celui avec l'humour. Toute une armée sous ma charge, et aussi une tonne de responsabilités, sans oublier que je dois me battre tous les jours pour prouver que je suis digne de ce titre. J'ai aussi participé à la guerre contre Arvandor depuis mes 20 ans environ et j'ai fait la majeure partie de la guerre avec un Escadron que j'avais sous mon commandement. »
Mon regard revient vers Lise : « Et je n'ai pas de secret défense contrairement à vous si vous comptez chercher sur moi. À vrai dire, je pense que c'est même un avantage. N'ayant rien à cacher, je peux me concentrer sur le reste. » Mon regard va vers la fenêtre, hésitant un petit moment, me demandant quand mon serviteur allait revenir… Mais je finis par me pencher vers elle et lui demander. « Vous avez dit que vous aviez un chat. Quelle race est-il ? » Dis-je assez intéressée et curieuse, oubliant presque déjà les questions que je devais lui demander plus tard.
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Conversations à la Table des Puissants (ft. Lise)