Benhart Hodrick
"JE TE JURE C'EST POUR LA MISSION"
Benhart Hodrick
Benhart Hodrick
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Armure du faucon
Âge :
384 ans
Race·s :
Élémentaire, Draconide
Particularités de la race :
Neige
Métier :
Armure du faucon
Magie·s :
Magie Élémentaire - Hydromancie - Neige, Magie Élémentaire - Aéromancie - Vent
Nom de l'oeuvre :
Fate/Grand Order
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Oberon
Manichéisme :
envie
Liges :
4250
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Armure du faucon","age":"384 ans","races":"Élémentaire, Draconide","metier":"Armure du faucon","magies":"Magie Élémentaire - Hydromancie - Neige, Magie Élémentaire - Aéromancie - Vent","manicheisme":"envie","taille":"1m55 - 1m75","poids":"34kg - 70kg","orientation":"Pansexuel","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t624-je-suis-plus-libre-que-","nomdeloeuvre":"Fate/Grand Order","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Oberon","icon":"https://i.imgur.com/yek5O3x.jpg","iconalt":"","autrescomptes":""}
Benhart Hodrick
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Benhart Hodrick
- message #9283
“Allez dépêche toi ! on va être en retard au bal !”
Benhart attend devant la chambre d’une auberge coincée au fond d’une ruelle lugubre. L’établissement est vide ou presque malgré l’agitation qui bat son plein en ville. Bien que son emplacement soit au moins douteux, le petit bâtiment, dans l’ombre de deux maisons bien plus grandes, offre un confort typique tout à fait charmant et un ragoût délicieux bien qu’un peu épais. A force de voyage, Benhart a le truc pour trouver aisément les bonnes adresses.
Les grandes rues de la capitales sont pleines à craquée de beau monde de toute les nation venue pour célébrer l'événement. Elle sont animées, décorée de fleurs symbolisant la fin de l’hiver, d’élégantes banderoles colorées plongent la ville dans des teintes festives de blanc et d’orange, et l’ambiance populaire est au beau fixe au point que tout le monde semble avoir oublier les tensions qui parcourent les scènes politiques en arrière plan.
Deux jours plus tôt, Benhart était arrivé en compagnie d’Albi, qu’il avait un peu poussé à venir avec lui sous pretexte qu’il y aurais pleins d’élus, et qu’ils avaient besoin de prendre des renseignement eux même ; Une belle histoire, mais il n’en avait parlé avec sa collègue que pour la convaincre de venir à la fête… Et le reste du temps, il parlait de ce qu’il porterait ou des danses qu’il espérait être encore à la mode.
___
Ou “qu’elle” espérait, peut-être. Benhart avait pris la décision, au nid, de faire le voyage déguisé pour ne pas éveiller les soupçons. “J’ai un plan”, avait-il dit en s’enfermant dans sa chambre, pour en ressortir complètement transformé. Son visage avait été maquillé avec soin et précision, sa poitrine rehaussée par dieu seul savait quel miracle, et sa peau, d’ordinaire blanche et quasiment monochrome avait une teinte légèrement plus sombre qui lui donnait un air presque humain.
Avec ceci, il avait enfilé des vêtements de voyage qui mettaient en valeur sa nouvelle féminité. Rien si ce n’était la rapière à sa ceinture, ne trahissais l’identité réelle de la jeune femme qui s’était fièrement présentée devant Albirhoé.
"Alors ? Ça me va bien ?"
Avait-il dit d'une petite voix aiguë en tournant sur elle-même...
Ophélie était un personnage bien étrange. Elle gardait l'espièglerie de Benhart, sa témérité et sa candeur innocente. En dehors de cela, elle lui ressemblait, mais son comportement était différent. De Mélissandre, elle avait le sourire et la douceur. De Logan, les manières et le langage. De l’elfe des prisons d’Arvandor, la timidité et la retenue. D’Avalieana, L’audace et la fougue.
Et quelques autres encore.
Un bonhomme de neige, une créature artificielle faite de morceaux de vie ayant croisé sa route.
Ophélie était une fenêtre étroite, recouverte de givre, donnant sur d’autres personnes, et d’autres époques.
Lors du voyage, Benhart n’avait refait surface qu'au travers de sourires ou de clin d’œil espiègles qui perçaient parfois à travers le visage d’Ophélie. Le reste du temps, elle se comportait avec Albirohé comme avec une amie de longue date, bien plus soigneuse et attentionnée que ne l’était l’élémentaire.
Benhart et Ophélie étaient bon vivants, rieurs, provocateurs parfois. Mais Benhart était Benhart, et Ophélie était Ophélie.
___
Maintenant, la jeune femme se tiens devant la porte de sa consœur, réprimant son impatience en se mordillant la lèvre inférieure.
“Tu es sûre que ça va ? Tu veux de l’aide pour ta robe ?”
Elle venait de retirer sa tenue de voyage pour enfin enfiler sa robe de bal ; une longue robe aux nuances bleue et blanche, qui sublime sa beauté par son austérité ; Ophélie sait porter la simplicité avec une élégance que tous les froufrous du monde ne sauraient imiter.
Sur ses épaules, elle porte également un châle bleu, seul élément de son attirail qui se permet la fantaisie de quelques dentelles blanches, teintée d’argent.
Il reste au moins deux heures avant que la cérémonie ne commence réellement, mais étrangement, “le” chevalier saint ? Semble pressé.
Benhart attend devant la chambre d’une auberge coincée au fond d’une ruelle lugubre. L’établissement est vide ou presque malgré l’agitation qui bat son plein en ville. Bien que son emplacement soit au moins douteux, le petit bâtiment, dans l’ombre de deux maisons bien plus grandes, offre un confort typique tout à fait charmant et un ragoût délicieux bien qu’un peu épais. A force de voyage, Benhart a le truc pour trouver aisément les bonnes adresses.
Les grandes rues de la capitales sont pleines à craquée de beau monde de toute les nation venue pour célébrer l'événement. Elle sont animées, décorée de fleurs symbolisant la fin de l’hiver, d’élégantes banderoles colorées plongent la ville dans des teintes festives de blanc et d’orange, et l’ambiance populaire est au beau fixe au point que tout le monde semble avoir oublier les tensions qui parcourent les scènes politiques en arrière plan.
Deux jours plus tôt, Benhart était arrivé en compagnie d’Albi, qu’il avait un peu poussé à venir avec lui sous pretexte qu’il y aurais pleins d’élus, et qu’ils avaient besoin de prendre des renseignement eux même ; Une belle histoire, mais il n’en avait parlé avec sa collègue que pour la convaincre de venir à la fête… Et le reste du temps, il parlait de ce qu’il porterait ou des danses qu’il espérait être encore à la mode.
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Ou “qu’elle” espérait, peut-être. Benhart avait pris la décision, au nid, de faire le voyage déguisé pour ne pas éveiller les soupçons. “J’ai un plan”, avait-il dit en s’enfermant dans sa chambre, pour en ressortir complètement transformé. Son visage avait été maquillé avec soin et précision, sa poitrine rehaussée par dieu seul savait quel miracle, et sa peau, d’ordinaire blanche et quasiment monochrome avait une teinte légèrement plus sombre qui lui donnait un air presque humain.
Avec ceci, il avait enfilé des vêtements de voyage qui mettaient en valeur sa nouvelle féminité. Rien si ce n’était la rapière à sa ceinture, ne trahissais l’identité réelle de la jeune femme qui s’était fièrement présentée devant Albirhoé.
"Alors ? Ça me va bien ?"
Avait-il dit d'une petite voix aiguë en tournant sur elle-même...
Ophélie était un personnage bien étrange. Elle gardait l'espièglerie de Benhart, sa témérité et sa candeur innocente. En dehors de cela, elle lui ressemblait, mais son comportement était différent. De Mélissandre, elle avait le sourire et la douceur. De Logan, les manières et le langage. De l’elfe des prisons d’Arvandor, la timidité et la retenue. D’Avalieana, L’audace et la fougue.
Et quelques autres encore.
Un bonhomme de neige, une créature artificielle faite de morceaux de vie ayant croisé sa route.
Ophélie était une fenêtre étroite, recouverte de givre, donnant sur d’autres personnes, et d’autres époques.
Lors du voyage, Benhart n’avait refait surface qu'au travers de sourires ou de clin d’œil espiègles qui perçaient parfois à travers le visage d’Ophélie. Le reste du temps, elle se comportait avec Albirohé comme avec une amie de longue date, bien plus soigneuse et attentionnée que ne l’était l’élémentaire.
Benhart et Ophélie étaient bon vivants, rieurs, provocateurs parfois. Mais Benhart était Benhart, et Ophélie était Ophélie.
___
Maintenant, la jeune femme se tiens devant la porte de sa consœur, réprimant son impatience en se mordillant la lèvre inférieure.
“Tu es sûre que ça va ? Tu veux de l’aide pour ta robe ?”
Elle venait de retirer sa tenue de voyage pour enfin enfiler sa robe de bal ; une longue robe aux nuances bleue et blanche, qui sublime sa beauté par son austérité ; Ophélie sait porter la simplicité avec une élégance que tous les froufrous du monde ne sauraient imiter.
Sur ses épaules, elle porte également un châle bleu, seul élément de son attirail qui se permet la fantaisie de quelques dentelles blanches, teintée d’argent.
Il reste au moins deux heures avant que la cérémonie ne commence réellement, mais étrangement, “le” chevalier saint ? Semble pressé.
Albirrhoé Haemugi
Albirrhoé Haemugi
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
L'armure du Chat
Âge :
109
Race·s :
Siren
Particularités de la race :
aquatique murène - tout est dans le sourire
Métier :
Chevalier Saint
Magie·s :
Magie Blanche - Sacrée - Éclairs sacrés, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Undertale
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Undyne
Manichéisme :
diligence
Liges :
3295
champ vide pour le json :
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Albirrhoé Haemugi
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Albirrhoé Haemugi
Albirrhoé Haemugi
- message #9347
JE TE JURE C’EST POUR LA MISSION
feat. Benhart Hodrick
“Si tu voulais qu’on aille vite, fallait pas me coller ce genre de chaussures !!”, je maugrée malgré moi, absolument mal à l’aise à l’idée de me balader dans cette tenue.
Mais Ben a su avancer des arguments pertinents, des contre lesquels j’avais pas grand chose à opposer. Mon récent duel avec l’Orgueil ? J’étais en armure, risque infime qu’elle me reconnaisse. Et ce n’est pas ce semi-échec qui doit me faire tout arrêter… Puis, en réalité, il aurait jamais osé y aller seul, et ça se voyait qu’il crevait d’envie d’aller au bal. Pourquoi faire la rabat-joie, à partir de là ?
Surtout à voir son alter-égo, et le plaisir qu’à Benhart à explorer tout ça. A dire vrai, de nous deux, on pourrait même se demander laquelle porte des vêtements qui ne sont pas fait pour elle. Le contraste est frappant, alors qu’Ophélie tourne sur elle-même, mais j’ignore s’il est plus frappant entre nous deux qu’entre Ben et elle.
“Tu es superbe !”, j’aimerais pouvoir en dire autant, mais j’évite la remarque, pour qu’elle n’ait pas à s’occuper d’autre chose qu’elle.
Après tout, le voyage s’est déjà déroulé avec cette personne, et je commence à avoir l’habitude. Parfois, un pincement au coeur, lorsque je reconnais une mimique qui vient d’un autre. Comme si les morts ne pouvaient pas entièrement le rester. Pas tant qu’on se souvient d’eux, d’après un quelconque bouquin que j’avais trouvé plein de foutaises à l’époque.
Plutôt qu’accepter son aide, je secoue la tête, faisant un tour sur moi-même. Le rouge du drapé vole brièvement, s’enroule autour de mes jambes bleues, et j’essaie de me dire que j’assume ce corps de guerrier, de soldat ; les cicatrices un peu partout, les muscles, l’attitude tout simplement, qui ne convient pas. Mais c’est pas grave ; souris Albirrhoé, t’as jamais voulu faire de concours de beauté !
“Je pense que je peux tourner sans montrer l’intégralité de mes cicatrices, donc ça doit suffire ! Autant y aller maintenant, qu’on soit aux premières loges pour la bouffe !”
Sans hésiter, je lui crochette le bras pour que nous rejoignons les allées déjà bondées de monde. Je ne suis pas sûre de ce qu’Ophélie cherche, c’est comme sentir qu’il y a murène sous roche sans réussir à mettre exactement le doigt dessus… Alors tant pis. Elle veut qu’on parade au bal, on va parader ; et si on peut choper quelques infos au passage… Ce sera que du bonus !
Benhart Hodrick
Benhart Hodrick
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Armure du faucon
Âge :
384 ans
Race·s :
Élémentaire, Draconide
Particularités de la race :
Neige
Métier :
Armure du faucon
Magie·s :
Magie Élémentaire - Hydromancie - Neige, Magie Élémentaire - Aéromancie - Vent
Nom de l'oeuvre :
Fate/Grand Order
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Oberon
Manichéisme :
envie
Liges :
4250
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Benhart Hodrick
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Benhart Hodrick
Benhart Hodrick
- message #9443
Ophélie balaie l’objection de sa compagne d’un geste désinvolte.
“Tu peux te battre en armure dans des pentes boueuses mais pas marcher en talon sur des pavés? Ne me fais pas rire, c’est l'embarras qui te ralentit !”
Au compliment, elle tourne sur elle-même avec un grand sourire, illuminant la pièce par son simple bonheur et l’animant d’un doux courant d’air froid.
“Je sais ! Les vêtements sont un peu chauds, mais c’est ce que je voulais. Holala quelle journée on vas passer !”
Elle ris joyeusement en vadrouillant à droite et à gauche, vérifiant pour la énième fois ses affaires puis se recoiffant dans le miroir.
“ça faisait longtemps que je n’avais pas exposé mon côté dracônide de façon si évidente… ça ne me vas pas mal les cheveux noir !”
De nouveau, elle retourne triturer des petits objets dans la chambre, avant de s’arrêter finalement sur sa collègue. Elle fronce les sourcils.
“Oh arrête avec cette petite moue déconfite. Tu es belle comme un cœur ! les cicatrices te donnent un côté sauvage, et le rouge de la robe diminue leur contraste sur ta peau sans les cacher ; ta beauté a toi est plus complexe que la mienne mais toute aussi impactante. Tu ne peux pas savoir à quel point ton sourire sera éclatant là-dedans !”
Elle acquiesce pour elle-même, puis tire la langue avec un regard espiègle.
“Enfin, je suis tout de même la plus jolie ! “
Au ravissement d’Ophélie, c’est Albi qui lui crochète le bras. Elles échangent un sourire, et Ophélie l'entraîne dans les rues d'où résonne une mélodie lointaine.
La soirée est encore loin, et Ophélie à autant d’énergie que Benhart malgré sa retenue. Elle traîne Albi un peu partout en ville. Ici, une vieille échoppe joliment décorée qu’elle à visitée un siècle auparavant, offre un étal de garde d'armes somptueuses.
La, un marchand trapus vend des friandises sucrées couvertes de miel, et Ophélie, en chipe - habilement - deux, s'enfuit avec sa collègue en riant, pour lui en offrir en expliquant d’un air hilare qu’elles ont meilleur goût quand on imagine le visage furieux du vendeur.
Plus loins, la source de la musique, une troupe de ménestrels entonne une gigue joyeuse, et devant les mises souriante, mais hésitantes, Ophélie lâche le bras de sa camarade, attrape les mains d’une fillette, et l'entraîne danser en rond en riant. La mère accourt pour gronder sa fille, mais un sourire d’ophélie la désarme. Quelques instants plus tard, l’élémentaire est partie, laissant mère et fille danser ensemble.
Joindre une main à une autre, tirer jeunes couples, enfants parents et vieillards dans une maladroite farandole improvisée, tout ça semble naturel pour elle. En quelques minutes, la foule enjouée mais hésitante à pris des allures de fête de village où chacun danse sans méfiance.
Elle tente aussi d’y tirer Albi, le temps de quelque pas maladroit, mais qu’elle le veuille ou non, Ophélie n’a pas l’intention de s'attarder : quelques minutes, et la voilà repartie.
Ailleurs, elle s’arrête sur le banc d’une petite boutique caquète joyeusement avec la vendeuse le temps d’une pause à l'ombre ; il fait un peu chaud pour elle.
Finalement, elle jette un œil au soleil et se redresse. il va être l’heure. Elle époussette sa robe, s’étire, et pose un regard critique sur sa compagne.
“[color=#0000FFNon ; ça ne va pas.[/color]”
Ophélie se redresse, -plus péniblement qu’on aurait pu le croire d’elle- et fait un signe à la marchande. Quelques mots plus tard, celle-ci lui tend un châle crème.
“Parfait !” s’exclame gaiement l’élémentaire en enroulant le tissu autour des épaules de la chevalière.
“Je vous le prend !”
Puis, à l'adresse de son amie, mais sans espérer de réponse négative ;
“Qu’est ce que tu en dit? ça équilibre un peu l'ensemble non?”
Ophélie dégaine sa bourse, surprenamment rebondie. Et commence à y fouiller.
En tombe un morceau de bois joliment enroulé. Un cailloux gris pourvus d’une veinure de cuivre provenant probablement d’une carrière. Une élégante pierre lisse et blanche qu’elle rattrape pour l’y ranger de nouveau.
La vendeuse, jusqu’alors radieuse, plisse les yeux et ramène le châle à elle
Finalement, elle tire de sa bourse une fine bague en or toute simple, mais dont la valeur dépasse probablement de loin celle du châle.
Avec une moue sévère, elle observe l’objet un instant, se le passe au doigt, l’observe de nouveau puis hausse les épaule avant de le tendre à la vendeuse, qui retrouve sa mine joyeuse - peut -être un peu trop vite- .
“Bien !”
Conclut ophélie en arrangeant la pièce de tissus sur les épaules de la murène.
les cloches sonnent, sortant la femme de sa contemplation avec un petit sursaut. Elle regarde le ciel.
“Déja si tard? ça fait à peine vingt minutes…”
Elle jette un œil à la route qui mène au château.
“il va falloir presser un peu le pas, mais on y serra a l’heure ! ”
Entonne t-elle avec son optimisme caractéristique.
“Tu peux te battre en armure dans des pentes boueuses mais pas marcher en talon sur des pavés? Ne me fais pas rire, c’est l'embarras qui te ralentit !”
Au compliment, elle tourne sur elle-même avec un grand sourire, illuminant la pièce par son simple bonheur et l’animant d’un doux courant d’air froid.
“Je sais ! Les vêtements sont un peu chauds, mais c’est ce que je voulais. Holala quelle journée on vas passer !”
Elle ris joyeusement en vadrouillant à droite et à gauche, vérifiant pour la énième fois ses affaires puis se recoiffant dans le miroir.
“ça faisait longtemps que je n’avais pas exposé mon côté dracônide de façon si évidente… ça ne me vas pas mal les cheveux noir !”
De nouveau, elle retourne triturer des petits objets dans la chambre, avant de s’arrêter finalement sur sa collègue. Elle fronce les sourcils.
“Oh arrête avec cette petite moue déconfite. Tu es belle comme un cœur ! les cicatrices te donnent un côté sauvage, et le rouge de la robe diminue leur contraste sur ta peau sans les cacher ; ta beauté a toi est plus complexe que la mienne mais toute aussi impactante. Tu ne peux pas savoir à quel point ton sourire sera éclatant là-dedans !”
Elle acquiesce pour elle-même, puis tire la langue avec un regard espiègle.
“Enfin, je suis tout de même la plus jolie ! “
Au ravissement d’Ophélie, c’est Albi qui lui crochète le bras. Elles échangent un sourire, et Ophélie l'entraîne dans les rues d'où résonne une mélodie lointaine.
La soirée est encore loin, et Ophélie à autant d’énergie que Benhart malgré sa retenue. Elle traîne Albi un peu partout en ville. Ici, une vieille échoppe joliment décorée qu’elle à visitée un siècle auparavant, offre un étal de garde d'armes somptueuses.
La, un marchand trapus vend des friandises sucrées couvertes de miel, et Ophélie, en chipe - habilement - deux, s'enfuit avec sa collègue en riant, pour lui en offrir en expliquant d’un air hilare qu’elles ont meilleur goût quand on imagine le visage furieux du vendeur.
Plus loins, la source de la musique, une troupe de ménestrels entonne une gigue joyeuse, et devant les mises souriante, mais hésitantes, Ophélie lâche le bras de sa camarade, attrape les mains d’une fillette, et l'entraîne danser en rond en riant. La mère accourt pour gronder sa fille, mais un sourire d’ophélie la désarme. Quelques instants plus tard, l’élémentaire est partie, laissant mère et fille danser ensemble.
Joindre une main à une autre, tirer jeunes couples, enfants parents et vieillards dans une maladroite farandole improvisée, tout ça semble naturel pour elle. En quelques minutes, la foule enjouée mais hésitante à pris des allures de fête de village où chacun danse sans méfiance.
Elle tente aussi d’y tirer Albi, le temps de quelque pas maladroit, mais qu’elle le veuille ou non, Ophélie n’a pas l’intention de s'attarder : quelques minutes, et la voilà repartie.
Ailleurs, elle s’arrête sur le banc d’une petite boutique caquète joyeusement avec la vendeuse le temps d’une pause à l'ombre ; il fait un peu chaud pour elle.
Finalement, elle jette un œil au soleil et se redresse. il va être l’heure. Elle époussette sa robe, s’étire, et pose un regard critique sur sa compagne.
“[color=#0000FFNon ; ça ne va pas.[/color]”
Ophélie se redresse, -plus péniblement qu’on aurait pu le croire d’elle- et fait un signe à la marchande. Quelques mots plus tard, celle-ci lui tend un châle crème.
“Parfait !” s’exclame gaiement l’élémentaire en enroulant le tissu autour des épaules de la chevalière.
“Je vous le prend !”
Puis, à l'adresse de son amie, mais sans espérer de réponse négative ;
“Qu’est ce que tu en dit? ça équilibre un peu l'ensemble non?”
Ophélie dégaine sa bourse, surprenamment rebondie. Et commence à y fouiller.
En tombe un morceau de bois joliment enroulé. Un cailloux gris pourvus d’une veinure de cuivre provenant probablement d’une carrière. Une élégante pierre lisse et blanche qu’elle rattrape pour l’y ranger de nouveau.
La vendeuse, jusqu’alors radieuse, plisse les yeux et ramène le châle à elle
Finalement, elle tire de sa bourse une fine bague en or toute simple, mais dont la valeur dépasse probablement de loin celle du châle.
Avec une moue sévère, elle observe l’objet un instant, se le passe au doigt, l’observe de nouveau puis hausse les épaule avant de le tendre à la vendeuse, qui retrouve sa mine joyeuse - peut -être un peu trop vite- .
“Bien !”
Conclut ophélie en arrangeant la pièce de tissus sur les épaules de la murène.
les cloches sonnent, sortant la femme de sa contemplation avec un petit sursaut. Elle regarde le ciel.
“Déja si tard? ça fait à peine vingt minutes…”
Elle jette un œil à la route qui mène au château.
“il va falloir presser un peu le pas, mais on y serra a l’heure ! ”
Entonne t-elle avec son optimisme caractéristique.
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