Órfhlaith
Il n'y a pas d'âge pour commencer une carrière de muse. - Aadny.
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Featuring
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Titre du joueur :
Élue de la Luxure - Le cygne de la Tour
Âge :
350 ans
Race·s :
Anarkhia
Particularités de la race :
Métisse (Celeste/Elfe)
Métier :
Élue ?
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation
Nom de l'oeuvre :
Charlie Bowater
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Choreomania
Manichéisme :
luxure
Liges :
550
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- message #11616
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Aadny
D’aucuns diront que la Luxure n’est pas une créature matinale, levée avant l’aurore pour la première prière de la journée, puis te tirant de son logement pour faire quelques commissions, éventuellement une promenade, avant la leçon de la matinée et enfin tu t'accordera ton déjeuner. Tu as besoin de fleurs fraîches pour ta table, tes appartements ou tes couronnes, et sans être difficile tu préfères choisir toi-même. Ton quotidien est organisé comme du papier à musique, soigneusement orchestré par tes soins et les quelques conseils de ton entourage. Tes apparitions sont soignées et calculées, puisqu’enfin tu prends la mesure de ton rôle.
L’été semble enfin installé pour de bon et même s’il fait un peu frais tu as pu délaisser les lourds manteaux de fourrure - que tu trouves déplaisant et qui te font ressembler à un animal - pour retrouver tes toges, les tissus sont plus épais, mais tu te sens pleinement à ton aise et libre de tes mouvements. Toujours en blanc, comme pour rappeler une forme de chasteté, avec seulement le cou et les mains d’offert au monde, puisqu’après tout, être la Luxure incarnée sur terre ne t’oblige pas à te promener en état de nature. Seule une ligne de rouge tranche sur la teinte liliale du vêtement, elle-même brodée d’or arborant des motifs floraux et animaliers propre à ce pays et avec comme seul ornement ta couronne de laurier ou se mêle la plante et sa jumelle faite d’or.
Si lors de ta première venue dans le royaume des cimes tu avais su faire preuve d’une relative discrétion, à présent tu fais le choix de te montrer sous un beau jour, te mêlant aisément avec cette population qui te ressemble si peu, sans même prendre la peine de dissimuler ta marque. Après tout, on commence à te connaître. Pourtant malgré ça, tu dénotes, figure bien trop humaine pour un royaume encore blessé par la guerre, tu es minuscule parmi les géants et les draconiques, une adorable créature qui attire l'œil, l’on te regarde sans que cela ne puisse te blesser. Par chance, ta garde sait tenir à distance les plus curieux, sans avoir besoin de faire preuve d’une relative violence.
Tu discutes avec l’une des vendeuses assise sur le muret menant à une sorte de petit jardinet, d’un ton enjoué, ce ne sont que des banalités, du badinage comme peuvent les faire si bien deux femmes ayant en apparence un âge similaire. Tout en tressant les fleurs achetées sur ta couronne, tes gestes sont précis et vifs, assez typiques de ceux qui savent faire par habitude, sans avoir besoin de jeter un regard à l’ouvrage.
L’été semble enfin installé pour de bon et même s’il fait un peu frais tu as pu délaisser les lourds manteaux de fourrure - que tu trouves déplaisant et qui te font ressembler à un animal - pour retrouver tes toges, les tissus sont plus épais, mais tu te sens pleinement à ton aise et libre de tes mouvements. Toujours en blanc, comme pour rappeler une forme de chasteté, avec seulement le cou et les mains d’offert au monde, puisqu’après tout, être la Luxure incarnée sur terre ne t’oblige pas à te promener en état de nature. Seule une ligne de rouge tranche sur la teinte liliale du vêtement, elle-même brodée d’or arborant des motifs floraux et animaliers propre à ce pays et avec comme seul ornement ta couronne de laurier ou se mêle la plante et sa jumelle faite d’or.
Si lors de ta première venue dans le royaume des cimes tu avais su faire preuve d’une relative discrétion, à présent tu fais le choix de te montrer sous un beau jour, te mêlant aisément avec cette population qui te ressemble si peu, sans même prendre la peine de dissimuler ta marque. Après tout, on commence à te connaître. Pourtant malgré ça, tu dénotes, figure bien trop humaine pour un royaume encore blessé par la guerre, tu es minuscule parmi les géants et les draconiques, une adorable créature qui attire l'œil, l’on te regarde sans que cela ne puisse te blesser. Par chance, ta garde sait tenir à distance les plus curieux, sans avoir besoin de faire preuve d’une relative violence.
Tu discutes avec l’une des vendeuses assise sur le muret menant à une sorte de petit jardinet, d’un ton enjoué, ce ne sont que des banalités, du badinage comme peuvent les faire si bien deux femmes ayant en apparence un âge similaire. Tout en tressant les fleurs achetées sur ta couronne, tes gestes sont précis et vifs, assez typiques de ceux qui savent faire par habitude, sans avoir besoin de jeter un regard à l’ouvrage.
Aadny Syfreistyr
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Race·s
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Featuring
•
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Titre du joueur :
Le Guide
Âge :
90 ans
Race·s :
Siren, Céleste
Particularités de la race :
Plus d'affinités Siren que Céleste
Métier :
Guide du chemin de Brattsti, Messager, Émissaire Mercantile
Magie·s :
Magie Grise Légale - Astromancie - Divination
Nom de l'oeuvre :
Touken Ranbu
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Nikkari Aoe
Manichéisme :
générosité
Liges :
250
champ vide pour le json :
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Aadny Syfreistyr
- message #11623
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Órfhlaith
Tout sauf présentable aurait pu te définir alors que tu émergeais avec une missive du Chemin de Brattsti. Le chemin avait été plus difficile, mais la missive avait son importance, la tempête qui avait enseveli tout chemin creusé dans la neige t'avait fait captif d'une enclave creusée dans le roche. Tu avais décidé d'y rester alors que le ciel n'annonçait rien de la débâcle qui allait suivre. La route avait été impraticable. Ton odeur corporelle laissait autant à désirer que ton hygiène à ce moment du retour, donc le fantasme d'une therme au eaux bouillante te faisait rêver. Tu avais hâte de ressentir la morsure de la chaleur sur ta peau fraîche alors que tu extrairais minutieusement toute crasse de sur ta peau.
Athlétique, couvert pour le voyage mais habiles de tes pas malgré l'épaisseur de tes vêtements, on te reconnaissait avec quelques salutations et bien de la bonne humeur. Les blagues suivent tes pas, comme quoi le Chemin de Brattsti s'effondrerait que tu trouverais le moyen de t'y retrouver mais aussi de rentrer. On n'en connaissait peu d'aussi motivés que toi qui passais ta vie à le traverser.
Malgré toute ton habileté. Malgré cette agilité qui te gardait en vie dans le sinueux chemin de la mort, tu ne saurais pas te sauver. L'erreur serait commise lorsque tu poussais la porte de cette boutique. Le temps de tendre cette missive ton visage à moitié couvert.
Ton souffle fuyait tes lèvres rosies par la fraîcheur ambiante alors que l'explosion d'endorphine te faisait risquer l'euphorie, la tachycardie.
Tu ne t'étais jamais demandé.
Et si le temps arrêtait? Et si dans la temporalité d'une erreur, que quelques secondes, ton œil d'or s'accrochait à un geste impie, l'univers focalisant ton attention sur la grâce d'un mouvement. Une manucure impeccable, la ligne d'un doigt offert, un poignet à la gestuelle consommée, attirante, savante. Une main à aimer, vénérer, où poser tes lèvres serait un honneur et une damnation.
Depuis Cendre, maîtresse de ton royaume, Cendre ta muse, ton souffle, ta musique, ton attention n'avait jamais été captivée de la sorte. Pourtant elle est là, petit bout de femme, oeuvre d'art ambulante, menue, délicate. Pourtant, bien arrivée à Handrist, il était hors de question de même imaginer qu'elle n'ait pas eu la force et la fermeté de traverser les pics enneigés pour atteindre ses objectifs, quels qu'ils soient.
Peut-être était-ce guidé d'une panique, d'un besoin de choyer cette incarnation de l'art vivante que tu t'es mis à chercher du regard quelque chose, n'importe quoi. L'or et l'ocre salissant la pure blancheur de son manteau, cette gorge fragile où les lèvres pouvaient si aisément être accueillies, la rougeur d'une marque que tu fantasmais y laisser… Tu avais quelque chose sur toi. Quelque chose que tu avais trouvé si beau à Avalon d'où tu revenais, tu n'avais pas d'idée sur l'utilité de l'objet, mais tu avais senti qu'il porterait chance, que ce serait important.
Tu ressens cette pulsion toute adolescente, qui marquée par ton silence, juste pour celle qui serait, le temps d'une offrande, ta reine, ta muse. Tu lui tends le paquet, te souciant peu que quelqu'un d'autre l'ait pris.
Ta voix, au timbre cruellement attirant, se fait entendre. Les têtes se tournent alors que sans ajouter, tu laisses qui que ce soit prendre ce cadeau, gage de ta dévotion.
Que trois mots pour que les souffles soient coupés et que gêné par ton apparence, tu fuis la boutique, désireux de retrouver le chemin de ta demeure, le cœur battant à tout rompre, le temps de vivre, sentir, réaliser ce tumulte d'émotions.
Tu ne fais que te retourner.
Ton souffle exhale cette buée hivernale, commettant le crime de brouiller de ta vision les boucles de sa chevelure épaisse avant que la porte ne se referme et que tu t'effaces dans les chemins sinueux de la ville. Ta nouvelle muse trouverait dans le paquet une écharpe au lainage tiré de soie au même rouge vibrant que celui qui marquait son manteau.
Le soir, beaucoup mieux vêtu et propre, tu finirais à l'auberge qui faisait aussi office de taverne, cherchant à calmer le tremblement de tes mains avec quelques pinthes.
Athlétique, couvert pour le voyage mais habiles de tes pas malgré l'épaisseur de tes vêtements, on te reconnaissait avec quelques salutations et bien de la bonne humeur. Les blagues suivent tes pas, comme quoi le Chemin de Brattsti s'effondrerait que tu trouverais le moyen de t'y retrouver mais aussi de rentrer. On n'en connaissait peu d'aussi motivés que toi qui passais ta vie à le traverser.
Malgré toute ton habileté. Malgré cette agilité qui te gardait en vie dans le sinueux chemin de la mort, tu ne saurais pas te sauver. L'erreur serait commise lorsque tu poussais la porte de cette boutique. Le temps de tendre cette missive ton visage à moitié couvert.
Ton souffle fuyait tes lèvres rosies par la fraîcheur ambiante alors que l'explosion d'endorphine te faisait risquer l'euphorie, la tachycardie.
Tu ne t'étais jamais demandé.
Et si le temps arrêtait? Et si dans la temporalité d'une erreur, que quelques secondes, ton œil d'or s'accrochait à un geste impie, l'univers focalisant ton attention sur la grâce d'un mouvement. Une manucure impeccable, la ligne d'un doigt offert, un poignet à la gestuelle consommée, attirante, savante. Une main à aimer, vénérer, où poser tes lèvres serait un honneur et une damnation.
Depuis Cendre, maîtresse de ton royaume, Cendre ta muse, ton souffle, ta musique, ton attention n'avait jamais été captivée de la sorte. Pourtant elle est là, petit bout de femme, oeuvre d'art ambulante, menue, délicate. Pourtant, bien arrivée à Handrist, il était hors de question de même imaginer qu'elle n'ait pas eu la force et la fermeté de traverser les pics enneigés pour atteindre ses objectifs, quels qu'ils soient.
Peut-être était-ce guidé d'une panique, d'un besoin de choyer cette incarnation de l'art vivante que tu t'es mis à chercher du regard quelque chose, n'importe quoi. L'or et l'ocre salissant la pure blancheur de son manteau, cette gorge fragile où les lèvres pouvaient si aisément être accueillies, la rougeur d'une marque que tu fantasmais y laisser… Tu avais quelque chose sur toi. Quelque chose que tu avais trouvé si beau à Avalon d'où tu revenais, tu n'avais pas d'idée sur l'utilité de l'objet, mais tu avais senti qu'il porterait chance, que ce serait important.
Tu ressens cette pulsion toute adolescente, qui marquée par ton silence, juste pour celle qui serait, le temps d'une offrande, ta reine, ta muse. Tu lui tends le paquet, te souciant peu que quelqu'un d'autre l'ait pris.
Ta voix, au timbre cruellement attirant, se fait entendre. Les têtes se tournent alors que sans ajouter, tu laisses qui que ce soit prendre ce cadeau, gage de ta dévotion.
« Pour ma muse.»
Que trois mots pour que les souffles soient coupés et que gêné par ton apparence, tu fuis la boutique, désireux de retrouver le chemin de ta demeure, le cœur battant à tout rompre, le temps de vivre, sentir, réaliser ce tumulte d'émotions.
Tu ne fais que te retourner.
Ton souffle exhale cette buée hivernale, commettant le crime de brouiller de ta vision les boucles de sa chevelure épaisse avant que la porte ne se referme et que tu t'effaces dans les chemins sinueux de la ville. Ta nouvelle muse trouverait dans le paquet une écharpe au lainage tiré de soie au même rouge vibrant que celui qui marquait son manteau.
Le soir, beaucoup mieux vêtu et propre, tu finirais à l'auberge qui faisait aussi office de taverne, cherchant à calmer le tremblement de tes mains avec quelques pinthes.
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Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Choreomania
Manichéisme :
luxure
Liges :
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- message #11626
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Aadny
Trois mots qui te font relever la tête, il n’y en aurait pas fallu un seul de plus. Artiste, le mot muse résonne inévitablement en toi et il est étrange de le devenir à ton tour à plus de trois siècles d’existence, n’es-tu pas un peu vieille pour ces choses là ? Mais ce n’est pas désagréable. Une émotion a à peine le temps de traverser ton regard - est-ce de la flatterie, de l’intérêt ? - sans que l’on puisse réellement dire quoi. S’il voulait capter ton attention, voilà qui est chose faite.
Bien sûr, qu’il n’a pas pu t’atteindre, ta garde veille à ce genre de chose, mais tu salues tout de même son courage d’un sourire lumineux bien que pudique, mais avant même que tu ais pu faire un pas dans sa direction, le voilà qui disparaît, provoquant en toi un léger éclat de rire amusé.
Tu fais le choix de laisser mourir la journée, jusqu’au soir, laissant le temps au malheureux de se remettre de ses passions et de reprendre un peu d’état, tout en sachant que tu n’auras aucun mal à guider tes petits oiseaux sur sa trace. Ton après-midi alterne entre religion, philosophie et poésie, puisque tout aussi étonnant que cela puisse paraître, tu n’aimes pas passer toute ta journée au lit fusse-t-elle dans des draps en soie et en charmante compagnie. Ayant besoin autant de pain, de chaleur que de faire travailler ton intellect, tu ne saurais pas passer un bon moment avec quelqu’un qui ne cultive pas cette qualité, ce serait la mort de ton âme. Et la Luxure entend être satisfaite à tous les niveaux.
C’est d’ailleurs l’une de tes toutes jeunes servantes qui vient trouver l’homme dans une taverne, la pauvrette semble bien peu à l’aise dans ce genre d’endroit, offrant un spectacle de biche effarouchée qui aurait pu s’enfuir à tout moment pour peu que les regards s’appuient un peu trop sur elle. «Monsieur, vous avez les salutations de votre dame. » C’est joliment dit de son accent étranger, bien qu’il est évident que les mots de ta servante ont été dictés par un autre, par toi tandis qu’elle glisse sur la table un simple mot, écrit d’une jolie plume qui ne se voit presque plus, puis la demoiselle s’esquive. Il aurait été inconcevable pour toi de te rendre dans un tel endroit - non pas que tu craignes les tavernes - mais parce que ce n’est pas ta place.
Qu’il te retrouve dans cette demeure que l’on te prête, qui sera étonnamment peu gardée ce soir, ou qu’il parvienne à t’en extirper à force d’attiser ta curiosité, cela t’importe peu. Tu as toujours observé les autres avec une curiosité étrange, comme si vous n'appartenez pas à la même espèce. Ne sont-ils pas destinés à produire ce bruit de fond étrange et exotique si nécessaire à ton existence ? Cette pensée t’amuse et t’anime, vivre dans un monde où rien ne te ressemble mais où tout est pour toi.
Il est difficile de te voir le soir, comme s’il était inconcevable que tu puisses exister aux heures nocturnes, tu es née pour les caresses du soleil, pour l’été, pas pour les ténèbres et la lune rouge perpétuelle du royaume auquel tu as été si cruellement attachée.
Ton regard se perd dans le décorum de tes appartements, c’est luxueux et confortable, plus adapté à ta taille minuscule cette fois-ci. Tu abandonnes lentement l’idée d’écrire quoi que ce soit de décent et encore moins de correct, levant ta plume du parchemin, dans un soupir fâché, étalée sur ton lit avant de rouler en boule le papier. Tu es profondément improductive ces derniers temps et ta prose peine à se coucher sur le papier.
Bien sûr, qu’il n’a pas pu t’atteindre, ta garde veille à ce genre de chose, mais tu salues tout de même son courage d’un sourire lumineux bien que pudique, mais avant même que tu ais pu faire un pas dans sa direction, le voilà qui disparaît, provoquant en toi un léger éclat de rire amusé.
Tu fais le choix de laisser mourir la journée, jusqu’au soir, laissant le temps au malheureux de se remettre de ses passions et de reprendre un peu d’état, tout en sachant que tu n’auras aucun mal à guider tes petits oiseaux sur sa trace. Ton après-midi alterne entre religion, philosophie et poésie, puisque tout aussi étonnant que cela puisse paraître, tu n’aimes pas passer toute ta journée au lit fusse-t-elle dans des draps en soie et en charmante compagnie. Ayant besoin autant de pain, de chaleur que de faire travailler ton intellect, tu ne saurais pas passer un bon moment avec quelqu’un qui ne cultive pas cette qualité, ce serait la mort de ton âme. Et la Luxure entend être satisfaite à tous les niveaux.
C’est d’ailleurs l’une de tes toutes jeunes servantes qui vient trouver l’homme dans une taverne, la pauvrette semble bien peu à l’aise dans ce genre d’endroit, offrant un spectacle de biche effarouchée qui aurait pu s’enfuir à tout moment pour peu que les regards s’appuient un peu trop sur elle. «
Pour ne pas que meure la flamme, enivrons nous de vin et de poésie, dans la vertu ou le péché, à notre guise.
Sans plus d’indication, simplement une invitation à te retrouver, n’était-ce pas ce qu’il cherchait en obtenant ton attention ? Savait-il seulement ce qu’il avait initié ?Qu’il te retrouve dans cette demeure que l’on te prête, qui sera étonnamment peu gardée ce soir, ou qu’il parvienne à t’en extirper à force d’attiser ta curiosité, cela t’importe peu. Tu as toujours observé les autres avec une curiosité étrange, comme si vous n'appartenez pas à la même espèce. Ne sont-ils pas destinés à produire ce bruit de fond étrange et exotique si nécessaire à ton existence ? Cette pensée t’amuse et t’anime, vivre dans un monde où rien ne te ressemble mais où tout est pour toi.
Il est difficile de te voir le soir, comme s’il était inconcevable que tu puisses exister aux heures nocturnes, tu es née pour les caresses du soleil, pour l’été, pas pour les ténèbres et la lune rouge perpétuelle du royaume auquel tu as été si cruellement attachée.
Ton regard se perd dans le décorum de tes appartements, c’est luxueux et confortable, plus adapté à ta taille minuscule cette fois-ci. Tu abandonnes lentement l’idée d’écrire quoi que ce soit de décent et encore moins de correct, levant ta plume du parchemin, dans un soupir fâché, étalée sur ton lit avant de rouler en boule le papier. Tu es profondément improductive ces derniers temps et ta prose peine à se coucher sur le papier.
Aadny Syfreistyr
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Le Guide
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Guide du chemin de Brattsti, Messager, Émissaire Mercantile
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Magie Grise Légale - Astromancie - Divination
Nom de l'oeuvre :
Touken Ranbu
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Nikkari Aoe
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générosité
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- message #11634
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Órfhlaith
La guiterne ferait écho dans l'air froid de la nuit alors qu'une sérénade nocturne serait chantée. La musique était divine, parfaite, l'on chantait la pomme à une muse, une déesse, déclarant amour et dévotion, décrivant la perfection de sa gestuelle jusqu'à ses boucles de cuivre nacrées. La passion n'aurait d'ombre que celle de la nuit alors que l'humble chanteur se dévouait tout entier. Sa voix au timbre des ténors dérangerait plus d'un dormeur à une heure où même l'incarnation du mal préférait dormir.
Et ce fut la débâcle quand la porte fut ouverte, l'on voulait prévenir la garde, un serviteur parvint à fuir la haute demeure pour demander de l'aide et qu'enfin, la milice mette fin à cette cacophonie désormais hurlante, quoi que le chanteur fut bien aspergé de l'eau sale et tiédasse, reste d'un plancher fraîchement récuré.
Et profitant du tumulte, à pas de loup, n'ayant trouvé les appartements de ta muse que parce qu'un imbécile était naturellement venu chanter ses louanges à une heure impossible. Tous étaient si occupés que tu as même pris ton temps, celui de retirer ton manteau. Émissaire marchand, tu avais de beaux habits et ton inhibition limitée par l'alcool dans ton sang, tu avais suivi la messagère avant de rebrousser chemin, juste histoire de te trouver présentable devant ce brin de perfection que tu daignais espérer croiser de nouveau. La catastrophe à ton arrivée t'avait laissé silencieusement hilare dans la ruelle, mais voir cette porte entrouverte, tu n'avais plus su résister.
Silencieux comme jamais, ne faisant émettre au bois pas le moindre craquement, tu entrouvrait les pièces sur ton chemin, espérant l'y trouver. Tes mains ne tremblaient plus comme plus tôt, l'endorphine mais surtout l'adrénaline qui faisait s'accélérer les battements de ton cœur. C'est dans la panique, pourtant alerte, qu'en entendant l'escalier craquer que tu te glissais dans une pièce bien précise, déjà éclairée.
Aadny, pauvre imbécile, tu fermais la porte, conscient du danger de tourner le dos à qui que ce soit présent dans cette pièce, tu espérais qu'avec un peu de charme, tu pourrais te faire pardonner, peut-être même la croiser de nouveau.
Tu ne ressemblais en rien à la créature couverte de vêtements et de peau de la boutique, tu aurais pu passer pour noble en visite sur les pic enneigés de Handrist. Ce fut lentement que tu levais les mains vides, soumis. Tu n'étais pas désarmé, il aurait été stupide de ne pas se promener armé, mais tu n'étais cependant pas menaçant… et enfin tu te tournais avec souplesse, ton regard d'or ne pouvant que pétiller lorsqu'il tomba sur ta muse, un sourire illuminant ton visage.
Et ce fut la débâcle quand la porte fut ouverte, l'on voulait prévenir la garde, un serviteur parvint à fuir la haute demeure pour demander de l'aide et qu'enfin, la milice mette fin à cette cacophonie désormais hurlante, quoi que le chanteur fut bien aspergé de l'eau sale et tiédasse, reste d'un plancher fraîchement récuré.
Et profitant du tumulte, à pas de loup, n'ayant trouvé les appartements de ta muse que parce qu'un imbécile était naturellement venu chanter ses louanges à une heure impossible. Tous étaient si occupés que tu as même pris ton temps, celui de retirer ton manteau. Émissaire marchand, tu avais de beaux habits et ton inhibition limitée par l'alcool dans ton sang, tu avais suivi la messagère avant de rebrousser chemin, juste histoire de te trouver présentable devant ce brin de perfection que tu daignais espérer croiser de nouveau. La catastrophe à ton arrivée t'avait laissé silencieusement hilare dans la ruelle, mais voir cette porte entrouverte, tu n'avais plus su résister.
Silencieux comme jamais, ne faisant émettre au bois pas le moindre craquement, tu entrouvrait les pièces sur ton chemin, espérant l'y trouver. Tes mains ne tremblaient plus comme plus tôt, l'endorphine mais surtout l'adrénaline qui faisait s'accélérer les battements de ton cœur. C'est dans la panique, pourtant alerte, qu'en entendant l'escalier craquer que tu te glissais dans une pièce bien précise, déjà éclairée.
Aadny, pauvre imbécile, tu fermais la porte, conscient du danger de tourner le dos à qui que ce soit présent dans cette pièce, tu espérais qu'avec un peu de charme, tu pourrais te faire pardonner, peut-être même la croiser de nouveau.
Tu ne ressemblais en rien à la créature couverte de vêtements et de peau de la boutique, tu aurais pu passer pour noble en visite sur les pic enneigés de Handrist. Ce fut lentement que tu levais les mains vides, soumis. Tu n'étais pas désarmé, il aurait été stupide de ne pas se promener armé, mais tu n'étais cependant pas menaçant… et enfin tu te tournais avec souplesse, ton regard d'or ne pouvant que pétiller lorsqu'il tomba sur ta muse, un sourire illuminant ton visage.
« Je vous promets… que ce n'était pas moi qui chantait, ma muse. »
Et sans honte aucune, ayant l'excuse d'avoir un peu trop bu, tu te permets une révérence, attendant qu'on t'autorise à te relever ou non, te souciant peu de finir dans une quelconque geôle maintenant qu'enfin, tu pouvais entendre sa voix.Órfhlaith
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Élue de la Luxure - Le cygne de la Tour
Âge :
350 ans
Race·s :
Anarkhia
Particularités de la race :
Métisse (Celeste/Elfe)
Métier :
Élue ?
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation
Nom de l'oeuvre :
Charlie Bowater
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Choreomania
Manichéisme :
luxure
Liges :
550
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Élue de la Luxure - Le cygne de la Tour","age":"350 ans","races":"Anarkhia","metier":"Élue ?","magies":"Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation","manicheisme":"luxure","taille":"165 cm","poids":"55 kilos","orientation":"Toutes","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1210-je-suis-ce-que-tu-veux","nomdeloeuvre":"Charlie Bowater","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Choreomania","icon":"https://i.servimg.com/u/f29/19/56/15/07/image154.png","iconalt":"","autrescomptes":"Farah, Asrasterin du Néant"}
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Aadny
Voilà de la bien mauvaise poésie que l’on vient livrer à ta fenêtre en cette heure tardive, tu ne fais même pas l’effort de te tirer de ton lit, laissant aux locaux l’occasion de régler ce fâcheux problème à leur manière. Tu détestes les déclarations publiques, c’est vulgaire, même pour toi. Et tu n’es satisfaite que lorsque le silence de la nuit s'abat de nouveau dans la demeure.
Sans savoir qu’à l’instant ou tes serviteurs sont occupés à s’agiter tels des poules pour gérer ce fâcheux incident, un loup se glisse dans la bergerie, prêt à frapper. Et maintenant que le calme est revenu, le sommeil commence à faire son entrée, mais tu luttes, malgré que tu sois lasse d’attendre. Ayant l’habitude de tomber de fatigue, principalement à cause de ta magie, sur laquelle tu n’as aucun contrôle, si bien que généralement tu sombres en accomplissant une tâche quelconque, toute lumière allumée - d’autant que tu crains l’obscurité - et encore habillée. Et ce sont bien ses paroles qui t’attirent rudement dans le monde réel, et il te faut quelques secondes pour émerger totalement, le temps de mourir plusieurs fois s’il était si mal intentionné.
Tu ne peux pas ne pas remarquer le fait qu’il soit armé, des dagues, tu sembles hésiter à crier, ce serait la chose la plus prudente à faire, au lieu de cela tu recules prudemment, glissant ta main sous l’un des oreillers pour tirer ta propre dague. Et la vérité frappe, tu n’as aucune connaissance pour te battre avec ton stylet, qui de toute manière est si finement ouvragé que même dans des mains expertes il sera inutile. Mais si tu es ignare en matière d’escrime, tu sembles déterminée à te battre pour survivre et ta main ne tremble pas.
Et voilà qu’il s’incline, cela te paraît étrange cette dévotion, mais mieux que ça, cela te flatte sans apaiser ta peur. Même s’il attend visiblement que tu lui demandes de se relever. «Je n’ai pas souvenir d’avoir fait quoi que ce soit pour mériter un titre pareil. J’ose espérer que vous n’êtes pas un sicaire payé pour mettre fin à mes jours, alors soyez assez aimable de ne pas me les planter dans le dos. » Ajoutes-tu en désignant ses armes. Ta voix est aussi fluide que l’eau d’un ruisseau, malgré ton trouble évident.
Lentement, tu retrouves ton calme, passant une main sur ta nuque, descendant du lit pour t’approcher avec une prudence qui te ressemble bien peu. «Debout. » Finis-tu par dire. Même ainsi, il est bien plus grand que toi et plutôt beau garçon tu dois bien te l’avouer. Même sans t’avoir effrayé, tu aurais pu simplement être occupée.. D’une autre manière, avec n’importe qui ou quoi. C’était imprudent, mais tu n’iras pas nier que cela n’a rien provoqué en toi.
Tu te sers un verre, pour te redonner un peu de contenance, prenant le risque de lui tourner le dos. «Que puis-je faire pour vous ? » Tout ceux venant te trouver désirent quelque chose après tout ?
Sans savoir qu’à l’instant ou tes serviteurs sont occupés à s’agiter tels des poules pour gérer ce fâcheux incident, un loup se glisse dans la bergerie, prêt à frapper. Et maintenant que le calme est revenu, le sommeil commence à faire son entrée, mais tu luttes, malgré que tu sois lasse d’attendre. Ayant l’habitude de tomber de fatigue, principalement à cause de ta magie, sur laquelle tu n’as aucun contrôle, si bien que généralement tu sombres en accomplissant une tâche quelconque, toute lumière allumée - d’autant que tu crains l’obscurité - et encore habillée. Et ce sont bien ses paroles qui t’attirent rudement dans le monde réel, et il te faut quelques secondes pour émerger totalement, le temps de mourir plusieurs fois s’il était si mal intentionné.
Tu ne peux pas ne pas remarquer le fait qu’il soit armé, des dagues, tu sembles hésiter à crier, ce serait la chose la plus prudente à faire, au lieu de cela tu recules prudemment, glissant ta main sous l’un des oreillers pour tirer ta propre dague. Et la vérité frappe, tu n’as aucune connaissance pour te battre avec ton stylet, qui de toute manière est si finement ouvragé que même dans des mains expertes il sera inutile. Mais si tu es ignare en matière d’escrime, tu sembles déterminée à te battre pour survivre et ta main ne tremble pas.
Et voilà qu’il s’incline, cela te paraît étrange cette dévotion, mais mieux que ça, cela te flatte sans apaiser ta peur. Même s’il attend visiblement que tu lui demandes de se relever. «
Lentement, tu retrouves ton calme, passant une main sur ta nuque, descendant du lit pour t’approcher avec une prudence qui te ressemble bien peu. «
Tu te sers un verre, pour te redonner un peu de contenance, prenant le risque de lui tourner le dos. «
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Titre du joueur :
Le Guide
Âge :
90 ans
Race·s :
Siren, Céleste
Particularités de la race :
Plus d'affinités Siren que Céleste
Métier :
Guide du chemin de Brattsti, Messager, Émissaire Mercantile
Magie·s :
Magie Grise Légale - Astromancie - Divination
Nom de l'oeuvre :
Touken Ranbu
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Nikkari Aoe
Manichéisme :
générosité
Liges :
250
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- message #11658
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Órfhlaith
Armé, tu n'as cependant pas l'arme au poing, contrairement à ta muse. Tes joues rosissent malgré tout de bonne humeur quand elle t'autorise à te redresser, puis ce n'est plus de plaisir que tu rosis, c'est de timidité, en réalisant t'être beaucoup trop servi de tes incendiaires cordes vocales aux capacités presque hypnotiques. Mais cette dame magnifique dont tu ignores jusqu'au nom te fait perdre tes moyens, rosir comme un gamin. Pourtant, maintenant que tu as parlé, impossible de t'en sortir sans dialoguer avec la nymphe. Qu'elle te poignarde, tu serais probablement consentant.
« Mon impolitesse est impardonnable. Mais j'ai eu un coup de foudre, aussi stupide que cela puisse sonner à vos oreilles. C'est purement physique, j'ignore qui vous êtes, mais piètre artiste que je suis, vous voir m'a inspiré. N'êtes-vous pas l'incarnation de l'art? »
Que tu demandais, ta voix avec quelque chose d'électrisant, de tangible, d'indéniablement obsédant… comme ton regard, pourtant plus captivé que captivant. À coup sûr, tu étais content qu'elle te tourne le dos et ne pose pas les yeux sur le piteux criminel que tu étais.
« J'ai cru avoir été invité, mais à coup sûr, je me suis trompé. »
Tu souffles sur tes mèches couleur d'algues, ayant du mal à être plus embarrassé que ça encore. L'alcool se dissipait trop vite de ton sang et ton courage aussi stupide que momentanné s'effondraient devant le courroux d'une muse que tu devrais adorer de loin comme Cendre. Ça ne te dérangeait pas vraiment.
« Je… J'ai cherché des gants pour aller avec l'écharpe. J'ai fini par en trouver. Le lainage ne vous protégera pas des grands froids, mais de ceux de la ville assez certainement. »
Tu extrais la minuscule boîte contenant les mouffles rouges, maladroit, comme l'aurait été un adolescent devant son premier amour. Pourtant tu souris, conscient de ce côté pataud de sa propre personne. Tu serais content, même si elle les mettait à flamber. Au moins ils auront servi à la réchauffer, ne serait-ce qu'un tant soit peu.
« En toute sincérité, j'ai trop bu et m'infiltrer ici était d'une stupidité stupéfiante, je vous supplie donc de m'épargner, je fuirai par cette fenêtre devant vous et je vous vénérerai de loin… Sinon, vous devriez mieux vous couvrir, les températures de Handrist sont traîtres. »
« Mon impolitesse est impardonnable. Mais j'ai eu un coup de foudre, aussi stupide que cela puisse sonner à vos oreilles. C'est purement physique, j'ignore qui vous êtes, mais piètre artiste que je suis, vous voir m'a inspiré. N'êtes-vous pas l'incarnation de l'art? »
Que tu demandais, ta voix avec quelque chose d'électrisant, de tangible, d'indéniablement obsédant… comme ton regard, pourtant plus captivé que captivant. À coup sûr, tu étais content qu'elle te tourne le dos et ne pose pas les yeux sur le piteux criminel que tu étais.
« J'ai cru avoir été invité, mais à coup sûr, je me suis trompé. »
Tu souffles sur tes mèches couleur d'algues, ayant du mal à être plus embarrassé que ça encore. L'alcool se dissipait trop vite de ton sang et ton courage aussi stupide que momentanné s'effondraient devant le courroux d'une muse que tu devrais adorer de loin comme Cendre. Ça ne te dérangeait pas vraiment.
« Je… J'ai cherché des gants pour aller avec l'écharpe. J'ai fini par en trouver. Le lainage ne vous protégera pas des grands froids, mais de ceux de la ville assez certainement. »
Tu extrais la minuscule boîte contenant les mouffles rouges, maladroit, comme l'aurait été un adolescent devant son premier amour. Pourtant tu souris, conscient de ce côté pataud de sa propre personne. Tu serais content, même si elle les mettait à flamber. Au moins ils auront servi à la réchauffer, ne serait-ce qu'un tant soit peu.
« En toute sincérité, j'ai trop bu et m'infiltrer ici était d'une stupidité stupéfiante, je vous supplie donc de m'épargner, je fuirai par cette fenêtre devant vous et je vous vénérerai de loin… Sinon, vous devriez mieux vous couvrir, les températures de Handrist sont traîtres. »
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Titre du joueur :
Élue de la Luxure - Le cygne de la Tour
Âge :
350 ans
Race·s :
Anarkhia
Particularités de la race :
Métisse (Celeste/Elfe)
Métier :
Élue ?
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation
Nom de l'oeuvre :
Charlie Bowater
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Choreomania
Manichéisme :
luxure
Liges :
550
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- message #11661
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Aadny
Il n’en faut guère plus pour te faire pouffer, ce que tu peux être mauvaise parfois et ce pauvre malheureux semble être ta cible désignée pour ce soir. « Ce que je crois, jeune homme, ce que quand l’on vient parler de coup de foudre à ma personne, c’est que l’on a pas lu les bons livres.. Enfin, tant que vous ne vous mettez pas à me parler d’Amour ! » Oh ce cruel sentiment que tu ne connais pas et ne connaîtra jamais, que tu envies autant que tu détestes. Tu ne fais que le répéter : La Luxure ce n’est pas l’Amour, la Luxure c’est l’Amour lorsqu’il ne veut aucun bien à la personne aimée. C’est une douce litanie que tu te répètes dès que l’on te parle de ces choses stupides et sans intérêt. Toi ce qui te parles c’est le désir et l’envie de posséder. « De l’art ? Peut-être. » L’idée t’arrache un sourire.
Tu ne comptes pas le corriger, simplement lui offrir une leçon, qu’il comprenne que l’on ne te dérange pas impunément et encore plus au milieu de la nuit. Mais étrangement quelque chose t’attire en lui, de manière presque instinctive et tu n’es sans doute pas aussi froid que ce que tu aurais voulu. Sans parvenir à savoir s’il s’agit de magie ou de ton manichéisme qui demande à être satisfait.
Déposant ta dague sur la table qui trônait là, toujours ton verre à la main, venant t'asseoir sur le rebord de ton lit, lissant les plis de ta toge. «Je ne vous attendais plus. » Voilà le jugement que tu poses à son encontre, ce que la Luxure veut c’est du consommable, le règne du tout tout de suite et rien d’autre. Mais un retard peut aisément se rattraper, avec le bon geste.
Et voilà qu’il t’accorde un nouveau présent, que tu fais le choix d’accepter, portant cette petite boîte à tes lèvres, délicatement, avant de la poser à côté de toi. Tu ne refuses jamais rien, même si tu n’en as pas l’utilité. «Vous jouissez déjà d’une chance assez insolente. Prendre autant de risques pour un simple présent et souhaiter que je me couvre ? » Mais de quel droit ? « Mais ça ne répond pas à ma question, qu’attendez-vous de moi ? Savez-vous au moins qui je suis ? » La question n’a rien d’innocente, il pouvait toujours s’enfuir, ou rester pour voir ce que la Luxure réserve.
Tu es belle, tu le sais et tu en joues, tandis que tu passes une main dans tes boucles, pour le moment encore dans une séduction encore un peu prude. Trempant tes lèvres délicates dans le vin un peu trop fort pour toi, tu ne t’y feras jamais, ici tout à du caractère.
Tu ne comptes pas le corriger, simplement lui offrir une leçon, qu’il comprenne que l’on ne te dérange pas impunément et encore plus au milieu de la nuit. Mais étrangement quelque chose t’attire en lui, de manière presque instinctive et tu n’es sans doute pas aussi froid que ce que tu aurais voulu. Sans parvenir à savoir s’il s’agit de magie ou de ton manichéisme qui demande à être satisfait.
Déposant ta dague sur la table qui trônait là, toujours ton verre à la main, venant t'asseoir sur le rebord de ton lit, lissant les plis de ta toge. «
Et voilà qu’il t’accorde un nouveau présent, que tu fais le choix d’accepter, portant cette petite boîte à tes lèvres, délicatement, avant de la poser à côté de toi. Tu ne refuses jamais rien, même si tu n’en as pas l’utilité. «
Tu es belle, tu le sais et tu en joues, tandis que tu passes une main dans tes boucles, pour le moment encore dans une séduction encore un peu prude. Trempant tes lèvres délicates dans le vin un peu trop fort pour toi, tu ne t’y feras jamais, ici tout à du caractère.
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Guide du chemin de Brattsti, Messager, Émissaire Mercantile
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Magie Grise Légale - Astromancie - Divination
Nom de l'oeuvre :
Touken Ranbu
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Nikkari Aoe
Manichéisme :
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Liges :
250
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- message #11678
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Órfhlaith
C'est à peine si ton imaginaire ne fait pas apparaître ta mère, le visage dans les mains, à la fois hilare et complètement exaspérée.
"Oh, Aadny, à ce niveau, ta maladresse m'impressionne. Sois beau et tais-toi, je t'en supplie."
Et cet imaginaire n'est activé par rien d'autre que… le mot "amour"… peut-être que ta timidité… en fait pas peut-être. Ta timidité te rendait maladroit avec les mots, plus encore depuis que tu parlais si peu, de crainte de charmer tout ce qui bouge de la simple vibration de tes cordes vocales. Est-ce peut-être cette image de ta mère qui te fait te frapper le front et éclater de rire. Tu as tout dit pour bien la confondre à croire que tu es amoureux… et c'est bien des choses sauf ça.
« Attendez! Attendez… j'ignore honnêtement qui vous êtes… Jusqu'à votre nom. Vous êtes probablement noble, une femme sublime, élégante, grâcieuse… Mais je ne vous aime pas? Du moins… pas romantiquement…? »
Tu finis par rire à gorge déployée, incapable de ne pas alerter qui que ce soit de ta présence, les larmes aux yeux.
« Vous c-couvrir? », tu essaies sincèrement d'arrêter de rire, mais en arrière pensée, tu entends de nouveau ta mère dire à quel point du a un donc pour verbalement te mettre les pieds dans les plats pour bien t'enfarcher: « C-c'est pour vous éviter d'avoir froid et le rouge ressemble à celui de votre manteau, j'ai simplement ressenti le besoin de vous offrir quelque chose en vous voyant. Les gants complémentent… Je n'ai offert de cadeau qu'à une seule autre personne dans ma vie. »
Puis, secouant la tête, tu prends une grande respiration pour retrouver une ombre de contenance, cette fois, tes épaules se détendent.
« Grand-bien vous en fasse, je me moque de qui vous êtes et vous pourriez être le mal incarné que je n'en serais pas moins charmé. Je suis un spectateur devant une oeuvre d'art ambulante et j'apprécie l'art. Mon coup de foudre n'a rien d'amoureux ou de romantique, je ne suis pas amoureux de mes muses, je les adore. »
L'air est paisible, mais il y a du mouvement derrière la porte et du dardes ton regard vers la fenêtre.
« Considérant que vous ne m'attendiez plus, je vais partir, ma muse. Ne doutez du fait que vous êtes parfaitement attirante, mais le désir de vous posséder ou l'amour dont vous me croyez souffrant ne sont pas ce qui justifie ma présence. »
Et encore, tu essaies de ne pas rire ou de te dévoiler sexuellement impuissant.
"Oh, Aadny, à ce niveau, ta maladresse m'impressionne. Sois beau et tais-toi, je t'en supplie."
Et cet imaginaire n'est activé par rien d'autre que… le mot "amour"… peut-être que ta timidité… en fait pas peut-être. Ta timidité te rendait maladroit avec les mots, plus encore depuis que tu parlais si peu, de crainte de charmer tout ce qui bouge de la simple vibration de tes cordes vocales. Est-ce peut-être cette image de ta mère qui te fait te frapper le front et éclater de rire. Tu as tout dit pour bien la confondre à croire que tu es amoureux… et c'est bien des choses sauf ça.
« Attendez! Attendez… j'ignore honnêtement qui vous êtes… Jusqu'à votre nom. Vous êtes probablement noble, une femme sublime, élégante, grâcieuse… Mais je ne vous aime pas? Du moins… pas romantiquement…? »
Tu finis par rire à gorge déployée, incapable de ne pas alerter qui que ce soit de ta présence, les larmes aux yeux.
« Vous c-couvrir? », tu essaies sincèrement d'arrêter de rire, mais en arrière pensée, tu entends de nouveau ta mère dire à quel point du a un donc pour verbalement te mettre les pieds dans les plats pour bien t'enfarcher: « C-c'est pour vous éviter d'avoir froid et le rouge ressemble à celui de votre manteau, j'ai simplement ressenti le besoin de vous offrir quelque chose en vous voyant. Les gants complémentent… Je n'ai offert de cadeau qu'à une seule autre personne dans ma vie. »
Puis, secouant la tête, tu prends une grande respiration pour retrouver une ombre de contenance, cette fois, tes épaules se détendent.
« Grand-bien vous en fasse, je me moque de qui vous êtes et vous pourriez être le mal incarné que je n'en serais pas moins charmé. Je suis un spectateur devant une oeuvre d'art ambulante et j'apprécie l'art. Mon coup de foudre n'a rien d'amoureux ou de romantique, je ne suis pas amoureux de mes muses, je les adore. »
L'air est paisible, mais il y a du mouvement derrière la porte et du dardes ton regard vers la fenêtre.
« Considérant que vous ne m'attendiez plus, je vais partir, ma muse. Ne doutez du fait que vous êtes parfaitement attirante, mais le désir de vous posséder ou l'amour dont vous me croyez souffrant ne sont pas ce qui justifie ma présence. »
Et encore, tu essaies de ne pas rire ou de te dévoiler sexuellement impuissant.
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Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Choreomania
Manichéisme :
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- message #11697
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Aadny
Tu joues avec l’une de tes mèches, un simple geste que tu fais sans même t’en rendre compte. « Oh, je ne parle jamais d’amour, moi. C’est déjà plus prudent pour vous de ne pas m’aimer. » Ne ressembles-tu pas au genre de fille qui font tourner les garçons en bourrique ? Tu en as la verve, le charme et la beauté en tout cas, alors tu peux bien te permettre d’en jouer.
Au fil de la conversation tu comptes lui glisser quelques indices. «Je n’ai pas vocation à errer dans le froid, je suis ici en tant que diplomate. Bien que.. Ce pays est magnifique, j’en conviens. » Après avoir vécu trois siècles enfermée, quoi de plus normal que de rechercher la liberté, et quelle conquête plus noble que les montagnes ?
Tu t’approches distraitement de la porte de ta chambre, sentant que l’agitation régnait en maître dans le couloir. Tu t’adosses à la porte, un peu paresseusement et d’un geste sans un regard, tu fermes le loquet. Et tous tes suivants savent ce que cela signifie : tu es occupée et gare à celui qui te dérangera, sinon chacun est libre de rentrer comme et quand il lui plaît. «Comprenez mon embarras, je suis face à un homme s’étant introduit sans y être invité dans mes appartements, il ne veut ni voler, ni tuer, ni baiser. Comprenez bien que pour la Luxure, c’est quelque peu.. Déconcertant. » Oh ce n’est pas du tout toi de parler aussi crument, en fait tu parles assez peu de sexe de manière globale et dans des termes aussi.. Triviaux, ta langue te brûlait presque. Mais tu as vite compris qu’avec lui il fallait aller droit au but, alors tu lui parles comme à un grand enfant.
Oh, il veut déjà s'enfuir, sans doute effrayé par les possibilités. «Vous m’avez offert deux présents que j’accepte avec joie. Mon invitation tient toujours, cela va de soi, même si je ne semble pas à votre goût. J’ai une bouteille ouverte et de la poésie plein la tête. » Bien sûr que tu as perçu son regard en direction de cette fenêtre. « Maintenant si vous tenez tant à partir, faite vite, que je puisse accorder à mon corps une danse avant ma dernière prière du soir. » C’est joliment dit. Après tout tu es une princesse autonome, si l’on ne te satisfait pas, tu es capable de le faire toi-même.
Au fil de la conversation tu comptes lui glisser quelques indices. «
Tu t’approches distraitement de la porte de ta chambre, sentant que l’agitation régnait en maître dans le couloir. Tu t’adosses à la porte, un peu paresseusement et d’un geste sans un regard, tu fermes le loquet. Et tous tes suivants savent ce que cela signifie : tu es occupée et gare à celui qui te dérangera, sinon chacun est libre de rentrer comme et quand il lui plaît. «
Oh, il veut déjà s'enfuir, sans doute effrayé par les possibilités. «
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- message #11711
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La Luxure.
Est-ce cela la marque sur sa si parfaite main? Ç'aurait pu être absolument n'importe quoi. Ce n'est pas d'apprendre son titre ou son rôle qui te séduit. C'est autre chose qui te rend soudainement si curieux de son petit bout de personne.
La douceur d'un sourire détend tes traits, une adoration sincère paraît dans ce sourire si doux qui étire tes lèvres. C'est à ce moment que la belle revêt le plus charmant des embarras. Peut-être qu'apprendre à connaître la Luxure te la rendra plus charmante qu'une œuvre d'art ambulante. Toi qui avait déjà le fou-rire plus tôt échappe de nouveau un rire, plus délicat, plus attirant que le dernier ou tu t'esclaffais si simplement.
« L'invitation tient toujours? Mais vous ne m'attendiez-plus, si je puis vous citer, douce incarnation de la Luxure. »
Que tu tentes, cette fois, si purement taquin. Tu veux la voir faire tomber le voile, entrevoir l'imperfection qui l'a fait te charmer de simples vulgarités.
« Ô sublime Luxure, permettez à cet humble adorateur de connaître votre nom. Peut-être que s'il vous intéresse d'échanger, il vous offrira le sien. »
Un regard vers la fenêtre. Fuir, tu vas devoir fuir si elle ne comprend pas ce que tu as l'intention de dire, d'avouer si simplement ce défaut qui te fait si aisément passer pour impuissant. Tes orbes couleur d'or écorchent vive l'élue, tu es inconscient du charmes que tu opères à ce moment, de l'obsession que tu peux causer de ta parole et de ton regard.
« Autant vous vénérer, ma muse, et participer à cette danse serait le plus gratifiant des honneurs, je ne sais pas éprouver de désirs pour ceux qui ne se sont pas creusé un nid dans mon esprit autrement que par leur simple apparence. Le jour où je saurai baiser - si je puis vous citer encore -... » Que tu te permets de bien faire entendre, moqueur et sans poésie aucune. « … De mon corps entier, un lien affectif, présentement inexistant entre nous, fera de moi votre plus dévoué esclave et ami. »
Encore l'ombre d'un sourire honteux, timide.
« À défaut, il y a d'autres manières de vous combler. »
Est-ce cela la marque sur sa si parfaite main? Ç'aurait pu être absolument n'importe quoi. Ce n'est pas d'apprendre son titre ou son rôle qui te séduit. C'est autre chose qui te rend soudainement si curieux de son petit bout de personne.
La douceur d'un sourire détend tes traits, une adoration sincère paraît dans ce sourire si doux qui étire tes lèvres. C'est à ce moment que la belle revêt le plus charmant des embarras. Peut-être qu'apprendre à connaître la Luxure te la rendra plus charmante qu'une œuvre d'art ambulante. Toi qui avait déjà le fou-rire plus tôt échappe de nouveau un rire, plus délicat, plus attirant que le dernier ou tu t'esclaffais si simplement.
« L'invitation tient toujours? Mais vous ne m'attendiez-plus, si je puis vous citer, douce incarnation de la Luxure. »
Que tu tentes, cette fois, si purement taquin. Tu veux la voir faire tomber le voile, entrevoir l'imperfection qui l'a fait te charmer de simples vulgarités.
« Ô sublime Luxure, permettez à cet humble adorateur de connaître votre nom. Peut-être que s'il vous intéresse d'échanger, il vous offrira le sien. »
Un regard vers la fenêtre. Fuir, tu vas devoir fuir si elle ne comprend pas ce que tu as l'intention de dire, d'avouer si simplement ce défaut qui te fait si aisément passer pour impuissant. Tes orbes couleur d'or écorchent vive l'élue, tu es inconscient du charmes que tu opères à ce moment, de l'obsession que tu peux causer de ta parole et de ton regard.
« Autant vous vénérer, ma muse, et participer à cette danse serait le plus gratifiant des honneurs, je ne sais pas éprouver de désirs pour ceux qui ne se sont pas creusé un nid dans mon esprit autrement que par leur simple apparence. Le jour où je saurai baiser - si je puis vous citer encore -... » Que tu te permets de bien faire entendre, moqueur et sans poésie aucune. « … De mon corps entier, un lien affectif, présentement inexistant entre nous, fera de moi votre plus dévoué esclave et ami. »
Encore l'ombre d'un sourire honteux, timide.
« À défaut, il y a d'autres manières de vous combler. »
Órfhlaith
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informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Élue de la Luxure - Le cygne de la Tour
Âge :
350 ans
Race·s :
Anarkhia
Particularités de la race :
Métisse (Celeste/Elfe)
Métier :
Élue ?
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation
Nom de l'oeuvre :
Charlie Bowater
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Choreomania
Manichéisme :
luxure
Liges :
550
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Órfhlaith
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- message #11714
feat.
Aadny
Tu retiens un grondement muet lorsqu’il mentionne ton brusque revirement. « Je suis inconstante à l’image du péché que je représente. » Son audace éveille quelque chose en toi, que tu laisses à peine filer hors de toi, encore dans le contrôle. Ta déesse semble prête à bénir cette tête brûlée qui n’a définitivement pas peur de la difficulté. Mais tu lui accordes tout de même l’honneur de ton nom : « Órfhlaith. » Ce petit jeu semble être en mesure de te captiver, alors tu cèdes lentement du terrain.
Tout aussi paradoxal que cela puisse paraître, tu n’es pas vraiment attirée par les plaisirs solitaires, non pas que tu en sois incapable, simplement cela te déplaît, comment pourrais-tu te coucher en ayant rien accompli qui ne bénéfie à un autre que toi ? Ta Luxure n’est pas égoïste. Parfois lorsque tu cèdes à ce caprice, c’est toujours un peu honteuse que tu te retrouves le lendemain et tu te promets de ne jamais recommencer. Mais ça n’empêche pas la Luxure de revenir à toi dans sa grâce sauvage et son impétuosité, guidant tes mains dans l’indécence.
Ton dos se décolle de la porte, tes pieds nus ne faisant aucun bruit sur le parquet lustré. Tu t’approches, juste quelques secondes, assez près pour qu’il sente ton souffle près de lui. «Aime comme tu l’entends, murmure la déesse. » Toi, ça t’importe si peu ce genre de détail, ça ne te fait aucun mal et tu es déjà reconnaissante de ce service qu’il te rend, mais tu t’écartes dans ton indolence naturelle, les yeux mi-clos, la proposition de jeu que tu lui fais est on ne peut plus clair : s’il te veut, il va devoir se montrer convainquant et te séduire. Et la séduction sous ton égide peut prendre bien des formes.
Tu acceptes son défi, te posant la question de combien de temps il te faudra pour le faire se vautrer dans le stupre et le corrompre, l’offrant comme présent à la déesse capricieuse. Les beaux-parleurs t’amusent, tu ignores souvent si tu seras déçue ou non, la plupart des mâles se glissant sur ta route sont à peine capable de produire des frottements qui ne suffisent pas à te réchauffer. Mais tu lui offres sa chance, le pauvre, ce n’est pas de sa faute si certains de tes amants sont déplorables.
Et comme si tu t'apprêtes à te coucher, tu dégraffes la broche, retenant les mètres de toge presque dans un geste pudique pour ne pas tomber. Tu l’ignores, lui offrant pour l’heure simplement ton corps qui se dénude un peu, portant sous le tissu lourd simplement une longue tunique à peine cintrée qui peine à dissimuler tes formes. Il y a encore un mince fil de pudeur entre vous que tu n’oses couper, ayant envie de le rendre fou avant de ne le laisser ne serait-ce que t’effleurer.
Tout aussi paradoxal que cela puisse paraître, tu n’es pas vraiment attirée par les plaisirs solitaires, non pas que tu en sois incapable, simplement cela te déplaît, comment pourrais-tu te coucher en ayant rien accompli qui ne bénéfie à un autre que toi ? Ta Luxure n’est pas égoïste. Parfois lorsque tu cèdes à ce caprice, c’est toujours un peu honteuse que tu te retrouves le lendemain et tu te promets de ne jamais recommencer. Mais ça n’empêche pas la Luxure de revenir à toi dans sa grâce sauvage et son impétuosité, guidant tes mains dans l’indécence.
Ton dos se décolle de la porte, tes pieds nus ne faisant aucun bruit sur le parquet lustré. Tu t’approches, juste quelques secondes, assez près pour qu’il sente ton souffle près de lui. «
Tu acceptes son défi, te posant la question de combien de temps il te faudra pour le faire se vautrer dans le stupre et le corrompre, l’offrant comme présent à la déesse capricieuse. Les beaux-parleurs t’amusent, tu ignores souvent si tu seras déçue ou non, la plupart des mâles se glissant sur ta route sont à peine capable de produire des frottements qui ne suffisent pas à te réchauffer. Mais tu lui offres sa chance, le pauvre, ce n’est pas de sa faute si certains de tes amants sont déplorables.
Et comme si tu t'apprêtes à te coucher, tu dégraffes la broche, retenant les mètres de toge presque dans un geste pudique pour ne pas tomber. Tu l’ignores, lui offrant pour l’heure simplement ton corps qui se dénude un peu, portant sous le tissu lourd simplement une longue tunique à peine cintrée qui peine à dissimuler tes formes. Il y a encore un mince fil de pudeur entre vous que tu n’oses couper, ayant envie de le rendre fou avant de ne le laisser ne serait-ce que t’effleurer.
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Il n'y a pas d'âge pour commencer une carrière de muse. - Aadny.