Alphard Haemugi
Healing and hurting (my pride) | Carolyn
Alphard Haemugi
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Featuring
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Titre du joueur :
Les dents de la mer
Âge :
109 ans
Race·s :
Siren
Particularités de la race :
aquatique requin blanc
Métier :
Mercenaire
Magie·s :
Magie Grise Légale - Psychomancie - Lecture mentale
Nom de l'oeuvre :
Houda Belgharbi
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Original Character
Manichéisme :
orgueil
Liges :
885
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Alphard Haemugi
- message #1854
feat.
Carolyn Ashworth
Un sombre sang perlait sur la route du Requin, lequel se demandant ce qui avait pu provoquer la plaie s'étant logée dans la paume de sa main. Le mot de trop, peut-être ; les ivrognes n'étaient pas connus pour accueillir les remarques avec le sourire, pas lorsqu'ils venaient de dédier leur soirée à essayer de noyer leur misère dans l'alcool. Sorti de la taverne aux côtés de l'un de ses anciens clients qui l'y avait invité puis empêché de planter son trident dans la mauvaise tête, le mercenaire avait précautionneusement enveloppé sa main à l'aide d'un tissu déchiré.
La lame de son assaillant avait traversé sa main comme si elle avait été façonnée dans le beurre : s'il voulait repartir au plus vite d'Arvandor, il ne fallait pas du repos et des soins continus, mais bel et bien l'intervention d'un guérisseur. C'est là qu'on lui indiqua le chemin à emprunter.
Son accompagnateur l'abandonna à un croisement de rues, peu après lui avoir indiqué la position d'un geste las de la main. Par là-bas, donc. La ruelle émanait une ambiance lugubre, comme si cette dernière abritait tous les rébus de la société arvandienne. Sur qui, ou plutôt sur quoi allait-il tomber, une fois la guérisseuse trouvée ? L'hypothèse d'une maudite le fit regretter son choix, avant de se résoudre à avancer. Il n'était plus question de faire demi-tour avec la queue entre les jambes et un gant de sang coagulé en guise de main.
A son grand étonnement, Alphard eut, pour une fois, la chance de son côté, et trouva rapidement la Céleste qu'on lui avait vaguement décrite. Une Céleste... qui ne pouvait qu'être perçue comme une humaine, avec tout le mépris que le siren leur dédiait. «... Misère... » Chaque fois qu'il se devait d'adresser la parole à l'une de ces créatures, Alphard regrettait amèrement d'avoir choisi ce royaume comme lieu de repos : à choisir, il aurait volontiers échangé la vie de cent humains contre la compagnie d'un seul draconide ou naga à défaut de mettre la main sur l'un des siens.
Il n'avait pas le choix. Une fois assez près, il l'interpella, sa main viable se posant sur l'épaule de la guérisseuse afin de l'inciter à se tourner vers lui. Elégance, galanterie, c'était tout lui.
«... Humaine ? » Mince, il avait oublié son nom. Tant pis.
Sans un salut, l'ancien soldat leva le second bras pour lui mettre sa plaie sous les yeux.
«J'ai... entendu dire que vous sauriez soigner ceci, est-ce la vérité ? »
Pour un peu, il se serait presque senti comme un enfant réclamant un beau pansement.
La lame de son assaillant avait traversé sa main comme si elle avait été façonnée dans le beurre : s'il voulait repartir au plus vite d'Arvandor, il ne fallait pas du repos et des soins continus, mais bel et bien l'intervention d'un guérisseur. C'est là qu'on lui indiqua le chemin à emprunter.
Vous la trouverez par là-bas, Alphard.
Son accompagnateur l'abandonna à un croisement de rues, peu après lui avoir indiqué la position d'un geste las de la main. Par là-bas, donc. La ruelle émanait une ambiance lugubre, comme si cette dernière abritait tous les rébus de la société arvandienne. Sur qui, ou plutôt sur quoi allait-il tomber, une fois la guérisseuse trouvée ? L'hypothèse d'une maudite le fit regretter son choix, avant de se résoudre à avancer. Il n'était plus question de faire demi-tour avec la queue entre les jambes et un gant de sang coagulé en guise de main.
A son grand étonnement, Alphard eut, pour une fois, la chance de son côté, et trouva rapidement la Céleste qu'on lui avait vaguement décrite. Une Céleste... qui ne pouvait qu'être perçue comme une humaine, avec tout le mépris que le siren leur dédiait. «
Il n'avait pas le choix. Une fois assez près, il l'interpella, sa main viable se posant sur l'épaule de la guérisseuse afin de l'inciter à se tourner vers lui. Elégance, galanterie, c'était tout lui.
«
Sans un salut, l'ancien soldat leva le second bras pour lui mettre sa plaie sous les yeux.
«
Pour un peu, il se serait presque senti comme un enfant réclamant un beau pansement.
Carolyn Ashworth
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Race·s
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Featuring
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icon :
Titre du joueur :
Clouée au sol - Faith (Poppy)
Âge :
28 ans
Race·s :
Céleste
Particularités de la race :
qui se fait passer pour une humaine
Métier :
Guérisseuse itinérante - Diseuse d'aventure - Ex révolutionnaire
Magie·s :
Magie Blanche - Vie - Magie curative
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XVI
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Benedikta Harman
Manichéisme :
patience
Liges :
2465
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Carolyn Ashworth
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Carolyn Ashworth
Carolyn Ashworth
- message #1929
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Alphard Haemugi
Mussée dans les ruelles malfamées d’Arvandor, l’humaine s’adosse au mur, les bras croisés, tandis que ses prunelles hazel furètent. Dernièrement, les ressources se font rares, et cela l’agace bien plus que nécessaire. Elle n’avance pas ; Carolyn n’aime guère que les choses stagnent. Laisser le temps au temps, la jeune femme connaît l’importance du timing, des circonstances et de la macération. La macération d’idées, notamment – voire des maigres informations récoltées, pour espérer en tirer le moindre élément.
Hélas, les gens d’Arvandor semblent particulièrement avares, ces derniers temps. Ce n’est pourtant pas les pigeons qui manquent, non ?
Alors, Carolyn réfléchit à un plan. Jusqu’à ce qu’on l’interpelle, qu’on l’oblige à changer de position, tout du moins. Humaine, voici une drôle de nomination, surtout provenant d’un poisson. Arquant un sourcil, la guérisseuse lui fait désormais face, observe cette plaie qu’il lui met sous le nez, l’air de rien, alors même qu’il en oublie toutes les formalités.
Humaine. Son attention roule entre le demandeur et sa main ; elle le toise sans véritablement sans cacher, puis lâche un soupir.
— L’humaine a un nom, le poisson.
Une moquerie plutôt gentillette, en échange de cet affront et de ce manque flagrant de formes dans leurs échanges. De deux doigts, elle lui fait signe de la suivre jusqu’à l’entrée d’une cave, dans laquelle elle s’est temporairement établie. Rien de très propre, cela ne la change pas de la cabane, mais pour le patient, c’est autre chose. Une fois la porte refermée, elle s’assied sur la vieille table en bois.
— Je peux, oui.
Affirme-t-elle avec nonchalance. Derechef, elle observe sa main, sans la toucher dans un premier temps. Venir la déranger pour une main, alors que du désinfectant, un bandage et une surveillance suffiraient… Mais bon, peut-être est-ce l’occasion qu’elle attendait ?
— Mettons d’abord les choses au clair. Je te poserai aucune question personnelle, ni concernant les raisons pour lesquelles ta main est devenue comme ça : ça ne m’intéresse pas. En revanche, il y a des organismes bien plus habilités pour envelopper ta main comme une sardine. J’imagine donc que tu cherches autre chose qu’un simple pansement, n’est-ce pas ? Dans ce cas, pourquoi venir me chercher, moi, spécifiquement ?
Les jambes croisées, la demoiselle joue de ses doigts sur la table et ne dissimule aucunement les prémices d’un sourire. Pourquoi donc venir la chercher, juste pour ça ? Quoi qu’il en soit, Carolyn ajustera le prix en conséquence.
Hélas, les gens d’Arvandor semblent particulièrement avares, ces derniers temps. Ce n’est pourtant pas les pigeons qui manquent, non ?
Alors, Carolyn réfléchit à un plan. Jusqu’à ce qu’on l’interpelle, qu’on l’oblige à changer de position, tout du moins. Humaine, voici une drôle de nomination, surtout provenant d’un poisson. Arquant un sourcil, la guérisseuse lui fait désormais face, observe cette plaie qu’il lui met sous le nez, l’air de rien, alors même qu’il en oublie toutes les formalités.
Humaine. Son attention roule entre le demandeur et sa main ; elle le toise sans véritablement sans cacher, puis lâche un soupir.
— L’humaine a un nom, le poisson.
Une moquerie plutôt gentillette, en échange de cet affront et de ce manque flagrant de formes dans leurs échanges. De deux doigts, elle lui fait signe de la suivre jusqu’à l’entrée d’une cave, dans laquelle elle s’est temporairement établie. Rien de très propre, cela ne la change pas de la cabane, mais pour le patient, c’est autre chose. Une fois la porte refermée, elle s’assied sur la vieille table en bois.
— Je peux, oui.
Affirme-t-elle avec nonchalance. Derechef, elle observe sa main, sans la toucher dans un premier temps. Venir la déranger pour une main, alors que du désinfectant, un bandage et une surveillance suffiraient… Mais bon, peut-être est-ce l’occasion qu’elle attendait ?
— Mettons d’abord les choses au clair. Je te poserai aucune question personnelle, ni concernant les raisons pour lesquelles ta main est devenue comme ça : ça ne m’intéresse pas. En revanche, il y a des organismes bien plus habilités pour envelopper ta main comme une sardine. J’imagine donc que tu cherches autre chose qu’un simple pansement, n’est-ce pas ? Dans ce cas, pourquoi venir me chercher, moi, spécifiquement ?
Les jambes croisées, la demoiselle joue de ses doigts sur la table et ne dissimule aucunement les prémices d’un sourire. Pourquoi donc venir la chercher, juste pour ça ? Quoi qu’il en soit, Carolyn ajustera le prix en conséquence.
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Mercenaire
Magie·s :
Magie Grise Légale - Psychomancie - Lecture mentale
Nom de l'oeuvre :
Houda Belgharbi
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Original Character
Manichéisme :
orgueil
Liges :
885
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Alphard Haemugi
- message #1946
feat.
Carolyn Ashworth
Le pigeon tant espéré s'était enfin présenté à la guérisseuse, ignorant encore qu'il allait se faire dépouiller de ses miettes de pain en échange d'une pauvre patte remise en état. Bien que roucoulant sa demande avec toute la politesse que sa bouche était encore capable de faire rouler sur sa langue, le regard insistant de "l'humaine" avait suffi à le faire douter de ses mots. S'était-il trompé de personne... ? D'approche ? L'air perplexe, Alphard l'observa de haut en bas sans aucune arrière pensée, alors qu'il essayait de se remémorer la description qu'on lui avait donnée. Il n'y avait pas une armée de blondes grouillant dans la ruelle - ça ne pouvait qu'être cette femme. Une femme qui, par ailleurs, était parvenue à le vexer en seulement deux mots.
Un poisson.
Sa sœur, oui, ressemblait à un poisson. Pas lui.
«Un nom que j'ai oublié, pardonnez-moi de me préoccuper davantage de ma main que de l'identité de tous les arvandiens. »
Avait grogné le Poisson, tout en pressant sa plaie de sa main libre comme si en parler ravivait la douleur. Presque par nécessité, Alphard s'empressa toutefois de corriger l'affront :
«... Aussi, je ne suis pas un poisson. »
A l'instar de la Céleste, le mercenaire traîna queue comme patte tandis que ses pas essayaient tant bien que mal de se calquer aux siens. Ce n'est qu'arrivé face à la porte qui menait à la cave qu'Alphard cessa d'avancer, l'expression dubitative, quoique récalcitrante. Quelles étaient les chances que cette "guérisseuse" tente de le dépecer, une fois dedans ? Nonobstant ses inquiétudes au profit des soins qui se faisaient pressants, il s'engagea à sa suite, les yeux balayant la pièce avec un franc dépit.
S'il survivait à la tentative de dépeçage, la saleté du lieu suffirait amplement à ce que ses plaies s'infectent et le fassent périr pour de bon. La réponse à la curiosité de Carolyn, quant à elle, ne se fit pas immédiate, car d'abord, Alphard plissa les yeux, ses bras barrant son torse dans une posture fermée :
«... Avez-vous l'intention de rester dans le registre des poissons pour vous adresser à moi ? D'abord poisson, maintenant sardine ? Si j'étais venu avec une brûlure, aurais-je eu droit à une référence au poisson pané ? »
Quoiqu'il n'avait pas été roulé dans de la panure au préalable, la comparaison aurait été fortuite.
«Disons que m'attarder à Arvandor était une mauvaise décision, et je souhaite retourner à la mer au plus vite. J'ai vu assez d'humains pour les dix prochains mois. »
Déclara-t-il ensuite, peu inquiété de vexer la guérisseuse en affichant si fièrement son mépris pour ce qu'il croyait être son peuple.
Un poisson.
Sa sœur, oui, ressemblait à un poisson. Pas lui.
«
Avait grogné le Poisson, tout en pressant sa plaie de sa main libre comme si en parler ravivait la douleur. Presque par nécessité, Alphard s'empressa toutefois de corriger l'affront :
«
A l'instar de la Céleste, le mercenaire traîna queue comme patte tandis que ses pas essayaient tant bien que mal de se calquer aux siens. Ce n'est qu'arrivé face à la porte qui menait à la cave qu'Alphard cessa d'avancer, l'expression dubitative, quoique récalcitrante. Quelles étaient les chances que cette "guérisseuse" tente de le dépecer, une fois dedans ? Nonobstant ses inquiétudes au profit des soins qui se faisaient pressants, il s'engagea à sa suite, les yeux balayant la pièce avec un franc dépit.
S'il survivait à la tentative de dépeçage, la saleté du lieu suffirait amplement à ce que ses plaies s'infectent et le fassent périr pour de bon. La réponse à la curiosité de Carolyn, quant à elle, ne se fit pas immédiate, car d'abord, Alphard plissa les yeux, ses bras barrant son torse dans une posture fermée :
«
Quoiqu'il n'avait pas été roulé dans de la panure au préalable, la comparaison aurait été fortuite.
«
Déclara-t-il ensuite, peu inquiété de vexer la guérisseuse en affichant si fièrement son mépris pour ce qu'il croyait être son peuple.
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Final Fantasy XVI
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Benedikta Harman
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Carolyn Ashworth
- message #1962
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Alphard Haemugi
Un poisson ; une moquerie que, selon toute vraisemblance, l’aquatique ne tolère pas. Il n’est pas un poisson, affirme-t-il. Les mirettes de l’humaine le jaugent ainsi de plus belle, en quête d’un signe qui en prouverait le contraire.
Quoi qu’il en dise, il s’agit bien d’un poisson.
Déjà partie en direction du sous-sol, Carolyn n’ajoute rien, dans un premier temps. Elle ne s’arrête d’ailleurs pas à l’entrée, alors que les pas ne suivent plus le mouvement. Qu’il profite : il est encore possible de faire demi-tour, pour l’instant !
Pour l’instant, seulement.
Somme toute, tandis qu’elle approche de sa table de fortune, son oreille perçoit de nouveau l’avancée de Branchie. Oui, Branchie, n’est-ce pas un nom adéquat pour cet énergumène impoli ? Et pourtant, voyez-vous cela… N’est-ce pas celui-là même qui tente de s’imposer, jouant les grands et imposants ?
Il n’a pas froid aux écailles, le bougre, mais, ici-bas, le dernier mot revient toujours à Carolyn. Qu’il l’apprenne ! Et, surtout, le retienne.
— Eh bien, peut-être ? »
Première phrase pour un haussement d’épaules ; la demoiselle s’amuse ouvertement de la situation, sans pour autant se montrer réellement malveillante. Oui, un peu d’humour ne fait pas de mal, après tout.
— Mais je n’ai pas l’intention de te faire cuire pour savoir si tu as bon goût. Disons que tout dépend de toi, Branchie. Pourquoi ne pas commencer par te souvenir du nom de la main qui te soigne ?
Réplique suivante pour ses doigts qui quittent la table et montrent les branchies sur ses côtes. Après cela, il ose encore affirmer qu’il n’est pas un poisson… Alors Carolyn taquine ; elle taquine pour voir jusqu’où peuvent aller ses plaisanteries.
— Ou plutôt les dix prochaines années, n’est-ce pas ? Arvandor n’est pas faite pour les poissons, pas plus que pour les humains, d’ailleurs. Elle n’est pas faite pour grand-chose, alors, à moins que tu aies des affaires importantes dans le coin ou que tu connaisses du monde, ne t’attarde pas trop dans certaines zones.
Car Arvandor n’est pas si belle que ce que les visiteurs aiment croire et, au-delà du superbe marché d’Arvandor, c’est une autre scène – voire même une autre pièce qui se joue. De son point de vue, tout du moins.
— C’était juste un petit conseil ; gratuit celui-là ! À toi de le prendre ou de le laisser là.
Une œillade sur l’homme-poisson, puis sur sa blessure, et une lueur flagrante dans le regard de la guérisseuse. Ce point-ci étant réglé, il est temps de passer au règlement. Une étape qui réjouit Carolyn, curieuse de savoir enfin ce qu’elle gagnera dans cet échange, si bien que ses mains se rejoignent dans un petit claquement.
— Bien, cette affaire étant réglée, passons à la suite, tu veux bien Branchie ? Je peux effectivement te soigner pour que tu puisses retourner à la mer rapidement. En échange de ce service, qu’est-ce que tu me proposes ?
Un quelque chose à la hauteur de ses attentes ; un quelque chose qui compensera la perte qu’elle subira.
Allez, un petit effort Branchie, raconte-lui !
Quoi qu’il en dise, il s’agit bien d’un poisson.
Déjà partie en direction du sous-sol, Carolyn n’ajoute rien, dans un premier temps. Elle ne s’arrête d’ailleurs pas à l’entrée, alors que les pas ne suivent plus le mouvement. Qu’il profite : il est encore possible de faire demi-tour, pour l’instant !
Pour l’instant, seulement.
Somme toute, tandis qu’elle approche de sa table de fortune, son oreille perçoit de nouveau l’avancée de Branchie. Oui, Branchie, n’est-ce pas un nom adéquat pour cet énergumène impoli ? Et pourtant, voyez-vous cela… N’est-ce pas celui-là même qui tente de s’imposer, jouant les grands et imposants ?
Il n’a pas froid aux écailles, le bougre, mais, ici-bas, le dernier mot revient toujours à Carolyn. Qu’il l’apprenne ! Et, surtout, le retienne.
— Eh bien, peut-être ? »
Première phrase pour un haussement d’épaules ; la demoiselle s’amuse ouvertement de la situation, sans pour autant se montrer réellement malveillante. Oui, un peu d’humour ne fait pas de mal, après tout.
— Mais je n’ai pas l’intention de te faire cuire pour savoir si tu as bon goût. Disons que tout dépend de toi, Branchie. Pourquoi ne pas commencer par te souvenir du nom de la main qui te soigne ?
Réplique suivante pour ses doigts qui quittent la table et montrent les branchies sur ses côtes. Après cela, il ose encore affirmer qu’il n’est pas un poisson… Alors Carolyn taquine ; elle taquine pour voir jusqu’où peuvent aller ses plaisanteries.
— Ou plutôt les dix prochaines années, n’est-ce pas ? Arvandor n’est pas faite pour les poissons, pas plus que pour les humains, d’ailleurs. Elle n’est pas faite pour grand-chose, alors, à moins que tu aies des affaires importantes dans le coin ou que tu connaisses du monde, ne t’attarde pas trop dans certaines zones.
Car Arvandor n’est pas si belle que ce que les visiteurs aiment croire et, au-delà du superbe marché d’Arvandor, c’est une autre scène – voire même une autre pièce qui se joue. De son point de vue, tout du moins.
— C’était juste un petit conseil ; gratuit celui-là ! À toi de le prendre ou de le laisser là.
Une œillade sur l’homme-poisson, puis sur sa blessure, et une lueur flagrante dans le regard de la guérisseuse. Ce point-ci étant réglé, il est temps de passer au règlement. Une étape qui réjouit Carolyn, curieuse de savoir enfin ce qu’elle gagnera dans cet échange, si bien que ses mains se rejoignent dans un petit claquement.
— Bien, cette affaire étant réglée, passons à la suite, tu veux bien Branchie ? Je peux effectivement te soigner pour que tu puisses retourner à la mer rapidement. En échange de ce service, qu’est-ce que tu me proposes ?
Un quelque chose à la hauteur de ses attentes ; un quelque chose qui compensera la perte qu’elle subira.
Allez, un petit effort Branchie, raconte-lui !
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Âge :
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aquatique requin blanc
Métier :
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Magie·s :
Magie Grise Légale - Psychomancie - Lecture mentale
Nom de l'oeuvre :
Houda Belgharbi
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Original Character
Manichéisme :
orgueil
Liges :
885
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- message #1967
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Carolyn Ashworth
Au rappel de leur existence, Alphard avait grogné de dépit puis déplié ses doigts sur l'une de ses branchies, comme si la dissimuler aurait suffi à mériter un sobriquet digne de lui. Quelle femme arrogante. « Votre nom... » souffla le Requin, dont la réponse restait sur le bout de sa langue sans qu'il ne sache la formuler. Comment était-il censé savoir que cette capricieuse de guérisseuse exigerait de lui qu'il connaisse son prénom ? Était-elle seulement une guérisseuse ? Plus les secondes s'enchaînaient, et plus Alphard commençait à en douter...
Le sujet de sa comestibilité ne fit rien pour arranger ce sentiment. Très vite, l'aquatique sentit son sourire forcé fondre vers le sol et ses muscles se raidir, trahissant tout le dégoût que l'idée lui inspirait. Beaucoup avaient voulu sa peau par le passé - très peu avaient envisagé de lui faire rôtir la chair pour la flanquer dans leur assiette. Ce n'est que lorsque l'humaine présumée confirma sa pensée quant à l'hospitalité d'Arvandor que le Malaqii se détendit, intrigué de savoir ses sentiments partagés par une femme de cette espèce.
«Une humaine qui critique Arvandor ? J'ai dû perdre trop de sang, car me voilà tenté d'être d'accord avec vous... »
Qu'il dut admettre, les mots crachés de sa gorge comme s'ils avaient été des épines à déloger. Retourner à la mer le réconfortera un peu, après avoir provoqué les mauvais fleuristes et enduré les blagues douteuses de Carolyn. Dans cette cave étouffante de poussière, au moins était-elle suffisamment jouasse pour pouvoir s'amuser pour deux. Lui cédait bien volontiers sa place.
«Que voulez-v--... » Non. Elle ne le vouvoyait pas, la mégère : « Que veux-tu, si ce n'est de l'argent ? Après ton humour, faut-il en plus que je subisse des caprices... ? »
Il y avait une pointe de désespoir dans sa voix, une fatigue qui n'était en rien liée à une quelconque usure physique. Carolyn en était la seule source, lors même que le siren savait que la suite ne lui plairait pas davantage.
Maintenant, que pouvait-il lui offrir ? Tâtant du bout des doigts les objets qui lui venaient successivement en tête, Alphard se mit à réfléchir à cette regrettable transaction.
Son trident ? Non, l'arme avait été fabriquée pour sa main et sa main seule ; celle-ci aurait bien pu être à deux doigts de la nécrose que cela n'aurait rien changé à son éventuel refus.
Ses bijoux ? Potentiellement, mais voudrait-elle de pierres ayant déjà été portées et traînées sous l'eau salée ?
Son bracelet ? Le monde devrait lui passer sur le corps pour lui arracher les souvenirs de ses proches.
Alors quoi ? Qu'avait-il d'autre ? Les lèvres pincées, Alphard resta silencieux le temps de quelques courtes secondes, avant de décrocher la bourse reposant sur sa hanche et de la jeter sur la table, à côté de sa persécutrice.
«Je n'ai rien de mieux à te proposer, à moins que tu n'aies besoin d'une escorte pour traverser les mers... Pour une main, il y a sûrement assez. »
Ou peut-être pouvait-il lire ses pensées et savoir ce que la grande bénévole désirait - pourvu que cela ne fut pas un plateau de fruits de mer - autrement il s'en irait. Pressé d'en avoir terminé avec cette histoire, l'ancien soldat tendit le bras et referma doucement sa poigne sur celui de Carolyn, pour alors imposer sa main dans le creux de sa paume en attendant qu'elle ne se décide enfin à le soigner. Elle avait son argent, elle n'allait pas le laisser comme ça... Si ?
«Aussi, je me nomme Alphard, pas "Branchie". Personne ne s'appelle Branchie, Coraline. Maintenant, vas-tu enfin me soigner ? »
Le sujet de sa comestibilité ne fit rien pour arranger ce sentiment. Très vite, l'aquatique sentit son sourire forcé fondre vers le sol et ses muscles se raidir, trahissant tout le dégoût que l'idée lui inspirait. Beaucoup avaient voulu sa peau par le passé - très peu avaient envisagé de lui faire rôtir la chair pour la flanquer dans leur assiette. Ce n'est que lorsque l'humaine présumée confirma sa pensée quant à l'hospitalité d'Arvandor que le Malaqii se détendit, intrigué de savoir ses sentiments partagés par une femme de cette espèce.
«
Qu'il dut admettre, les mots crachés de sa gorge comme s'ils avaient été des épines à déloger. Retourner à la mer le réconfortera un peu, après avoir provoqué les mauvais fleuristes et enduré les blagues douteuses de Carolyn. Dans cette cave étouffante de poussière, au moins était-elle suffisamment jouasse pour pouvoir s'amuser pour deux. Lui cédait bien volontiers sa place.
«
Il y avait une pointe de désespoir dans sa voix, une fatigue qui n'était en rien liée à une quelconque usure physique. Carolyn en était la seule source, lors même que le siren savait que la suite ne lui plairait pas davantage.
Maintenant, que pouvait-il lui offrir ? Tâtant du bout des doigts les objets qui lui venaient successivement en tête, Alphard se mit à réfléchir à cette regrettable transaction.
Son trident ? Non, l'arme avait été fabriquée pour sa main et sa main seule ; celle-ci aurait bien pu être à deux doigts de la nécrose que cela n'aurait rien changé à son éventuel refus.
Ses bijoux ? Potentiellement, mais voudrait-elle de pierres ayant déjà été portées et traînées sous l'eau salée ?
Son bracelet ? Le monde devrait lui passer sur le corps pour lui arracher les souvenirs de ses proches.
Alors quoi ? Qu'avait-il d'autre ? Les lèvres pincées, Alphard resta silencieux le temps de quelques courtes secondes, avant de décrocher la bourse reposant sur sa hanche et de la jeter sur la table, à côté de sa persécutrice.
«
Ou peut-être pouvait-il lire ses pensées et savoir ce que la grande bénévole désirait - pourvu que cela ne fut pas un plateau de fruits de mer - autrement il s'en irait. Pressé d'en avoir terminé avec cette histoire, l'ancien soldat tendit le bras et referma doucement sa poigne sur celui de Carolyn, pour alors imposer sa main dans le creux de sa paume en attendant qu'elle ne se décide enfin à le soigner. Elle avait son argent, elle n'allait pas le laisser comme ça... Si ?
«
Carolyn Ashworth
Carolyn Ashworth
informations
Race·s
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Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Clouée au sol - Faith (Poppy)
Âge :
28 ans
Race·s :
Céleste
Particularités de la race :
qui se fait passer pour une humaine
Métier :
Guérisseuse itinérante - Diseuse d'aventure - Ex révolutionnaire
Magie·s :
Magie Blanche - Vie - Magie curative
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XVI
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Benedikta Harman
Manichéisme :
patience
Liges :
2465
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Carolyn Ashworth
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Carolyn Ashworth
Carolyn Ashworth
- message #2300
feat.
Alphard Haemugi
Un nom que le Poisson a, vraisemblablement, entendu de la bouche de ceux qui pensaient que le guider jusqu’ici était la meilleure des idées. Un nom que Carolyn ne répétera pas, par principe et dans le cas présent : elle n’apprécie guère jouer les perroquets pour d’autres.
De gré ou de force, le demandeur finira par comprendre. Le cas contraire, ce n’est simplement plus son problème. Parce que Carolyn n’oublie rien.
En outre, sa plaisanterie – certes d’un goût discutable – n’est, semble-t-il, pas à celui de son client du jour. Un sujet sensible, détecte-t-elle et, au-delà de ses expressions, ce sont ses muscles contractés que la guérisseuse ressent en premier.
Un grand gaillard comme lui, peur ? Voici qui est fort étonnant ! Aussi se risque-t-elle à glisser une maigre risette, perdue dans un coin de sa lèvre.
— Et dans ce cas, que devrais-je penser d’un poisson hors de l’eau ? Tu vois, nuance un peu. Et, relax, Branchie, je vais pas te manger. Tu serais déjà plus là, sinon.
L’Humaine s’abreuve comme elle peut ; elle s’abreuve de cet alcool nommé amusement. Ou peut-être est-ce une cape, plus qu’une boisson. Pour autant, son intérêt s’amenuit. Un brin déçue par la réaction de l’Homme-Poisson, elle peine à se faire un avis définitif sur la question.
— Oh, j’en sais rien. C’est ton prix, pas le mien ! Moi, je fais qu’accepter ou refuser tes propositions. Si tu manques à ce point d’argent, tu peux toujours payer autrement !
Une escorte. Une proposition tentante, mais refusée, balayée d’un geste de la main, tandis qu’elle lorgne la blessure. Puis elle l’observe, lui. Pas ses objets, mais lui. Et, pourtant, elle se retrouve avec cette pochette dans la main, qu’elle pose aussitôt sur la table, l’air de rien. Ce n’est pas drôle.
— Mettons-ça de côté et réfléchis à un autre paiement. Réfléchis bien à combien vaut ta main !
Et, sur ses mots, sa main termine dans la sienne. Il n’en faut pas plus pour débuter le processus ; si le paiement n’a pas eu lieu dans les faits – hormis cette somme proposée – Branchie comprendra bien vite qu’il ne partira pas d’ici sans avoir rempli sa part du marché. Alors, d’ici là, peut-être que cela piquera un peu, mais, doucement, la douleur s’efface. La plaie ne met guère plus de temps pour se refermer également. Elle, préfère se concentrer sur ce qu’elle gagnera dans cette affaire.
— Alors, Branchie ?
Encore un peu.
Assure-moi que le jeu en vaut la chandelle !
De gré ou de force, le demandeur finira par comprendre. Le cas contraire, ce n’est simplement plus son problème. Parce que Carolyn n’oublie rien.
En outre, sa plaisanterie – certes d’un goût discutable – n’est, semble-t-il, pas à celui de son client du jour. Un sujet sensible, détecte-t-elle et, au-delà de ses expressions, ce sont ses muscles contractés que la guérisseuse ressent en premier.
Un grand gaillard comme lui, peur ? Voici qui est fort étonnant ! Aussi se risque-t-elle à glisser une maigre risette, perdue dans un coin de sa lèvre.
— Et dans ce cas, que devrais-je penser d’un poisson hors de l’eau ? Tu vois, nuance un peu. Et, relax, Branchie, je vais pas te manger. Tu serais déjà plus là, sinon.
L’Humaine s’abreuve comme elle peut ; elle s’abreuve de cet alcool nommé amusement. Ou peut-être est-ce une cape, plus qu’une boisson. Pour autant, son intérêt s’amenuit. Un brin déçue par la réaction de l’Homme-Poisson, elle peine à se faire un avis définitif sur la question.
— Oh, j’en sais rien. C’est ton prix, pas le mien ! Moi, je fais qu’accepter ou refuser tes propositions. Si tu manques à ce point d’argent, tu peux toujours payer autrement !
Une escorte. Une proposition tentante, mais refusée, balayée d’un geste de la main, tandis qu’elle lorgne la blessure. Puis elle l’observe, lui. Pas ses objets, mais lui. Et, pourtant, elle se retrouve avec cette pochette dans la main, qu’elle pose aussitôt sur la table, l’air de rien. Ce n’est pas drôle.
— Mettons-ça de côté et réfléchis à un autre paiement. Réfléchis bien à combien vaut ta main !
Et, sur ses mots, sa main termine dans la sienne. Il n’en faut pas plus pour débuter le processus ; si le paiement n’a pas eu lieu dans les faits – hormis cette somme proposée – Branchie comprendra bien vite qu’il ne partira pas d’ici sans avoir rempli sa part du marché. Alors, d’ici là, peut-être que cela piquera un peu, mais, doucement, la douleur s’efface. La plaie ne met guère plus de temps pour se refermer également. Elle, préfère se concentrer sur ce qu’elle gagnera dans cette affaire.
— Alors, Branchie ?
Encore un peu.
Assure-moi que le jeu en vaut la chandelle !
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Healing and hurting (my pride) | Carolyn