"Je suis plus libre que toi." FziUdXb
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La corruption court toujours, prête à nous dévorer de la pire des manières, mais l’espoir est palpable. L’arbre va renaître, nous en sommes tous persuadés. Les élus sont revenus, les dieux ont entendu nos prières miséricordieuses.

L’âge du renouveau sonne la renaissance de notre histoire, avec elle, nous enterrerons à jamais la gangrène rongeant nos terres, nous chasserons la folie et les malédictions qui ont massacrés nos frères et nos sœurs.

Apprenons de nos erreurs passées pour ne pas les reproduire, tenons-nous la main et ensemble battons-nous pour un meilleur lendemain.
En cours ...Inscriptions à l'Histoire Vivante #02
25%
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Le jeu se déroule enHiver - Printemps 85mi décembre 84 à mai 85 inclus
11/05voir +

Joyeux Anniversaire 7 Golden Rings !

30/04voir +

Lancement des inscriptions à l'HV#02.2

17/01voir +

Patch Notes de la mise à jour

17/01voir +

Conclusions de l'histoire vivante #01

27/10voir +

Lancement des inscriptions à l'histoire vivante #01

27/09voir +

Lancement de la MJ préambule à la 1ere histoire vivante.

17/09voir +

Recensement #01 du 17/09 au 01/10.

17/09voir +

Mise à jour du forum et update du guidebook.

17/09voir +

Conclusion de l'aléa #02 de Vollheim.

04/07voir +

Lancement de l'aléa #02 de Vollheim.

04/07voir +

Conclusion de l'aléa #01 de Clara Nocte.

12/06voir +

Lancement de l'aléa #01 de Clara Nocte.

02/06voir +

Inscription au premier aléa du forum !

11/05voir +

Ouverture du forum ! On espère vous voir nombreux parmi nous !

08/05voir +

Le discord est accessible pour une ouverture prochaine !

La fin de l'innocence [PV Órfhlaith]
parVekhia Heartbrand
le Aujourd'hui à 8:29
La spirale | ft. Valerian
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le Mer 15 Mai - 8:58
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"Je suis plus libre que toi."
Benhart Hodrick
Benhart Hodrick
Benhart Hodrick
informations
Race·s
Featuring
icon :
"Je suis plus libre que toi." Yek5O3x
Titre du joueur :
Armure du faucon
Âge :
384 ans
Race·s :
Élémentaire, Draconide
Particularités de la race :
Neige
Métier :
Armure du faucon
Magie·s :
Magie Élémentaire - Hydromancie - Neige, Magie Élémentaire - Aéromancie - Vent
Nom de l'oeuvre :
Fate/Grand Order
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Oberon
Manichéisme :
envie
Liges :
3275
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Benhart Hodrick
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https://7goldenrings.forumactif.com/t624-je-suis-plus-libre-que-  
Benhart Hodrick
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  • message #3733
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Lorsque le vent souffle de face, forçant à plisser les yeux pour distinguer quoi que ce soit. Que le blizzard engloutis vos sens, et engourdis vos muscles. Que le vacarme assourdissant de la tempête affaiblis les reflexes et ralentis l'esprit. Alors malgré sa cécité, l'égaré sent peser sur lui le regard perçant du sommet, qui vient réclamer son dû. Car rien n'échappe à ce qui se cache dans le blizzard.\r\n \r\nÀ quoi bon avoir des stratégies élaborées ? Des magies utilisées avec parcimonie et prudence ? À quoi bon suivre le modèle que posent les autres élémentaires qui lui sont semblables ? S’ils sont si peu nombreux, c’est qu’il y a une raison ! Benhart a dit adieu à la demi-mesure et à la parcimonie ; son utilisation de la magie est explosive, simple et directe, faite pour en mettre plein les yeux autant que pour servir au mieux son style de combat. Car si benhart est plutôt bon magicien, il reste un guerrier et un traqueur, et toute sa magie ne sert qu'a servir ces deux occupations.\r\nA savoir tout de même, c'est que si sa magie sert a ses duel, Benhart et piètre boxeur. Dépourvus de muscles, sa force physique n'est pas \"mauvaise\", mais il manque cruellement de force explosive si bien qu'il peine a produire des chocs de ses mains propres. Désarmé, ou équipé d'une arme contondante, il fait un bien pitoyable combattant.\r\n\r\nBenhart est un duelliste de proximité terrifiant qui évite à tout prix le combat à distance. Toutes ses capacités ont pour but de renforcer ses points forts, et de favoriser les chances d’affronter ses adversaires selon ses termes.\r\n\r\nMagie d'aptitude : Hydromancie et maîtrise de la neige.\r\nBenhart est un maitre de neige impressionnant, et s'il connais quelques domaines de l'hydromancie, il ne servent pratiquement qu'a sa spécialité.\r\nIl amortit les coups et les chutes par des manteaux de neige qu'il crée en un clin d'oeil, glisse et nage en elle comme un poisson dans l'eau, ressent a travers d'épaisses couches... Son corps est de neige, et bien qu'il manque de précision et de finesse, elle est sa spécialité a tel point que même aveuglé, il est capable de ressentir -vaguement- ce qui se passe tant qu'il y a suffisamment de neige sous/autour de lui. \r\nS'il n'est pas bon hydromancien dans les autres domaines, tant qu'il ne fait pas trop chaud, il peut transformer presque instantanément en neige la plupart des éléments liés a l'hydromancie comme l'eau ou la brume. L'inverse est possible, mais c'est un processus plus fastidieux pour lui, si bien qu'il à souvent plus vite fait de faire une brume de très fines particules de neige plutôt que de la faire en gouttelettes d'eau.\r\n\r\nCette puissance vient avec deux concéquences ;\r\n\r\nS'il est extrêmement puissant lorsqu'entouré de neige, à trop en faire usage, il risque de se mêler involontairement a la neige, jusqu’à ne plus pouvoir se distingué d'elle. Dans ces conditions, il est hors combat, et finit par séparer sa conscience de la neige après quelques jours.\r\n\r\nDe plus, naturellement, plus son environnement ou ce avec quoi il interagis est chaud, plus il vas avoir de mal a avoir une influence dessus.\r\n\r\n\r\nMagie Apprise : maîtrise du Vent.\r\nBenhart est rapide, mais c'est insuffisant pour prétendre au titre d'armure du faucon.\r\nSon aéromancie lui sert généralement à se propulser et d'atteindre très rapidement des vitesses de pointes qui demanderaient de l'élan ou de la concentration a d'autres guerriers. Il peut même soutenir l’allure d'un cheval lors d'un sprint.\r\nSes poings manquent de force, mais une bourrasque puissante lancée au moment d'une frappe lui permet au moins de déstabiliser des adversaires plus grands, même si ça ne cause pas de dégâts conséquents.\r\n\r\nBenhart ne \"vole\" pas a proprement parler, mais il est capable de se projeter dans les airs pour un moment, ce qui lui permet d'y \"Courir\" quelques instants.\r\nSa technique fétiche consiste en l'invocation, grâce au mélange de ses deux magies, d'un violent blizzard qui s’abat tout autour de lui, sur une petite trentaine de mètres. La tempête obscurcit la vue, chasses les odeurs, couvre les sons, et les projectiles ont bien du mal à y voyager droit. La dedans, seuls les réflexes et l'instinct comptent, et c'est tout ce sur quoi l'élémentaire base son style.\r\n\r\nIl ne maitrise pas volontairement la foudre, mais il arrive a l'air de s'électrifier lorsqu'il se prend au jeu du combat. (c'est juste pour le style )\r\n\r\n\r\n Plus \r\n\r\nDe par sa nature, plus les températures sont élevés, plus il est fatiguant pour lui d'utiliser sa magie, a plus forte raison parce qu'il ne sait pas bien faire dans la demi mesure.\r\n\r\nBien qu'elle dépende beaucoup de l'environnement, Benhart a une endurance magique plutôt élevé, et peut maintenir son blizzard sur plusieurs heures, et des brumes Enneigée épaisses, plusieurs jours.\r\n\r\nBenhart serais probablement l'un des, sinon le meilleur combattant de son monde si ce n'était pour son plus gros point faible, outre ceux intrinsèques a son espèce ; \r\nSon corps n'est pas fait pour supporter la pression qu'il aimerais lui imposer. Et il ne le sera jamais. Son obsession pour la puissance le pousse a se battre comme un géant, et il en mime l'efficacité en un sens, mais son corps n'est ni puissant, ni endurant, et s'il peut avoir le dessus sur la plupart des combattants sur une durée d'une minute, il perd en efficacité a chaque seconde, et a besoin de repos après seulement deux minutes d'efforts intenses."},{"name":"tailleperso","value":"1m 55 - 1m65"},{"name":"poidsperso","value":"34 kg - 46kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"Cheveux gris clairs et cotonneux aux contours indistincts, se mouvant tel des nuages. Ils s'imprègnent et reflètent la couleur du soleil lorsqu'il est bas, ou de la lune quand elle est haute dans le ciel, offrant d'élégants reflets dorés en début et fin de journée et bleu électrique au cour de la nuit.\r\n\r\nSes yeux sont grands et joueurs, d'un bleu froid.\r\n\r\nIl à une vue de proche plutôt mauvaise, et perçois le monde proche autant avec les yeux que ses autres sens.\r\n\r\nSa peau est parfaitement monochrome. Son corps, terriblement froid est étrangement léger et duveteux. Si l'on regarde bien ou que l'on s'approche assez, on peut constater qu'il est constamment parcouru d'un courant d'air frais.\r\n\r\nIl lui manque le majeur et l'auriculaire de la main droite, et l'index de la gauche, mais seul un oeil avisé peut s'en apercevoir, car il les remplace habilement par de fins membres de neige.\r\n\r\nSur son corps flottent par endroit de larges écailles noires, vestiges de ses gènes Draconides, mais elles n'offrent aucune protection, et peuvent parfois changer de place, ballotter par les neiges intérieures de l'élémentaire.\r\n\r\nIl semble incapable de parler sans gesticuler de partout.\r\n\r\nIl perd en enthousiasme lorsqu'il fait très chaud, et devient plus incontrôlable quand il fait très froid.\r\n\r\nsa voix est assez féminine, et si elle porte loin, elle est douce ne semble produire aucun écho, comme si elle était absorbée par la neige au premier obstacle."},{"name":"factsperso","value":"Joueur, il ne donne jamais l'impression de prendre les choses au sérieux.\r\n\r\nContrairement à ce qu'on pourrait croire, il déteste avoir froid. Quelqu'un devrait lui dire que son corps est gelé.\r\n\r\nSa peau devient molle et visqueuse dans l'eau chaude.\r\n\r\nSa taille varie en fonction de la température.\r\n\r\nIl est rare de le voir vraiment impliqué dans quelque chose. Mais dans ces cas, il est d'une efficacité effrayante.\r\n\r\nIl porte parfois des robes. Benhart s'identifie comme un homme parce que c'est plus simple, mais n'est pas vraiment attaché à son genre. Quels que soient ses vêtements, il est si beau que c'en est énervant.\r\n\r\nSi vous cherchez vos lunettes, elles sont probablement sur son nez. Dommage que vous ne puissiez pas voir sa tête sérieuse.\r\n\r\nIl chante souvent, mal, et avec beaucoup de cœur. Donne l'impression d'être très bon a la cithare, mais il ne connaît que deux ou trois airs par cœur et rien d'autre.\r\nLorsqu'il essaya la flûte, et demanda au ménestrel comment il faisait pour jouer avec toute cette neige à l’intérieur, ce dernier lui a ris au nez.\r\n\r\nIl est capable de donner à son corps des température presque normale, mais se fatigue alors rapidement. Il est dans son état normal quand sa température est comprise entre -15 et 10°.\r\n\r\nSon attention peut complètement s'évanouir d'une seconde à l'autre face à n'importe quoi. VRAIMENT n'importe quoi.\r\n\r\nGrosse attention whore, positive ou négative.\r\n\r\nVous seriez surpris du nombre de choses qu'il fait, dit, ou porte, uniquement parce que \"c'est trop cool\".\r\nÊtre cool c'est important ; une entrée en scène réussie, c'est déjà une petite victoire.\r\n\r\nOn ne le voit jamais manifester d'émotions négatives. Jamais deux fois en tout cas.\r\n\r\nLorsqu'il est porté par un but précis, ou qu'il aille, un vent glacial précédera son arrivée.\r\n\r\nIl rêve d'aller sur la lune et de voyager parmi les étoiles.\r\n\r\nAvant d'être lié à l'envie, son manichéisme était la générosité."},{"name":"traitcaract","value":"Enthousiaste - guilleret - intrépide - Loyal - bon vivant - ouvert d'esprit - simple - respectueux des forts - intense - Anarchiste - chaotique - inconsidéré - lunatique - obsessionnel - possessif - éternel insatisfait - bagarreur - égotique - infrangible - ultracrépidarianiste"},{"name":"caractereperso","value":"\r\n\r\nLa façon de combattre de Benhart est à elle seule très éloquente sur le genre de personne qu’il est. Benhart est un adversaire terrifiant, qui oppose à la technique et à l'expérience un talent brut écrasant. Une agilité absurde soutenue par des mouvements désarticulés déroutants, des réflexes si vif que l'on croirait son corps indépendant de son cerveau, il se bat avec la violence d’un animal, et le plaisir d’un homme. Il n'a jamais ou presque pris le temps d'apprendre de ses erreurs, et n’a commencer a améliorer sa technique que depuis quelques années à son intégration chez les chevaliers saints. Ses habitudes et ses mauvais réflexes deviennent évidents avec le temps, ainsi sa vitesse n'est pas utilisée de façon optimale, étant donné qu'il finit par devenir prévisible. Difficile de dire s'il est simplement capable de changer ça.\r\n\r\nBenhart est ainsi. Impulsif et vif, ne réfléchissant que rarement bien loin malgré ses siècles de connaissances. À cela, s’ajoute une sincérité brute, voire brutale par moment, et il est aussi plaisant admirateur que désagréable détracteur. il n’a aucun mal à blesser, physiquement ou moralement, à prendre une vie, et n’en éprouve du regret que lorsque ses actions l’éloignent de ce qu’il désire. Parallèlement, s’il n’a rien à envier à personne sur le plan de la force pure et de la volonté, il a bien du mal à manipuler qui que ce soit, et ses mensonges bien que crédibles ne servent que très rarement à un but bien complexe.\r\n\r\nIl s'est façonné dans le sang et la neige, forgé dans la guerre et la camaraderie des rustres heureux de leur simplicité. Intérieurement, il est plus froid et antipathique que les plus hauts sommets de Volheim. Pourtant, on le croise aussi chaleureuse qu’un feu de camp dans les toundras gelé. Du bout des lèvres, il touche les cœurs joyeux et offre compagnie aux égarés tout comme aux solitaires. On se rassemble autour de lui, et il lie les hommes de ses manières simples et de ses attentions douillettes.\r\n\r\nPourtant, quels que soient les groupes qu’il fréquente, il finit toujours seul, le pas dansant et la voix chantante. Parfois, on revoit ailleurs ceux qu’il accompagna, se vantant d’avoir passé un moment merveilleux, et parfois, ils ne réapparaissent jamais. Dans tous les cas, jamais l’élémentaire ne semble se souvenir ou s'intéresser à ce qu’il est advenu de ses compagnons.\r\n\r\nL’envie et le besoin se confondent en lui au point que chacun de ses désirs devient une nécessité, et éclipsent tout le reste.\r\nPour lui seul comptent la force et la liberté. Ça et ce qui y mène. Être plus fort, c’est être plus libre, et on le prend souvent à provoquer des troubles tandis qu’il cherchait à prouver que sa liberté vaut plus que celle des autres. Seuls l'intéressent les forts, ceux qui ont une liberté comparable à la sienne, ou qui sont capables de le renforcer, et eux, seulement, peuvent avoir son attention et son respect.\r\n\r\nBenhart est constamment entouré, mais a tel point reclus dans une idée faussée du monde qu’il est en réalité tout le temps seul. Il est dur de savoir ce qu’il cache derrière sa bonne humeur. Au final, si on lui retire son sourire, il peut être difficile de trouver une différence entre lui et le petit garçon chétif dans son abri de gel, qui trembla tant de peur que le froid ne put jamais lui prendre la vie.\r\n\r\n"},{"name":"histoireperso","value":"\r\n___ --Le texte en gras est complétement facultatif-- \r\n \r\nFroid.\r\nLe de violentes rafales continuent de souffler à l'extérieur. Des rafales glaciales, intrusives, se glissant dans les interstices de ce qui fut un foyer à l'âtre accueillant. Mais comme partout en Vollheim, rien ne dure éternellement. Rien, hormis le froid et la neige, habitants originels de ce royaume et les seuls à même d'y faire valoir leur droit. En particulier dans cette maison isolée, niché au creux des falaises blanches. La, ils sont les seules traces de l'autorité des seigneurs. Une autorité implacable, injuste. Impitoyable.\r\nUn jeune homme plisse les yeux, tâchant derrière son reflet de discerner à nouveau les corps à demi-ensevelis sous les roches et les décombres du toit. Il n'espère pas les voir bouger. Voilà quelques jours qu'il est enfermé là-dedans. Quelques jours que les regards de ces deux êtres chers sont désespérément fixés sur lui, comme s'ils attendaient encore d'être sauvés.\r\nLes visages gelés d'un homme fort aux yeux clairs comme la montagne, et aux cheveux gris comme la neige et d'une femme autrefois magnifique, mais dont les traits ont depuis longtemps été érodés par le froid, le travail, et le temps.\r\nLe temps. Parfois, benhart se surprend à penser qu'il n’a jamais tant pris le temps de détailler à ce point les traits de ses grands-parents. Qu’il n’a jamais essayé de deviner les histoires se cachant derrière chaque ride. Mais là où il est, il n'y a rien d'autre à voir que cela. Cela ou bien l'âtre éteint qui, maintenant, lui fait plus mal au cœur que les deux cadavres.\r\n\r\nL’Enfant laisse échapper un hoquet aigu et pathétique, qu’il entend à peine lui-même tant le vent à l'extérieur résonne jusque dans ses os. Il se sent partir. Il sent que le froid à gagner. Parce qu’il ne sent plus le froid. Ce n’est pas à lui qu’il doit les tremblements qui le gardent en vie, mais à la peur. La peur originelle. Celle de la mort. Celle de n’avoir jamais eu le temps d’apporter à qui que ce soit. D’être oublié. Sa grand-mère lui a cruellement fait le don du cocon de glace qui l’a protégé de l'effondrement de leur maison, et lui a permis d’attendre de l’aide.\r\nMais l'insidieux abri de gel qui l’enveloppe n’a fait que retarder l’inévitable. Ou plutôt, prolonger l’agonie.\r\nLe jeune enfant pose la tête contre le mur de glace derrière lui, et ferme les yeux. Il est épuisé. Il n’a plus aucune notion du temps. Le vent et la neige se ressemblent à toutes heures du jour et de la nuit et il ne sait pas depuis combien de jours il est enfermé.\r\nSuivant une routine désolante, il redresse encore un peu la tête, perdant encore quelques cheveux et lambeau de peau contre la glace sur laquelle elle était appuyée, et ouvre la bouche, les yeux clos. Quelques gouttes d’eau gelée glissent entre les lèvres bleutées de l’enfant. Il a prolongé ainsi son supplice, nourrissant son corps frigorifié d’une eau si froide qu’il craint qu’elle ne se change en glace une fois dans son ventre. À chaque goutte qui s'écrase contre ses lèvres gercées, il compte. Pas les moutons. Il ne doit pas dormir. Il compte ses membres. Ceux qu’il sent encore. Ceux qu’il peut encore bouger. Des doigts a la tête, il bouge un membre faisant fi de la douleur, et il compte.\r\nAu cours de ces dernières heures, il a compté de moins en moins longtemps.\r\nCette pensée lui arrache un gémissement de désespoir.\r\nC’est bien.\r\nContinuer d’avoir peur. Pour trembler. Trembler réchauffe... Craindre la mort, pour rester en vie.\r\nEt surtout.\r\nNe.\r\nPas.\r\nDormir.\r\n\r\nL'eau continue de couler entre ses lèvres, mais il n’a pas la force de s’étonner du fait que ce n’est plus quelques gouttes qui tombent, mais un mince filet d’eau.\r\n\r\nPourtant, elle ne cesse pas de couler. En fait, le débit s’agrandit même de plus en plus. Jusqu'à ce que soudainement, une trombe d’eau qui fut son cocon ne lui tombe dessus. Le vent et le froid viennent immédiatement réclamer leurs dus. Il pousse un cri aigu et pitoyable. Celui d’un herbivore qui même après avoir couru tant qu’il a pu se fait saisir à la nuque par son prédateur.\r\nMais il ouvre soudainement les yeux de surprise, prenant son souffle comme s’il avait été laissé en apnée pendant des heures. Le vent fouette son visage, mais il est brûlant, presque étouffant. L’eau qui le couvre est chaude, et son corps convulse à cause du choc thermique.\r\n\r\nAu départ, il ne voit rien. Il a l’impression que sa vision est toujours obstruée par le mur de glace. Il frappe le sol trempé, ses pieds s’agitent contre le vent, il se débat contre la douleur du froid, chassant la mort avec le désespoir de celui qui n’a plus rien à perdre, et c’est là qu'il la vit.\r\n\r\nUne grande femme a la chevelure incandescente se dresse face au jeune homme. Sa peau est mate, couverte sommairement, sa musculature imposante, et son torse diffuse à travers sa veste blanche une vive lumière écarlate semblant tirée des enfers eux même. Éblouis qu’il est par la figure surelle qu’il le toise de toute sa hauteur, Benhart ne parvient pas à discerner son regard. Mais il le devine perçant, aussi impitoyable que l’hiver.\r\nDroite et fière, le torse haut, le regard baissé sur l’enfant, elle s’exprime pourtant d’une voix douce et mélodieuse qui se fraie sans mal un chemin à travers les hurlements du blizzard.\r\n“Toi, garçon. Tu as l'air de tenir à la vie, n’est ce pas ?”\r\n\r\nBien qu’il fut incapable de pleurer, le jeune garçon, entre deux tremblements de douleur, tachant de chasser de devant ses yeux le voile sombre qui ne cesse de revenir, rassemble ses dernière force. Il veut crier. Hurler. Il cherche à infliger à la mort la même peur que celle qui l’accable depuis des jours, mais, seul un râle pathétique lui échappe, pour se perdre dans la tempête.\r\n“Je ne veux pas… Mourir…”\r\n\r\nLa femme se baisse, et pose lentement un genou à terre. Benhart ne se rend qu’alors compte de la taille de l’inconnue. Cette femme est bien plus grande, et plus large que son grand-père, pourtant imposant montagnard. Une main énorme s’approche de son visage. Elle est brûlante. Ou peut-être est-ce lui qui est glacé.\r\nMais avant qu’il ne puisse réfléchir à cette question, ses yeux se closent, et tout devient noir.\r\n\r\nChaud.\r\n\r\n\r\nUn liquide brûlant coule dans la gorge de l’enfant. Il n’a même pas besoin d’avaler. La boisson, pourtant épaisse et consistante, roule dans son œsophage sans effort lui rendant chaleur et sensation. La ou le liquide passe, son sang semble se dégeler, pour répandre la chaleur dans son corps comme une bonne nouvelle dans un royaume.\r\nSa langue le brûle. La bouille est amère. Pâteuse. Salée. Elle a le goût de légumes, broyé et mélangé à tel point que le gout du liquide en est rendus monolithique, sans variation ni fantaisie, mais rien ne pourrait être plus agréable pour le palais de l’enfant à cet instant précis, et il avale désormais avidement tout ce que la cuillère en bois qui se pose régulièrement sur ses lèvres veux bien lui donner.\r\nDe temps en temps, un morceau vient heurter ses lèvres entrouvertes, mais n’y entre jamais. La chaleur sur ses lèvres est presque désagréable maintenant que la sensation de douleur est revenue, mais il n’en à cure.\r\nSes doigts se meuvent légèrement. Ils sont posés sur de longs poils doux appartenant à une fourrure confortables, enroulée autour de son corps.\r\nLa couverture le recouvre entièrement, gardant la chaleur près de lui, ses pieds tant que son menton caressés par la lourde fourrure dégageant une odeur forte de cuir animal, et de sueur. L’odeur du sang flotte légèrement dans l’air, accompagnant celle de la viande tout juste cuite. Cette odeur met instantanément l’eau à la bouche du gamin, pour qui le goût de la bouillie semble soudainement fade et sans saveur.\r\n\r\nDes voix commencent à parvenir à ses oreilles, indistinctes, mais fortes. Quelques rires résonnent dans son crâne. Les hurlements du vent ont laissé place au doux crépitement du feu. Sa bouche s’entrouvre un peu plus pour avaler un des morceaux que lui apporte la cuillère. Difficilement, il broie de la langue ce qui ressemble à un bout de pomme de terre, et ouvre de nouveau la bouche, attendant la prochaine cuillère.\r\nPresque aussitôt, une main brûlante vient chercher la sienne pour l’arracher à la couverture. Il pousse un gémissement vexé lorsque l’extérieur, un peu moins chaud que la couverture, vient lui provoquer un frisson, mais abandonne ses complaintes quand on lui pose un bol de bois épais dans la main.\r\n\r\n“Débrouille-toi tout seul.”\r\n\r\nUn bruit de tissus, puis des pas qui s’éloignent. La voix qu’il vient d’entendre est la même que celle de la géante incandescente qu’il pense avoir vue tantôt. C’est une voix de femme, forte et grave, mais dont chaque syllabe soigneusement découpée se dépose aux oreilles comme une mélodie harmonieuse.\r\n\r\nLes voix jusqu’alors indistinctes ce fond plus net, et les phrases prononcés deviennent compréhensibles.\r\n“Alors Ava? Fini de jouer à la poupée ?”\r\nQuelques rires gras ponctuent cette provocation.\r\n\r\n“Un bras dans l’cul.”\r\nRéponds ladite “ava”.\r\n\r\n“Hein ?”\r\n\r\n“Si t’ouvres encore ta gueule, c’est ce qui va t’arriver. On verra qui ferra la meilleure poupée.”\r\nDe nouveau, des rires retentissent, plus nombreux et bruyants.\r\n\r\n“Allez, avoue ava. T’avais envie d’nous prouver qu’au fond t’a bien l'étoffe d’une mère ! ”\r\nQuelques ricanements, auxquels suit un bruit de bois frottant contre de la pierre, une éruption d’encouragement et de cris joyeux, et celui d’un poing violemment écrasé sur un nez.\r\nBenhart ignorait jusqu'alors qu’il était capable de reconnaître ce bruit, mais l'image s'impose à son esprit comme une évidence.\r\nDes applaudissements retentissent, des cris enthousiastes, puis le nom d’Ava est scandé par une petite foule interrompue par des cris de joie lorsque d’autres coups sont échangés.\r\nBenhart fronce les sourcils, et entrouvre les yeux. Il voit encore mal, mais distingue un attroupement joyeux agglutiné en cercle autour d’un feu. Ou plutôt d’un combat, à ce moment précis. Il y a des géants, tous de grande taille, parfois semblant sculpté à même la roche, parfois bedonnant, toujours affublé de musculatures impressionnantes.\r\nAu milieu de ce cercle chantant, Benhart distingue deux silhouettes prise dans un pugilat endiablé devant la joyeuse assemblée, qui tape du pied et scande des noms.\r\n\r\nBenhart ignore quelque peu le combat. Il est trop concentré sur l’écuelle dans sa main. En quelques secondes, il la vide. Encore.\r\nSon estomac est loin d’être plein. Il observe autour de lui, si frustré d’avoir déjà vidé son bol que des larmes lui montent aux yeux, et repère rapidement une marmite cabossée de laquelle se dégage une odeur qui subjugue complètement son attention.\r\nLentement, il se redresse pour se tirer hors de sa couverture. D’un pas lourd, il approche du cercle des géants, les yeux rivés sur la marmite qu’il entraperçoit de temps à autre entre les joyeuses danses.\r\nL’odeur de viande fraîche lui revient en tête, ou peut-être au nez, et il tourne frénétiquement la tête de droite à gauche.\r\n“Ava ! AIE ! Ava ! Attends !”\r\n\r\nLa géante, un sourire carnassier aux lèvres, le poing à deux doigts de s'abattre sur son compagnon pour la énième fois,\r\n“T’en as eu assez ou tu veux qu’on joue à la poupée pour de bons ?”\r\n\r\nLe doigt du géant pointe l'extérieur du cercle.\r\n\r\n“L-Le gamin !”\r\nL’instance se retourne immédiatement, interrompant ses cris, pour trouver un jeune garçon, brandissant tant bien que mal un poignard démesuré si grand qu’il le serait encore trop pour lui faire office d’épée, et qui perd l’équilibre alors qu’il tentait de l'abattre sur le premier géant devant lui.\r\nCe dernier évite le couteau, puis l’enfant qui chute la tête la première, et le géant qui peut avant se prenait une raclée monumentale de la part d’Ava le saisi par le bras pour le soulever.\r\n\r\n“Il a un grain ce petit.”\r\n\r\nBenhart n’écoute pas. Ses pieds s’agitent dans le vide un instant alors qu’il tente de se défaire de l’emprise du géant à grand renfort de cris sonnant plus comme des gémissements, au vu de son état de fatigue.\r\n\r\n“Au moins 'y bouge.” Déclare calmement la géante à la voix chantante.\r\n“Mais ça m'va pas. Hey le nain. J'm'attendais pas forcément à un merci mais la t’abuse!”\r\n\r\nBenhart ne répond pas. Il a cessé de se débattre, et son regard oscille maintenant rapidement entre la marmite et la viande. Son écuelle vide gît au sol, et suspendus aussi par le bras l’on devine la forme ses os a travers sa peau.\r\n\r\nAva s’avance d’un pas déterminé, et s’accroupit à son niveau, présentant un œil mauvais à l’enfant.\r\n“Écoute-moi bien sale gosse. Je t’ai pas sauvé le cul pour que tu viennes poignarder un de mes potes dans le dos. Tant qu’tu seras pas assez fort pour prendre les choses toi-même, faudra demander.\r\nBenhart observe la géante. Son visage est proche, et il peut en détailler tous les contours. Ses traits burinés et irrégulier sont parsemé de cicatrices claires qui brisent un peu plus l'harmonie d’un visage déjà enlaidi par les aléas des batailles et de la génétique.\r\nSes lèvres sont fendues d’une marque particulièrement vilaine laissant entrevoir une dent cassée même lorsque sa bouche est fermée. Et des dents, il lui en manque plusieurs.\r\nPourtant, les yeux aux iris de flammes rouge luisant dans la pénombre, l'éclairage irrégulier que projette sa chevelure de flamme, et le calme parfait, sévère dont elle fait preuve impose un respect et parvient a décrocher le regard du gamin.\r\nD’aussi près, la chaleur des cheveux et du corps incandescent de la géante sont inconfortables, mais Benhart est fasciné par la géante, oubliant même la faim un court instant.\r\n\r\n“Alors. T'as perdu ta langue ?”\r\nLe garçon fait non de la tête, sans quitter la femme des yeux, et de sa gorge s’extirpe douloureusement quelques mots rauques.\r\n“S’il te plaît… J’ai faim. J’ai faim…”\r\nAva continue de fixer le garçon dans les yeux un instant, pour finalement renifler et faire un mouvement de tête a l’adresse du géant au nez sanglant.\r\nIl lâche benhart qui retombe sur ses pieds, titube, et manque de choir. Le gamin bouscule - Ou plutôt se cogne contre- Ava, et se jette presque littéralement sur la nourriture, enfonçant sa main dans la marmite provoquant quelque grincement de dents de la part des géant, puis attrapant de l’autre une tranche de viande dans une assiette au pied d’un géant qui hausse un sourcil vexé.\r\n“Et bah, r’gardez moi ce gentilhomme. Presque aussi distingué que la patronne !”\r\nS’exclame celui au nez cassé tout récemment.\r\nÀ peu près au même moment, l’enfant tousse violemment en crachant une vinasse tiède sortie d’une gourde qu’il pensait remplie d’eau. Il s’essuie la bouche de son bras, et recommence à boire.\r\n“Peut-être même plus.”\r\nTermine le géant. Quelques rires éclatent de nouveau, et chacun reprend sa place. Comme si rien n’était arrivé, les discussions et les rires reprennent leur cours. Quelques personnes charrient Ava, mais celle-ci se contente de répondre en grognant, cachant un rictus satisfait derrière une outre de vin.\r\nÉtrangement, privé de sa maison et de sa famille, Benhart ne c’est jamais sentis aussi libre.\r\n\r\n\r\n\r\n___\r\n\r\n\r\n\r\nAn - 300 : Crise des éléments. La famille de Benhart, alors partisanes des Seigneurs, et responsable de crimes graves, s’exile en Vollheim pour se cacher dans les montagnes, ou nais Banhart. \r\n\r\nAn - 294 : La mère de Benhart et son mari se rendent à Al'Malaq. C’est la dernière fois qu’il les verra.\r\n\r\nAn - 290 : Une chute de pierres broie la maison de Benhart. Sa grand-mère utilise de la magie pour l'enfermer dans un cocon en attendant l'aide des villageois.\r\n \r\nAn - 290 : Benhart Hodrick rejoint la troupe du feu de joie. Ce groupe, composé d’une dizaine de géants et dirigé par Avalia la cendrée, est une petite escouade de bandit. Il est surtout connu pour le service de ses membres comme mercenaires lors des batailles entre Vollheim et Arvandor.\r\nHormis la cheffe de la troupe Hybride d’une géante et d’un élémentaire de flamme, reconnue comme efficace, mais cruelle, aucun membre n’est jamais sorti de l’ordinaire.\r\n\r\n De -290 à l’an -221 : Benhart grandit au côté de la troupe de géants l’ayant recueilli. Une bande de nomades vivant dans les montagnes, profitant des dons de la nature tant que des villages isolés pour survivre à l'hiver.\r\nPassé 30 ans, le vieillissement de son corps cesse presque complètement, ses racines élémentaires deviennent alors de plus en plus évidentes.\r\n\r\n\r\nFin d’une ère : les premières rumeurs de la guerre se font entendre. Pour la première fois en près d’un demi-siècle, Ava la cendrée semble inquiète. L’ambiance au cœur de la troupe est plus lourde, et la camaraderie franche et simpliste qui y régnait se mue en une rivalité muette provoquée par une inquiétude grandissante.\r\nÀ cette époque, Benhart n’a pas vu grand-chose. Son monde se résume aux feux de camp et aux montagnes. Parfois, il fait escale quelques jours dans un village. Parfois, lui et ses compagnons pillent un groupe de voyageurs, ou même quelques maisons isolées et au sein de la troupe, les membres vont et viennent.\r\nPourtant, les choses finirent par changer.\r\nDans la troupe, l’on murmurait que les protections des dieux avaient cessé. Chaque mort par le froid ou les avalanches et autres dangers pourtant typiques des montagnes se voyaient attribués à la disparition des élus.\r\nLes élus. Benhart n’y connaissait pas grand-chose à l'époque. Pourtant jamais leurs noms ne furent plus présents dans la troupe que depuis leur départ.\r\nDans le monde, on parle de catastrophes et de malédiction, et les mauvaises nouvelles à travers le mondent sont portées par le vent jusque dans les montagnes les plus isolées. Même Benhart, qui n’a alors pas mis les pieds dans une grande ville depuis plus d’une décennie, est au courant des inquiétantes nouvelles.\r\nPendant quelque temps, l’ambiance devient maussade, tendue, mais autrement, rien ne change.\r\nJamais il n’oubliera la première fois qu’il la vit.\r\nElle émergea de derrière l’horizon en silence, car elle n'avait pas besoin de mots pour porter son message. Avec un calme froid, elle couvrit d’un manteau de sang les steppes glacées et les sommets abrupts, arrachant à la nuit ses teintes bleutées et ses sommets noirs, géants immobiles dont seules les ombres et les pics blanchis se détachaient du ciel nocturne.\r\nLa pâleur des sommets laissa place à un rougeoiement inquiétant, les cristaux de neige et de glace vinrent projeter ces insidieuses lumières jusque dans les ombres les plus profondes des montagnes. À les voir ainsi couvertes d’ombres et de reflets rougeâtres, à voir ainsi les névés et les plateau immaculé luire alors comme pour transmettre au pays le message de la lune, pendant un instant, Benhart fut fasciné.\r\nPour la première fois depuis sa naissance, il sentait que son monde changerait à jamais.\r\nPour la première fois depuis sa naissance, les calmes titans de pierre semblaient sortir de leur sommeil et il s'attendait presque à les voir s'animer et marcher sur le monde, comme dans les vielles histoires de son enfance.\r\nCe fut une main ferme qui le tira hors de ses rêveries. Il reprit conscience de ce qui l’entourait. Les animaux de la troupe étaient agités, tout le monde s’était réveillé avant qu’il ne sonne l’alerte. Le ricanement des KrollVarr était déjà proche et leur pelage rougeoyant dans les ombres leurs donnaient un aspect fantastique si bien que les géants les plus courageux manifestèrent de l’inquiétude.\r\nLorsque tout fut fini, les dégâts étaient plus importants que prévus. Était-ce dû au comportement des animaux sauvages, ou à l'état d’esprit des membres de la troupe ? Difficile de le savoir.\r\nMais fidèle à elle-même, Ava interrompis les dispute de sa troupe d’un simple regard. Sa chevelure embrasée brillait plus que jamais, semblant alors défier la lune elle-même.\r\n“Préparez vos affaires. Nous partons pour Handrist.”\r\nUn géant au nez brisé, un des plus anciens membres de la troupe que Benhart connaissait bien, prit la parole.\r\n“Ava.. T'sais bien qu'la plupart d’ent’ nous évite la capitale pour-”\r\n“Les temps changent, Karvizz. Nous ne pouvons plus les ignorer. La guerre fait rage depuis plusieurs mois et nous l’avons ignoré au mieux, mais j’ai le pressentiment que rien n’ira en s’arrangeant. Volheim a sûrement besoin de toute l’aide qu’il peut avoir, même chez les paumard comme nous.”\r\nBenhart ne sortit pas de sa rêverie. De nouveau, ses yeux contemplaient la lune. D’ici, il pouvait presque la toucher…\r\n“Ava.” Prononça-t-il d’une voix distante.\r\n“... J’aime bien comme nous vivons. Laissons le monde se débrouiller comme nous l’avons toujours fait. Tant qu’on est là pour les autres, on s’en fiche bien, du pays…”\r\nUne douleur lancinante lui vrilla le crâne et il vola un peu plus loin. Ava l’avait souvent frappé, mais il avait toujours été son préféré, et ce devait être la première fois qu’elle y mettait tant d'agressivité.\r\n“C’est la dernière fois que je t’entends dire des conneries du genre Benhart. Cette terre est la tienne comme la nôtre. Elle t’a donné ce qu’il fallait pour survivre, t’a nourri, t’a mis à l'épreuve, t’a présenté la mort et offert la vie, et si nous ne nous entendons pas avec les habitants, ils restent notre famille. Tâche de garder ça dans le crâne où j’y ferais de la place moi-même.”\r\nLa conversation était close. La troupe du feu de joie rejoindrait la guerre contre Arvandor. Pour un temps, la liberté prenait fin. Benhart suivis la troupe à contrecœur, se demandant a quand remontait la dernière fois qu'Ava ne l'avais pas appelé par son nom complet.\r\nBen vécut difficilement ce passage d’une liberté quasi-complète à la guerre. Les ordres rudes et les rations maigres constitueraient son quotidien pour plus longtemps qu’il n’aime à s'en rappeler. De plus, il fut projeté dans le monde réel alors même que ce dernier éclatait en morceaux, et si l'âge d’or constitua pour lui le summum de la liberté, l'âge du désespoir en fut le parfait opposé.\r\nPourtant, tous ces changements lui laissèrent à penser que quelque chose pourrait être tiré de ces malheurs...\r\n\r\n\r\nDe -221 à -200 : il sert son pays (et sa troupe) dans la guerre de sa nations. Il ne brille pas spécialement durant la guerre, mais parvient a rester en vie et a se rendre utile. Les nombreuses batailles lui forgent une expérience de combat décente, et renforce son désir de survie. Certaines situations militaires qu’il rencontrera lui reviendront en mémoire à Selkryssingr bien des années plus tard.\r\n\r\nAn - 200 : Mort d’Avalia la cendrée face à un autre mercenaire, alors que Benhart l'accompagnait. La perte de la semi-géante ne semble pas vraiment affecter l'élémentaire. Il reviendra au camp silencieux, mais refusera d'en dire plus sur les circonstances de la mort d'Ava.\r\nLa troupe reste liée pendant quelques années, mais sans leur cheffe, les victoires se font rares, et les recrutements difficiles. Beaucoup de membres-fondateurs, dont Benhart, finissent par quitter la troupe. Surpris par le manque d'impression que lui laisse la mort D'Ava, il continue de rôder près du champs de bataille sans prendre d’ordres de personne, en quête d'un objectif.\r\n\r\n\r\nAn -198 : il devient clair pour lui que la guerre ne lui apportera pas de réponse. Il quitte les champs de bataille, et décide de découvrir le monde qui se cache au delà des conflits ou des montagnes de glaces.\r\n\r\nAn -197 : il est enfermé pour meurtre dans une geôle d’Arvandor. C’est la seconde fois qu’il se sent enfermé. Il se retrouve pour la première fois victime du racisme et de l'injustice, qui attise sa curiosité. Mis à mort, il rencontre dans sa cellule Donatien, un demi-elfe spécialisé dans le cambriolage.\r\n\r\nAn -197 : Une lune de sang cause une panique dans la prison, située à l'écart des villes proches. Une meute de créatures envahit l’endroit, dévorant gardes et occupants. Profitant de l’agitation, Benhart et Donatien tentent de s’échapper. Pris au piège, l'élémentaire envoi le demi-elfe à la mort pour se mettre à l'abri. De façon surprenante, cet acte l'emplit d’une satisfaction rare, qui ne fait que grandir lorsqu’il vole l’arme d’un gardien pour la lui planter dans le dos, avant de s’enfuir en passant par-dessus un mur.\r\nLa lune de sang a offert au criminel une chance inespérée, et cette sensation alors qu'il reprit de ses mains sa liberté lui donne une piste sur ce qu'il désire le plus. Et il porte encore aujourd'hui dans son cœur la douce sensation qu'il ressentit alors qu'il fuyait la prison.\r\nBenhart deviendra plus libre que les autres. La lune de sang lui a offert une nouvelle façon de voir le monde, et il cherchera a attendre sa liberté aussi loin que le monde le lui permettra.\r\n\r\nAn - 175 : En route pour son pays natal, Benhart croise le chemin de bandits. Il frôle la mort lors du combat, mais sa victoire le remplit d’une conviction nouvelle. Sa force actuelle ne lui suffit pas, et il lui en faut plus.\r\n\r\nPendant plus de 100 ans, Benhart travaille. Tant pour devenir plus fort, que plus libre.\r\nC'est durant cette période qu'il se rend compte que s'il est excellent aux combats au poing, il n'a pas la force d'un géant : tout adversaire capable de supporter ses coups de poings ou de pied ne tombera jamais face à lui. Il vole une rapière à un voyageur, et apprend tant par lui-même qu'au contact des nomades.\r\nIl se fascine pour les étoiles, et pour la lune S'il trouve quelques nuits pour s'isoler complètement dans des lieux plus ou moins sans danger, il a fait une mauvaise rencontre avec des animaux corrompus, et il en garde de mauvais souvenir. Il les évite depuis.\r\n\r\nLe reste du temps, il rejoint des groupes d'aventuriers, ou parcours seul les routes, vivant de la chasses ou de divers petit boulots.\r\nAu cours de ses pérégrinations, il gagne (ou s'invente) le titre de Bretteur du blizzard, qui pour l'instant se murmure par endroit.\r\n\r\nAn zero.\r\nArrivée des nouveaux élus. Benhart se désintéresse vaguement de la lune pour en revenir à des affaires plus terre-à-terre. S’il reste indifférent à l'arrivée de nouveaux élus au départ, les changements dans le monde qui tourne autour d’eux ne tarderons pas à son goût.\r\n\r\nAn 5 : en à peine cinq ans, le monde semble renaître de ses cendre. L'humanité se raccroche à l’espoir qu'apportent les gardiens. Chacun semble persuadé que les mauvais jours finiront par disparaître.\r\n\r\nAn 10 : Le monde gagne en stabilité. Les élus ont donné un second souffle à l'humanité. Les hostilités entre Vollheimet et Arvandor se font plus discrètes. Benhart commence à s’intéresser aux autres gangrènes. Pour lui, une chose est certaine. L'arrivée des élus devient problématique pour sa façon de vivre.\r\n\r\nAns 71 : Bataille de Selkryssingr. Benhart s'y rend la fleur au fusil, dans l'espoir de trouver de nouveaux adversaires. Cependant, et ce malgré le savoir et la force accumulée au fil des années, sa défaite est totale. C'est cependant la première fois que son nom résonne sur un champ de bataille. Le nom D’ava la cendrée qu’il évoque alors attirera l’attention d’un vétéran. Alors que les lignes arrière sont alors injoignables et Benhart est envoyé par les bois entourant le poste avancé de partir en reconnaissance dans les bois entourant les camps des généraux pour obtenir des nouvelles des lignes arrière, alors injoignables. La, il croise une compagnie réduite de soldats d’élite d’arvandor, cherchant à contourner les campements de Volehim pour frapper directement le commandement.\r\nDans l’heure qui suit, un blizzard se lève à l’ouest de la forêt, couverte par les neiges. Benhart n’en est pas l’auteur, mais il compte bien en profiter.\r\nÀ lui seul, il fait face aux cinq hommes qui forment le groupe, qui jusqu'alors avançait sans mal en contournant les lignes arrières du pays.\r\n\r\n\r\n\r\n Si benhart leur tiendra tête, ce n'est pas par la puissance, mais par sa vitesse. Durant près d’une heure, il mène un assaut incessant sur chacun des soldats. Les égare dans le brouillard, se fraie un chemin à travers lui comme s’il y était né, et frappe, plus rapide que le vent, pour disparaître aussitôt dans la tempête pour y reprendre son souffle.. Il mène des duels de quelques minutes face aux militaires isolés, les affaiblissant petit à petit, et fuit lorsque les autres le trouvent enfin. C’est la première fois qu’il est livré à lui-même dans un combat si déséquilibré, mais il parvient à prendre quelques vies malgré tout. C'est seulement lorsque les renforts arrivent que le nombre a raison de lui, et qu'il bat en retraite, la lame émoussée, et vidée de sa magie.\r\nLe campement sera écrasé quelques heures plus tard, mais le nom du bretteur du blizzard se murmurera dans les troupes d'Anvador environnantes.\r\n\r\nLa guerre continue, les lignes reculent, et les cadavres s'entassent. Les soldats ne sont pas la seule différence entre les deux pays. La technologie à laquelle il fait face lui est inconnue, et il voit des vies prises par d’insidieuses traînées de lumière sans que jamais il ne discerne l’arme de la faucheuse.\r\nAu cours de sa vie, il a été enfermé, battu, poursuivi, chassé, condamné à mort… Et pourtant, ce jour déclenche chez lui en sensation de peur et de vulnérabilité qu’il ne pensait pas devoir se rappeler. L'épée à la main, en pleine possession de ses moyens, il se sent pourtant aussi faible et vulnérable que l’enfant qui, voilà de cela plusieurs siècles, attendait la mort prisonnier d’un cocon de glace, comptant ses membres qui manquaient de tomber.\r\n\r\nBenhart s’enfuit du champ de bataille, décidé à ne plus laisser qui que ce soit le mettre dans cet état de nouveau. Sa peur de la mort avait refait surface, et le monde s’en mordrait les doigts.\r\n\r\nAns 71 : au détour d’un chemin suivi par les militaires vaincus fuyant la guerre, Benhart fait la rencontre de Mélisandre, Armure du faucon. Si les circonstances de leur rencontre restent floues, une chose marquera Mélisandre. Parmi les groupes de soldats démoralisés, les blessés, ceux rendus fous ou sourds par les affres de la guerre, seul Benhart à l'œil vivant, et le pas sûr. Lorsque leurs regards se croisent, elle voit dans les yeux froids de l’élémentaire un brasier, une détermination que l’on ne trouve pas dans l'œil d’un vaincu.\r\nElle lui propose de la protection, il lui répond qu’il veut de la force. Convaincue, elle le prend sous son aile.\r\n\r\n\r\n“Mélisandre des grèves, ou Mélisandre la renarde est la troisième et la plus longue porteuse de l’armure du faucon à ce jour. Femme bête assise au conseil depuis maintenant trente ans, elle s’exila d’Arvandor peu après l’annexion d'Avalon pour fuir l’autorité humaine. Convaincue de la justesse de notre cause, elle rejoint les chevaliers saints presque à leur début, et finit par succéder à la précédente armure du faucon qui trahit la cause lors des funestes événements de l’an 10, et dont le poste resta vacant depuis.\r\nC’est une femme dont les manières sont aussi rustres que son cœur est d’or. Frêle, à l'allure légère, elle est néanmoins dotée d’une vitesse et d’une précision que jalousent les plus grands bretteurs. C'est une chasseuse d'exception passionnée de nature et aux connaissances vastes dans ce domaine. Digne de sa place d'armure du faucon, elle mène à bien toutes les missions ou vitesses et discrétions sont les maîtres-mots.\r\nNoble d'âme, elle n’est avare ni en enseignements, ni en compliment, et a dédié sa vie à sa cause offrant avec un altruisme déroutant à ceux qui témoignent de l’enthousiasme quant à notre objectif. En trente ans, aucun de ses hommes ne mourut inutilement, et jamais elle ne les vit comme une denrée sacrifiable, ce qui lui vaut d’être appréciée de ses hommes autant que des autres armures. On argua souvent à son encontre qu’elle faisait preuve de trop de prudence. Pour ma part, je pense que ceux qui l'accusent ainsi sont simplement aveugles à sa sagesse.”\r\nExtrait des archives des chevaliers saint, écrit par Yves Moqueur, 13 janvier 54\r\n\r\n\r\n\r\nAns 72 à 81: Benhart rejoint la troupe du faucon de Mélissandre, et il ne reste pas longtemps en bas de l’échelle. Il prouve rapidement à ses détracteurs tant sa détermination que sa force, gagnant une place tant qu’un respect parmi les militaires malgré son attitude plutôt légère.\r\nCette période de sa vie est particulière, car jamais il ne fut tant respectueux d’ordres ou de commandes qu’on lui donna. Au fur et à mesure de sa montée en grade, et tandis que sa confiance en sa force lui revient cependant, cette attitude disparaît petit à petit. D’aucuns chuchotent que ses progrès le rendent excentrique, mais il serait plus exact de dire que sa faiblesse le rend humble.\r\nIl se lie d’amitié avec Mélisandre, et finit tout naturellement par devenir son bras droit en 81, ou il devient donc son second.\r\n\r\nAn 81 à 84 : Le besoin de liberté de Benhart grandit de nouveau. Malgré sa position, il supporte de moins en moins les ordres, et la cause des chevaliers saints lui impose trop de devoirs selon lui. Il gagne en impertinence ce qu’il perd en bonne volonté, sans pour autant que ce soit spécialement alarmant. Son travail reste soigné et ses missions exécutées avec parcimonie, mais l’on sent bien que quelque chose dans sa position l’indispose plus qu’elle ne l'honore.\r\n\r\nAn 84 : Mission en solo. Benhart s'infiltre dans une grande maison en Al'Malaq. Il y fait la rencontre d'Arderus, élus de l'envie. Tout deux conversent un instant, Ben aussi intrigué par ce riche inconnu qu'Arderus par ce type qui vient de s'introduire chez lui ignorant complètement la garde juste pour taper la discute. Viens un moment où l'échange suivant a lieu ;\r\n\r\n\"Au fait ! J'ai appris que les élus étaient plutôt fort pas vrais ?\"\r\n\r\n\"Y'a des nuances, mais en gros, oui.\"\r\n\r\nEt c'est avec une habileté forçant le respect que l'homme para le coup pourtant non annoncé qui s'en suivis, accompagnant le \"Prouve le moi !\" D'un Benhart au sourire plus radieux que jamais.\r\n\r\nLe combat qui s'en suivis retourna le manoir, et bien que tout deux écartèrent autant que possible les gardes le temps de leur affrontement, l'élémentaire du battre en retraite tant par épuisement qu'à cause du flux de gardes qui ne cessaient de venir, laissant derrière lui nombre de cadavres, et un Arderus circonspect et à bout de souffle.\r\n\r\nAn 84, Septembre ; Mélissandre et Benhart partent en mission dans la jungle de Cerah. Quelque chose se passe mal, et Benhart reviends au bord de la mort quelques semaines plus tard. Il a perdu Mélisandre de vue, et elle est déclarée morte après une semaine sans nouvelles.\r\nBen prendra naturellement la place de la nouvelle armure du faucon.\r\n\r\nAns 84 : Aujourd’hui.\r\n"},{"name":"pseudoJoueur","value":"Limy_Gordon"},{"name":"pronomsJoueur","value":"Elle"},{"name":"TrucADire","value":"deso pour toutes les questions, j'éspère que ma fiche sera pas trop désagréable a lire ;-; hate de jouer avec vous en tout cas !"}
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"Je suis plus libre que toi." EktWP8t
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Bienvenue parmi nous !

Voilà donc notre dernier chevalier saint  Pining L'équipe est maintenant au complet hehe, merci beaucoup pour ta patience en tout cas concernant ta correction, je sens que Benhart va avoir du boulot avec les élus, il va falloir qu'on l'empêche de faire des massacres avec les autres  Devil
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