{"name":"GroupPerso","value":"xingAlda"},{"name":"ChampTitre","value":"Introverted war"},{"name":"prenomPerso","value":"Lixian"},{"name":"nomPerso","value":""},{"name":"titreperso","value":"Compagnon luxueux"},{"name":"originefeat","value":"Final Fantasy XIV"},{"name":"nomfeat","value":"Urianger Augurelt"},{"name":"iconfiche","value":"https://i.imgur.com/SipHiCE.jpeg"},{"name":"racePerso","value":"Humain de Xing Alda ; Elfe"},{"name":"ageperso","value":"33 ans"},{"name":"metierPerso","value":"Compagnon, artiste"},{"name":"LieuNaissance","value":"Fang - Quartier Noble"},{"name":"genreperso","value":"Demiboy"},{"name":"pronomsperso","value":"Il / iel"},{"name":"orientationperso","value":"Pansexuel"},{"name":"manicheismeperso","value":"Gourmandise"},{"name":"magieperso","value":"Magie curative"},{"name":"aptitudeperso","value":"Habitant des tréfonds - Ouïe fine"},{"name":"habilitesperso","value":"Lixian soigne, avec une délicatesse certaine. Du bout des doigts il répare les coupures, les petits bobos. Il soulage les douleurs insignifiantes, fait cesser les pleurs des enfants, chasse la fatigue de ses jambes, quitte à s’épuiser en retour. Lixian n’est pas bon dans sa magie, il ne l’a jamais concrètement utilisé pour autre chose que les blessures du quotidien : il a besoin d’un contact pour soigner et ne pourra jamais excéder les plaies ouvertes, au mieux une fracture légère. Avec l’adrénaline, il pourra faire cesser une hémorragie, mais il n’a rien du sauveur aldani capable de soigner tous les maux. Et surtout, Lixian s’épuise vite, trop vite et chaque soin lui demande un long repos pour recharger les batteries.\r\n\r\nSon ouïe est aussi toute particulièrement bonne. Au delà de son oreille absolue, Lixian entend tout ; des pas discrets derrière la porte aux murmures le concernant. Les bruits stridents sont par contre une horreur pour lui au quotidien et le brouhaha est une horreur à supporter sur de longues périodes. \r\n\r\nMais plus que tout, Lixian est malade. Lixian est dément. Si rien ne le laisse paraître physiquement, si ce n'est les douleurs dans ses jambes, rendant le travail compliqué certains jours, mentalement c’est une autre histoire. Il plane, s’absente, oublie dans une amnésie dont il ne se rend pas vraiment compte. Il lui arrive de rabâcher, d’avoir des sensations de déjà vu sans comprendre pourquoi. Il n’en est qu’au début, mais nul doute qu'avec le temps, rien n'ira en s'améliorant."},{"name":"tailleperso","value":"178cm"},{"name":"poidsperso","value":"65kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"vêtu des plus belles étoffes aldani ; très fin ; voix douce ; doigts de fée ; ses cheveux sont assez longs pour un petit chignon ; oreilles d’elfes, seul signe d’un géniteur dont il n’a jamais entendu parler ; ongles longs, qu’il lime souvent ; mains fines et délicates ; souvent considéré comme efféminé malgré sa pilosité faciale ; se maquille toujours légèrement ; "},{"name":"factsperso","value":"entretenu par l’aristocratie et la noblesse aldani ; excellent danseur ; et artiste de manière générale ; excelle aussi dans la musique et le chant ; joue habituellement du shamisen ou du guzheng ; habite dans une résidence discrète du quartier noble, à l’abri des regards indiscrets ; touché par la démence ; calligraphie agréable à lire ; le shamisen qu’il utilise lors de ses représentations est un cadeau ; n’est jamais monté plus haut que les hauts quartiers pauvres ; ne connaît donc Arathia que par les tableaux et les livres ; obsession pour le cryptique ; ne s’en rend même pas compte ; fume le kiseru ; l’opium aide à calmer les douleurs musculaires ; adeptes des cérémonies du thé ; prend de nombreuses notes de ses journées pour ne rien oublier ; chaque chose à sa place dans son appartement ; porte des lunettes de lecture chez lui ; cache une dague dans le obi de son kimono, juste au cas où ; mais serait bien incapable de s’en servir correctement ; fait très attention à son alimentation ; prépare tout lui même ou passe toujours au même petit restaurant du quartier artisanal pour ses repas ; nourrit les saphirix du quartier ; "},{"name":"traitcaract","value":"Attractif ; Cachottier ; Chaleureux ; Docile ; Courtois ; Envieux ; Cultivé ; Ferme ; Délicat ; Intéressé ; Raffiné ; Menteur ; Talentueux ; Séducteur"},{"name":"caractereperso","value":"Lixian enjôle de son sourire tendre ; de ses gestes délicats et attentionnés il met en confiance, invite les gens à s’ouvrir à lui pour se laisser aller. Et il rit, telle une mélodie, sans qu’aucune méchanceté ne transparaisse dans son regard. On le dit doux, sa voix aussi faible qu’une caresse, sans jamais voir un mot plus haut que l’autre. \r\n\r\nLixian parle bien, se présente bien. Il est une muse, sans la moindre once de violence. Il écoute, conseille, ne s’impose jamais et reste toujours dans l’ombre, à attendre qu’on le fasse briller. Il est un artiste, aux pas endiablés, aux chants ensorcelants, aux doigts de fées venant pincer les cordes de ses instruments. Lixian est simple, d’apparence. Il est cet ami de confiance, qu’on peut toujours venir voir en cas de problème. Il est cette épaule sur laquelle on peut se reposer, cette oreille attentive recueillant les maux dans l’espoir d’y trouver un remède. Il est cette chaleur, bienveillante dans celle étouffante de la ville souterraine. \r\n\r\nMais Lixian est un cachottier, par peur d’être rejeté ou de dégringoler. Lixian a travaillé pour arriver là où il est aujourd’hui ; un artiste, un courtisan, un compagnon de luxe dont on paie les services pour accompagner les repas bourgeois, les rencontres éphémères. Lixian garde encore les marques de ses doigts abîmés par les cordes, de ses pieds endoloris par les chorégraphies, sa voix muette à force de chanter. Alors Lixian est envieux, intéressé. Lixian veut toujours plus, par crainte de manquer. Lixian est gourmand, menteur et séducteur pour se protéger. \r\n\r\nLixian est docile, obéit, mais cache bien son jeu. Ses angoisses restent en lui, profondément, et il se contente de jouer la sympathie. Il s’offre même quand il n’en a pas envie, danse malgré la fatigue, chante dans les brouhahas noblesques. Il cache ses absences, cette démence dont il n’a pas vraiment conscience. Il cache ses attirances particulières pour le cryptique, son avidité, son besoin de toujours avoir plus pour rester dans les profondeurs démentes et ce, qu’importe le prix."},{"name":"histoireperso","value":"

an 52.

\r\n

(naissance)

\r\nTon géniteur n’était que de passage. Un voyage d’affaire, diplomatique, de ceux qu’on considère comme unique. Une folie passagère, une envie d’exotisme, de compagnie le temps d’une sortie. Tu as été le bouleversement d’une vie, le virage involontaire d’une dame qui n’avait de toute évidence pas prévu ça. Tu as chamboulé la vie toute tracée de ta mère, elle courtisane de haut rang, respectée pour son art et la délicatesse de sa voix. Elle qui, dans l’avarice de s’offrir des drapés encore plus luxueux, s’est laissée aller. \r\n\r\nDe compagnie de luxe, elle est devenue domestique pour famille influente jusqu’à ta naissance. L’histoire aurait pu s’arrêter là ; par jalousie de lui avoir tout pris elle aurait très bien pu t’abandonner pour reprendre là où sa vie s’est arrêtée il y a neuf mois. \r\n\r\nAvec le recul tu ne lui en aurais pas voulu. \r\n\r\nMais à plusieurs reprises, elle te considérera comme l’offrande de la Sainte Sauveuse, une perle, la bénédiction qu’elle attendait pour enfin trouver un but à son existence. \r\n\r\n

an 62.

\r\n

(10 ans)

\r\nMère s’est trouvée un emploi comme préceptrice pour apprendre les arts aux jeunes nobles en quête d’identité, ce n’est pas toujours bien payé mais suffisamment pour payer le petit appartement loué dans le quartier artisanal, au dessus de l’atelier d’un maître-luthier à qui ta mère te confiait souvent pendant ses heures de travail. Tu n’as jamais posé problème, toujours sage, discret, obéissant, studieux pour espérer rendre fière ta mère. Si l’éducation a une place importante en Xing Alda, tu as vite compris qu’elle n’était pas équivalente pour toutes les classes sociales ; ta mère est stricte sur ça, en particulier les arts qu’elle t’efforce à développer. L’écriture, les mathématiques, rien est laissé de côté pour te permettre d’avoir toutes les chances de réussir. \r\n\r\nTout ça en sachant que l’académie d’astrologie ne te sera probablement jamais accessible.\r\n\r\n

an 70.

\r\n

(18 ans)

\r\nMère est malade. Elle s’est effondrée sans prévenir, en revenant d’une étude auprès d’un jeune noble. Ses jambes ont lâché, et si au début elle a insisté pour continuer son travail, son état a fini par se dégrader de plus en plus. Tu as tout abandonné pour pouvoir t’occuper d’elle. Jamais tu n’as trouvé le courage de lui avouer ton acceptation à l’académie d’astrologie ; tu n’aurais pas pu supporter son regard, lorsqu’elle aurait su que la lettre de confirmation a terminé dans les flammes. \r\n\r\nLe même soir, l’ordre de lui amputer une jambe a été donné.\r\n\r\n

an 72.

\r\n

(20 ans)

\r\nMère ne va pas mieux. Parfois elle a des absences, elle regarde la ruelle depuis la fenêtre, le regard vide. Parfois elle ne se souvient plus de toi, te demande deux ou trois fois la même chose. Parfois elle pleure pour rien, puis hurle dessus avant de s’excuser aussitôt. Elle perd la tête, te frappe quand tu refuses de lui donner quelque chose, mais tu ne lui en tiens pas rigueur. Hier, elle t’a encore demandé comment allait son fils.\r\n\r\n

an 74.

\r\n

(22 ans)

\r\nLes enseignements de ta mère ont porté leur fruit ; tu es jeune, encore en formation, mais prometteur. Tu es le protégé d’une courtisane qui a sû te prendre sous son aile pour t’aider à évoluer et tu donnes tout ce que tu as pour progresser. On quémande ta présence, ta voix, ton savoir ; on t’invite à jouer pour occuper les esprits et faire chavirer les coeurs. Tu tiens compagnie aux personnalités, aux bourgeois et aux nobles, tu te fiches bien des noms ou des préférences de chacun tant que tu peux obtenir de quoi soigner ta mère.\r\n\r\n

an 77.

\r\n

(25 ans)

\r\nTu as pu déménager dans le quartier noble, sans te douter un peu instant que ce simple geste allait être fatal pour ta mère. Tu as été naïf, tu voulais simplement quitter le brouhaha du quartier artisanal pour la quiétude de la noblesse. En échange de compagnie, et du salaire du salon de thé dans lequel tu as été embauché, tu as pu louer cet appartement coquet mais discret à un noble pour offrir une retraite tranquille à ta mère. Tu as mis ses absences plus nombreuses sur le coup de l’âge, sans même remarquer que toi aussi, tu as commence à oublier certaines choses.\r\n\r\nRien de bien grave, mais assez pour devenir handicapant de temps à autre. Mais plus que tout, c’est la douleur dans tes jambes qui t’alarma ; toute ton énergie, quand elle ne passait pas dans le travail ou ta mère, te servait à tenter de soulager ces douleurs te menant la vie dure. Elles sont un outil de travail, un de tes moyens de faire chavirer les coeurs. \r\n\r\n

an 80.

\r\n

(27 ans)

\r\nLa corde de votre famille est tristement courte. Mère était fille unique, délaissée par sa famille agacée qu’elle ne soit qu’une courtisane malgré son ancienne proximité avec la bourgeoisie. Jamais tu n’as connu le reste de votre famille, et cette cérémonie tu l’as préparé seul, dans un silence glaçant. Il n’y a que dans cette grotte que le maître-luthier s’est invité, par amitié envers vous, avec toute la pudeur dont il avait l’habitude de faire preuve. Tu n’es même pas remonté à la surface, en vérité tu n’as jamais posé un pied dehors ; tu n’en as jamais ressenti le besoin. Tu connais Arathia par les tableaux, les contes et les récits, c’est amplement suffisant pour un courtisan de ton rang, et tu n’as jamais réellement cru aux étoiles de toute façon.\r\n\r\nC’est cette année que tu es tombé sur Lune. Terrifié au début par sa silhouette, tu as pris la décision de lui laisser une chance. Tu sais qu’il n’est pas bien traité par la bourgeoisie et la noblesse, mais tu essaies de l’aider à se complaire dans ce métier parfois difficile. A l’abri des regards tu l’invites à rester chez toi, pour lui offrir un toit où dormir et surtout se sentir en sécurité.\r\n\r\n

an 85.

\r\n

(33 ans)

\r\nRien n’a changé, Lune est toujours à tes côtés et tu ne cesses de combler les passants du quartier de ta présence. Tu chantes, tu danses, tu accompagnes malgré les oublis et les douleurs, malgré la peur et les insécurités. Tu sais que comme ta mère, tout pourrait basculer du jour au lendemain. Alors tu essaies d’accumuler, par peur de manquer, pour un jour pouvoir fuir ce paradis qui peut devenir un enfer.\r\n"},{"name":"pseudoJoueur","value":"Sixtine"},{"name":"pronomsJoueur","value":"she / her"},{"name":"TrucADire","value":"aaaaaaaaaaaaaaah enfin"}