{"name":"GroupPerso","value":"arvandor"},{"name":"ChampTitre","value":"Et pour quelques liges de plus. Raja Winchester"},{"name":"prenomPerso","value":"Raja"},{"name":"nomPerso","value":"Winchester"},{"name":"titreperso","value":"Chasseur de reliques"},{"name":"originefeat","value":"Final Fantaisy XIV"},{"name":"nomfeat","value":"Emet-Selch"},{"name":"iconfiche","value":"https://zupimages.net/up/23/16/nhu7.jpg"},{"name":"racePerso","value":"Humain"},{"name":"ageperso","value":"39 ans"},{"name":"metierPerso","value":"Corsaire"},{"name":"LieuNaissance","value":"Avalon"},{"name":"genreperso","value":"Masculin"},{"name":"pronomsperso","value":"Il/him"},{"name":"orientationperso","value":"Bisexuel"},{"name":"manicheismeperso","value":"Orgueil"},{"name":"magieperso","value":"Vélocité"},{"name":"aptitudeperso","value":"Accumulateur"},{"name":"habilitesperso","value":"Magie Grise Légale • Corps et perceptions • Vélocité • Ni choisi, ni réellement innée, la vélocité est venue à toi naturellement. À ton grand regret, tu n’as jamais été réellement doué dans l’exercice des arts magiques. En revanche, tu as toujours été quelqu’un de relativement précis et vif. Tes réflexes sont bons, et il te fallait quelque chose pour les exploités. Ainsi, tu entraînes ton corps a dépassé ses limites et la magie va devenir ta meilleure alliée pour cela. Tu utilises la vélocité pour te mouvoir à grande vitesse, si bien que les moins attentifs pourraient croire que tu te téléportes ou que tu serais capable de planer dans le ciel tant tes jambes peuvent te porter haut grâce à cette magie.\r\n\r\nAccumulateur • Traquesang • Ton outil préféré depuis quelques années déjà, ce sabre Aldani est une authentique arme traquesang. Son pommeau est richement décoré dans le style du pays de l’étoile et sa lame est intégralement teintée du rouge de la magie qu’elle abrite. En tant que chasseur, cette arme est une petite merveille, tu t’en sers pour pister tes adversaires en veillant à toujours avoir un tour d’avance sur eux. Un atout dans la traque aux reliques lorsque qu’un autre est lui aussi sur le coup.\r\n\r\nHéraut de la dame • Bourgeon Profane • Ta dernière trouvaille… Un artefact incroyable, d’une puissance comme jamais tu n’en avais vu auparavant. Toi qui n’as jamais été doué pour invoquer la magie. Le bourgeon te permet de canaliser une phytomagie unique. Les plantes que tu crées avec sont gorgées de sève dorée, une substance magique aux pouvoirs dégénératifs qui consume la chair et l'esprit. Identique à la gangrène de l'orgueil. Elle est une arcane à double tranchant, polyvalente et mortelle, elle serait aussi capable de te détruire avant même que tu ne parviennes à ton but. Alors, cet artefact, tu l’apprécies autant que tu t'en méfis. Tu as déjà ôté la vie avec, et tu dois avouer avoir peur de ne pas être capable de faire preuve de retenue dans l’exercice de ce grand pouvoir. Étant donné la nature problématique de cette magie, tu te doutes que tu doives te montrer extrêmement discret dans son utilisation.\r\n\r\n(MAGIE ACHETÉE LE 07/05 : INVOCATIONS D'ANIMAUX)\r\nÀ la recherche d'une magie qui lui permettrait de survivre dans les rues d'Amsupolis, Raja s'est tournée vers la conjuration d'une meute de chiens d'Akaara. Idéal pour traquer et épuiser une cible dans les rues cryptique de la cité dépéris. Une troupe de compagnons fidèles, qui jamais, ne pourra lui faire défaut. Peut-être, un jour, se tournera-t-il vers d'autres créatures qui peuplent Arathia. Pour le moment les canidés aldani lui suffisent amplement."},{"name":"tailleperso","value":"1m78"},{"name":"poidsperso","value":"75kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"Possède beaucoup de tenues • Ambassadeur Bolenciogo • Tenues extravagantes • Vestes longue rouge allant vers le bordeaux. • Tenue sombre à même le corps • Maquillage léger • Possède une perle greffée à même le front. • Mèche blanche • Addict aux bijoux • Cicatrices nombreuses sur le corps • Aime remettre en question la normalité du genre dans son apparence • Masculin, mais glamour • Prends soin de ses cheveux."},{"name":"factsperso","value":"N’est pas aussi désintéressé à la politique qu’il le prétends × Sa technique signature est une roulade sautée × A des gros préjugés sur les draconides × La fin justifie les moyens × Conserve une gemme de lien qui n’est plus connectée × Se voit comme l’antagoniste principal de son histoire × Le lexique de la chasse l’excite × Son animal totem autoproclamé est le Tigre × Est un authentique control freak × Aime le tape-à-l’œil × On ne trahit pas une vraie amitié × Aurait aimé manipuler le feu ou la foudre × Ne ment jamais × Fait attention a sa manucure × A l’impression de constamment jouer un rôle × Ne sait pas réellement ce qu’il désire × A peur de la solitude × L’inconnu le galvanise autant qu’il l’effraie × Ne se sent lui même que lorsqu’il se confronte seul. × Préfère être mal accompagné plutôt que seul × A du mal à apprendre ses erreurs."},{"name":"traitcaract","value":"Décomplexé • Bavard • Bruyant • Sur de lui • Borné • Fier • Malicieux • Jovial • Moqueur • Egocentré • Maniaque • Opportuniste • Ouvert • Dissimulateur • Désinvolte • Manipulateur "},{"name":"caractereperso","value":"Au cours de ta vie, tu as expérimenté beaucoup d’émotions. Mais certaines t’ont accompagné pour finalement ne jamais vraiment te quitter !\r\n\r\nIl est vrai que tu es très fier de ce titre de capitaine. Il aspire à te donner de la force et s’occupe de combler un vide. Tu t'enorgueillis de cette qualité de meneur d’hommes, comme une fatalité qui aurait fait de toi l’unique être vivant capable de gérer cet équipage. Tu veux être celui qu’on suit, tu veux qu’on reconnaisse ton charisme. L’idée d’avoir de fidèles compagnons qui te suivent toi avant ta cause, c’est ce qui te galvanise avant la bataille.\r\n\r\nIl a fallu que les autres aient confiance en ta personne, pour qu’ensuite, tu puisses usurper la foi qu’ils avaient en toi. Aujourd’hui, mensonge ou non, tu t’es convaincu toi-même de ta propre valeur. Bluff ou véritable force, tu mises toujours gros, intimement persuadé que tu en sortiras vainqueur quelle que soit l’issue. Tu es un beau parleur, ça oui, t’es phrases sont mélodieuses et tes interlocuteurs jouissent toujours des mots qu’ils désirent entendre.\r\n\r\nTu manipules les dires avec une assurance et une aisance innée, mais jamais au grand jamais tu ne mens. C’est pour ainsi dire ton unique vertu. Tu arranges toujours tes accords pour mener les autres dans un cul-de-sac. Tel le diable avec qui on signerait un pacte sans avoir pris le temps de lire les clauses cachées à l’arrière du contrat.\r\n\r\nOr, tu ne manipules que ceux qui doivent être manipulés. Les gens avec qui tu partages tes rêves, eux, deviennent des membres de ta famille. Hélas, la vie t’a appris que ce sont ces personnes qui peuvent le plus te décevoir. C’est pour cette raison que tu te montres méfiant et que tu demandes du temps et des distances avant d’accepter d’ouvrir ton cercle à un nouveau venu. Car au final, si ta volonté la plus primaire est de vouloir te hisser au sommet du monde, tu ne veux pas y parvenir comme un dieu unique, mais bien avec ton panthéon. Et pour cela, tous les moyens sont bons pour y parvenir. "},{"name":"histoireperso","value":"Dans un petit village non loin d’Avalon, a mis chemin entre la ville portuaire et les frontières Vollhyr, tu vis le jour. Un frère de quatre ans ton aîné, il a toujours aspiré à devenir un grand chevalier. Là où tes parents, très peu belliqueux, quitteront ce monde de cause naturelle une décennie avant les guerres Arvandiennes.\r\n\r\nAvant même ta majorité, tu te retrouves seul. Orphelin et un frère vivant à la capitale. Est-ce que cela te posait problème, pas le moins du monde. Tu étais de ceux qui étaient tombés amoureux de ce que les locaux appellent “la petite anarchie Avalonienne”. Vivre en délinquant dans les rues de cette ville où les règles n’ont de loi que de nom. Tu commets des petits larcins, parfois, tu te fais attraper, ou non. Tu ne te retrouves jamais réellement inquiété. Tu recevais, certes, des lettres de ton frère, lassé de devoir régler tes dettes. Parfois, il faisait le chemin lui-même depuis Arvandor pour te sermonner et essayer de te raisonner, mais ton petit cerveau de malfrat n’en entendait rien. Et puis en cette époque, si tu pouvais faire l’inverse de ce que l’on te demandait, tu t’y donnais à cœur joie, surtout lorsqu’il s’agissait de ton aîné.\r\n\r\nBien que tu n'attendes pas l'âge légal pour prendre la mer, c’est bien à tes dix-huit ans que tu monteras sur le pont du Widow Galley en tant qu’authentique membre d’équipage. Il est vrai que ton amour pour Avalon est sincère, mais c’était bien cet attrait pour la liberté qui te galvanise. Tu passais tes journées aux quais de la Hune à regarder les bateaux amarrés et les corsaires revenir de leurs péripéties. Tu étais Raja Winchester, la petite frappe des bacs à sable, qui on ne sait comment, se retrouvait toujours attablés avec des corsaires des plus immoraux en escale dans les tavernes. Depuis ton enfance, tu avais toujours su que c’est ce que tu voulais faire.\r\n\r\nVivre de pillages et d'aventures. Loin des enjeux politiques d’Arathia, voilà une vie que tu souhaitais mener. Tu te rappelles encore ta première bataille ! Alors canonnier de ton équipage, le capitaine avait pris en chasse une frégate. Le Widow Galley était bien plus grand et vous étiez bien plus nombreux. Le bateau ennemi s’était à peine défendu. Toi, tu étais galvanisé par le son des canons et le fracas des sabres une fois le temps de l’abordage venu. Cette nuit-là, tu as ôté la vie pour la première fois. Tu dois admettre que tu pensais que cela ne t’impacterait pas. Que cela ne devrait pas être plus décontenançant qu’un passage à tabac… Tu te trompais. Tu avais encore ce sourire dopé à l'adrénaline lorsque la vie quitta son corps. Puis, tu levas les yeux et aperçus le pavillon de ce bateau. Un drapeau Arvandien. Tu perdis ton sourire et ton regard se tourna vers ton capitaine. Alors, tu as compris ce que signifiait être un avalonien. L’âme des pirates ne change pas. Donnez-lui le nom que vous voulez, appelez le corsaire si ça vous chante et donnez-lui une lettre de marque. Il n'obéit qu'à ses propres règles et à sa morale. Car, tant qu’il n’y a pas de témoin, il n’y a pas violation des lois.\r\n\r\nNous voici bien des années plus tard durant le début de la soixante-douzième année du calendrier Aldani. Les guerres Arvandiennes viennent de toucher à leur terme. Guerres durant lesquelles le Widow Galley, dont tu étais désormais capitaine, avait été mobilisé durant la bataille de Selkryssingr pour bombarder les côtes Vollhyr.\r\n\r\nQuelques mois passèrent. Toi qui pensais que tes hommes avaient le cœur accroché et que ce n’était pas votre implication dans une guerre dont vous ne vous sentiez pas concerné qui allait avoir raison d’eux… Hélas la voilà la différence entre pirate et corsaire. Si Arvandor ferme les yeux sur vos écarts, vous n’en êtes pas moins à leur service. Leur désobéir frontalement, ça serait perdre ce statut et accepter de finir pendu. Être capitaine d’un si grand équipage n’était en rien à cadeau, les rumeurs et pensées négatives s’étaient répandues comme de la poudre. Fort heureusement, il n'eut aucune mutinerie, ils avaient probablement vu suffisamment de sang au cœur de cette dernière année. Mais il y eut une énorme vague de désertion dès votre premier retour aux quais de la Hune. Si bien qu’au moment de remonter sur le navire, vous n’étiez plus que trois.\r\n\r\nRaz et Bassim étaient tes plus fidèles et proches amis. De gens qui t’auraient suivi jusqu’au bout du monde. Raz était ton second, un frère d'armes et en cette époque, un ami, un frère même. Tu le pensais capable de mourir pour toi. Bassim était lui aussi un homme de confiance, tu le considérais également comme ton bras droit. Hélas, à vous trois, vous n’étiez même pas suffisamment pour lever la grand-voile d’un si imposant Galion. Piqué dans ton ego, frustré de ne pas avoir su garder ton équipage, tu prends la fragilité des hommes comme responsable et tu adresses à tes seconds un maigre sourire. « Il semblerait que ce soit la fin du voyage, vieux frères » Sans trop donner de réponse à tes camarades, tu regagnas le quai, condamnant le Widow Galley a la cale sèche. En cet instant, tu voulais juste quitter Avalon, cette cité que te ramener à ton échec en tant que capitaine n’ayant pas su garder son équipage.\r\n\r\nTu optes alors pour une vie de vagabond sur le territoire Arvandien. Tu avais toujours été féru d’objets rares et onéreux, c’était le propre de la piraterie après tout. Lors de tes pillages, tu avais déjà mis la main sur de nombreuses reliques. Ce fut bien lors de l’une des tes razzias récentes, que tu avais mis la main sur un objet épique. Une bague à l'esthétisme ancien. Couplée à ton annulaire, elle te permettait de manipuler le poison et les toxines. Tu ne pouvais vendre cet artefact, il était… Trop puissant, avec cet objet entre tes mains, tu étais persuadé de pouvoir devenir une terreur vivante, le genre de guerrier qui en vaut cent !\r\n\r\nTu errais en te remplissant les poches. Toujours à la recherche d’objets rares pour perfectionner ta panoplie. Avec l’argent de tes ventes, tu avais fait construire un puissant arc à poulie, par un maître ingénieur noctem qui avait fui le pays de la nuit. L’objet était court, mais incroyablement léger. Étudiée spécialement pour tirer les flèches magiques que tu forgeais depuis la relique sur ton doigt. Ta quête d’artefact te mena alors à Vollheim. Ce fut un sentiment étrange, que de traverser le pont qui relie les deux territoires ennemis. En regardant le fleuve Selkryssigr, tu vois dans tes souvenirs ton bateau, surplombant les autres navires de son ombre alors qu’il passait sous l’immense pont de pierre. Qu’est-ce que tu étais nostalgique de cette période où on t'appelait “capitaine”. Ce titre sonne creux en toi à cet instant. Il laisse un vide, comme une blessure encore ouverte au plus profond de ton cœur. Tu restes là, à contempler le passage de la chouche, avant de prendre une profonde inspiration. Et dans un bruyant soupir, tu seras ton arc avant d’achever ta traversée. \r\n\r\nPeut-être plusieurs années se sont déroulées en Vollheim. Et tu ne te fais toujours pas à la vie dans ce royaume. D’ores et déjà parce que tu es humain. Tu es regardé de travers lorsqu’on ne t’agresse pas directement. Heureusement qu’il n’était pas marqué sur ton visage que tu avais le sang de leur peuple sur les mains toi aussi. À errer dans les montagnes, tu en avais commencé à négliger ton apparence. En tout cas, ton visage autrefois glabre était marqués d’une barbe et tes cheveux touchaient tes épaules. Néanmoins, tu ne te trouvais pas si laid que ça ainsi. Traquant toujours ces reliques Vollhyr, c’est aux portes de Niflheim qui te croisait son chemin pour la première fois. Une mercenaire laerte au nom que tu préfères taire aujourd’hui. Elle avait ce visage froid et la moitié de son crâne rasé elle restait là, dans la neige à te fixer.\r\n\r\nEffectivement, tu aurais dû t’y attendre. Après plus d’une année à piller les richesses de Vollheim, forcément que quelques locaux allaient mettre ta tête à prix. Cependant, il ne faisait aucun doute que dans l’actuel blizzard, la draconide aurait l’avantage et tu tuerais sans que tu ne puisses réellement y faire grand-chose. Mais, même si tu n’avais plus de bateau, tu restais légalement un corsaire du moins ton esprit était toujours celui d’un marin avalonien alors tu tentas un ultime coup de bluff. Tu lui proposes alors le double du prix qu’on lui avait proposé pour te tuer. Priant que la draconide agisse plus par avarice que par réelles convictions anti-humaines. Par miracle, elle accepta de te suivre jusqu'à Handrist; où était supposé reposer l’argent que tu prétendais avoir. Elle t’avait attaché les mains avec une corde de miradalier. C’est donc lorsqu’elle resserra les liens, tu essayas de l'amadouer avec une blague graveleuse et à ta grande surprise, elle s'était montrée réceptive à ton humour si peu raffiné.\r\n\r\nTu la fis tourner en rond de la capitale géante des heures durant, jusqu’au moment où elle comprit que tu te payais sa tête. Elle annonça vouloir en finir et l'exécuter sur le champ. Mais fort heureusement, tu avais réussi, comme tu le désirais, à la traîner aux abords d’une taverne. En cette heure tardive, le lieu restait bondé de fêtards. Alors, craignant pour ta vie, tu pris tes jambes à ton coup te faufilant à travers la foule sans pour autant camoufler ce sourire orgueilleux qui te caractérise si bien. Celui qui veut dire “Eheh ! Je t’ai bien niq-”\r\n\r\nToujours étant que la laerte ne lâchait pas l’affaire. Tu racontes toujours à qui veut l’entendre que la course-poursuite durera jusqu’au petit matin. Le jeu du chat et de la souris avait tant galvaniser la dragonne qu’une fois aux lueurs de l’aube, vous vous étiez retrouvé allongés à même le sol, totalement à bout de souffle observant le ciel si rarement dégagé de Vollheim. Elle semblait s’être tellement amusée à ce petit jeu qu'à cet instant, tu ne la sentais aucunement hostile en ton égard, comme si elle avait renoncé à te tuer. Alors côte à côte, tu ne te rappelles plus de la discussion qui vous eurent… Mais une chose en est certaine, tu es encore là aujourd’hui pour raconter cette histoire.\r\n\r\nEn étais-tu resté là avec elle ? Bien évidemment que non. Si au départ, tu la suivais pour qu’elle te rende la bague magique qu’elle t’avait soigneusement dérobée avant de te passer les menottes. Durant ce temps, elle s’était prise d’affection pour toi et visiblement, c’était réciproque. Pendant les années qui suivirent, Arathia put s'offrir les services du couple de mercenaires plus ou moins original que vous formiez.\r\n\r\nPerçu comme des amants maudits, vous étiez cependant bon lorsqu’il s’agissait de remplir des contrats. Votre activité vous avait mené tous deux jusqu’aux terres nocturnes de Clara Nocte, en ces temps où les frontières elfiques perdurent close. Comme quoi, pour qu’un humain et une draconide travaillent de concert soient autorisés à passer la frontière d’argent, c’est que votre réputation était de mise.\r\n\r\nQuand bien même cela remonte à quelques années, tu te souviens encore de cette mission. Et c’est précisément pour cette raison, que tu ne préfères plus en parler. C’était l’une de ces périodes où ta relation avec ton binôme était en pente basse. Après tout, était-ce vraiment sérieux d’entreprendre un avenir avec une personne qui lors de votre première rencontre souhaitait te tuer ? Ton dos touchait déjà le sol lorsque de tout son poids, elle écrasait ta gorge avec son pied. Pourtant, tu tombais de haut. Tu ne t’attendais pas que la personne avec qui tu partageais ton lit en vienne à vouloir écourter ton séjour parmi les vivants… Certes, lors d'accès de colère, elle s’en était déjà prise à toi comme le témoignent certaines de tes cicatrices. Mais jamais elle n’était allée aussi loin. Mais finalement elle lâcha prise. Te sentant ridiculisé face à elle, tu avais préféré prendre la fuite, l’écoutant t’annoncer dans ton dos que finalement, elle aurait préféré te tuer ce jour-là. Cet évenement marqua la fin de votre collaboration, mais également de votre relation.\r\n\r\nUn sentiment d’échec constant ravageait ta vie. En tant que capitaine, tu avais échoué. En tant que compagnon, également. À quoi bon persister si tout ce que tu entreprends, tu finis tôt ou tard par être naufragé, et ce, malgré les efforts que tu y as injectés. Mais... En tant que frère, avais-tu déjà réellement échoué?\r\n\r\nAlors finalement te voici, dans la capitale Arvandienne. À l'opposé politique de ton précédent fief. Mais honnêtement, Prêteur sur gage. Était-ce vraiment la vie que tu voulais mener ? Ô Raja Winchester, nous savons tous que tu n’es pas fait pour te ranger. Si tu as rafraîchi ta coupe et rasé ta barbe, ce n’est pas pour tailler le bout de gras avec les endettés.\r\n\r\nTu étais revenu dans ton royaume natif pour te rapprocher d’Ayzio, ton frère. Aux dernières nouvelles, il avait quitté l’armée où il servait dans un régiment de paladins pour finalement former avec ses compagnons d'armes une troupe de gladiateurs Arvandien. Apparemment, les sermons de l’église et les obligations du code des chevaliers étaient trop pesants pour lui, qui ne souhaitait au final, que manier l’épée. Peut-être que se plier aux règlements n’est tout simplement pas le propre de la famille Winchester.\r\n\r\nTu t’étais rendu à l’arène, là où ils devaient combattre. Tu l’avais prévenu que tu serais dans les gradins. Même si tu ne combattais pas, tu étais stressé. Disons que ta relation avec Ayzio était en dents de scie. Les liens du sang vous aident à ne pas vous étriper lorsque vous vous êtes rencontré les fois dernières. De trop nombreuses divergences d'opinions et probablement un énorme souci de discussion vous forçait à régulièrement vous quitter en mauvais termes. À vrai dire, tu ne supportais pas d'être dans son ombre, tu voulais sans arrêt faire mieux que lui, tu n'accepterais pas d’être relégué au second plan parce que tu étais le petit frère. Alors espérons qu’aujourd’hui, tu seras capable de ravaler ta fierté.\r\n\r\nForcé de constater que l’ex paladin se bat comme un loup. Sa troupe n’était pas en reste. Sans surprises, Raz, ton ancien second d’équipage, se tenait aux côtés de ton frère. Ils étaient en cette époque de bons amis, eux aussi. Pour ces retrouvailles, là aussi, tu stressais. Raz n’avait vraiment apprécié que tu puisses dissoudre l’équipage du Widow Galley, même si vous n’étiez plus que trois.\r\n\r\nTu avais combattu ton anxiété et fort heureusement les retrouvailles s’étaient bien passées. On te confia que la troupe avait pour ambition de représenter Arvandor lors de la prochaine ordalie des cendres. Que même si d’autres groupes restaient de sérieuses menaces face à cet objectif, leur équipe figurait parmi les favorites. Or, petit bémol, il faut être cinq pour concourir.\r\n\r\nAyzio maniait l’épée avec brio. Là où Raz, fidèle à lui-même, faisait office de bulldozer. Le reste de la troupe était constitué de deux personnes d’importance pour ton frère, à savoir, son meilleur ami, un puissant illusionniste. Et la fiancée de l’ex-chevalier. Leur dernier partenaire leur ayant fait défaut, il leur manquait un cinquième combattant. Une solution fut vite trouvée !\r\n\r\nPour rejoindre la troupe du Loup d’argent, il allait te falloir une licence de gladiateur arvandien. Tu ne le savais pas encore, mais cela était très onéreux ; pratiquement le prix d’un navire flambant neuf. Et autant dire que tu étais fauché ! Après avoir quitté la vollhyr, tu te retrouvais sans le sous. Tu n’avais sur toi que ta bague pour seul objet de valeur. Alors… Tu as dû te résoudre à vendre ta relique. La vente d’un tel bien te rapporta largement de quoi couvrir ta licence et d’acheter un équipement de qualité.\r\n\r\nToi qui aimes te mouvoir aisément, tu n’es pas de ceux qui enfilent de grosses armures imposantes. Quand bien même tu trouvais ces montagnes d’acier impressionnantes. Mais dans le cadre de combat d’arène, tu savais que des coups, tu allais en prendre. Alors tu avais opté pour un entre-deux, une armure de plaque suffisamment légère pour que tu puisses courir sans trop t'essouffler. Cette armure en acier noir était forgée dans un style rappelant l’ancien régime anandien, celui de mythique âge d’or sous-marin. Ton casque était magnifique, il devait probablement représenter une créature sous-marine des contes et légendes siren d’autrefois. Quelque chose de perdu dans le temps. Ces idées mythologiques te fascinaient, tant elles portaient de mystères à ton esprit, des tas d'histoires et de reliques d'un âge perdu à découvrir…\r\n\r\nPour la première fois depuis les guerres arvandiennes, les frères Winchester étaient réunis sous la même bannière. Et cette fois-ci, ils allaient combattre ensemble. La synergie du groupe était bonne, excellente même. Il te fallut un certain temps d’adaptation pour traquer tes flèches magiques par un carquois, mais ta visée, elle, restait juste. D’un combat à l’autre, tu optais pour autre chose, en fonction de tes adversaires, tu savais lorsque tu devais troquer ton arc pour une lame fiable. \r\n\r\nCombattre au côté de Raz te remémore une myriade de souvenirs là où découvrir le style de chacun te faisait palpiter. Tu n’avais pas besoin d’être leur leader charismatique, tu n’avais qu'à montrer ce que tu vaux au plus profond de toi, à leurs côtés. Tu avais redécouvert la galvanisation d’un combat préparé à l'avance. La joie et ce sentiment de puissance après une victoire écrasante ainsi que la peine et l’envie de se surpasser lors d’une défaite cuisante.\r\n\r\nCertes, le capitaine au fond de toi se retenait de discuter les ordres. Suivre les règles, tu en es capable, mais tu as tendance à préférer lorsque c’est toi qui les a établies. Tu as besoin de commander, c’est plus fort que toi. Il t’es alors arriver de te quereller, mais lorsque la situation l’exigeait, tu as su prendre sur toi et suivre la vague. Cependant, si jamais le combat tournait au vinaigre à cause de l’une de tes suggestions non-suivies, tu n’allais pas te faire prier pour le rappeler aux autres. Hélas…\r\n\r\nMais malgré cela, l’ambiance était excellente. Les mois eux aussi passèrent et la troupe du Loup Argenté voyait sa côte montée. Vous étiez des camarades, des frères, dans tous les sens du terme. Seulement, est-ce que tout était réellement si rose ? Pas vraiment. Après un certain temps, tu remarques les enjeux intimes prenant trop de place au sein du groupe. Alors que la relation entre ton frère et sa fiancée se dégradait, d’autres en profitèrent.\r\n\r\nL’ancien membre de la troupe, celui même que tu remplaçais, était revenu de son périple à Xing Alda, les poches pleines de richesses. Il avait les fonds nécessaires pour créer une guilde de gladiateurs qui aurait accédé à coup sûr à l’Ordalie des cendres sans jamais être dans le besoin, ni avant, ni après le tournoi. Pour rejoindre cette guilde et en occuper une place de choix, il réclama aux membres de la troupe un tribut de sang. Pas n’importe lequel : le sang d’un frère, le sang de ton frère. Appâtés par l'opportunité, Raz et l'illusionniste se liguèrent contre Ayzio, usant de la magie de manipulation pour attirer l’ex-chevalier dans un traquenard, se servant de sa fiancée comme appât. C’est bel et bien ton ancien second d’équipage qui avait tenu la lame qu’ils plantèrent entre les côtes du Loup. Laissant le paladin pour mort, gisant au sol.\r\n\r\nToi, tu avais mis en garde, mais personne n’avait souhaité t’écouter. Si bien que lorsque ce drame arriva, tu étais déjà loin. \r\n\r\nQu'allais-tu faire maintenant que tu te retrouves de nouveau seul ? Il y avait bien quelque chose qui te trottait dans l’esprit, mais cela semblait fou… Quoi qu’il en était, tu voulais changer d’air. Et alors que tu t'apprêtes à quitter la capitale pour gagner le sud, un revenant vint à toi.\r\n\r\nTu savais ton frère en vie. Mais depuis sa présumée mort, il était porté disparu. Dans un sens, tu lui en voulais de ne pas t’avoir écouté, toi qui avais vu le coup se faire. Mais dans cette histoire, c’était lui la victime. Et toi qui pensais que jamais vous ne pourriez vous comprendre, tu perçois dans ses yeux la douleur de la trahison. Tu as compris que même si tes opinions n’étaient pas les mêmes sur tout, il ressentait aujourd’hui une douleur que tu avais endurée toi aussi par le passé, peut être même sa blessure était bien plus profonde que la tienne. Alors, tu avais proposé à ton frère de te suivre dans ton projet fou. Hélas, il avait d'autres plans et le sud n’était pas sa destination. Ayzio était en quête de vengeance, il était parti en vendetta contre cette guilde venue des royaumes de l’est. Il avait passé ses derniers mois à mener l'enquête. Il te parlait alors sa “liste”, contenant le nom de tous les traîtres, destinés à abrevé de sang son épée. Dans sa dernière entreprise, il avait mis la main sur quelque chose. Un sabre traque-sang détenu par un homme de main de la guilde. Connaissant ton amour pour ses petites babioles, il t’en fit don. Était-ce pour te remercier de l’avoir prévenu ? Pour s’excuser de ne pas t’avoir écouté ou par simple amour fraternel ? Tu ne sauras comment le remercier et ce furent les larmes aux yeux que vous vous étiez séparés une fois encore. Ne gardant avec toi, comme souvenir de cette époque, que ton casque de gladiateur.\r\n\r\nTon projet allait te demander du temps, mais tu juras à ton frère que s’il avait besoin d’aide dans sa chasse, tu lui prêterais ta lame pour tuer ton ancien bras droit.\r\n\r\nArrivé à Avalon, tu passes à peine une nuit dans cette ville que tu considères comme la tienne, avant de prendre la mer vers l’Empire du désert, sur un bateau commerçant. Tu avais conversé par diverses missives avec une vieille connaissance malaqii. Anivia, une sirène que tu connaissais… Plutôt bien.\r\n\r\nArrivé à bon port, tu te fis plutôt discret. C’était la première fois que tu te rendais à Al’Malaq, mais malheureusement pour toi, tu n’étais pas là pour jouer les touristes. Tu es arrivé à Evren au cœur de la nuit et tu n’allais pas prendre le temps de saluer Anivia comme il se le devait, tu comptais prendre la poudre d’escampette avant même le petit matin. Simplement, tu avais besoin de la sirène pour qu’elle se rende complice de ton petit larcin. Et c’est pour cette raison que vous vous trouvez dans ce port privé. Un petit tuyau que la malaqii avait obtenu pour tes beaux yeux. Trois beaux bateaux mouillaient dans cette réserve privée. Le plus petit d’entre eux le “Hurleur des sables” était ta cible. Une modeste caravelle impériale a la coque noire. Tu avais truffé d’explosifs les portes qui séparaient l'entrepôt à la mer de Sylve. C’est dans une bruyante explosion, priant pour que le vent gonfle les voiles que tu étais en train de déployer alors que tu hurlais tes remerciements à la sirène qui ne manqua pas de te faire savoir que désormais, tu lui en devais une.\r\n\r\nCe fut la dernière fois que tu vis Anivia. Un sourire aux lèvres, avant qu’elle ne plonge sous l’eau, usant de ses talents d’hydromancie pour t’offrir le luxe du temps, face aux éventuels gardes maritimes qui auraient voulu te prendre en filature. Contemplant alors le levé du soleil, tu mis les voiles dès ce matin, regagnant en solitaire la ville que tu avais quitté plus tôt dans la semaine. Bien que tu étais maintenant interdit de séjour sur les terres de l’empire… Tu te sentais léger. La première étape de ton plan était cochée. Tu pouvais désormais entamer, ce qui en cet instant, représentait ton plus grand désir : réformer ton équipage !\r\n\r\nTu avais mené bien des vies durant cette dernière décennie. N’ayant pas jeté ta lettre de marque, tu étais toujours considéré par les royaumes-unis d’Arvandor comme un capitaine corsaire. Simplement, tu avais hiberné ces dernières années. Alors une fois de retour à Avalon, tu t'arranges pour faire reconnaître le Hurleur des sables comme bâtiment naval appartenant légalement aux flottes Arvandiennes. Il ne s’agissait pas du premier bateau volé qui allait devenir propriété des corsaires avalonien. L’esprit de piraterie restera toujours ce qu’elle est, il suffit d’avoir les bons contacts et de suffisamment graisser la patte de l’amiral en chef.\r\n\r\nLa suite de ton périple te conduira jusqu’aux frontières de Cerah. Tu étais à la recherche de Bassim, les rumeurs du port voulaient que le malaqii se soit rendu au royaume de l’arbre. Il était sur la piste de l’une des armes gae bolga. Si tu pouvais mettre la main sur ton ancien camarade et sur un artefact de cet acabit, tu n’allais pas laisser passer cette occasion.\r\n\r\nTu longeas alors la frontière jusqu'à Solaria. L’occupation arvandienne, faisait de ce site un point d'entrée idéal. Mais arrivé au bosquet angias, tu y trouveras un territoire désertique. Les raffineries de ton royaume étaient laissées à l'abandon. Alors que tu pénétrais plus profondément dans le bosquet pour essayer de rejoindre le centre du royaume. Tu entendis une voix au loin, t’interpellant. Celle d’un homme implorant ton aide. À en juger par son uniforme, c’était un ouvrier de la raffinerie. Mais tu n’avais que faire, de venir en aide à un travailleur de sève, tu avais une mission à mener et un second à dénicher dans cette intense forêt.\r\n\r\nAlors que tu ignorais l’homme, surgissant de nulle part un autre surgit de l’arbre que tu venais d'effleurer. L’ouvrier t’avait saisi par les épaules et lui aussi réclamait ta pitié. Tu vis dans ses yeux la lueur malsaine de l’arcanite dorée. Plus de pupilles, plus d’iris, simplement le jaune malade de la folie. La braise d’or s'échappait de ses narines alors qu’il te vomissait dessus la sève que son propre corps s'était mise à sécréter. Pris d'effroi, tu le repousses d’un violent coup de pied dans le plexus solaire. Avant de prendre tes jambes à ton cou. Les infectés surgissent par dizaine autour de toi. Tous étaient en train de t’appeler. Comme si, toi, tu étais capable de les aider.\r\n\r\nTu en échappais à un, tandis qu'aussitôt, deux autres surgissaient d’un angle mort. Dans ta course effrénée pour échapper à cette contamination. Une aide inattendue allait se manifester. La voix d’une femme. Cette personne parlait calmement. Tu n’aurais pas dû l'entendre alors qu’elle s’adressait à toi si posément, tandis que tu étais dans ton effort de fuite. Pourtant, tu pouvais distinctement entendre les mots qu’elle t’adressait. C’était comme si elle te parlait directement dans ton esprit. Tu te dis alors qu’il était trop tard, que tu étais devenu fou, que cette exposition soudaine à l'arcanite dorée avait d’ores et déjà eu raison de toi. Mais n’ayant guère le choix, tu écoutas cette voix dans ta tête qui te conseilla de sauter dans le trou au pied de cette souche d’arbre mort.\r\n\r\nSur plusieurs mètres, tu glissas sur de la mousse avant de tomber sur tes fesses. Avant même de constater où tu étais arrivé. Tu pris un temps pour songer à ce qui venait d’arriver. Ces gens… L’arcanite dorée… Et finalement, la guerre contre Vollheim. C’est donc comme ça que l’on fini, après avoir été ravagé par la pierre d’or ? Tu avais vu les dirigeables Noctem largués les bombes d’arcanite sur le rivage, tu avais vu les armes de terreur utilisant cet amalgame de corruption pour tuer.\r\n\r\nRegardant à droite, puis à gauche, tu commençais à percevoir ce qu’était cet endroit. Une sorte de crypte angias ou un tombeau. Une tombe végétale ornait le centre de ce petit mausolée. La stèle, couverte de lierre et de racines, demeurait illisible. Mais au cœur même dans la tombe, avait germer une fleur. Cette fleur partageait la lueur d’or et brillait de mille feux, comme tout dans le bosquet de Solaria, mais cette lueur, bien que similaire aux autres… Tu l'as trouvée apaisante.\r\n\r\nLa voix revient à toi, te faisant sursauté. La femme ne se présenta qu’à travers cette fleur si singulière. Pas de nom, pas de titre, rien. Simplement, elle te disait lui être redevable et usait de belles paroles pour te charmer. Une chose était certaine, elle voulait que tu la cueilles et que tu l’emportes avec elle, loin de ce bosquet. Elle te promit que si tu l’aidais à fuir cette tombe et que tu la gardais à tes côtés, elle te ferait don de toute sa puissance. Aussitôt son monologue terminé, une racine poussa de la tombe jusqu’au mur de pierre. La racine avait pris la forme d’un amas de ronces aux épines d’or brisant l’architecture de cette prison sylvestre t’offrant un chemin de sortie. La femme dans la fleur avait réussi à te convaincre, sa puissance semblait inouïe !\r\n\r\nBassim allait devoir attendre. Avec la dame à tes côtés, la tournure des choses allait bousculer tous tes plans. Pour réformer ton équipage, tu allais devoir apprendre à maîtriser ces nouveaux pouvoirs avant qu’ils ne te consument de l’intérieur… Pour l'heure, il te fallait regagner Avalon."},{"name":"pseudoJoueur","value":"Raja"},{"name":"pronomsJoueur","value":"Il/him"},{"name":"TrucADire","value":"Heureux de vous ouvrir les portes de notre bébé"}