{"name":"GroupPerso","value":"claraNocte"},{"name":"ChampTitre","value":"Le savoir ne vous appartient pas, ne vous en déplaise"},{"name":"prenomPerso","value":"Yraëlle "},{"name":"nomPerso","value":"Steelsong"},{"name":"titreperso","value":"Génie de l’ombre"},{"name":"originefeat","value":"JJ Artcreation"},{"name":"nomfeat","value":"Original Character"},{"name":"iconfiche","value":"https://i.ibb.co/C5M5qvp/Icone-Yraelle.jpg"},{"name":"racePerso","value":"Beathach (chouette)"},{"name":"ageperso","value":"42 ans"},{"name":"metierPerso","value":"Ingénieure"},{"name":"LieuNaissance","value":"Iter Caedis "},{"name":"genreperso","value":"Féminin"},{"name":"pronomsperso","value":"Elle"},{"name":"orientationperso","value":"Bisexuelle "},{"name":"manicheismeperso","value":"Acédie / Paresse"},{"name":"magieperso","value":"Magie de Gravité"},{"name":"aptitudeperso","value":"Ingénierie Elfique"},{"name":"habilitesperso","value":"Lorsqu’une ville est en hauteur comme Iter Caedis, la mobilité est une option primordiale, surtout pour une jeune Beathach cherchant à apprendre de manière illégale. Voler était déjà dans ses cordes, mais la magie qu’elle développa très jeune ne fit que rajouter encore plus d’options. \r\n\r\nNon, Yraëlle semblait capable de manipuler la force de Gravité. Une déception immense pour sa jeune personne à l’époque où elle l’avait découverte. Après tout elle pouvait déjà voler, donc cela n’avait pas vraiment d’utilité que de pouvoir augmenter ou diminuer son poids non ? \r\n\r\nUne pensée puérile provenant d’une enfant qui ne connaissait pas encore bien le monde qui l’entourait. Et son ambition lui permit d’utiliser au mieux ses capacités par l’avenir… mais avant cela, elle eut besoin d’une chose : la connaissance. Celle qu’elle vola en observant les Ingénieurs d’Iter Caedis, puis ceux de Lava Proditores. Une connaissance du monde qui lui permit d’exploiter sa magie au meilleur de ses capacités. Pas au point des savants de Xing Alda, mais assez pour pouvoir avoir une mobilité sans une autre pareille, presque supérieure à celle que ses ailes lui conférait.\r\n\r\nCar changer la force de Gravité entre elle et un objet lui permettait de marcher sur les murs, et plafonds, de changer son mouvement en plein air tant qu’il y avait des objets à une distance de moins de dix mètres… Une seule limitation pour son pouvoir, elle ne pouvait pas l’utiliser sur d’autres créatures qu’elle-même, et pouvait seulement l’utiliser sur elle-même et des objets inanimés. De même, depuis qu’elle avait développé sa magie, elle n’avait travaillé que pour diminuer la gravité entre deux objets ou elle-même, ou alors augmenter la gravité jusqu’à ce qu’elle soit la même que celle du monde dans lequel elle vit. De ce fait, créer des zones de très haute gravité est quelque chose qu’elle n’a pas travaillé, et son charactère aidant, n’est pas près de développer. Trop d’efforts. \r\n\r\nElle est également capable d’utiliser ses pouvoirs de contrôle de la Gravité pour maintenir plusieurs objets en place les uns contre les autres, facilitant grandement ses travaux d’ingénierie. \r\n\r\n-----\r\n\r\nAu-delà de sa magie de Gravité, son domaine de prédilection est l’ingéniérie. Après des années d’apprentissage, observant maîtres et apprentis en train de pratiquer leur art, la Beathach a acquis des compétences que beaucoup tueraient pour avoir, la compréhension nécessaire pour pouvoir réaliser des merveilles d’ingénierie semblables à celles développées par les artisans elfes. \r\n\r\nBien entendu, n’ayant pas de fournisseurs pour les matériaux, les travaux sont beaucoup moins plaisants esthétiquement parlant que ceux des elfes, mais ils n’ont rien à leur envier au niveau fonctionnalité. \r\n\r\nTrente ans de sa vie ont été consacrés à cet apprentissage, et elle en sait désormais assez pour faire sa route de son côté et créer armes, gadgets et automates, même si cela lui prend plus de temps sans un atelier parfaitement adapté.\r\n\r\n-----\r\n\r\nL'arme principale de Yraëlle est un fusil assez rudimentaire de type fusil à pompe, lui permettant de profiter au mieux de sa très grande mobilité pour prendre de la distance et arroser de balles des cibles diverses. L'avantage massif de cette arme est qu'elle est conçue pour \"construire\" ses balles à partir de débris métalliques insérés dans la crosse. "},{"name":"tailleperso","value":"1 m 68"},{"name":"poidsperso","value":"40 kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"► A des plumes blanches partout sauf sur ses ailes, qui présentent également des plumes brunes et noires. \r\n\r\n► S’habille comme une mystique pour ne pas attirer l’attention de ceux qui veulent sa peau.\r\n\r\n► Est extrêmement agile mais très peu forte physiquement. \r\n\r\n► Enroule ses bras et jambes dans des bandages pour éviter de s’abimer les plumes lorsqu’elle travaille ou se déplace.\r\n"},{"name":"factsperso","value":"► Prend autant soin de son apparence qu’elle le peut à Iter Cardis\r\n\r\n► Est omnivore, mais préfère largement les fruits et légumes frais, bien peu présents chez elle\r\n\r\n► Il est parfois possible de la surprendre en train de chanter lorsqu’elle travaille. Elle est très peu douée pour ça. \r\n\r\n► A une grande dextérité avec ses quatre membres et sa magie, se contorsionnant parfois pour bricoler. \r\n\r\n► A une voix assez rauque pour son physique\r\n\r\n► Fait très attention car ses os sont creux, ce qui risque de les briser au moindre coup reçu. \r\n\r\n► Rêve de pouvoir s’habiller en tenue d’ingénieure pour travailler, mais sait que c’est trop risqué, gardant son déguisement de mystique. \r\n\r\n► Déteste se maquiller pour fuir mais n’hésite pas à le faire, maculant ses plumes d’une poudre sombre pour passer inaperçue si nécessaire. \r\n\r\n► A un faible pour les sucreries et les plats bien cuisinés.\r\n"},{"name":"traitcaract","value":"Paresseuse - méthodique (travail) - passionnée (travail) - calme - acerbe - orgueilleuse - moqueuse - couarde - extravertie - gourmande - n'a que peu de second degré - honnête (trop) - exigeante"},{"name":"caractereperso","value":"Yraëlle est une jeune femme complexe et qui présente deux facettes principales. La première, la plus sérieuse, est celle qu’elle aborde lorsqu’elle travaille. Sérieuse, appliquée, mettant son intelligence à contribution afin de toujours réussir ce qu’elle entreprend. Il s’agit de la jeune femme qui a passé trente ans ou presque de sa vie à voler les connaissances du peuple qui l’oppressait. \r\n\r\nElle est aussi ambitieuse qu’orgueilleuse, refusant l’échec et les demi-mesures. Tout est possible, tout est réalisable, et ce qui ne l’est pas n’est qu’un puzzle à résoudre pour atteindre ses fins, une intelligence redoutable mise au service de son ambition personnelle et des constructions qui naissent de ses doigts agiles. \r\n\r\nLe monde est à portée de ses mains… si seulement… \r\n\r\nSi seulement elle n’était pas toute autre lorsqu’elle n’avait pas un outil entre les mains ? Car plus que l’orgueil, plus que l’ambition, plus même que la diligence qu’elle met dans son travail… Yraëlle est une créature de paresse. Si elle a fait tous ces efforts, c’est dans l’optique d’en faire le moins possible à l’avenir. Après tout la vie d’une Beathach pouvait atteindre plus de deux cent ans n’est-ce pas ? Qu’étaient trente petites années d’efforts si plus des trois quarts de sa vie restants pouvaient être passés avec des assistants pour tout faire à sa place, lui laissant juste le bonheur de bricoler ses machines, ce qu’elle aimait réellement faire. \r\n\r\nTravailler intelligemment pour travailler moins. Maximum d’efficacité pour un minimum d’efforts. Voila le crédo d’Yraëlle. \r\n\r\nSocialement, cette paresse se traduit un peu différemment. Yraëlle a après tout envie de sociabiliser et de faire des connaissances, mais est une personne franche jusqu’à la limite de l’insulte, honnête au possible, n’hésitant pas à faire des remarques acerbes voire moqueuses lorsqu’elle se trouve face à des personnes qu’elle n’apprécie pas. De même, elle n’a que très peu de second degré, pensant ce qu’elle dit, et disant ce qu’elle entend. Elle ment parfois lorsque le besoin s’en fait sentir, et n’est donc pas crédule, mais lorsqu’une conversation a deux lectures ou plus, elle aura tendance à s’arrêter au premier sans réfléchir plus que ça.\r\n\r\nOrgueilleuse à la limite de l’arrogance, elle sait la qualité de son travail et n’hésitera pas à se mettre en avant lorsque nécessaire. De fait, elle attend de ses proches la même qualité que ce qu’elle fournit elle-même. Quitte à devoir travailler, autant BIEN le faire. \r\n\r\nEn combat, sa santé et sa sécurité passa avant toute chose, et elle réfléchira à ce que cela signifiera lorsqu’elle aura des personnes proches d’elle à protéger. Elle est couarde, refusant un engagement qui n’est pas d’une réussite certaine selon elle et préfèrera se repositionner ou fuir, utilisant la mobilité offerte par ses ailes et sa magie pleinement.\r\n"},{"name":"histoireperso","value":"Une naissance à Iter Caedis, une enfance dans la crasse et la pauvreté la plus absolue. Yraëlle était une enfant comme beaucoup d’autres dans les bas-fonds de la cité ghetto. Sa nature de Beathach née en ce pays était déjà une tare bien assez lourde, et être née au plus profond d’Iter Caedis, là où la lumière du jour avait du mal à percer et où la misère était le quotidien. \r\n\r\nC’est sans doute cette petite enfance difficile qui lui donna cette ambition de pouvoir vivre confortablement à l’avenir sans avoir à travailler. Une vie de noblesse fantasmée, une ambition aussi dévorante que formatrice pour sa vie future. Et la rencontre qui décida tout ? Un ingénieur de la CII accompagné d’un automate qui était en train de réparer des mécanismes dans la ville haute, alors qu’elle s’amusait comme elle le pouvait parmi toutes les constructions de bois et de métal. \r\n\r\nUn déclic, un flash dans sa tête. Avoir des automates pour l’aider… pour faire tout ce qui était épuisant dans sa vie… c’était ça une vie de luxe, non ? Son idée en tête, elle en parla à ses parents, qui ne manquèrent pas de la ramener sur Terre. Il serait impossible d’apprendre à créer ces automates… après tout, les Elfes gardaient jalousement ces technologies, et ne laissaient jamais des non-Elfes s’en emparer. \r\n\r\nMais là où ses parents cherchaient à lui éviter de la douleur et de perdre son temps, la jeune Yraëlle y vit un challenge. Elle ne pouvait pas apprendre ouvertement ? Elle se cacherait et apprendrait de manière discrète ! \r\n\r\nElle qui faisait en sorte de se nettoyer les plumes régulièrement, elle décida désormais de se les noircir volontairement pour passer inaperçue. Elle s’entraina ensuite pour maitriser sa magie de gravité, arrivant à diminuer son poids, mais également à coller aux murs et au plafond pour pouvoir se dissimuler dans les moindres recoins. \r\n\r\nCommencèrent ainsi dix ans d’observation, d’apprentissage et de vols. La jeune femme utilisa tous les moyens possibles pour apprendre, observant les ingénieurs et apprentis en train de travailler, volant livres et manuscrits pour comprendre les bases et savoir ce qu’elle faisait, avant de les remettre une fois qu’elle les avait lus dans des endroits incongrus pour faire croire qu’ils avaient été simplement perdus. Dix ans de progression, durant lesquels elle apprit les bases de cette formation et en savait assez pour passer pour une apprentie compétente. \r\n\r\nPourquoi dix ans ? Car ce fut vers ses vingt ans que la jeune femme se fit attraper. Un elfe talentueux et jaloux du nom de Calignis réussi à la repérer et manqua bien de la dénoncer aux Inquisiteurs, ne souhaitant pas partager le temps de son maître. La menace était réelle, et Yraëlle se retrouva piégée, incapable de fuir cette menace qui planait désormais au-dessus de sa tête. Elle se rabaissa donc, le suppliant de ne pas la dénoncer, indiquant qu’elle ne cherchait en rien à occuper le temps de son maître. Elle voulait juste apprendre, quitte à rester dans l’ombre. Et de manière étonnante, alors qu’elle se demandait comment elle allait faire pour se débarrasser de lui avant qu’il ne la vende, cela apaisa les tensions. \r\n\r\nDes discussions futures qu’elle eut avec lui, il avait plus de souci avec le fait qu’elle aurait potentiellement passé du temps auprès de son maître plutôt que le fait qu’elle voulait apprendre cette science qui lui était interdite. \r\n\r\nElle reprit donc ses observations et son apprentissage avec ce nouvel… allié ? C’était potentiellement le cas, mais elle voulait le moins possible dépendre de quelqu’un d’autre et donc continua sur sa lancée. \r\n\r\nLa perte de ses parents dans un éboulement quelques années après ne fit rien pour entamer sa motivation, bien au contraire. Socialement recluse, faisant ce qu’elle pouvait pour survivre, l’ensemble de sa concentration et de ses efforts était centrée sur l’apprentissage des sciences elfiques, un sujet dans lequel elle faisait preuve de plus en plus de maîtrise. \r\n\r\nEt avant que Calignis soit choisi comme artisan Royal, elle avait continué à apprendre de temps en temps auprès de lui, lui servant d’assistante quand personne d’autre n’était aux alentour pour les voir, lui offrant de l’aider pour les menues tâches tandis qu’elle apprenait elle à mettre la théorie en pratique. \r\n\r\nElle n’avait pas suivi le pourquoi de sa disparition, mais elle sut bien plus tard qu’il avait accédé à un poste prestigieux et n’était plus en poste à Iter Caedis. Dommage pour elle, mais elle en savait désormais assez pour se débrouiller. \r\n\r\nA l’âge de vingt-cinq ans, elle était capable de créer ses premiers mécanismes. A trente, sa première arme elfique fut créée, une arme qu’elle améliorera encore et encore jusqu’au temps présent. Et elle continua encore et toujours à apprendre, jusqu’à ce que l’apothéose et la damnation arrivent simultanément. \r\n\r\nC’était en l’an 75, Yraëlle avait trente trois ans. Après des mois de petits vols et de travail, son premier automate avait été construit. Une consécration, ses ambitions enfin réalisées. Et ce fut dans cette euphorie qu’elle fit une erreur. Une minuscule erreur qui eut de grandes conséquences. Elle avait oublié de vérifier que personne n’était là pour voir l’activation de l’automate. \r\n\r\nEt la personne qui la vit était une elfe, qui s’empressa de prévenir l’Inquisition. \r\n\r\nLa descente de l’Inquisition dans Iter Caedis fut impressionnante, et la Beathach dut se réfugier une fois de plus au plus profond de la ville pour leur échapper, ne devant son salut qu’au fait qu’elle avait gardé cette habitude de se poudrer les plumes de noir. \r\n\r\nSon apparence réelle n’étant pas inquiétée, l’ingénieure poussa son déguisement plus loin, arborant des tenues voyantes et de diverses couleurs, mettant ses maigres économies à contribution pour passer le plus possible pour une mystique, allant même jusqu’à ouvrir un salon de voyance pour camoufler ses activités d’Ingénieure. Car elle comptait bien mettre son expérience à profit, fabriquant et réparant des prothèses et continuant à récupérer, aussi discrètement que possible du matériel. \r\n\r\nEt si elle pouvait se déplacer hors du pays de temps en temps pour pouvoir relâcher la pression et récupérer du matériel ? \r\n\r\nTout pour sa vie rêvée… \r\n"},{"name":"pseudoJoueur","value":"Yashaan"},{"name":"pronomsJoueur","value":"Il/Lui"},{"name":"TrucADire","value":"C'est encore moi ! "}