{"name":"GroupPerso","value":"xingAlda"},{"name":"ChampTitre","value":"Catch me if you can"},{"name":"prenomPerso","value":"Zéi"},{"name":"nomPerso","value":"/"},{"name":"titreperso","value":"Terreur autoproclamée des quartiers nobles"},{"name":"originefeat","value":"Ikran Anonyme"},{"name":"nomfeat","value":"Zéi"},{"name":"iconfiche","value":"https://zupimages.net/up/23/42/zcjl.jpg"},{"name":"racePerso","value":"Beasthach gazelle de Thomson"},{"name":"ageperso","value":"22"},{"name":"metierPerso","value":"Voyou, chiffonnier, trafiquant, guide touristique autoproclamé"},{"name":"LieuNaissance","value":"Hauts quartiers de Fang"},{"name":"genreperso","value":"Masculin"},{"name":"pronomsperso","value":"Il"},{"name":"orientationperso","value":"Homosexuel"},{"name":"manicheismeperso","value":"Générosité"},{"name":"magieperso","value":"Ouïe améliorée"},{"name":"aptitudeperso","value":"Atout animal : Vitesse"},{"name":"habilitesperso","value":"Il était vrai que le voyou en question n’avait pas vraiment des compétences en combat des plus poussées. Il ne pouvait se défendre qu’avec un poignard si nécessaire, mais pas de quoi se battre efficacement contre un individu entraîné. En plus d’avoir une carrure frêle qui l’empêchait d’encaisser efficacement. Ce n’était pas pour rien qu’il préférait fuir.\r\n\r\nEt pour ça, il avait tous les atouts au point qu’il était un expert incontesté dans ce noble art qu’était la fuite. Déjà, il pouvait compter sur une très bonne ouïe pour repérer le moindre son suspect et ainsi prendre la fuite le plus vite avec une distance de sécurité satisfaisante. Ainsi, il pouvait également faire cela de manière sécurisée. Ses oreilles mobiles étaient très utiles pour cibler un son en particulier.\r\n\r\nEn tant que gazelle de Thomson, le second animal terrestre le plus rapide sans magie, Zéi était très véloce, mais pas autant qu’un guépard. Mais le petit homme-bête n’était pas totalement dénué d’avantages face à ces derniers. S’il perdait en vitesse, il était en revanche bien plus agile et endurant. Mais à condition d'être sur un sol dur. En sol mou, il était bien plus lent. "},{"name":"tailleperso","value":"1,50 m"},{"name":"poidsperso","value":"50 kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"Zéi n’est pas très grand, donc il n’est pas toujours facile de le repérer dans la foule malgré son aspect de gazelle bipède.\r\n\r\nSon pelage est typique d’une gazelle de Thomson, couleur sable avec un dos plus sombre, un ventre blanc et surtout les fameuses bandes noires obliques sur les flancs. Les yeux également sont marqués de noir. \r\n\r\nSes membres inférieurs sont ceux d'une gazelle, bien que les membres soient plus larges pour un meilleur équilibre. \r\n\r\nIl possède une petite queue typique des gazelles de Thomson qu'il agite régulièrement, sauf quand il est très inquiet.\r\n\r\nIl aime bien les piercings et en arbore aux naseaux, un à une oreille et deux à l’autre et un à chaque mamelon."},{"name":"factsperso","value":"Refusant de faire un travail difficile pour alimenter des nobles dont il estime qu'il ne font rien, il est tombé dans la petite délinquance, principalement le vol et la revente d’objets trouvés dans les ordures de chez ces mêmes nobles qu’il revend sous le manteau dans les quartiers des artisans ou hauts quartiers. \r\n\r\nIl est étonnement avenant et curieux quand il rencontre un voyageur à l’auberge. Il aura tendance à poser de nombreuses questions sur l’endroit d’où il est originaire. Connaissant bien la ville, il peut faire office de guide moyennant paiement bien sûr. Par contre, attendez vous à ce qu’il vous dresse un portrait très négatif de la noblesse de Fang. Car s’il peut pourrir leur réputation, il va pas se gêner.\r\n\r\nIl s’infiltre régulièrement dans les quartiers nobles grâce à sa petite taille pour rechercher des objets précieux dans les ordures.\r\n\r\nZéi a régulièrement une sacoche avec lui contenant tout son nécessaire pour son travail.\r\n\r\nZéi aime être en pagne. Il vient d'une famille qui ne considère pas cela comme un sous-vêtement, mais une tenue comme une autre facile à remplacer et suffisante. Mais la pudeur propre aux Aldanis le force à porter un peu plus. Il se contente d'un vieux kimono usé qu'il a tendance à porter assez lâche, voire ouvert, lui donnant une allure décontractée. Surtout dans les hauts quartiers où il fait assez chaud et qu'il est déjà poilu. Quand il fouille les ordures, il range son kimono dans son sac.\r\n\r\nLa forme de ses membres inférieurs rend le port de pantalons compliqué. Donc Zéi met des bandages pour les couvrir ses jambes. Autrement, il peut porter des pantalons amples, mais ce n'est pas très pratique pour courir si besoin. Du coup, c'est généralement quand il va au quartier des artisans pour vendre ses trouvailles qu'il porte ce genre de tenue. Il lui arrive d'être torse nu quand c'est le cas.\r\n\r\nMonsieur a ses habitudes et fréquente régulièrement une petite auberge des hauts-quartiers spécialisées dans les ramen.\r\n\r\nSi Zéi ne semble pas axé sur la romance, il n'est pas fermé à quelques relations charnelles, mais il reste exigeant sur ce point."},{"name":"traitcaract","value":"Kleptomane | Peureux | Méfiant | Routinier |Débrouillard | Haineux des riches et surtout de la noblesse | Solidaire | têtu | Empathique des plus vulnérables | Electron libre | Fasciné par le monde extérieur | Econome"},{"name":"caractereperso","value":"TW : Suicide, dépression\r\n\r\nLa nature avait fait de lui une frêle gazelle de Thomson. Donc affronter de front, c’était une mauvaise idée. Zéi n’était pas très à l’aise avec le concept de loi du plus fort dans un monde qui en faisait pourtant la promotion. Il estimait que c’était un peu facile quand on était déjà bien placé ou qu’on avait le physique pour le combat. Comme son père avait voulu tenter, il rêvait de solidarité, mais visiblement, ce n’était pas à l’ordre du jour et le venin du chacun pour soi continuait à empoisonner des classes populaires de Fang. \r\n\r\nMais il savait à qui profitait les divisions des plus précaires. Ceux qui vivaient dans l’opulence au point qu’ils pouvaient jeter n’importe quoi. En dehors de la nourriture gaspillée, c’était des objets de valeur que Zéi arrivait à trouver dans ces montagnes de déchets. Et pour ça, il haïssait ces gens qui avaient tout alors ceux comme lui devaient se battre pour survivre. Selon Zéi, ils avaient eu juste de la chance de naître au bon endroit et d’avoir été doté des bons atouts. Et se servir chez eux, il considérait ça comme légitime, un moyen de redistribuer les richesses. Il leur en voulait également pour les décès de son père et de son frère à la mine. Ainsi que sa mère qui avait finit par mettre fin à ses jours parce qu’elle ne supportait plus cet enfer. Car ce qui venait de la mine revenait majoritairement à ce qu’il voyait comme des parasites qui faisaient pas grand-chose de leur journée. Surtout lors de ses vadrouilles dans les beaux quartiers où ce qu’il avait vu des nobles était loin d’être la vie la plus pénible. Et à en entendre certains traiter les plus pauvres de feignants et d’inutiles n’aidait pas vraiment à atténuer sa rage contre ces derniers.\r\n\r\nMais au sein des quartiers nobles, tout n'était pas négatif pour Zéi, hormis les trouvailles dans les ordures. Avec le temps, il avait commencé à sympathiser avec certains domestiques avec qui il passait son temps le midi. Surtout quand ces derniers lui offraient un repas. En échange, Zéi, partageait un peu de ses recettes avec eux. Il était essentiellement avec un humain originaire d'Al'Malaq et un cluasan saro (sorte de chèvre au pelage épais). \r\n\r\nZéi savait que faire un travail honnête, quand on vivait dans les quartiers pauvres, c’était loin d’être une garantie de rester en vie. Cela lui avait valu d’entrer en conflit avec son frère qui tenait à rester dans le droit chemin, quitte à aller dans la mine. Et il en était mort. Une évènement tragique qui avait convaincu Zéi de rester dans les métiers clandestins. Pourtant, il avait en lui un sentiment de culpabilité, vis-à-vis de ce frère avec qui il s’était disputé juste avant sa disparition. Car c’était lui qui l’avait pratiquement élevé depuis la mort de ses parents. \r\n\r\nEn général, il vendait ses trouvailles chez des revendeurs douteux. Et s'il jugeait avoir été mal rémunéré et qu'on refusait de lui rendre les objets en question. Il fallait s'attendre à voir une bourse disparaître. Car Zéi avait ce petit côté rancunier.\r\n\r\nMais il était bien loin d'être radin. Il lui arrivait d'aider des gens dans le besoin avec ce qu'il gagnait, même si ça restait assez maigre. Mais il avait bien compris que la solidarité était la meilleure arme pour les faibles, malgré le fait qu'elle soit assez réduite à Fang. Il tenait cela de ses parents originaires de Cerah. \r\n\r\nZéi était également une personne assez économe, bien que s'offrant des plaisirs de temps en temps. Il préférait utiliser en général des choses seulement quand elles étaient nécessaires à un instant précis. Tout comme ne prendre uniquement ce dont il avait besoin. Encore un autre exemple du résultat de l'éducation de ses parents. \r\n\r\nZéi était assez fasciné par le monde extérieur. Dans le troquet où il avait l'habitude d'aller, Zéi écoutait les histoires des aventuriers et voyageurs qui faisaient étape et il lui arrivait de leur poser des questions sur le monde en dehors du trou. Cela lui permettait de s’évader, de penser à autre chose. Zéi rêvait de quitter ce trou et de découvrir le monde, ne pas être obligé de croupir dans un endroit où l’enfer des pauvres avait fait naître le paradis d’une noblesse parasite."},{"name":"histoireperso","value":"TW : Suicide, dépression\r\n\r\nLe ciel avait enfin prit son apparence nocturne. Une grande rivière d’étoiles (galaxie vue dans le ciel nocturne) se distinguait et un enfant demandait à son père où elle allait. Celui-ci lui indiqua qu'il ignorait où elle allait. \r\n\r\nLes parents de Zéi étaient des marchands itinérants venus de Cerah. Le grand-frère de Zéi était déjà né à cette époque et sa mère était enceinte d'un second enfant. Alors qu'ils s'étaient joints à une caravane pour traverser le désert, celle-ci fut attaquée par des bandits. Ils parvinrent tout de même à survivre et rejoindre Fang, mais ayant quasiment tout perdu. Ils s'installèrent dans les hauts quartiers. Et ils furent contraints d'y trouver du travail afin d'élever leurs enfants.\r\n\r\nZéi naquit dans les hauts-quartiers de Fang. Ici la misère régnait en maître. La vie y était difficile, mais la famille faisait ce qu’elle pouvait pour survivre. Notamment en travaillant à la mine. Car les rues pavées et pierres précieuses, les plus belles productions artisanales destinées à la noblesse avaient un prix. Car derrière le travail des artisans, on trouvait celui des mineurs qui s’attelaient quérir les précieux minerais destinés à tous les objets destinés au confort des privilégiés. Dans ces galeries étroites, les conditions de travail étaient très difficile et la sécurité n'était pas optimale malgré les efforts pour. Le père de Zéi travaillait là-bas. \r\nLes parents avaient transmis à leurs enfants quelques habitudes de leur ancienne vie à Cerah, bien qu'ils furent contraints de s'adapter à cette nouvelle vie.\r\n\r\nHeureusement pour les enfants, ils avaient la chance que l’école soit gratuite et obligatoire à Fang, mais dans les hauts quartiers, elle faisait d’avantage office de garderie pour des gosses qui avaient peu de chances d’avoir un avenir autre que dans la criminalité ou dans des emplois peu qualifiés rémunérés une misère. Zéi n’avait jamais vraiment été un très bon élève. Rêveur, esprit libre, il n’était pas des plus scolaire, malgré un intérêt pour les étoiles et les royaumes à l’extérieur du cratère. Il avait toujours en tête la volonté de voir où menait la rivière céleste, ainsi que la course du soleil. \r\n\r\nA Fang, régnait la loi du plus fort qui arrangeait ceux qui se trouvaient au sommet. Et pour cause, la solidarité entre les individus des couches les plus basses était une menace étant donné leur nombre. Donc autant continuer de les maintenir dans une situation où ils seraient contraints de penser avant-tout à leur survie au jour le jour et se battre entre eux. \r\n\r\nVers ses neuf ans, Zéi connut une première tragédie lors de la mort de son père. Une galerie de la mine s'était effondrée et l'homme avait fait partie des victimes. \r\n\r\nSa mère eut beaucoup de mal à se remettre de cette tragédie. Quand que le frère plus âgé de Zéi atteignit les dix sept ans, celle-ci décida de mettre fin à ses jours. Les deux enfants se retrouvèrent orphelins. Le cadet avait douze-ans.\r\n\r\nLe grand-frère de Zéi fut contraint de trouver un travail. Il alla donc à la mine comme son père. Il aurait voulu éviter l’endroit où ce dernier avait péri. Pendant ce temps, Zéi continuait l’école, il manquait de discipline, mais quand un sujet l’intéressait, il avait tendance à poser beaucoup de questions. Ses résultats scolaires n’étaient pas vraiment à la hauteur, surtout quand après les cours, le beasthach avait tendance à traîner dans la rue.\r\n\r\nQuand il fut en âge, Zéi rejoignit son frère à la mine. Le premier jour fut d’une grande difficulté malgré le soutien de son frangin. Le travail était difficile et le beasthach se demandait à quoi ça servait toutes ces pierres, elles ne se mangeaient pas, on ne pouvait s'habiller, ni se laver avec. Bien sûr son grand-frère lui répondit que des artisans allaient en faire de beaux objets qui feraient la gloire de Xing. Puis au moins, c’était toujours moins pire que de crever dans la rue. \r\n\r\nLes semaines passèrent, les deux frères continuaient leur travail. Le soir, ils allaient dans un troquet bon marché des hauts-quartiers. Des voyageurs fréquentaient régulièrement l’établissement. Peu à peu, Zéi commença à montrer de l’intérêt pour les histoires de ces derniers. Sur ce monde extérieur. Cela lui rappelait les paroles de son père sur des ancêtres qui parcouraient le monde. Ils étaient libres. Et lui rêvait de pouvoir rencontrer ce monde extérieur. Toujours mieux que ces quartiers miteux de Xing.\r\n\r\nMais les choses allaient changer pour Zéi. Un jour, il aperçut enfin pour la première fois le propriétaire de la mine qui ne venait que sporadiquement dans cet endroit. Celui-ci était très richement vêtu. Il avait l'air de bien gagner sa vie et n'était pas dans le genre à trainer dans les quartiers pauvres. Cela poussa Zéi à se poser la question de pourquoi il était mieux payé qu'eux alors que ce n'était pas lui qui fracassait les cailloux de sa pioche. Ce genre de chose le dégoûtait et il jugeait ça injuste.\r\n\r\nSon frère tentait de faire comprendre à Zéi qu’il ne valait mieux pas chercher d’embrouilles, dans ce monde, ils étaient faibles et ce terrain était très dangereux. A moins qu’il ne trouve un autre travail, il allait devoir continuer à la mine. Mais Zéi ne retourna pas à la mine. Il voulait en savoir plus sur le propriétaire de celle-ci, un certain Jisheng Chong. Et pour cela, il vivait dans les quartiers nobles d’après ce que Zéi avait put voir en le suivant aussi discrètement que possible. Ce fut là qu’il découvrait les quartiers nobles. Il fut révolté par toute cette opulence, cette richesses, ces vies sans contraintes et dédiées au plaisir alors que des gens comme son frère et lui se tuaient à la tâche à la mine pour des salaires bien plus bas. Et tous les minerais et pierres précieuses servaient à orner la vaisselle, les rues, fontaines et demeures de nobles qui semblaient en faire le moins possible. Car ceux qui faisaient tourner la mine étaient les ouvriers, pas des gens comme ce noble. Au final, il fut convaincu que ces gens n’étaient que des parasites et qu’il devait faire quelque chose. Il rentra chez lui et se prépara pour revenir le lendemain.\r\n\r\nIl se permit une seconde visite dans les quartiers nobles en trouvant un passage où se faufiler sans attirer l’attention des gardes. Finalement, être petit et rapide, ça avait du bon. Il profitait également de ses oreilles mobiles pour écouter les sons qui arrivaient vers lui. Piquer des bourses risquait d’être compliqué. Tandis qu’il réfléchissait, dissimulé dans un buisson, il remarqua alors un domestique jeter des ordures. Et de celle-ci, il remarqua un objet brillant. Malgré l’odeur, une fois assuré que la voie soit libre, il mit son foulard sur son museau et s’approcha prudemment et entama alors les fouilles. Quelle ne fut pas sa surprise quand il trouva une élégante coupe, bien que cabossé sertie de pierres précieuses et en or. Jetée comme ça, alors que dans les hauts quartiers, on faisait tout pour conserver les objets le plus longtemps possible et le recyclage, ainsi que bricoler pour réparer était légion. Ici, les gens jetaient comme si de rien était. Après tout, ils étaient sûr de toujours avoir la même chose en neuf qui remplacerait facilement. Un peu comme le propriétaire de la mine qui était persuadé que si un ouvrier disparaissait, il n’aurait pas trop de mal à en trouver un autre, tant les gens des hauts quartiers cherchaient désespérément du travail. Zéi observa la coupe qu’il tenait dans ses mains. Les ouvriers étaient au final comme celle-ci aux yeux du propriétaire de cette mine, des outils jetables. \r\n\r\nIl rentra chez lui. Il raconta à son frère qu’il continuait ses recherches, mais hors de question qu’il retourne à la mine. Les semaines, puis les mois passèrent. Peu à peu, Zéi se perfectionna dans ce nouveau métier clandestin dans lequel il s’était plongé. Aller dans les quartiers nobles, fouiller leurs ordures et trouver des gens à qui revendre ses trouvailles. Et quand on le payait mal ou qu’on tentait de le rouler, il se servait dans leur bourse de ce qu’il jugeait lui être dû. Il retrouvait son frère au domicile familial ou bien à l’auberge. Et celui-ci avait des soupçons sur le comportement de Zéi. \r\n\r\nEt un soir, ce dernier décida de confronter son cadet. Il lui reprocha d’être entré dans l’illégalité avec ce travail. Mais Zéi resta campé sur ses positions et refusait de pourrir dans une mine. La soirée se termina en disputes entre les deux frères. Et le lendemain, le plus âgé reparti travailler. Zéi ignorait que ça sera la dernière fois qu’il reverrait son frère en vie.\r\n\r\nIl passa sa journée comme si de rien n’était. Même s’il se sentait un peu mal pour la dispute de la veille. Surtout quand il entendit de la part des habitants des rumeurs comme quoi une mine s’était effondrée et que de nombreux ouvriers avaient été tués. Cela le rendit un peu plus anxieux. A la fin de la journée, il revint chez lui, mais quelque chose clochait, son frère était absent. Puis il alla vérifier à la taverne s’il n’était pas présent. Personne. Mais quand il revint chez lui, il remarqua un groupe de mineurs devant son domicile, la mine sombre. Il apprit alors que son frère n’était plus de ce monde. La mine s’était effondrée. Son propriétaire avait refusé d’entendre les avertissements des ouvriers et leurs craintes, les forçant à continuer le travail comme si de rien n’était.\r\n\r\nSuite à la tragédie, il n’eut aucun dédommagement, pire, il ne récupéra pas le corps de son frère afin de lui offrir des funérailles dignes. Cela le rendit encore plus en colère contre le propriétaire de la mine, ce type richissime qui n’avait rien fait pour ses ouvriers, hormis leur verser des larmes de crocodile. Zéi était déterminé à pourrir la vie de cet homme. Lors de ses tournées dans les quartiers nobles, il commença à écrire sur les murs, avec une orthographe douteuse, que ce type était un parasite.\r\n\r\nLes mois, puis les années passèrent. Suite à un incendie détruisant la demeure familiale, il fut contraint de s’installer ailleurs. Après plusieurs nuits à la rue, il parvint à trouver une petite cavité naturelle où il s’installa. De quoi avoir juste le nécessaire, ce qui suffisait à Zéi. A côté, il continuait son entreprise de revente d’objets venus des ordures des nobles. Il se faisait également une cagnotte pour un objectif futur. Car pour se changer les idées, il aimait écouter les aventuriers et voyageurs quand il était à la taverne. Et cela lui donnait de plus en plus envie de quitter ce cloaque. "},{"name":"pseudoJoueur","value":"Ikran Anonyme"},{"name":"pronomsJoueur","value":"Elle"},{"name":"TrucADire","value":"C'est mon DC !"}