Órfhlaith
La gloire est dans ce que les Dieux font de nos sacrifices. - Lundell.
Órfhlaith
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informations
Race·s
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Featuring
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Titre du joueur :
Élue de la Luxure - Le cygne de la Tour
Âge :
350 ans
Race·s :
Anarkhia
Particularités de la race :
Métisse (Celeste/Elfe)
Métier :
Élue ?
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation
Nom de l'oeuvre :
Charlie Bowater
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Choreomania
Manichéisme :
luxure
Liges :
2670
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Órfhlaith
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Órfhlaith
- message #11708
feat.
Lundell
Perdue dans tes pensées tu t’éveilles lentement, le soleil sur ta peau, tes cils cessant de mourir sur tes joues, allongée au pied de cet arbre qui semble porter le poids du monde avec pour seul matelas l’herbe tendre et grasse recouverte de ta toge que tu as détachée, simplement vêtue d’une robe légère adaptée au température. L’été est ta saison, alors tu en profites, avant de retourner te terrer dans les ténèbres des terres corrompues. Tu sembles déjà épuisée de ta quête, où est-ce la Paresse qui a déteint sur toi lors de votre union ? Et si l’instant avait été agréable et ton âme apaisée, chose qui ne fut que temporaire, tu as fini par repartir avec plus de questions que de réponses même si tu as été satisfaite.
Ici le monde semble en paix ou presque, il n’y a guère que ton esprit qui est enfermé dans un chaos tourbillonnant d’or et de corruption. Tu hésites, tu cherches, et la déesse semble si prompte à ne pas répondre à tes prières. Tes yeux dorés s’égarent sur un papillon butinant une fleur non loin de ta tête, tu l’observes avant de lui offrir ta main, il s’y agrippe et tu te redresses pour mieux l’observer, appréciant le motif de ses ailes et la couleur de ses écailles. Une impulsion de tes doigts et le voilà qui s’envole.
Tu grommelles une phrase tirée de tes enseignements religieux :
«Bénis soient ceux qui cherchent, car ils trouveront. »
Personne n’a dit quand.
Pour l’heure tu es seule, ta garde est bien loin de toi, et dans ton insolence tu aurais pu accorder une danse à ton corps en parfaite créature éhontée, tu te moques bien ne pas être seule ou même d’être vue, mais tu as autre chose en tête. Comme un peu plus de prière. Tu te sens finalement seule et remplie d’un vide que rien ne peut combler, pas même par toutes les histoires d’un jour du monde. Et cela te frustre, t’oblige à être patiente jusqu’à la prochaine fois que ton cœur sera nourrit et comblé.
Et tu enchaines du même ton monocorde :
«Bénis soient ceux qui pleurent, car ils seront consolés. »
Personne n’a dit quand.
Tu détestes infiniment la patience pour ce qu'elle te fait vivre chaque jour, tandis que tu te hisses sur tes jambes. Ennemie de toujours qui te fait attendre là où tu voudrais le règne de l’immédiat.
Tu ramasses ta couronne de laurier reposant là, les fleurs rattachées à cette dernière perdant quelques pétales qui s’envolent au vent. «Peine sur peine adviendra au croyant et c’est parce que tu crois que tu souffriras davantage en ce monde. Demeure dans la crainte et prépare toi à la souffrance car ta récompense sera grande. » Tu fais quelques pas, savourant la sensation de fourmillement s’emparant de tes jambes, sans que ça ne soit désagréable, tes pieds nus foulent le sol et tes yeux se lèvent vers la ramure de l’arbre dans un geste hautain comme si tu défiais une pitié qui n’existe que dans ta tête.
Puis un soupir s’échappe de tes lèvres, tu as cet air un peu triste qu’ont tous les amants éplorés. Tu n’as même pas encore remarqué cette présence non loin, tu es dans tes pensées et ce qui se joue là est entre toi et le divin.
Ici le monde semble en paix ou presque, il n’y a guère que ton esprit qui est enfermé dans un chaos tourbillonnant d’or et de corruption. Tu hésites, tu cherches, et la déesse semble si prompte à ne pas répondre à tes prières. Tes yeux dorés s’égarent sur un papillon butinant une fleur non loin de ta tête, tu l’observes avant de lui offrir ta main, il s’y agrippe et tu te redresses pour mieux l’observer, appréciant le motif de ses ailes et la couleur de ses écailles. Une impulsion de tes doigts et le voilà qui s’envole.
Tu grommelles une phrase tirée de tes enseignements religieux :
«
Personne n’a dit quand.
Pour l’heure tu es seule, ta garde est bien loin de toi, et dans ton insolence tu aurais pu accorder une danse à ton corps en parfaite créature éhontée, tu te moques bien ne pas être seule ou même d’être vue, mais tu as autre chose en tête. Comme un peu plus de prière. Tu te sens finalement seule et remplie d’un vide que rien ne peut combler, pas même par toutes les histoires d’un jour du monde. Et cela te frustre, t’oblige à être patiente jusqu’à la prochaine fois que ton cœur sera nourrit et comblé.
Et tu enchaines du même ton monocorde :
«
Personne n’a dit quand.
Tu détestes infiniment la patience pour ce qu'elle te fait vivre chaque jour, tandis que tu te hisses sur tes jambes. Ennemie de toujours qui te fait attendre là où tu voudrais le règne de l’immédiat.
Tu ramasses ta couronne de laurier reposant là, les fleurs rattachées à cette dernière perdant quelques pétales qui s’envolent au vent. «
Puis un soupir s’échappe de tes lèvres, tu as cet air un peu triste qu’ont tous les amants éplorés. Tu n’as même pas encore remarqué cette présence non loin, tu es dans tes pensées et ce qui se joue là est entre toi et le divin.
La gloire est dans ce que les Dieux font de nos sacrifices. - Lundell.