Subah'tan Kagon
Find your way... [Feat Viggo Hjalmarr]
Subah'tan Kagon
Subah'tan Kagon
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Race·s
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Featuring
•
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Âge :
25 ans
Race·s :
Homme-bête, Draconide
Particularités de la race :
Tigre Blanc
Métier :
Aventurier
Magie·s :
Magie Grise Légale - Astromancie - Magnétisme
Nom de l'oeuvre :
Jujutsu Kaisen
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Saturo Gojo
Manichéisme :
charité
Liges :
435
champ vide pour le json :
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Subah'tan Kagon
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Subah'tan Kagon
- message #10948
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feat. Viggo Hjalmarr
C’était le début d’une aventure et pas n’importe laquelle ! Celle de Subah’tan ! Depuis toute petit, il rêvait de voir les fabuleux paysages du monde sur lequel il vit. Loin de se douter une seule seconde que ce dernier est rongé à tel point que la désolation à frapper quasiment partout à différent niveau de gravité. Bien sûr, il sait que le monde va mal, mais il ignore à quel point et puis, c’est un éternel optimiste. Subah’tan préférait mettre ses craintes de côté et se dire que la vie ne faisait que réellement commencer pour lui, bon, ses parents n’étaient pas très rassurés eux de savoir leur unique fils courir dans la nature qui ne manquerait pas une occasion de le bouffer, de l’empoisonné, de l’emprisonner, de le torturer ou encore de le-... Bref. Au petit matin, ils se faisaient leurs au revoir, car nul ne sait quand Subah’tan repasserait par Cerah. Ils avaient peur, mais savaient qu’il n’aurait pu le retenir plus longtemps, vingt-cinq ans de confort et de protection dans le nid familial… Un jour viendrait ou l’appel de l’aventure se ferait plus bruyant et plus attirant. Ce jour est arrivé.
Il avait tout préparé la veille : ses affaires, ses rations, ses soins en cas de blessure et autre. S'il avait écouté son parent homme-bête, il aurait embarqué tout ce qui se trouve dans les placards, mais non, il faut voyager léger et utile ! Et ce fut lorsqu’il arrivera aux limites du village qu’il réalisa que sa vie allait prendre un réel tournant. Bien que quitter ce qu’on a toujours connu peut-être effrayant… Il était déterminé à vivre cette vie et à découvrir tout ce que ce monde a à offrir, même les choses les plus horribles ou difficiles à vivre. Subah’tan se doute bien que sa route ne croisera pas que celle de gens recommandables, mais c’est un risque à prendre et puis il savait un minimum se défendre. Qu’ils s’approchent les bougres, ils ne seront pas déçus ! C’est comme ça que le nouvel aventurier quitta ce qu’il a toujours connu. Jamais il n’avait été aussi loin et pourtant il s’émerveille de tout ce qui l'entour, mais il prenait soin de rester sur le chemin qu’il avait tracé sur sa carte… Ce serait vachement bête de se perdre maintenant…
Bien des heures plus tard, le crépuscule se glissa progressivement dans le ciel, c’est un signe pour Subah’tan qu’il était temps de poser un petit campement pour la nuit. Ce qui est une première… Mince, il n’est pas trop sûr du meilleur endroit, mais il opte pour un petit coin tranquille, un petit terrain plat avec une source tout près. Ce devrait être bon, pour une première nuit en tout cas, il n’était pas très rassuré et même, le confort de la maison lui manquait un peu… Mais le pire devait être la solitude, lui qui fut toujours entouré par ses parents et les gens du village… Il part en quête de bois pour se faire un feu, quand son ouïe lui rapporte des cris animaux et une voix lointaine dont il ne parvient pas à comprendre. Il abandonne ses brindilles pour courir en direction de ce raffut.
En arrivant sur place, ce qu’il voit le cloue sur place. Un homme bien plus grand que lui se battant férocement avec une créature tout aussi imposante, de mémoire, c’est un Fíorcha. Cette créature sort à la nuit tombée, mais au vu de cet instant, il semble être sorti plus tôt, car il fut dérangé, sa grotte ne devait pas être loin… Cet homme doit en être la cause et alors que Subah’tan s’apprête à user de sa magie en accourant vers l’inconnu, il trébuche malencontreusement. Quant à sa magie, elle fit son travail : grâce à sa maîtrise du Druidisme, il parvient à faire sortir une énorme racine du sol pour venir assommer la créature mais.. En chutant, il constata que la racine passa tout juste au-dessus de la tête du Fíorcha. Réalisant que son attaque fut un échec, il se releva et compris que la créature ne fut que davantage… Fâchée de voir qu’un autre intrus osait pénétrer son territoire.. Subah’tan tourna la tête vers l’inconnu tandis que la créature s’apprêta à charger ce dernier, ses yeux se mettant à briller dans la nuit qui commençait à tomber, petit à petit. «Hey ! Je viens t’aider ! Je peux utiliser la magie » Ouais, enfin, quand il ne tombe pas à la renverse comme un idiot.
Il avait tout préparé la veille : ses affaires, ses rations, ses soins en cas de blessure et autre. S'il avait écouté son parent homme-bête, il aurait embarqué tout ce qui se trouve dans les placards, mais non, il faut voyager léger et utile ! Et ce fut lorsqu’il arrivera aux limites du village qu’il réalisa que sa vie allait prendre un réel tournant. Bien que quitter ce qu’on a toujours connu peut-être effrayant… Il était déterminé à vivre cette vie et à découvrir tout ce que ce monde a à offrir, même les choses les plus horribles ou difficiles à vivre. Subah’tan se doute bien que sa route ne croisera pas que celle de gens recommandables, mais c’est un risque à prendre et puis il savait un minimum se défendre. Qu’ils s’approchent les bougres, ils ne seront pas déçus ! C’est comme ça que le nouvel aventurier quitta ce qu’il a toujours connu. Jamais il n’avait été aussi loin et pourtant il s’émerveille de tout ce qui l'entour, mais il prenait soin de rester sur le chemin qu’il avait tracé sur sa carte… Ce serait vachement bête de se perdre maintenant…
Bien des heures plus tard, le crépuscule se glissa progressivement dans le ciel, c’est un signe pour Subah’tan qu’il était temps de poser un petit campement pour la nuit. Ce qui est une première… Mince, il n’est pas trop sûr du meilleur endroit, mais il opte pour un petit coin tranquille, un petit terrain plat avec une source tout près. Ce devrait être bon, pour une première nuit en tout cas, il n’était pas très rassuré et même, le confort de la maison lui manquait un peu… Mais le pire devait être la solitude, lui qui fut toujours entouré par ses parents et les gens du village… Il part en quête de bois pour se faire un feu, quand son ouïe lui rapporte des cris animaux et une voix lointaine dont il ne parvient pas à comprendre. Il abandonne ses brindilles pour courir en direction de ce raffut.
En arrivant sur place, ce qu’il voit le cloue sur place. Un homme bien plus grand que lui se battant férocement avec une créature tout aussi imposante, de mémoire, c’est un Fíorcha. Cette créature sort à la nuit tombée, mais au vu de cet instant, il semble être sorti plus tôt, car il fut dérangé, sa grotte ne devait pas être loin… Cet homme doit en être la cause et alors que Subah’tan s’apprête à user de sa magie en accourant vers l’inconnu, il trébuche malencontreusement. Quant à sa magie, elle fit son travail : grâce à sa maîtrise du Druidisme, il parvient à faire sortir une énorme racine du sol pour venir assommer la créature mais.. En chutant, il constata que la racine passa tout juste au-dessus de la tête du Fíorcha. Réalisant que son attaque fut un échec, il se releva et compris que la créature ne fut que davantage… Fâchée de voir qu’un autre intrus osait pénétrer son territoire.. Subah’tan tourna la tête vers l’inconnu tandis que la créature s’apprêta à charger ce dernier, ses yeux se mettant à briller dans la nuit qui commençait à tomber, petit à petit. «
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Titre du joueur :
La Colère
Âge :
85
Race·s :
Draconide, Géant
Métier :
Bras armé du royaume, élu
Nom de l'oeuvre :
Zura.hell
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
OC
Manichéisme :
colère
Liges :
450
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- message #10975
feat.
Subah'tan
Cerah est étouffante. Sa chaleur et son air humide enserrent ma peau d’un carcan de moiteur désagréable. J’ai l’habitude des vent gelés du nord, aux odeurs de pin et de pierres glacées, pas de ces vagues de chaleurs oppressantes que même les dernières lueurs du crépuscule ne parviennent pas à chasser. D’un geste, je me débarrasse de ma cape que j’ai gardée jusque là, par praticité et surtout par égo, pour l’étaler au sol. Ce sera ma couche pour la nuit.
Je m’agenouille près d’un ruisseau donc l’onde est propre, claire, et merveilleusement fraîche sur mes paumes. Je m’asperge le visage et la nuque, sans prendre garde à l’eau qui me dégouline sur la poitrine et trempe mes vêtements. Un soupir de soulagement involontaire s’échappe de mes lèvres en sentant la fraicheur qui s’empare de moi. Elle est la bienvenue, après ces trois jours que j’ai passés autour de l’Orée d’émeraude, à la poursuite d’un déserteur de bonne famille qu’on a vu pour les dernière fois dans les environs. On m’a dit qu’il se faisait passer pour un maréchal ferrant itinérant venu de Volheim, et j’ai pu obtenir quelques informations allant en ce sens. Mais la piste s’arrête là.
Je reprendrai ma route demain. Pour ce soir, une nuit sur le tapis d’aiguilles de pins sèches et parfumées me semble aussi douillette qu’un lit de plumes. Mais alors que je me laisse tomber au sol, un grognement sourd me fait me remettre sur mes pieds en moins d’une seconde. D’un geste vif, je dégaine l’épée courte qui pend à mon flanc. Je ne sais pas ce que j’ai dérangé, ni si ses intentions sont agressives, mais mes yeux parcourent vivement les alentours à la recherche du moindre mouvement.
Une fois encore, le grognement arrive jusqu’à mes oreilles, plus fort cette fois. Je n’ai que le temps de me retourner pour voir deux yeux brillants émerger d’une petite grotte qu’un enchevêtrement de racines camouflait. La créature qui me bondit dessus s’annonce par des effluves de bois pourri et d’humidité. Je n’ai que le temps de lever mon épée avant qu’elle ne se jette sur moi.
Je reconnais un Fíorcha. La bête à l’air juvénile, heureusement pour moi. Je parviens à rouler sur moi-même, l’esquivant à la dernière seconde. Je me redresse d’un bond, tandis que la bête pivote pour me faire face à nouveau. Son regard plein de haine m’indique que j’ai franchi les limites de son territoire, et je sens mon visage se tordre. Ma main se ressert sur mon épée, et je bondit vers la bête avec un cri de rage, lame en avant.
Le coup aurait touché si quelque chose n’avait pas attiré mon attention à la dernière seconde, dans un coin de ma vision. Un animal ? Un homme ? Un esprit de la forêt ? La chose se brouille, tandis que presque sous mes pieds, une énorme racine jaillit, me déséquilibrant, et frôlant la créature. J’ai du mal à savoir ce qu’elle voulait cibler.
Je fais un pas de côté, profitant de la seconde de répit que m’a donné cette intervention pour tenter d’apercevoir mon nouvel ennemi. Et aussitôt que je l’identifie, un frisson me parcourt.
C’est un gosse.
Ou presque. C’est un homme.
Ou presque. C’est un individu qui se redresse, les vêtements couverts de la terre dans laquelle il vient de s’étaler. Attaque ou maladresse ? Je n’ai pas le temps de me poser la question, que déjà la bête se prépare à me charger à nouveau. Je dois riposter. Non, esquiver. Non, attaquer le premier. Mon esprit s’embrouille, perturbé par l’arrivée soudaine du nouveau venu, et par les mots qu’il me lance soudainement.
L’hésitation dure une seconde de trop. Je sens la bête qui me percute violemment, ainsi qu’une vive douleur qui me transperce l’épaule, là où sa patte avant griffue s’est abattue sans pitié. Avec un cri de douleur, je riposte, frappant maladroitement le flanc de la créature de mon épée pour lui faire lâcher prise. La lame ripe sur les poils épais et je la lâche pour saisir le poignard qui pend à ma ceinture. D’un coup sec, je l’abat sous l’épaule de la bête, qui enfin me libère avec un rugissement de colère.
Je m’extirpe hors de sa portée. La chaleur de mon sang a remplacé la fraicheur de l’eau sur mon torse. Je sens un grondement creuser mon estomac, j’imagine mes mains nues venir saisir la gorge de la créature, mes ongles en déchirer la peau, mes pieds lui écraser les os.
Et il y a l’autre. Celui qui clame pouvoir aider, mais qui n’a rien fait d’autre que de s’étaler sur le sol. Ridicule et pathétique. Je sens ma vision s’affiner, se préciser, signe que mes yeux s’obscurcissent. Il veut aider ? Qu’il aide, alors. Pour l’instant, la bête garde ses distances, sa patte blessée serrée sous son ventre.
Je me remets agilement sur mes pieds, avant de bondir vers le nouveau venu. Une rage sourde en moi me hurle de l’attraper et le jeter à la bête, mais je l’ignore en serrant les dents. Je me contente de lui saisir le bras et de le tirer violemment vers moi, mes yeux brûlants de colère fixés sur les siens.« Qu’est-ce que tu veux ? Tu cherches à me tuer ? Tu veux mourir ? » grondé-je entre mes dents serrées. Son bas paraît minuscule dans ma main, et je tressaille brièvement, avant de le lâcher comme si je m’étais brûlé à son contact. Je recule d’un pas, haletant. Quelque chose dans sa posture m’indique qu’il ne me veut en fait aucun mal, contrairement à la bête, qui semble décidée à nous attaquer à nouveau. Un sourire étire mes lèvres, alors que je me saisis d’un nouveau couteau, prêt à l’accueillir. « Tu voulais aider, non ? Alors dépêche toi, avant qu’on y passe tous les deux ! » lancé-je dans un rugissement pour couvrir la cavalcade de la charge de la créature.
Je m’agenouille près d’un ruisseau donc l’onde est propre, claire, et merveilleusement fraîche sur mes paumes. Je m’asperge le visage et la nuque, sans prendre garde à l’eau qui me dégouline sur la poitrine et trempe mes vêtements. Un soupir de soulagement involontaire s’échappe de mes lèvres en sentant la fraicheur qui s’empare de moi. Elle est la bienvenue, après ces trois jours que j’ai passés autour de l’Orée d’émeraude, à la poursuite d’un déserteur de bonne famille qu’on a vu pour les dernière fois dans les environs. On m’a dit qu’il se faisait passer pour un maréchal ferrant itinérant venu de Volheim, et j’ai pu obtenir quelques informations allant en ce sens. Mais la piste s’arrête là.
Je reprendrai ma route demain. Pour ce soir, une nuit sur le tapis d’aiguilles de pins sèches et parfumées me semble aussi douillette qu’un lit de plumes. Mais alors que je me laisse tomber au sol, un grognement sourd me fait me remettre sur mes pieds en moins d’une seconde. D’un geste vif, je dégaine l’épée courte qui pend à mon flanc. Je ne sais pas ce que j’ai dérangé, ni si ses intentions sont agressives, mais mes yeux parcourent vivement les alentours à la recherche du moindre mouvement.
Une fois encore, le grognement arrive jusqu’à mes oreilles, plus fort cette fois. Je n’ai que le temps de me retourner pour voir deux yeux brillants émerger d’une petite grotte qu’un enchevêtrement de racines camouflait. La créature qui me bondit dessus s’annonce par des effluves de bois pourri et d’humidité. Je n’ai que le temps de lever mon épée avant qu’elle ne se jette sur moi.
Je reconnais un Fíorcha. La bête à l’air juvénile, heureusement pour moi. Je parviens à rouler sur moi-même, l’esquivant à la dernière seconde. Je me redresse d’un bond, tandis que la bête pivote pour me faire face à nouveau. Son regard plein de haine m’indique que j’ai franchi les limites de son territoire, et je sens mon visage se tordre. Ma main se ressert sur mon épée, et je bondit vers la bête avec un cri de rage, lame en avant.
Le coup aurait touché si quelque chose n’avait pas attiré mon attention à la dernière seconde, dans un coin de ma vision. Un animal ? Un homme ? Un esprit de la forêt ? La chose se brouille, tandis que presque sous mes pieds, une énorme racine jaillit, me déséquilibrant, et frôlant la créature. J’ai du mal à savoir ce qu’elle voulait cibler.
Je fais un pas de côté, profitant de la seconde de répit que m’a donné cette intervention pour tenter d’apercevoir mon nouvel ennemi. Et aussitôt que je l’identifie, un frisson me parcourt.
C’est un gosse.
Ou presque. C’est un homme.
Ou presque. C’est un individu qui se redresse, les vêtements couverts de la terre dans laquelle il vient de s’étaler. Attaque ou maladresse ? Je n’ai pas le temps de me poser la question, que déjà la bête se prépare à me charger à nouveau. Je dois riposter. Non, esquiver. Non, attaquer le premier. Mon esprit s’embrouille, perturbé par l’arrivée soudaine du nouveau venu, et par les mots qu’il me lance soudainement.
L’hésitation dure une seconde de trop. Je sens la bête qui me percute violemment, ainsi qu’une vive douleur qui me transperce l’épaule, là où sa patte avant griffue s’est abattue sans pitié. Avec un cri de douleur, je riposte, frappant maladroitement le flanc de la créature de mon épée pour lui faire lâcher prise. La lame ripe sur les poils épais et je la lâche pour saisir le poignard qui pend à ma ceinture. D’un coup sec, je l’abat sous l’épaule de la bête, qui enfin me libère avec un rugissement de colère.
Je m’extirpe hors de sa portée. La chaleur de mon sang a remplacé la fraicheur de l’eau sur mon torse. Je sens un grondement creuser mon estomac, j’imagine mes mains nues venir saisir la gorge de la créature, mes ongles en déchirer la peau, mes pieds lui écraser les os.
Et il y a l’autre. Celui qui clame pouvoir aider, mais qui n’a rien fait d’autre que de s’étaler sur le sol. Ridicule et pathétique. Je sens ma vision s’affiner, se préciser, signe que mes yeux s’obscurcissent. Il veut aider ? Qu’il aide, alors. Pour l’instant, la bête garde ses distances, sa patte blessée serrée sous son ventre.
Je me remets agilement sur mes pieds, avant de bondir vers le nouveau venu. Une rage sourde en moi me hurle de l’attraper et le jeter à la bête, mais je l’ignore en serrant les dents. Je me contente de lui saisir le bras et de le tirer violemment vers moi, mes yeux brûlants de colère fixés sur les siens.
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Nom de l'oeuvre :
Jujutsu Kaisen
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Subah'tan Kagon
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Subah'tan Kagon
Subah'tan Kagon
- message #11210
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feat. Viggo Hjalmarr
Décidément, Subah’tan n’a pas de chance, mais quand même un petit plus que cet homme qui se fait presque déchiqueter par la créature. Il n’avait pas réfléchi et s’était élancé vers eux et avait fini la tête face au sol. Une maudite chute maladroite qui se répercuta sur la racine qui tristement manqua son coup et qui heureusement loupa l’homme inconnu. Subah’tan n’avait encore jamais était aux prises avec un animal sauvage, il ne se préoccupe même pas de ses vêtements sale, il faut dire qu’il a d’autre souci actuellement, il s’avance donc encore et réfléchit comme il le peut pour sortir de cette situation précaire. Bon sang, il n’aurait jamais cru voir une telle créature si proche de lui, mais sa lenteur à réfléchir et surtout agir à un coup. L’inconnu se fait attaquer et pourtant il semble tout autant plus féroce que ce Fíorcha qui, bien qu’il soit jeune, à la force et le courage de vouloir chasser ces intrus de son territoire. Il est enragé et Subah’tan à le trouill’o’mètre quasiment à zéro, mais il veut se montrer courageux et c’est pour ça qu’il ne fuit pas en laissant cet homme à son sort, bien qu’il ne le connaisse pas, il veut l’aider où du moins essayer de l’aider du mieux qu’il peut et si par cela, ils en ressortent tous les deux vivants, c’était le mieux non ?
Dire que Subah’tan n’a pas peur serait mentir et il n’est pas le genre à mentir, de plus cet inconnu ne se laisse pas intimider et quelque part, et notamment s'il en avait eu le temps, Subah’tan en aurait été très impressionné. Subah’tan en avait profité pour lui faire savoir qu’il venait l’aider, que par extension, il est un allié et non un autre nouveau problème à tuer pour cet inconnu. Qu’il utilise la magie était un plus dans leur situation actuelle, car rien en découragera le Fíorcha, enfin… Encore faut-il essayer d’être le moins maladroit possible pour tenter de l’effrayer ou au moins le maîtriser. Le tuer ? Subah’tan ne s’en imagine pas capable, il est tellement faible par rapport à cette force de la nature.. Mais à deux, peut-être qu’il y a une chance.
De toute façon, le temps compte, car la lutte n’avait pas cessé et l’homme qui fut blessé avait tout de même, comme par miracle, réussit à lui porter un premier coup plutôt bien placer au vu de la réaction du Fíorcha. Bon sang. Subah’tan s’approche de cet homme assez intimidant, désormais plus proche de lui, il constate les dégâts et ce n’est pas beau à voir.. Subah’tan n’a sans doute jamais vu autant de sang et même, n’a jamais vu une telle blessure, il en est choqué un court instant, car la prise qu’exerce la main de cet homme sur son bras et d’être ainsi tiré avec force, le surprenne si fortement qu’il en revient aussitôt à lui… Pour se faire engueuler, remarque, c’est mérité, il a été un bien piètre allié et sauveur hein. La mine bien basse et ses oreilles trahissant son origine sont bien basses aussi. «N-non ! J-je veut aider, désolé… Je- » Il cherche ses mots, essaye de s’expliquer pour ne pas avoir l’air de ce qu’il est : un type qui sort de son village avec juste ses rêves et son petit courage sous le bras… Pathétique oui. À le voir ainsi relâcher sa prise, Subah’tan n’en pense rien, mais encore une fois, en est surpris.. Pourquoi avait-il l’air d’avoir touché quelque chose de brûlant ou autre de cette façon ? Subah’tan ne dit rien et chasse les questions inutiles qui viennent à lui. La créature s’enrage toujours autant et semble gratter le sol pour indiquer qu’elle s’apprête à charger à nouveau. De son côté, Subah’tan se trouve sot et ignare. Il relève la tête quand l’étranger l’invite à aider, à nouveau, et de le faire bien cette fois. Soudainement heureux de pouvoir se rattraper, Subah’tan retire un peu de la terre qu’il a sur lui et se tourne vers le Fíorcha. « “ Oui, je veux aider ! » Assure-t-il alors qu’il entreprend de faire jaillir du sol trois racines, fines, mais d’une solidité à toute épreuve. « Je vais essayer de le maintenir immobile, vous pensez pouvoir l’abattre ? » Aussitôt dit, il reprend rapidement en voyant la bête intriguer et d’autant plus folle a la vue des racines menaçantes. « Je ne pense pas avoir assez de force pour le maintenir très longtemps. »
Dire que Subah’tan n’a pas peur serait mentir et il n’est pas le genre à mentir, de plus cet inconnu ne se laisse pas intimider et quelque part, et notamment s'il en avait eu le temps, Subah’tan en aurait été très impressionné. Subah’tan en avait profité pour lui faire savoir qu’il venait l’aider, que par extension, il est un allié et non un autre nouveau problème à tuer pour cet inconnu. Qu’il utilise la magie était un plus dans leur situation actuelle, car rien en découragera le Fíorcha, enfin… Encore faut-il essayer d’être le moins maladroit possible pour tenter de l’effrayer ou au moins le maîtriser. Le tuer ? Subah’tan ne s’en imagine pas capable, il est tellement faible par rapport à cette force de la nature.. Mais à deux, peut-être qu’il y a une chance.
De toute façon, le temps compte, car la lutte n’avait pas cessé et l’homme qui fut blessé avait tout de même, comme par miracle, réussit à lui porter un premier coup plutôt bien placer au vu de la réaction du Fíorcha. Bon sang. Subah’tan s’approche de cet homme assez intimidant, désormais plus proche de lui, il constate les dégâts et ce n’est pas beau à voir.. Subah’tan n’a sans doute jamais vu autant de sang et même, n’a jamais vu une telle blessure, il en est choqué un court instant, car la prise qu’exerce la main de cet homme sur son bras et d’être ainsi tiré avec force, le surprenne si fortement qu’il en revient aussitôt à lui… Pour se faire engueuler, remarque, c’est mérité, il a été un bien piètre allié et sauveur hein. La mine bien basse et ses oreilles trahissant son origine sont bien basses aussi. «
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Zura.hell
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
OC
Manichéisme :
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Liges :
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Viggo Hjalmarr
- message #11222
feat.
Subah'tan
J’aurais pu avoir de la compassion pour l’inconnu, si la douleur n’avait pas émoussé mon jugement. Il est tout sauf à sa place dans le tableau sanglant qui s’annonce. Est-ce un jeu pour lui ? Un récit d’aventure comme ceux qu’on peut voir dans les livres pour enfants, avec leurs monstres à occire, leurs contrées à découvrir et leurs princesses à sauver. Je vois dans ses yeux des lueurs idéalistes qui me font serrer les dents.
Ce petit gars est déjà mort.
Si le fíorcha ne le tue pas aujourd’hui, alors une autre bestiole dont il aura eu le malheur de croiser la route le fera demain. À moins qu’une compagnie de voyous de passage ne le dépouille avant de lui trancher la gorge dans son sommeil. Ou qu’il ne meurt de faim, de froid ou de maladie, seul, rongé par la corruption, interrompu dans la poursuite de ses rêves. Cela me tirerait presque une petite larme, si je n’en avais pas déjà croisé des dizaines comme lui. On ne peut jamais les sauver, peu importe à quel point on essaye.
Mais aujourd’hui, c’est ma peau que j’essaie de sauver. Mon bras gauche est engourdi, chaque mouvement transperce mon épaule d’une douleur vive. Cela me bouffe de l’admettre, mais les chances que je m’en sorte tout seul sont fines. Mes yeux se posent sur le petit gars. C’est fou comme la volonté est visible chez certains. Mais on ne gagne aucune bataille par simple volonté.
Je n’ai pas beaucoup d’espoir concernant les ronces qui s’agitent hors du sol, filant vers la créature. Elles sont à peine plus large que mon doigt, et pourtant mon sort dépendent d’elles. Pitié. Faites que ça marche.
La bête s’élance enfin, et je suis prêt à l’accueillir. Comme moi, je pense qu’elle n’a pas considéré les racines comme une véritable menace, et son regard surpris fait écho au mien lorsque ses pattes s’empêtrent dedans. Vont-elles tenir ? Pas le temps de se poser la question. Au premier signe de vacillement de la bête, je bondis, poignard en main. Je n’ai pas l’honneur d’épargner un adversaire à terre, et la garde de mon arme file à toute vitesse vers la nuque du fíorcha.
Le poignard s’abat sur l’échine de la bête dans un craquement sinistre. Ouch… j’ai mis toute ma force et tout mon poids dans cette attaque, et le contrecoup me fait trembler de la tête au pied. La douleur de mon épaule me traverse comme une lame. Autour de moi, tout est flou. Je distingue à peine la créature qui s’écroule au sol avec un rugissement de douleur, tant ma propre souffrance me fait tituber.
Je recule, d’un pas, d’un autre. Mes doigts laissent échapper mon arme, qui tombe sur le sol avec un bruit mat. Merde. Le fíorcha n’est pas mort, mais il n’en est pas loin.
Je regarde le corps de la bête étendu sur le sol. Sa nuque est brisée, et chacune de ses respirations s’étouffe dans le gargouillement de sa gorge ouverte. Et, de l’autre côté, il y a le petit gars, dont les racines inespérées m’ont presque sauvé. Je ne sais pas si j’ai envie de le féliciter ou de lui hurler dessus. S’il n’était pas apparu pour me déconcentrer, j’aurai pu maîtriser la bête sans peine et m’en sortir sans une égratignure. Cette blessure, c’est sa faute, et je veux lui faire payer. Pour ça, et pour tous les autres, qui pourtant, n’ont rien à voir avec ça.
Mon bras me rappelle à l’ordre. Ce n’est pas les moments d’utiliser un innocent pour mes désirs de vengeance. Devant moi, le fíorcha se meurt peu à peu, et je me baisse pour ramasser mon poignard.« Bien. Tu auras été utile, finalement. Il est en train de mourir, mais ça va prendre du temps. » dis-je d’une voix grondante en m’approchant du petit gars d’un pas peiné. Je lui attrape le poignet, et lui fourre dans la main mon poignard trop grand pour lui. « Vise le coeur, entre les côtes. Ou laisse le se vider de son sang, si voir les trucs souffrir c’est ton truc. Je juge pas. »
Je le lâche, et d’une poussée, je l’envoie devant la bestiole. J’aurais pu le faire moi-même, bien sûr. Je l’ai fait des centaines de fois, ma main ne tremble même plus.« Tu auras gagné ton dîner, ha h- aïe… » Mon rire m’arrache une grimace, et je serre les dents. Mes yeux ne le lâchent pas, mon visage se ferme soudainement. « Fais le. » Montre moi ce que tu as dans le ventre, petit gars.
Ce petit gars est déjà mort.
Si le fíorcha ne le tue pas aujourd’hui, alors une autre bestiole dont il aura eu le malheur de croiser la route le fera demain. À moins qu’une compagnie de voyous de passage ne le dépouille avant de lui trancher la gorge dans son sommeil. Ou qu’il ne meurt de faim, de froid ou de maladie, seul, rongé par la corruption, interrompu dans la poursuite de ses rêves. Cela me tirerait presque une petite larme, si je n’en avais pas déjà croisé des dizaines comme lui. On ne peut jamais les sauver, peu importe à quel point on essaye.
Mais aujourd’hui, c’est ma peau que j’essaie de sauver. Mon bras gauche est engourdi, chaque mouvement transperce mon épaule d’une douleur vive. Cela me bouffe de l’admettre, mais les chances que je m’en sorte tout seul sont fines. Mes yeux se posent sur le petit gars. C’est fou comme la volonté est visible chez certains. Mais on ne gagne aucune bataille par simple volonté.
Je n’ai pas beaucoup d’espoir concernant les ronces qui s’agitent hors du sol, filant vers la créature. Elles sont à peine plus large que mon doigt, et pourtant mon sort dépendent d’elles. Pitié. Faites que ça marche.
La bête s’élance enfin, et je suis prêt à l’accueillir. Comme moi, je pense qu’elle n’a pas considéré les racines comme une véritable menace, et son regard surpris fait écho au mien lorsque ses pattes s’empêtrent dedans. Vont-elles tenir ? Pas le temps de se poser la question. Au premier signe de vacillement de la bête, je bondis, poignard en main. Je n’ai pas l’honneur d’épargner un adversaire à terre, et la garde de mon arme file à toute vitesse vers la nuque du fíorcha.
Le poignard s’abat sur l’échine de la bête dans un craquement sinistre. Ouch… j’ai mis toute ma force et tout mon poids dans cette attaque, et le contrecoup me fait trembler de la tête au pied. La douleur de mon épaule me traverse comme une lame. Autour de moi, tout est flou. Je distingue à peine la créature qui s’écroule au sol avec un rugissement de douleur, tant ma propre souffrance me fait tituber.
Je recule, d’un pas, d’un autre. Mes doigts laissent échapper mon arme, qui tombe sur le sol avec un bruit mat. Merde. Le fíorcha n’est pas mort, mais il n’en est pas loin.
Je regarde le corps de la bête étendu sur le sol. Sa nuque est brisée, et chacune de ses respirations s’étouffe dans le gargouillement de sa gorge ouverte. Et, de l’autre côté, il y a le petit gars, dont les racines inespérées m’ont presque sauvé. Je ne sais pas si j’ai envie de le féliciter ou de lui hurler dessus. S’il n’était pas apparu pour me déconcentrer, j’aurai pu maîtriser la bête sans peine et m’en sortir sans une égratignure. Cette blessure, c’est sa faute, et je veux lui faire payer. Pour ça, et pour tous les autres, qui pourtant, n’ont rien à voir avec ça.
Mon bras me rappelle à l’ordre. Ce n’est pas les moments d’utiliser un innocent pour mes désirs de vengeance. Devant moi, le fíorcha se meurt peu à peu, et je me baisse pour ramasser mon poignard.
Je le lâche, et d’une poussée, je l’envoie devant la bestiole. J’aurais pu le faire moi-même, bien sûr. Je l’ai fait des centaines de fois, ma main ne tremble même plus.
Subah'tan Kagon
Subah'tan Kagon
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Âge :
25 ans
Race·s :
Homme-bête, Draconide
Particularités de la race :
Tigre Blanc
Métier :
Aventurier
Magie·s :
Magie Grise Légale - Astromancie - Magnétisme
Nom de l'oeuvre :
Jujutsu Kaisen
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Saturo Gojo
Manichéisme :
charité
Liges :
435
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Subah'tan Kagon
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Subah'tan Kagon
Subah'tan Kagon
- message #11564
Find your way...
feat. Viggo Hjalmarr
Un jeu ? disons que les jeux de Subah’tan, à l’époque où il jouait encore comme n’importe quel enfant, n’avait rien d’aussi vrai, d’aussi dangereux et à cette époque, il ne risquait pas d’y perdre sa vie, oh ça non. Alors non, il ne prend pas ça pour un jeu. En revanche, il est exact que Subah’tan est un novice, un petit bleu qui sort de sa contrée paisible et que jamais, il n’avait tué de ses mains, pas même un petit insecte qui aurait croisé son chemin. Enfin bon, en voyant cet homme bien plus grand et fort que lui à ses côtés, Subah’tan se disait qu’il aurait la chance de s’en sortir vivant ou avec quelques blessures au pire des cas. Pour l’heure, l’hybride tente sa chance et veut être une aide pour son acolyte du moment, il n’est pas doué au corps à corps cela dit, donc il laisse ça au colosse et s’essaye plutôt avec une approche à distance. Avec les lianes, il tente d’être un soutien et un allié, mais bon, il se doute que cet homme n’a que peu foi en lui et à juste titre, puisqu'à peine arrivé, il s’est vautré dans la boue, mis, il peut encore se rattraper ! Prise au piège, la créature se débat comme un bon diable et tente de se défaire tandis que Subah’tan tente de maintenir les ronces en bons états, essayant s’en cesse d’en faire pousser d’autre, car les précédentes ne tiennent pas beaucoup tant elles sont encore bien trop fines. Il tient le coup cela dit et pour un petit aventurier, il fait de son mieux, vraiment et au bout du compte, le fíorcha et l’inconnu se battent furieusement et Subah’tan ne s’approche pas, il ne veut en aucun cas être une gêne dans cette lutte acharné.
Tout se passe très vite et bientôt la créature est poignardée, à son cri de douleur, automatiquement Subah’tan plaque ses mains sur ses oreilles, ce cri est si strident et aigu, que ses pauvres oreilles ne peuvent le supporter. Heureusement, ça ne dure pas et alors qu’il se décide enfin à approcher à toute hâte l’inconnu qui semble mal en point, Subah’tan constate que tous deux sont blessés, mais par chance, le fíorcha n’en a plus pour longtemps.. Mais, à la vue de tout ce sang, ça lui serre les tripes et même s'il sait qu’il n’a pas fini d’en voir des vertes et des pas mûres, surtout du sang, que ce soit le sien ou celui des autres. Subah’tan n’est pas un sensible, mais bon, il n’est pas habitué à ce genre de vue. L’inconnu s’approche et Subah’tan se sent davantage plus petit désormais, il a l’air furieux et ça se comprend.. Quel fiasco, heureusement qu’il était là ce type, sinon… Cela aurait été pire, cela dit, Subah’tan sait bien qu’il a été un boulet dans cette affaire, même s'il est félicité d'avoir été utile, les éloges ne durent pas et même, il comprend, à la vibration de sa voix, que la colère ne l’a pas quitté. Il sursaute quand il lui met un énorme poignard, bien lourd en plus, étonné, Subah’tan relève les yeux vers lui et pas de temps pour les questions, il lui coupe l’herbe sous le pied. « Mais… » Le regard de Subah’tan va du poignard, à la créature pour revenir sur ce type bien abrupte et les bruits s’échappant du fíorcha lui glace le sang, devoir tuer une bête, c’est une première et il a peur de mal s’y prendre et s'il ne faisait qu’aggraver les choses ? « D’accord.. Je ne veux pas qu’il souffre encore plus.. » Il faut dire qu’on ne lui laisse pas vraiment le choix et puis pendant ce temps-là, le fíorcha agoni lentement et douloureusement.
Eh. Il n'est pas obligé de le pousser enfin ! il allait y aller ! Qu’il est bourru.. Subah’tan jette un regard en arrière pour l’inconnu et le voilà qui l’embête encore plus en se moquant de lui, mais bien vite, il grimace et à cela, Subah’tan sourit un peu, il ne fallait pas se moquer gratuitement comme ça ! Mais bon, encore une fois, son ton redevient bien vite plus dur et autoritaire. Bon cette fois, c'est décidé ! Il va le tuer ce fíorcha et oui, il aura gagné son dîner et même qu’après, il va soigner cet inconnu. Pris d’un soudain courage, Subah’tan marche vers la créature d’un pas déterminé et observe rapidement la situation, cherchant à faire comme il lui avait dit : vise le cœur, entre les côtes. Tenant le poignard à deux mains tant il est massif, Subah’tan se pose de façon à avoir un angle parfait, heureusement qu’il est bon à ces choses-là, puis il frappe avec toute sa force en plein cœur, finissant d’achever la créature, se prenant un peu de sang ici et là, la créature est massive et Subah’tan à côté aurait juste l’air d’un cavalier prêt de son cheval. Il reprend le poignard alors que le fíorcha rend son dernier souffle. Soulagé d’avoir réussi et que tout cela soit fini, il se tourne vers l’inconnu, tout sourire et triomphant en levant les bras au ciel. «J’ai réussi ! » Il revient vers le type qui n’avait surement pas louper une seule seconde du spectacle mmh. En tout cas, Subah’tan est bien content d’avoir prouvé un peu qu’il n'est pas aussi gauche qu’on pourrait bien le croire. « Comment va votre bras ? » Il était surement temps de désormais s'occuper des blessures avant que ça empire trop. « J'ai un petit campement pas loin, si vous n'avez nulle part où aller, vous pouvez vous joindre à moi. »
Tout se passe très vite et bientôt la créature est poignardée, à son cri de douleur, automatiquement Subah’tan plaque ses mains sur ses oreilles, ce cri est si strident et aigu, que ses pauvres oreilles ne peuvent le supporter. Heureusement, ça ne dure pas et alors qu’il se décide enfin à approcher à toute hâte l’inconnu qui semble mal en point, Subah’tan constate que tous deux sont blessés, mais par chance, le fíorcha n’en a plus pour longtemps.. Mais, à la vue de tout ce sang, ça lui serre les tripes et même s'il sait qu’il n’a pas fini d’en voir des vertes et des pas mûres, surtout du sang, que ce soit le sien ou celui des autres. Subah’tan n’est pas un sensible, mais bon, il n’est pas habitué à ce genre de vue. L’inconnu s’approche et Subah’tan se sent davantage plus petit désormais, il a l’air furieux et ça se comprend.. Quel fiasco, heureusement qu’il était là ce type, sinon… Cela aurait été pire, cela dit, Subah’tan sait bien qu’il a été un boulet dans cette affaire, même s'il est félicité d'avoir été utile, les éloges ne durent pas et même, il comprend, à la vibration de sa voix, que la colère ne l’a pas quitté. Il sursaute quand il lui met un énorme poignard, bien lourd en plus, étonné, Subah’tan relève les yeux vers lui et pas de temps pour les questions, il lui coupe l’herbe sous le pied. «
Eh. Il n'est pas obligé de le pousser enfin ! il allait y aller ! Qu’il est bourru.. Subah’tan jette un regard en arrière pour l’inconnu et le voilà qui l’embête encore plus en se moquant de lui, mais bien vite, il grimace et à cela, Subah’tan sourit un peu, il ne fallait pas se moquer gratuitement comme ça ! Mais bon, encore une fois, son ton redevient bien vite plus dur et autoritaire. Bon cette fois, c'est décidé ! Il va le tuer ce fíorcha et oui, il aura gagné son dîner et même qu’après, il va soigner cet inconnu. Pris d’un soudain courage, Subah’tan marche vers la créature d’un pas déterminé et observe rapidement la situation, cherchant à faire comme il lui avait dit : vise le cœur, entre les côtes. Tenant le poignard à deux mains tant il est massif, Subah’tan se pose de façon à avoir un angle parfait, heureusement qu’il est bon à ces choses-là, puis il frappe avec toute sa force en plein cœur, finissant d’achever la créature, se prenant un peu de sang ici et là, la créature est massive et Subah’tan à côté aurait juste l’air d’un cavalier prêt de son cheval. Il reprend le poignard alors que le fíorcha rend son dernier souffle. Soulagé d’avoir réussi et que tout cela soit fini, il se tourne vers l’inconnu, tout sourire et triomphant en levant les bras au ciel. «
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