{"name":"GroupPerso","value":"arvandor"},{"name":"ChampTitre","value":"Capucine Dumoulin - en avant pour l'aventure !"},{"name":"prenomPerso","value":"Capucine"},{"name":"nomPerso","value":"Dumoulin"},{"name":"titreperso","value":""},{"name":"originefeat","value":"Safyana for u/Rose_Belmont par Tobin David Lee, alias u/theacidrain"},{"name":"nomfeat","value":"OC"},{"name":"iconfiche","value":"https://zupimages.net/up/24/33/io22.png"},{"name":"racePerso","value":"Humaine"},{"name":"ageperso","value":"19 ans"},{"name":"metierPerso","value":"Aspirante aventurière"},{"name":"LieuNaissance","value":"Rochebourg, Royaume Uni d'Arvandor"},{"name":"genreperso","value":"Femme"},{"name":"pronomsperso","value":"Elle/la"},{"name":"orientationperso","value":"Inconnue"},{"name":"manicheismeperso","value":"Diligence"},{"name":"magieperso","value":"Téléportation"},{"name":"aptitudeperso","value":"Mains conquérantes"},{"name":"habilitesperso","value":"+ Téléportation : il existe une vieille légende locale que les anciens évoquent avec moult trous de mémoire et grattements de tête. Cette légende évoque un ancien seigneur local de [censuré], grand amateur de magie, qui aurait mis au point un moyen de visualiser le monde comme un ensemble de chambres spirituelles auxquelles accéder à volonté en imaginant une clé idoine. Tout ce qui, dans l'imaginaire collectif, pouvait faire office de passage entre deux lieux, étaient un portail potentiel : porte, fenêtre, trappe, terrier du lapin blanc, trou des latrines... Mais il lui fallait avoir un souvenir net dudit lieu ; tout endroit à demi-oublié voire jamais visité était inaccessible, à moins de le visualiser parfaitement, par exemple à l'aide d'un artefact magique. De plus, plus l'endroit était éloigné et/ou de grande renommée, plus il lui fallait trouver un portail digne de ce nom. Enfin, si le passer n'avait pas plus de conséquence que de passer le pas d'une porte, l'ouvrir avait un coût aléatoire, décorrélé de la distance ou de tout autre variable logique, ce qui rendait la téléportation de ce seigneur une science hasardeuse. La légende raconte qu'il parvint à mettre au point un moyen de transmettre son pouvoir mais que, ce faisant, une tragédie lui serait arrivé.\r\nCapucine a déjà entendu cette légende et, si elle l'a remisée dans un coin de son esprit, il n'en reste pas moins qu'elle aimerait bien mettre la main sur un tel pouvoir. Cela lui permettrait de ne plus être une humaine sans aucune magie. Mais, en attendant, elle va devoir se contenter des longues randonnées et d'ampoules aux pieds.\r\n\r\n+ Mains conquérantes : comme n'importe quel enfant de son âge, Capucine était excitée comme une puce lorsque les caravanes de chevaleries passaient à Rochebourg, distribuant des épées en bois pour leur donner des leçons d'escrime dans l'espoir de dénicher les futurs champions du Royaume. Elle a même participé à quelques joutes d'innocence, qui réunissaient tous les enfants désireux de mettre leur habileté à l'épreuve sous le regard fier et indulgent de leurs parents ; événement qui servait d'amuse-bouche pour les vraies épreuves d'un tournois à Rochebourg. Elle n'en a jamais vraiment gagné, mais elle avait un bon niveau."},{"name":"tailleperso","value":"175 cm"},{"name":"poidsperso","value":"65 kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"+ Capucine a une corpulence dans la moyenne. Elle n'est pas très athlétique mais quelques muscles se cachent sous sa peau encore neuve.\r\n+ Elle a les cheveux châtains, longs jusqu'à hauteur du buste, qu'elle attache le plus souvent.\r\n+ Ses yeux sont noisette.\r\n+ Ses vêtements sont peu nombreux et fonctionnels : chausses en laine, braies, chainse en chanvre, doublet, gambison, pelerine, etc.\r\n+ Sa voix est claire et teintée d'un léger grain, surtout lorsqu'elle rit."},{"name":"factsperso","value":"+ Capucine trouve les clowns séduisants et assume ses goûts.\r\n+ Elle est plutôt bonne équilibriste, mais ne saute pas très haut.\r\n+ Elle n'a jamais goûté du beurre salé car ses parents trouvaient cela snob.\r\n+ Un jour, un de ses grands-frères lui a dit qu'Elysium volait grâce à des cerveaux de pterasaurolophi en bocal et elle n'a jamais songé à remettre cela en question depuis.\r\n+ Elle a déjà fait dans ses chausses de rire."},{"name":"traitcaract","value":"Candide, indépendante, curieuse"},{"name":"caractereperso","value":"Capucine a vécu toutes ses jeunes années à Rochebourg. Tout ce qu'elle sait - ou croit savoir - du reste du monde, elle le tient des colporteurs, des troupes d'amuseurs, des vétérans et de quelques originaux qui auront croisé sa route. Pleine d'a priori, un peu superstitieuse et fort ignorante des coutumes des autres nations, voire des autres régions d'Arvandor, ses origines roturières sont clairement visibles dans son langage comme dans son attitude générale.\r\n\r\nElle est consciente de son ingénuité et la met sur le compte d'une vie trop bien rangée, monotone. Vivre au domicile familial et devoir écouter les sermons de ses parents qui la veulent mariée et mère le plus tôt possible n'était plus au goût de Capucine, mais dépendre du bon vouloir d'un maître d'apprentissage, puis d'un maître de guilde, n'était pas une perspective des plus réjouissantes non plus. Explorer le monde, c'est aussi un moyen de s'affirmer et de se savoir exister en celui-ci. Plus elle apprendra de connaissances et de savoirs-faire, plus elle sera sa propre maîtresse. Capucine veut être capable de se débrouiller par elle-même. Elle sait qu'elle pourrait le faire. Il ne manque plus qu'à se lancer.\r\n\r\nMais enfin il faut l'avouer, il y a aussi une raison toute simple pour laquelle elle part à l'aventure : c'est une fieffée curieuse. Certains disent qu'il s'agit d'un vilain défaut, mais elle n'en a cure. Elle veut voir du paysage, goûter des mets dont sa langue ne connaît les pareils, rencontrer des personnes intéressantes et, pourquoi pas, dépoussiérer certains vieux secrets enterrés sous les terres d'Arathia. Devenir une aventurière renommée n'est pas seulement un exutoire pour elle : c'est une vocation."},{"name":"histoireperso","value":"Capucine Dumoulin est née le jour du solstice d'été de l'an de grâce 66 au sein d'une famille de meuniers et d'artisans, dans un humble village situé au sommet d'une colline à quelques minutes de marche à l'ouest de Rochebourg. Elle vécut une enfance paisible, marquée uniquement par la mort d'une sœur aînée et d'un frère cadet, tous deux emportés par la Brigade de la guérison. Son enfance fut également placée sous le signe de l'invincibilité arvandienne, le Royaume annonçant coup sur coup ses victoires contre les vollhyrs et les célestes. Elle était admirative du Roy et de son Gouvernement. Plus tard, cela devrait changer quelque peu avec l'invasion du Cerah sans casus belli. Mais, pour le moment, elle voulait devenir chevalière. Ses parents en avaient décidé autrement.\r\n\r\nA l'époque, la foi aveugle dans l'ingéniosité arvandienne, capable de maîtriser des technologies noctemes et de les utiliser à des fins innovantes, donnait aux humbles gens l'espoir d'un essor économique lié au développement et à la commercialisation desdites technologies. Tout le monde fantasmait un cadre de vie toujours plus confortable et des opportunités de s'enrichir pour transcender leur condition. Les parents de Capucine lui répétaient sans cesse « T'en as dans la caboche, 'Pupuce, si tu veux pas finir meunière comme nous, alors tâche d'obtenir un apprentissage dans le domaine de la machinerie, ou que sais-je. Tu seras enrôlée à bord d'un des nouveaux aéronefs que l'Armée aura fait construire d'ici là. Ensuite, si tu travailles dur et que tu ne ménages pas tes méninges, tu pourras passer... Comment on appelle ça, déjà ? Ingénieure, c'est ça ! Tu passeras ingénieure et à toi les portes de la cour. Tu travailleras tranquillement dans un cabinet et tu auras des assistants, des valets et des camérières. Il ne te restera qu'à prendre toi-même des apprentis et tu n'auras plus à travailler jusqu'à la fin de tes jours. Fais nous confiance ! »\r\n\r\nAlors elle leur fit confiance, car l'idée du confort lui était agréable. Elle avait appris ses lettres et sa mathémologie mais, le reste du temps, elle le passait à jouer dans les bosquets qui étaient sûrs ou dans les champs avec ses amis, quand elle n'aidait pas au moulin. Faute d'avoir été recommandée par un courtisant d'Arvandor, elle ne devint jamais machiniste ou que sais-je. Et les autres aéronefs ne furent jamais construits. Elle décrocha toutefois un apprentissage chez Pélissier et Beaubouillon, la plus renommée serrurerie de Rochebourg et une des plus renommées du Royaume. Elle y fit bonne impression, courtoise, studieuse et diligente. Sans être un prodige, elle faisait du bon travail et comme il se trouvât qu'elle était d'un tempérament plus accommodant que celui des prodiges, on lui promit des commandes et lui donna quelque cours d'Extension spatiale, afin qu'elle puisse plus tard prendre ses quartiers dans le bureau d'étude et d'application arcaniques. On lui accorda même quelques liges par semaines.\r\n\r\nL'avenir s'annonçait doux pour la jeune Capucine Dumoulin. Mais en montant des serrures, en les réparant ou concevant de nouvelles, elle prit lentement et douloureusement conscience d'une chose : elle n'était pas faite pour cette vie-ci. Les bois et les champs lui manquaient ; courir, sentir le vent dans ses cheveux, dormir à la belle étoile, faire un feu derrière une souche, aller courir les pyjaks dans l'espoir de trouver un trésor pour finalement tomber sur des champignons, entrer dans des bâtisses abandonnées sans se faire repérer ; tout cela lui manquait terriblement. De plus, elle voulait découvrir le monde. Elle voulait visiter Cerah et les oasis luxuriantes d'Al Malaq, elle voulait savoir quel goût avait le vin de noctaris et découvrir les folles constructions de Lava Proditores.\r\n\r\nElle voulait découvrir tout cela et plus encore. Des secrets enfouis, des artefacts perdus, des légendes oubliées. Elle voulait protéger un village d'une ancienne malédiction, rencontrer la Gente dorée et ce peuple de célestes dont les ailes sont semblables à celles des libellules. Il y avait tant à faire et elle faisait si peu. C'est la raison pour laquelle Capucine résolut un soir, le cœur fendu mais l'esprit ferme, d'écrire une lettre à sa famille, pour lui expliquer ce qu'elle ressentait, ainsi que ses intentions, qu'elle imbiba de quelques larmes et d'un au-revoir incertain. Elle glissa la même nuit sa lettre de renonciation sous la porte de son maître d'apprentissage, ainsi que de gentils mots pour le remercier de tout ce qu'il lui avait apportée. Elle fit son balluchon et, au petit matin, s'en alla au marché avec toutes ses économies pour acheter tout ce dont elle aurait besoin pour le voyage ; de quoi se défendre, quelques vivres et un âne sénile. Quel voyage ? Elle ne savait même pas où elle se rendrait, pas plus que comment. Mais elle savait une chose : c'est l'aventure qui l'attendrait au bout du chemin !"},{"name":"pseudoJoueur","value":"Wex"},{"name":"pronomsJoueur","value":"Il/lui"},{"name":"TrucADire","value":"Merci d'avance pour la modération."}