Ariel de Sylve
running from the daylight.
Ariel de Sylve
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Armure du Lycaon.
Âge :
45 ans.
Race·s :
Siren
Particularités de la race :
• Sirène
Métier :
Chevalier saint (Lycaon), Ménestrel ambulant
Magie·s :
Magie Élémentaire - Élémentaire - Hydromancie
Nom de l'oeuvre :
OC (personnel)
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Ariel
Manichéisme :
diligence
Liges :
1200
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Armure du Lycaon.","age":"45 ans.","races":"Siren","metier":"Chevalier saint (Lycaon), Ménestrel ambulant","magies":"Magie Élémentaire - Élémentaire - Hydromancie","manicheisme":"diligence","taille":"1m80","poids":"65kg","orientation":"Pan.","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1253-when-does-a-ripple-bec","nomdeloeuvre":"OC (personnel)","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Ariel","icon":"https://i.servimg.com/u/f30/18/70/23/91/ariel_24.png","iconalt":"","autrescomptes":"[color=#E85968]Víkka[/color] ; [color=#52ACCC]Dandelion[/color]"}
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Ariel de Sylve
- message #11232
running from the daylight.❞
feat. alberich .
Ananda n'est pas une contrée hospitalière, à des années-lumières des auberges chaleureuses qu'il a l'habitude d'animer et des forêts luxuriantes qu'on lui demande d'arpenter.
Mais l'un des siens s'y trouve, et le manque de nouvelles, même après son intronisation au sein de la table des Sept, l'inquiète.
Le voyage ne servait pas qu'à localiser le Chevalier, n'était qu'un arrêt -détour- avant de se rendre dans les contrées noctem, mais si cela pouvait lui permettre de faire taire le sentiment désagréable qui l'habitait depuis qu'il avait mis les pieds à Amsupolis, s'aventurer dans les marais pour suivre la trace de son comparse n'était pas un problème.
Les informations grappillées auprès des dépéris, couplées aux indications des plus braves d'entre eux, avaient suffit à le convaincre que l'entreprise n'était pas une mauvaise idée : eux non plus, ne l'avait pas vu depuis quelque temps.
S'était mis en route, Ariel, armé d'une détermination et d'un sérieux qu'il ne réservait habituellement qu'à la Mission.
La Cathédrale se dresse au loin, et son regard balaie les ruines qui tapissent ses alentours — exhale, cherche à reprendre son souffle malgré l'air vicié.
L'une de ses bottes cogne l'un des cadavres d'une bestiole abominable quand il s'avance, et le bruit spongieux lui tire une grimace, s'accentue face à l'odeur de décomposition qui s'en dégage, se mêle à la cacophonie olfactive qui l'assaille.
Son dégoût est palpable, mais les corps marqués des profondes lacérations sont un bon signe.
Est sur la bonne voie.
Ne reste qu'à espérer qu'il ne s'est pas aventuré plus loin.
Suit les empruntes laissées par son comparse, toutefois à l'affût d'un bruit ou d'une ombre dans son champ de vision, se sait en danger, proie pour la faune environnante.
Elles le mènent à un bâtiment à moitié effondré, perçoit la respiration bruyante et laborieuse, sans même le voir.
Le siren grimpe les décombres, à défaut de pouvoir emprunter la porte bloquée par une colonne qui s'est affaissée il y a une éternité, jette un oeil à l'ouverture suffisamment large pour accommoder la carrure imposante du Chevalier.
—Alberich ?
Soufflé dans la pénombre.
Doit plisser les yeux, attendre que ces derniers s'habituent à la noirceur pour finalement observer sa silhouette et les spasmes qui l'agitent.
S'empresse de s'engouffrer dans les vestiges, sans s'approcher tout de suite.
Force d'habitude.
—Ce n'est que moi, d'accord ?
Se veut rassurant, Ariel.
—Ça va aller.
Conviction.
Mais l'un des siens s'y trouve, et le manque de nouvelles, même après son intronisation au sein de la table des Sept, l'inquiète.
Le voyage ne servait pas qu'à localiser le Chevalier, n'était qu'un arrêt -détour- avant de se rendre dans les contrées noctem, mais si cela pouvait lui permettre de faire taire le sentiment désagréable qui l'habitait depuis qu'il avait mis les pieds à Amsupolis, s'aventurer dans les marais pour suivre la trace de son comparse n'était pas un problème.
Les informations grappillées auprès des dépéris, couplées aux indications des plus braves d'entre eux, avaient suffit à le convaincre que l'entreprise n'était pas une mauvaise idée : eux non plus, ne l'avait pas vu depuis quelque temps.
S'était mis en route, Ariel, armé d'une détermination et d'un sérieux qu'il ne réservait habituellement qu'à la Mission.
La Cathédrale se dresse au loin, et son regard balaie les ruines qui tapissent ses alentours — exhale, cherche à reprendre son souffle malgré l'air vicié.
L'une de ses bottes cogne l'un des cadavres d'une bestiole abominable quand il s'avance, et le bruit spongieux lui tire une grimace, s'accentue face à l'odeur de décomposition qui s'en dégage, se mêle à la cacophonie olfactive qui l'assaille.
Son dégoût est palpable, mais les corps marqués des profondes lacérations sont un bon signe.
Est sur la bonne voie.
Ne reste qu'à espérer qu'il ne s'est pas aventuré plus loin.
Suit les empruntes laissées par son comparse, toutefois à l'affût d'un bruit ou d'une ombre dans son champ de vision, se sait en danger, proie pour la faune environnante.
Elles le mènent à un bâtiment à moitié effondré, perçoit la respiration bruyante et laborieuse, sans même le voir.
Le siren grimpe les décombres, à défaut de pouvoir emprunter la porte bloquée par une colonne qui s'est affaissée il y a une éternité, jette un oeil à l'ouverture suffisamment large pour accommoder la carrure imposante du Chevalier.
—
Soufflé dans la pénombre.
Doit plisser les yeux, attendre que ces derniers s'habituent à la noirceur pour finalement observer sa silhouette et les spasmes qui l'agitent.
S'empresse de s'engouffrer dans les vestiges, sans s'approcher tout de suite.
Force d'habitude.
—
Se veut rassurant, Ariel.
—
Conviction.
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Race·s
•
Featuring
•
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Titre du joueur :
Armure du Buffle
Âge :
348 ans
Race·s :
Homme-bête, Maudit
Particularités de la race :
Darragh
Métier :
Chevalier Saint
Magie·s :
Magie Grise Légale - Bestiale - Langue sauvage
Nom de l'oeuvre :
Elden Ring
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Maliketh
Manichéisme :
colère
Liges :
550
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Armure du Buffle","age":"348 ans","races":"Homme-bête, Maudit","metier":"Chevalier Saint","magies":"Magie Grise Légale - Bestiale - Langue sauvage","manicheisme":"colère","taille":"232cm","poids":"140kg","orientation":"Selon l'instinct","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1358-alberich-preying-on-yo","nomdeloeuvre":"Elden Ring","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Maliketh","icon":"https://zupimages.net/up/24/34/r2us.png","iconalt":"","autrescomptes":"Varin\nAmset"}
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- message #11236
feat.
Ariel
Il a mal. Beaucoup trop mal.
Oh il a l'habitude de souffrir, c'est pas le soucis. Si on retirait les poils, on verrait sûrement plus de cicatrice que de peau.
Mais là, c'est pas pareil.
C'est un de ces moments là.
Il a mal. Vraiment trop.
Sa malédiction frappe encore, il reconnaît cette sensation affreuse de brûlure, aussi bien sur son derme que dans tout son être. Comme si tout en lui était en train de se consumer. Parfois c'est léger, ça ne dure que quelques instants. Parfois c'est quelques heures.
Là il en sait rien. Trois jours ? Peut-être plus. Sûrement plus. Il avait vu le soleil se coucher plusieurs fois, entre les quelques réveils malades du Chevalier Saint. La douleur s'est déclenchée après qu'il ait tué quelques bestioles, là dehors. Sans crier gare. Une douleur violente, si forte qu'il n'était pas sûr de réussir à se mettre à l'abri.
Les ronces sur son corps se sont durcies sous la douleur, perçant sa peau et ajoutant à la brûlure déjà ardente.
Il a très soif. Et trop mal pour remuer, presque tétanisé par la douleur tandis que son corps se bat contre lui-même.
Il a eu à manger au moins, se nourrissant sur la carcasse d'une créature maudite qui pensait pouvoir venir l'achever et qu'il avait abattue. Elle avait un goût absolument affreux, presque comme de la cendre, mais au moins il avait pu manger.
Est-ce que la douleur allait partir, un jour ?
C'était déjà une chance qu'il ait pu se mettre à l'abri loin des meutes de créatures opportunistes, là, près de cette cathédrale étrange et ancienne. Lui est dans une ruine non loin. Sûrement une ancienne annexe du lieu saint, à en juger les plafonds hauts et travaillés. Le toit est partiellement effondré et Alberich aurait pu jurer avoir vu des oiseaux s'y poser pour voir s'ils pouvaient le becqueter.
Tout ici veut la mort de tout ce qui vit.
Couché sur la pierre froide, sur le flanc, Alberich essaie de faire un peu le tri dans ses pensées, de chasser l'animal en lui pour songer de façon plus humaine, plus stratégique. Il a besoin de trouver à boire, et à manger aussi. Au cas où ça dure encore longtemps.
Et puis...
Un bruit.
Des pas ?
Un humain.
Il renifle, essayant de se repérer à l'odorat étant donnée sa vue abimée par la malédiction.
Et puis une voix qui l'appelle. Il le connaît. Cette voix...
- Ariel ?
Sa voix déjà rauque d'ordinaire l'est encore plus à cause de la soif. Pourtant, rien que de savoir qu'il n'est plus seul et que l'autre Chevalier Saint est là lui fait profondément du bien. Les ronces quittent sa peau et il parvient à calmer un peu sa respiration. Il tourne la tête vers son compagnon, observant sa silhouette dans l'obscurité partielle des lieux.
- J'ai soif...
Qu'il grogne entre ses crocs. Ariel a toujours été agréable avec lui, sans le traiter différemment d'un humanoïde normal. Il faut dire, c'est ce qu'il aime chez les Chevaliers Saints : il s'y sent comme dans une nouvelle famille. S'il peut y avoir des taquineries, il n'a jamais été moqué, n'a jamais effrayé quelqu'un par son apparence, n'a jamais été traité de monstre. Il est Alberich, pour eux, pas une aberration. Un peu de baume sur son cœur las de cette vie.
Oh il a l'habitude de souffrir, c'est pas le soucis. Si on retirait les poils, on verrait sûrement plus de cicatrice que de peau.
Mais là, c'est pas pareil.
C'est un de ces moments là.
Il a mal. Vraiment trop.
Sa malédiction frappe encore, il reconnaît cette sensation affreuse de brûlure, aussi bien sur son derme que dans tout son être. Comme si tout en lui était en train de se consumer. Parfois c'est léger, ça ne dure que quelques instants. Parfois c'est quelques heures.
Là il en sait rien. Trois jours ? Peut-être plus. Sûrement plus. Il avait vu le soleil se coucher plusieurs fois, entre les quelques réveils malades du Chevalier Saint. La douleur s'est déclenchée après qu'il ait tué quelques bestioles, là dehors. Sans crier gare. Une douleur violente, si forte qu'il n'était pas sûr de réussir à se mettre à l'abri.
Les ronces sur son corps se sont durcies sous la douleur, perçant sa peau et ajoutant à la brûlure déjà ardente.
Il a très soif. Et trop mal pour remuer, presque tétanisé par la douleur tandis que son corps se bat contre lui-même.
Il a eu à manger au moins, se nourrissant sur la carcasse d'une créature maudite qui pensait pouvoir venir l'achever et qu'il avait abattue. Elle avait un goût absolument affreux, presque comme de la cendre, mais au moins il avait pu manger.
Est-ce que la douleur allait partir, un jour ?
C'était déjà une chance qu'il ait pu se mettre à l'abri loin des meutes de créatures opportunistes, là, près de cette cathédrale étrange et ancienne. Lui est dans une ruine non loin. Sûrement une ancienne annexe du lieu saint, à en juger les plafonds hauts et travaillés. Le toit est partiellement effondré et Alberich aurait pu jurer avoir vu des oiseaux s'y poser pour voir s'ils pouvaient le becqueter.
Tout ici veut la mort de tout ce qui vit.
Couché sur la pierre froide, sur le flanc, Alberich essaie de faire un peu le tri dans ses pensées, de chasser l'animal en lui pour songer de façon plus humaine, plus stratégique. Il a besoin de trouver à boire, et à manger aussi. Au cas où ça dure encore longtemps.
Et puis...
Un bruit.
Des pas ?
Un humain.
Il renifle, essayant de se repérer à l'odorat étant donnée sa vue abimée par la malédiction.
Et puis une voix qui l'appelle. Il le connaît. Cette voix...
-
Sa voix déjà rauque d'ordinaire l'est encore plus à cause de la soif. Pourtant, rien que de savoir qu'il n'est plus seul et que l'autre Chevalier Saint est là lui fait profondément du bien. Les ronces quittent sa peau et il parvient à calmer un peu sa respiration. Il tourne la tête vers son compagnon, observant sa silhouette dans l'obscurité partielle des lieux.
-
Qu'il grogne entre ses crocs. Ariel a toujours été agréable avec lui, sans le traiter différemment d'un humanoïde normal. Il faut dire, c'est ce qu'il aime chez les Chevaliers Saints : il s'y sent comme dans une nouvelle famille. S'il peut y avoir des taquineries, il n'a jamais été moqué, n'a jamais effrayé quelqu'un par son apparence, n'a jamais été traité de monstre. Il est Alberich, pour eux, pas une aberration. Un peu de baume sur son cœur las de cette vie.
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Armure du Lycaon.
Âge :
45 ans.
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Siren
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• Sirène
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Chevalier saint (Lycaon), Ménestrel ambulant
Magie·s :
Magie Élémentaire - Élémentaire - Hydromancie
Nom de l'oeuvre :
OC (personnel)
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Ariel
Manichéisme :
diligence
Liges :
1200
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- message #11238
running from the daylight.❞
feat. alberich .
Attends de voir son attention s'orienter sur lui, avant de se laisser glisser au sol -crissement de la semelle de ses bottes sur la pierre, chuintement de ses vêtements qui suivent le mouvement- avec aisance.
Il reste à distance, Ariel, jauge rapidement son état-
Ou du moins, jusqu'à ce qu'il l'appelle.
Rapidement, il se trouve à ses côtés, iris écarlates fixés sur sa silhouette et mine soucieuse tordant ses traits.
—Oh, Alberich...
L'inquiétude est sincère.
Pose un genou à terre, inspecte sa fourrure, note les ronces qui se résorbent, moins promptes à lui abîmer les doigts, puis lève les yeux vers les siens.
Toujours le même sourire aux lèvres, usuelle bienveillance, en dépit du piètre portrait offert. Il est loin de l'élégance habituelle qu'il projette, avec ses cheveux plaqués contre son front et une fine balafre sur sa joue, le sang ayant séché depuis un moment. Ses habits sont sales, gracieuseté des marais, mais il n'en a cure.
Hoche la tête lorsqu'il indique avoir soif, une main volant automatiquement à sa ceinture, gourde attrapée, puis tendue — prêt à l'aider à boire s'il le faut.
Elle est offerte sans hésitation, se priverait d'eau -ne se hasarderait pas à porter celle des alentours à ses lèvres- pour le retour et puiserait dans ses réserves d'énergie pour s'assurer de rentrer à bon port.
Car à cet instant précis, le futur lui importe peu.
C'était bien plus simple de gérer ses crises dans l'enceinte du Nid. Ici, les prédateurs pullulent et n'hésiteraient pas à planter leurs crocs dans leur chair, qu'elle soit maudite ou saine.
—Est-ce plus douloureux qu'à l'habitude ?
Cherche à se faire une idée de la gravité de la situation, s'active déjà à estimer le délai du trajet jusqu'à Amsupolis, si tout se passait bien.
Et, malgré son optimisme prudent, l'inverse.
Il reste à distance, Ariel, jauge rapidement son état-
Ou du moins, jusqu'à ce qu'il l'appelle.
Rapidement, il se trouve à ses côtés, iris écarlates fixés sur sa silhouette et mine soucieuse tordant ses traits.
—
L'inquiétude est sincère.
Pose un genou à terre, inspecte sa fourrure, note les ronces qui se résorbent, moins promptes à lui abîmer les doigts, puis lève les yeux vers les siens.
Toujours le même sourire aux lèvres, usuelle bienveillance, en dépit du piètre portrait offert. Il est loin de l'élégance habituelle qu'il projette, avec ses cheveux plaqués contre son front et une fine balafre sur sa joue, le sang ayant séché depuis un moment. Ses habits sont sales, gracieuseté des marais, mais il n'en a cure.
Hoche la tête lorsqu'il indique avoir soif, une main volant automatiquement à sa ceinture, gourde attrapée, puis tendue — prêt à l'aider à boire s'il le faut.
Elle est offerte sans hésitation, se priverait d'eau -ne se hasarderait pas à porter celle des alentours à ses lèvres- pour le retour et puiserait dans ses réserves d'énergie pour s'assurer de rentrer à bon port.
Car à cet instant précis, le futur lui importe peu.
C'était bien plus simple de gérer ses crises dans l'enceinte du Nid. Ici, les prédateurs pullulent et n'hésiteraient pas à planter leurs crocs dans leur chair, qu'elle soit maudite ou saine.
—
Cherche à se faire une idée de la gravité de la situation, s'active déjà à estimer le délai du trajet jusqu'à Amsupolis, si tout se passait bien.
Et, malgré son optimisme prudent, l'inverse.
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Homme-bête, Maudit
Particularités de la race :
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Maliketh
Manichéisme :
colère
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550
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Alberich
- message #11252
feat.
Ariel
Ariel sourit, et ça fait du bien à Alberich. Il ne lui faut pas grand chose pour se sentir déjà mieux : juste la présence de l'autre chevalier, de son sourire et... et cette eau salvatrice. Il veut l'attraper pour boire, mais ses gestes sont un peu trop imprécis à cause des spasmes, et il finit par accepter son aide pour boire. Il ne demande pas à arrêter, engloutissant toute la gourde. Et il en aurait bien voulu encore plus si c'était possible.Au moins, sa gorge ne le brûle plus. Il ne respire qu'une fois fini de boire, en apnée tout le long sous le soulagement d'enfin apaiser un peu sa soif.
- Merci...
Il repose sa tête au sol, fermant les yeux un moment. Il se sent déjà si apaisé par rapport à quelques minutes plus tôt, au point d'avoir déjà moins mal. La question de l'autre chevalier le fait réfléchir un instant, cherchant à répondre le mieux possible, sans minimiser ou aggraver la réalité.
- C'est comme d'habitude.... mais c'est beaucoup plus long. J'ai hâte que ça soit fini...
Il renifle l'air. Son odorat lui est bien plus utile que sa vue, et il sent l'odeur des marais sur Ariel. Le pauvre Siren s'est décarcassé pour le trouver. Ce qui soulève une autre question.
- Pourquoi tu es là ?.. pour moi ?
Avant d'entrer chez les Chevaliers, pratiquement personne ne se souciait de lui depuis la mort d'Ana. Et ça lui fait toujours étrange, malgré la chaleur que ça lui fait ressentir dans la poitrine.
- C'est trop dangereux, tu devrais pas être là.
Et pourtant il le sait, qu'Ariel n'est pas l'armure du Lycaon pour rien. Qu'il va râler que c'est normal de veiller sur les autres, aussi. Sûrement. Alberich est d'accord, mais il refuse l'idée qu'il se soit mit en danger pour lui. C'est lui qui protège, pas l'inverse. Il a toujours fonctionné comme ça. Entre les créatures, les marais, le manque d'eau potable, la gangrène... tout veut tuer tout le reste, à Ananda. C'est vraiment la loi du plus fort.
-
Il repose sa tête au sol, fermant les yeux un moment. Il se sent déjà si apaisé par rapport à quelques minutes plus tôt, au point d'avoir déjà moins mal. La question de l'autre chevalier le fait réfléchir un instant, cherchant à répondre le mieux possible, sans minimiser ou aggraver la réalité.
-
Il renifle l'air. Son odorat lui est bien plus utile que sa vue, et il sent l'odeur des marais sur Ariel. Le pauvre Siren s'est décarcassé pour le trouver. Ce qui soulève une autre question.
-
Avant d'entrer chez les Chevaliers, pratiquement personne ne se souciait de lui depuis la mort d'Ana. Et ça lui fait toujours étrange, malgré la chaleur que ça lui fait ressentir dans la poitrine.
-
Et pourtant il le sait, qu'Ariel n'est pas l'armure du Lycaon pour rien. Qu'il va râler que c'est normal de veiller sur les autres, aussi. Sûrement. Alberich est d'accord, mais il refuse l'idée qu'il se soit mit en danger pour lui. C'est lui qui protège, pas l'inverse. Il a toujours fonctionné comme ça. Entre les créatures, les marais, le manque d'eau potable, la gangrène... tout veut tuer tout le reste, à Ananda. C'est vraiment la loi du plus fort.
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Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
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Manichéisme :
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{"titredujoueur":"Armure du Lycaon.","age":"45 ans.","races":"Siren","metier":"Chevalier saint (Lycaon), Ménestrel ambulant","magies":"Magie Élémentaire - Élémentaire - Hydromancie","manicheisme":"diligence","taille":"1m80","poids":"65kg","orientation":"Pan.","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1253-when-does-a-ripple-bec","nomdeloeuvre":"OC (personnel)","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Ariel","icon":"https://i.servimg.com/u/f30/18/70/23/91/ariel_24.png","iconalt":"","autrescomptes":"[color=#E85968]Víkka[/color] ; [color=#52ACCC]Dandelion[/color]"}
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- message #11270
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C'est rassurant, de le voir bouger, sortir de sa torpeur pour boire et ce, même s'il doit l'aider.
Il n'y a aucun jugement dans ses prunelles, rien que la satisfaction tranquille de savoir que sa présence chasse un tant soit peu l'orage.
Puis, lorsqu'Alberich répond à son interrogation sur son état, le siren hoche la tête, retrouve son rapidement son sérieux et se redresse un instant, le temps de venir s'installer à ses côtés plus confortablement — une jambe repliée, l'autre étendue.
Hésite une seconde, puis étire le bras, main posée dans la fourrure de l'homme-bête.
Loin de le caresser comme un vulgaire animal, aurait préféré s'appuyer sur son épaule, mais leurs positions respectives ne le permettent pas.
Pourquoi tu es là ?
Le regard appuyé qu'il lui adresse répond à sa question, esquisse malgré tout un sourire.
—Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être là ?
Qu'il souffle, doucement.
À ses yeux, c'est une évidence : ne laisserait pas l'un des siens dans le pétrin, avalerait la distance pour se trouver à leurs côtés.
Lève ces derniers vers les vitraux abîmés, estime que c'est bien dommage, que l'endroit devait être magnifique, dans une autre vie.
Ne peut se fier qu'à son imagination pour la grandeur de la Cathédrale.
—C'était notre royaume à une époque.
Aux sirènes.
Aurait pu naître dans les Eaux Sombres, près du berceau de l'Histoire oubliée de son peuple.
Ça le démange, d'ailleurs, d'en apprendre davantage sur ses origines, savoir si les récits contés par les Aînés étaient vrais. Une partie de lui présume qu'ils seraient bien étonnés de le savoir ici, bien loin des profondeurs familières, mais néamoins sauvages de la Sylve.
L'autre ignore la douleur qui se manifeste chaque fois qu'il pense à eux.
—Ce ne sont pas quelques bestioles dans des marais putrides qui vont m'effrayer.
Renifle à son tour, non pas pour humer l'air -merci, mais non merci-, mais avec une légère pointe dramatique, théâtrale.
Redoute davantage les Hommes dont la cruauté ne cesse de l'étonner aux bêtes agissant par nécessité.
Il n'y a aucun jugement dans ses prunelles, rien que la satisfaction tranquille de savoir que sa présence chasse un tant soit peu l'orage.
Puis, lorsqu'Alberich répond à son interrogation sur son état, le siren hoche la tête, retrouve son rapidement son sérieux et se redresse un instant, le temps de venir s'installer à ses côtés plus confortablement — une jambe repliée, l'autre étendue.
Hésite une seconde, puis étire le bras, main posée dans la fourrure de l'homme-bête.
Loin de le caresser comme un vulgaire animal, aurait préféré s'appuyer sur son épaule, mais leurs positions respectives ne le permettent pas.
Pourquoi tu es là ?
Le regard appuyé qu'il lui adresse répond à sa question, esquisse malgré tout un sourire.
—
Qu'il souffle, doucement.
À ses yeux, c'est une évidence : ne laisserait pas l'un des siens dans le pétrin, avalerait la distance pour se trouver à leurs côtés.
Lève ces derniers vers les vitraux abîmés, estime que c'est bien dommage, que l'endroit devait être magnifique, dans une autre vie.
Ne peut se fier qu'à son imagination pour la grandeur de la Cathédrale.
—
Aux sirènes.
Aurait pu naître dans les Eaux Sombres, près du berceau de l'Histoire oubliée de son peuple.
Ça le démange, d'ailleurs, d'en apprendre davantage sur ses origines, savoir si les récits contés par les Aînés étaient vrais. Une partie de lui présume qu'ils seraient bien étonnés de le savoir ici, bien loin des profondeurs familières, mais néamoins sauvages de la Sylve.
L'autre ignore la douleur qui se manifeste chaque fois qu'il pense à eux.
—
Renifle à son tour, non pas pour humer l'air -merci, mais non merci-, mais avec une légère pointe dramatique, théâtrale.
Redoute davantage les Hommes dont la cruauté ne cesse de l'étonner aux bêtes agissant par nécessité.
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550
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Alberich
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Alberich
Alberich
- message #11287
feat.
Ariel
Ariel vient se caler près de lui et Alberich bouge la tête pour venir la poser sur un de ses genoux, profitant de l'odeur familière et rassurante. Il ne se permettrait pas d'être si familier avec grand monde, mais il apprécie le contact d'Ariel. Il sait que l'autre chevalier adore le contact physique, de toute façon. Le maudit observe son compagnon quand il lui répond le sourire aux lèvres, mais l'air d'avoir l'esprit un peu ailleurs. Il lève même les yeux vers le plafond, avant de rajouter quelques mots. Leur royaume. Il comprend bien qu'il parle du peuple des sirènes et Alberich l'écoute, lui laissant la place s'il veut s'étendre un peu dessus. Pourtant, non, il ne fait qu'affirmer qu'il n'a eu peur de venir ici. Ça fait sourire Alberich qui dévoile quelques crocs au coin de ses lèvres.
- C'est fou que tu sois aussi attentif à chacun. Merci. Tu m'as sûrement sauvé.
Ils ne sont pas encore tirés d'affaire, mais inutile d'y penser. Il a eu de l'eau et c'est déjà énorme. Il observe Ariel un petit moment et finit par parler à nouveau.
- J'ai connu Ananda avant la sécheresse. C'était déjà plus trop le royaume des sirènes mais au moins y'avait de l'eau, c'était joli, pas spécialement dangereux. Ça a pas duré longtemps, ceci dit.
Il ne cache pas son âge, il s'en moque. Il a juste toujours du mal à le calculer exactement et préfère arrondir, en général.
- C'était clairement mieux que maintenant. Mais c'est arrivé parce que les élus ont fait n'importe quoi.
Du genre s'entretuer. Le maudit grimace quand une vague de douleur le transperce, une main se crispant sur le sol en faisant crisser ses griffes sur la pierre taillée. Sa respiration s'accélère un peu, son cœur avec, et il pousse un petit gémissement en finissant par bouger à nouveau sa tête pour l'éloigner d'Ariel. Il n'a pas envie de le blesser accidentellement si la douleur lui donne envie de mordre l'air.
Quand ça s'apaise quelques instants plus tard, il soupire profondément, épuisé de cette crise qui l'empêche de dormir convenablement.
- Faut qu'on arrive à partir, pour trouver de l'eau et à manger...
-
Ils ne sont pas encore tirés d'affaire, mais inutile d'y penser. Il a eu de l'eau et c'est déjà énorme. Il observe Ariel un petit moment et finit par parler à nouveau.
-
Il ne cache pas son âge, il s'en moque. Il a juste toujours du mal à le calculer exactement et préfère arrondir, en général.
-
Du genre s'entretuer. Le maudit grimace quand une vague de douleur le transperce, une main se crispant sur le sol en faisant crisser ses griffes sur la pierre taillée. Sa respiration s'accélère un peu, son cœur avec, et il pousse un petit gémissement en finissant par bouger à nouveau sa tête pour l'éloigner d'Ariel. Il n'a pas envie de le blesser accidentellement si la douleur lui donne envie de mordre l'air.
Quand ça s'apaise quelques instants plus tard, il soupire profondément, épuisé de cette crise qui l'empêche de dormir convenablement.
-
Ariel de Sylve
Ariel de Sylve
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Race·s
•
Featuring
•
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Titre du joueur :
Armure du Lycaon.
Âge :
45 ans.
Race·s :
Siren
Particularités de la race :
• Sirène
Métier :
Chevalier saint (Lycaon), Ménestrel ambulant
Magie·s :
Magie Élémentaire - Élémentaire - Hydromancie
Nom de l'oeuvre :
OC (personnel)
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Ariel
Manichéisme :
diligence
Liges :
1200
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Ariel de Sylve
- message #11434
running from the daylight.❞
feat. alberich .
Ses doigts rencontrent un noeud, s'affaire distraitement à démêler sa fourrure, le regard toujours rivé sur le verre aux couleurs chatoyantes.
Réconforté par ses mots, lorsqu'il le remercie, ne cherche pas à débattre et laisse l'orgueuil être flatté, pointe vaniteuse avare de compliments.
Puis la nostalgie du lieu remplace la satisfaction, son sourire s'étiole doucement.
Ça lui échappe, cette bribe du passé de son Peuple, et Alberich, maintenant désaltéré, étanche sa soif de connaissances, les mille et une interrogations qui s'étaient toujours bousculées dans son esprit.
Raconte avoir vu Ananda avant la sécheresse.
Que ce n'était déjà plus le domaine des sirens, mais qu'il y avait malgré tout quelque chose de beau, au royaume des Lacs.
Et inévitablement, sa corruption trouve racine dans les actions des Élus.
—Je t'envie. D'avoir pu observer cela de tes propres yeux.
C'est murmuré presque silencieusement, comme un aveu.
Mais le fantôme de jalousie disparaît en fumée quand il sent le corps de l'homme-bête se crispe, que ses griffes raclent la pierre.
Son coeur se serre, alors qu'il le laisse filer, ne cherche pas à le retenir quand sa tête s'éloigne. Son attention reste posée sur lui, attend patiemment que la douleur qui le traverse s'amenuise, avant de s'incliner vers l'avant, front appuyé contre lui.
—On ne peut pas partir tout de suite.
Sa voix est amortie par sa fourrure, reste audible malgré tout.
—Pas quand tu es encore dans cet état.
Il se redresse, Ariel, soucieux.
Ses provisions ne feront pas long feu, à l'image de sa gourde délaissée à quelques pas d'eux. Il n'est pas familier avec la faune des marais, ne sait pas ce qui peut être consommé en toute sécurité. Compterait sur Alberich lorsqu'ils en arriveraient là.
Pour l'instant, l'idée de bouger trop rapidement lui semble mauvaise.
Réconforté par ses mots, lorsqu'il le remercie, ne cherche pas à débattre et laisse l'orgueuil être flatté, pointe vaniteuse avare de compliments.
Puis la nostalgie du lieu remplace la satisfaction, son sourire s'étiole doucement.
Ça lui échappe, cette bribe du passé de son Peuple, et Alberich, maintenant désaltéré, étanche sa soif de connaissances, les mille et une interrogations qui s'étaient toujours bousculées dans son esprit.
Raconte avoir vu Ananda avant la sécheresse.
Que ce n'était déjà plus le domaine des sirens, mais qu'il y avait malgré tout quelque chose de beau, au royaume des Lacs.
Et inévitablement, sa corruption trouve racine dans les actions des Élus.
—
C'est murmuré presque silencieusement, comme un aveu.
Mais le fantôme de jalousie disparaît en fumée quand il sent le corps de l'homme-bête se crispe, que ses griffes raclent la pierre.
Son coeur se serre, alors qu'il le laisse filer, ne cherche pas à le retenir quand sa tête s'éloigne. Son attention reste posée sur lui, attend patiemment que la douleur qui le traverse s'amenuise, avant de s'incliner vers l'avant, front appuyé contre lui.
—
Sa voix est amortie par sa fourrure, reste audible malgré tout.
—
Il se redresse, Ariel, soucieux.
Ses provisions ne feront pas long feu, à l'image de sa gourde délaissée à quelques pas d'eux. Il n'est pas familier avec la faune des marais, ne sait pas ce qui peut être consommé en toute sécurité. Compterait sur Alberich lorsqu'ils en arriveraient là.
Pour l'instant, l'idée de bouger trop rapidement lui semble mauvaise.
Alberich
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Race·s
•
Featuring
•
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Titre du joueur :
Armure du Buffle
Âge :
348 ans
Race·s :
Homme-bête, Maudit
Particularités de la race :
Darragh
Métier :
Chevalier Saint
Magie·s :
Magie Grise Légale - Bestiale - Langue sauvage
Nom de l'oeuvre :
Elden Ring
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Maliketh
Manichéisme :
colère
Liges :
550
champ vide pour le json :
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Alberich
- message #11468
feat.
Ariel
Il l'envie, hein ? Alberich laisse échapper une sorte de rire soufflé en haussant doucement l'épaule. Il n'est pas sûr qu'avoir autant vécu soit une bénédiction. Oh, il y a bien plus vieux que lui et il ne sait pas pour combien de temps il en a encore, mais il considère avoir déjà bien trop vécu pour ce qu'un être humain peut engendrer comme drames, comme bouleversements, comme rencontres aussi. Autrefois, il savait pour combien de temps il serait sur terre et c'est ce qui le motivait à avancer. Maintenant, il n'en a aucune idée et c'est cette peur mélangée à sa colère d'avoir perdu tous ses proches de façon traumatisante qui le pousse à ne pas mourir lui aussi. S'il y a bien un seul côté de sa malédiction qu'il apprécie, c'est la facilité à laquelle il peut se laisser aller à ce côté bestial, qui ne réfléchit plus au lendemain, qui ne voit que le moment présent et suit ses instincts. Ce qui l'a fait tenir jusqu'à l'arrivée d'Ariel, par exemple.
Mais toutes ces peurs, il n'en parle jamais. Ou alors à demi-mot. Il a le sentiment que trop s'exposer le rendrait vulnérable ou, bien pire que ça, lui ferait avoir une sorte de craquage qui le replongerait dans la même haine qui l'avait consumé à la mort d'Ana.
Mais la douleur le reprend, les griffes creusent la pierre au sol tandis que l'homme-bête traverse un nouveau moment difficile. Son corps travaille, il le sait. D'années en années, il est de plus en plus monstrueux et de plus en plus animal dans sa façon d'être.
Une masse contre lui l'aide à retrouver pied avec le moment présent et Alberich reprend lentement son souffle, son torse se soulevant de façon régulière mais rapide. La voix du siren parvient sans mal à son ouïe fine, malgré la fourrure qui fait frein. Heureusement qu'il a pris soin de calmer les ronces qui ornent habituellement son pelage, quand il souffre.
- Je suis... en état. Pas au top de ma forme mais... on ne peut pas rester là. C'est trop dangereux.
Il tourne les oreilles vers lui quand il entend Ariel se relever, et il bouge à nouveau la tête pour observer son compagnon, les yeux fatigués mais bien en alerte. Alberich est persistant, et il faudrait lui couper les pattes pour l'empêcher de se battre. Le voilà qui redresse le haut de son corps en s'appuyant sur ses mains. Il tremble très légèrement, mais reste solide sur ses appuis quand il finit par redresser aussi le bas du corps. Il ne se sent pas de marcher sur ses pieds, chose à laquelle il s'accroche encore puisque c'est un lien avec cette humanité qu'il veut garder. Mais puisqu'il n'a pas le choix... il reste à quatre pattes, position plus confortable avec l'évolution de sa colonne vertébrale au cours du dernier siècle.
- On doit au moins trouver à boire. Manger c'est... c'est moins urgent.
Il réfléchit à où il a pu boire la dernière fois. Mais sa mémoire lui fait défaut, comme bien souvent. C'est loin d'être rare qu'il oublie ce qu'il a mangé la veille, où ce qu'il a fait comme chemin pour arriver à un lieu donné. Mais il sait qu'il avait trouvé une sorte de ruisseau dont l'eau était étonnement claire pour Ananda. Une eau dont la source devait être assez profonde pour ne pas être polluée comme le reste. Ils doivent la retrouver.
- Une source, pas loin. Je ne sais plus où. Je vais te protéger, je te dois bien ça.
Il tend la main et ramasse l'épée imposante qu'il promène partout : son arme de prédilection malgré sa maniabilité difficile. Il lui faut quelques instants pour la fixer à son dos, grâce à un système de lien de son armure, puis le voilà paré. Il mène même la marche vers la sortie. C'est douloureux... mais il veut le cacher pour qu'Ariel n'ait pas à s'inquiéter plus encore.
Aucun doute que l'odeur du siren allait attirer des créatures avides de chair fraîche.
Mais toutes ces peurs, il n'en parle jamais. Ou alors à demi-mot. Il a le sentiment que trop s'exposer le rendrait vulnérable ou, bien pire que ça, lui ferait avoir une sorte de craquage qui le replongerait dans la même haine qui l'avait consumé à la mort d'Ana.
Mais la douleur le reprend, les griffes creusent la pierre au sol tandis que l'homme-bête traverse un nouveau moment difficile. Son corps travaille, il le sait. D'années en années, il est de plus en plus monstrueux et de plus en plus animal dans sa façon d'être.
Une masse contre lui l'aide à retrouver pied avec le moment présent et Alberich reprend lentement son souffle, son torse se soulevant de façon régulière mais rapide. La voix du siren parvient sans mal à son ouïe fine, malgré la fourrure qui fait frein. Heureusement qu'il a pris soin de calmer les ronces qui ornent habituellement son pelage, quand il souffre.
-
Il tourne les oreilles vers lui quand il entend Ariel se relever, et il bouge à nouveau la tête pour observer son compagnon, les yeux fatigués mais bien en alerte. Alberich est persistant, et il faudrait lui couper les pattes pour l'empêcher de se battre. Le voilà qui redresse le haut de son corps en s'appuyant sur ses mains. Il tremble très légèrement, mais reste solide sur ses appuis quand il finit par redresser aussi le bas du corps. Il ne se sent pas de marcher sur ses pieds, chose à laquelle il s'accroche encore puisque c'est un lien avec cette humanité qu'il veut garder. Mais puisqu'il n'a pas le choix... il reste à quatre pattes, position plus confortable avec l'évolution de sa colonne vertébrale au cours du dernier siècle.
-
Il réfléchit à où il a pu boire la dernière fois. Mais sa mémoire lui fait défaut, comme bien souvent. C'est loin d'être rare qu'il oublie ce qu'il a mangé la veille, où ce qu'il a fait comme chemin pour arriver à un lieu donné. Mais il sait qu'il avait trouvé une sorte de ruisseau dont l'eau était étonnement claire pour Ananda. Une eau dont la source devait être assez profonde pour ne pas être polluée comme le reste. Ils doivent la retrouver.
-
Il tend la main et ramasse l'épée imposante qu'il promène partout : son arme de prédilection malgré sa maniabilité difficile. Il lui faut quelques instants pour la fixer à son dos, grâce à un système de lien de son armure, puis le voilà paré. Il mène même la marche vers la sortie. C'est douloureux... mais il veut le cacher pour qu'Ariel n'ait pas à s'inquiéter plus encore.
Aucun doute que l'odeur du siren allait attirer des créatures avides de chair fraîche.
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Titre du joueur :
Armure du Lycaon.
Âge :
45 ans.
Race·s :
Siren
Particularités de la race :
• Sirène
Métier :
Chevalier saint (Lycaon), Ménestrel ambulant
Magie·s :
Magie Élémentaire - Élémentaire - Hydromancie
Nom de l'oeuvre :
OC (personnel)
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Ariel
Manichéisme :
diligence
Liges :
1200
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- message #11471
running from the daylight.❞
feat. alberich .
Il rebute son inquiétude, soutient que même s'il n'est pas au top de sa forme, il se débrouillerait.
Inspecte son expression, Ariel, son regard certes fatigué, mais dans lequel brille une flamme déterminée qui ne lui échappe pas.
Le chevalier le laisse se redresser sans esquisser le moindre geste, reste appuyé contre le mur de pierre, considère sa posture et le tremblement qui l'agite toujours.
Loin de sa crise précédente, sans être optimal.
Il soupire.
—Alberich.
Il fronce légèrement les sourcils, lèvres pincées en une fine ligne.
Ça ne le rassure pas de le voir dans cet état, de devoir sortir de ce tas de ruines pour s'aventurer de nouveau à l'extérieur.
Le Buffle dit vouloir le protéger, qu'il lui devait bien cela.
Une partie de lui se hérisse, insultée d'être considérée comme une chose fragile, mais ce n'est pas le moment de s'insurger, ou de lever le nez sur sa promesse.
Son dos est droit, une fois debout, son regard ne se détourne pas.
—Merci.
Malgré son irritation passagère, il est franc. L'attention le touche.
Ferait seulement en sorte de ne pas être un fardeau, mais au vu de l'humidité du lieu, manier l'eau ambiante ne serait pas un problème.
Se contente de hocher la tête au plan proposé, trouver de quoi boire était effectivement important — époussette ses vêtements du revers de la main, se penche pour récupérer sa gourde et la fixer à son sac, passe ensuite la sangle sur son épaule.
—Je peux tenter de localiser la source, si elle est à proximité. Mais je dois être près de celle-ci.
C'est soufflé à l'ombre de l'homme-bête qui s'éloigne, grimpe le mur à moitié écroulé pour retrouver l'extérieur putride des marais.
Plisse le nez, Ariel, garde ses mains près de ses armes.
L'odeur l'écoeure, mais la chasse éveille un brasier familier, l'appréhension du combat lui fait étirer un sourire, fend son visage en deux, alors qu'il incline légèrement la tête de côté.
Prêt ?
Inspecte son expression, Ariel, son regard certes fatigué, mais dans lequel brille une flamme déterminée qui ne lui échappe pas.
Le chevalier le laisse se redresser sans esquisser le moindre geste, reste appuyé contre le mur de pierre, considère sa posture et le tremblement qui l'agite toujours.
Loin de sa crise précédente, sans être optimal.
Il soupire.
—
Il fronce légèrement les sourcils, lèvres pincées en une fine ligne.
Ça ne le rassure pas de le voir dans cet état, de devoir sortir de ce tas de ruines pour s'aventurer de nouveau à l'extérieur.
Le Buffle dit vouloir le protéger, qu'il lui devait bien cela.
Une partie de lui se hérisse, insultée d'être considérée comme une chose fragile, mais ce n'est pas le moment de s'insurger, ou de lever le nez sur sa promesse.
Son dos est droit, une fois debout, son regard ne se détourne pas.
—
Malgré son irritation passagère, il est franc. L'attention le touche.
Ferait seulement en sorte de ne pas être un fardeau, mais au vu de l'humidité du lieu, manier l'eau ambiante ne serait pas un problème.
Se contente de hocher la tête au plan proposé, trouver de quoi boire était effectivement important — époussette ses vêtements du revers de la main, se penche pour récupérer sa gourde et la fixer à son sac, passe ensuite la sangle sur son épaule.
—
C'est soufflé à l'ombre de l'homme-bête qui s'éloigne, grimpe le mur à moitié écroulé pour retrouver l'extérieur putride des marais.
Plisse le nez, Ariel, garde ses mains près de ses armes.
L'odeur l'écoeure, mais la chasse éveille un brasier familier, l'appréhension du combat lui fait étirer un sourire, fend son visage en deux, alors qu'il incline légèrement la tête de côté.
Prêt ?
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Titre du joueur :
Armure du Buffle
Âge :
348 ans
Race·s :
Homme-bête, Maudit
Particularités de la race :
Darragh
Métier :
Chevalier Saint
Magie·s :
Magie Grise Légale - Bestiale - Langue sauvage
Nom de l'oeuvre :
Elden Ring
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Maliketh
Manichéisme :
colère
Liges :
550
champ vide pour le json :
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- message #11595
feat.
Ariel
Le maudit se fige et tourne la tête vers son compagnon quand il entend son prénom, pensant simplement qu'il veut l'interpeller pour lui parler. C'est quand il repère ses lèvres pincées et son expression qu'il réalise qu'il ne fait qu'exprimer son mécontentement de le voir si motivé à bouger. Alberich pousse un petit grognement pour lui signifier qu'il ne compte pas rester à croupir là, tandis qu'il se remet en mouvement pour grimper le mur effondré et sortir. De l'eau, oui, mais où ? Il se triture les méninges pour tenter de faire marcher sa mémoire fluctuante alors qu'il écoute Ariel parler. Oui, la source, pas loin... Le problème, c'est où.
- Je sais plus où elle se trouve...
Et ça l'enrage. Ses crocs claquent alors qu'il s'avance lentement dehors, grimaçant quand le soleil se pose sur lui. Après être resté plusieurs jours dans la relative obscurité de ces ruines, sa vision déjà bien abîmée par la malédiction a du mal à s'adapter. Au point où il pose une main griffue sur son museau pour se cacher les yeux un moment, essayant d'y aller par étape.
L'odeur ne lui fait rien tant il est habitué. Sa fourrure sent déjà tellement mauvais de toute façon, entre les plantes mortes dessus, le fait qu'il vagabonde dans les marécages ou juste le sang qui perle régulièrement quand les épines des ronces s'enfoncent dans sa peau. Hors de question de se laisser dire qu'il a l'odeur d'un chien mouillé, mais il ne peut pas nier qu'il ne sent pas la rose.
Enfin, il s'habitue à la clarté et retire sa main. S'il continue à plisser les yeux, il peut quand même marcher et il s'avance dans le marais en cherchant des points de repère qui pourraient lui rappeler la source trouvée plus tôt. Il passe donc devant Ariel, le laissant derrière alors qu'il observe autour, renifle parfois l'air, à l'affût de la moindre menace.
C'est juste dommage qu'il se repose autant sur l'odeur, et que du coup il ne capte pas du tout le Thanamorphe qui s'est approché d'eux dans l'eau croupie, avec juste quelques bulles à la surface pouvant trahir sa position. La bête les observe depuis un moment, bien cachée.
- Cette bête là, c'est moi qui l'ait tuée.
La voix d'Alberich se fait entendre lorsqu'il désigne une bestiole morte au sol, signe qu'il ne se trompe pas de chemin. Il se retourne donc vers Ariel pour lui montrer, l'encourager à venir...
Et c'est ce moment que le Thanamorphe choisit pour bondir, surgissant hors de l'eau pour bondir sur le siren avec force avec la très claire intention de lui faire du mal. Le maudit pousse un glapissement surpris, puis resserre sa poigne sur son épée pour se jeter sur la bête. Il en a déjà affronté, de ces trucs là. Celui là est gros, pratiquement autant que lui. Saleté de parasite.
- ARIEL !!
Qu'il hurle pour se faire entendre. Il veut s'assurer que son compagnon soit en état de parler, voire de se lever pour fuir ou encore mieux, l'aider.
Son épée fend l'air, touche parfois la bête... mais que faire contre un parasite, hein ? Juste trancher une de ses nombreuses pattes ne fait que la ralentir, pas l'affaiblir. Il n'a jamais vu un Thanamorphe avoir mal, ou fatiguer, ou quoi que ce soit d'animal.
-
Et ça l'enrage. Ses crocs claquent alors qu'il s'avance lentement dehors, grimaçant quand le soleil se pose sur lui. Après être resté plusieurs jours dans la relative obscurité de ces ruines, sa vision déjà bien abîmée par la malédiction a du mal à s'adapter. Au point où il pose une main griffue sur son museau pour se cacher les yeux un moment, essayant d'y aller par étape.
L'odeur ne lui fait rien tant il est habitué. Sa fourrure sent déjà tellement mauvais de toute façon, entre les plantes mortes dessus, le fait qu'il vagabonde dans les marécages ou juste le sang qui perle régulièrement quand les épines des ronces s'enfoncent dans sa peau. Hors de question de se laisser dire qu'il a l'odeur d'un chien mouillé, mais il ne peut pas nier qu'il ne sent pas la rose.
Enfin, il s'habitue à la clarté et retire sa main. S'il continue à plisser les yeux, il peut quand même marcher et il s'avance dans le marais en cherchant des points de repère qui pourraient lui rappeler la source trouvée plus tôt. Il passe donc devant Ariel, le laissant derrière alors qu'il observe autour, renifle parfois l'air, à l'affût de la moindre menace.
C'est juste dommage qu'il se repose autant sur l'odeur, et que du coup il ne capte pas du tout le Thanamorphe qui s'est approché d'eux dans l'eau croupie, avec juste quelques bulles à la surface pouvant trahir sa position. La bête les observe depuis un moment, bien cachée.
-
La voix d'Alberich se fait entendre lorsqu'il désigne une bestiole morte au sol, signe qu'il ne se trompe pas de chemin. Il se retourne donc vers Ariel pour lui montrer, l'encourager à venir...
Et c'est ce moment que le Thanamorphe choisit pour bondir, surgissant hors de l'eau pour bondir sur le siren avec force avec la très claire intention de lui faire du mal. Le maudit pousse un glapissement surpris, puis resserre sa poigne sur son épée pour se jeter sur la bête. Il en a déjà affronté, de ces trucs là. Celui là est gros, pratiquement autant que lui. Saleté de parasite.
-
Qu'il hurle pour se faire entendre. Il veut s'assurer que son compagnon soit en état de parler, voire de se lever pour fuir ou encore mieux, l'aider.
Son épée fend l'air, touche parfois la bête... mais que faire contre un parasite, hein ? Juste trancher une de ses nombreuses pattes ne fait que la ralentir, pas l'affaiblir. Il n'a jamais vu un Thanamorphe avoir mal, ou fatiguer, ou quoi que ce soit d'animal.
Ariel de Sylve
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Titre du joueur :
Armure du Lycaon.
Âge :
45 ans.
Race·s :
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Particularités de la race :
• Sirène
Métier :
Chevalier saint (Lycaon), Ménestrel ambulant
Magie·s :
Magie Élémentaire - Élémentaire - Hydromancie
Nom de l'oeuvre :
OC (personnel)
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Ariel
Manichéisme :
diligence
Liges :
1200
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Armure du Lycaon.","age":"45 ans.","races":"Siren","metier":"Chevalier saint (Lycaon), Ménestrel ambulant","magies":"Magie Élémentaire - Élémentaire - Hydromancie","manicheisme":"diligence","taille":"1m80","poids":"65kg","orientation":"Pan.","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1253-when-does-a-ripple-bec","nomdeloeuvre":"OC (personnel)","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Ariel","icon":"https://i.servimg.com/u/f30/18/70/23/91/ariel_24.png","iconalt":"","autrescomptes":"[color=#E85968]Víkka[/color] ; [color=#52ACCC]Dandelion[/color]"}
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Ariel de Sylve
- message #11785
running from the daylight.❞
feat. alberich .
Ça ne le rassure pas, de le voir s'avancer comme ça.
Le Soleil, malgré son rayonnement plus ténu que dans d'autres régions, abîme sa vue et le force à s'arrêter.
Ne cherche pas à masquer son inquiétude, Ariel, mais n'ajoute rien de plus — s'était déjà exprimé sur le sujet, et il devait concéder qu'ils ne feraient pas long feu, sans eau potable, s'ils ne trouvaient pas rapidement la source qu'il avait mentionnée.
Il le laisse passer devant, le suit, alors que son regard vagabonde sur les alentours désolés. Les quelques ruines décorant le paysage n'ont pas la grandeur de celle qu'ils venaient de quitter, elle-même palissant face à la cathédrale, qu'il avait pu observer au loin, plus tôt.
Son attention s'oriente sur le cadavre que l'homme-bête désigne.
Indique que sa Mort est sa Création, et ça lui fait hausser les sourcils, sifflement impressionné bref lui échappant.
Il fait un pas, s'approche-
Elle le prend par surprise, la bestiole.
Se mouve dans l'eau avec aisance, prédateur traquant ses -sa- nouvelles proies, trouve l'instant pour frapper et faire perdre pied à la plus petite silhouette des deux.
Le sol spongieux lui fait défaut, quand il est projeté dans la marre adjacente au chemin précédemment emprunté, s'écrase dans la vase, mais loin des crocs et des griffes aperçus du coin de l'oeil, un battement de coeur trop tard — la créature désormais trop occupée par l'autre Chevalier et son épée qui s'enfonce dans ses flancs putréfiés.
Avait inspiré par réflexe, s'étouffe sur les effluves qui sont bien loin de la pureté de la Sylve, branchies sollicitées dès que sa tête s'était retrouvée sous la flotte, et lorsqu'il en émerge, c'est boueux et avec un désir de vengeance.
Oh, il se fiche bien de ses vêtements ruinés et de ses cheveux qui tirent davantage d'un rat huileux. S'il était ici, c'était parce que son compagnon avait disparu, que sa malédiction faisait des siennes et que cette chose n'aidait en rien à la situation.
S'extirpe vite de là, Ariel, retrouve la terre à peu près ferme.
L'une de ses mains tire l'une de ses dagues, l'autre bouge, implore le marais de l'écouter, d'entendre la requête d'un siren bien loin de la Mer l'ayant vu naître, trouvant toutefois racine ici.
S'avère paresseux, mais s'exécute néanmoins, se transforme en pointes gelées.
Le soucis, c'est que la masse informe n'est pas familière, n'a aucune idée du point faible de cette dernière. Mouvements erratiques, déterminés, de quoi infliger le plus de dégâts possibles, lueur vicieuse brillant dans les orbites vides du crâne dénué de chair.
Hésite un instant, mais quand l'abomination lève une patte, les cristaux de glace sont projetés, se plantent dans la matière visqueuse qui la compose. Le geste est avorté, énième sifflement désagréable lui parvenant aux oreilles.
Mais ses autres membres continuent de grouiller, et ce qui lui sert de tête cherche encore à happer son compagnon.
Le Soleil, malgré son rayonnement plus ténu que dans d'autres régions, abîme sa vue et le force à s'arrêter.
Ne cherche pas à masquer son inquiétude, Ariel, mais n'ajoute rien de plus — s'était déjà exprimé sur le sujet, et il devait concéder qu'ils ne feraient pas long feu, sans eau potable, s'ils ne trouvaient pas rapidement la source qu'il avait mentionnée.
Il le laisse passer devant, le suit, alors que son regard vagabonde sur les alentours désolés. Les quelques ruines décorant le paysage n'ont pas la grandeur de celle qu'ils venaient de quitter, elle-même palissant face à la cathédrale, qu'il avait pu observer au loin, plus tôt.
Son attention s'oriente sur le cadavre que l'homme-bête désigne.
Indique que sa Mort est sa Création, et ça lui fait hausser les sourcils, sifflement impressionné bref lui échappant.
Il fait un pas, s'approche-
Elle le prend par surprise, la bestiole.
Se mouve dans l'eau avec aisance, prédateur traquant ses -sa- nouvelles proies, trouve l'instant pour frapper et faire perdre pied à la plus petite silhouette des deux.
Le sol spongieux lui fait défaut, quand il est projeté dans la marre adjacente au chemin précédemment emprunté, s'écrase dans la vase, mais loin des crocs et des griffes aperçus du coin de l'oeil, un battement de coeur trop tard — la créature désormais trop occupée par l'autre Chevalier et son épée qui s'enfonce dans ses flancs putréfiés.
Avait inspiré par réflexe, s'étouffe sur les effluves qui sont bien loin de la pureté de la Sylve, branchies sollicitées dès que sa tête s'était retrouvée sous la flotte, et lorsqu'il en émerge, c'est boueux et avec un désir de vengeance.
Oh, il se fiche bien de ses vêtements ruinés et de ses cheveux qui tirent davantage d'un rat huileux. S'il était ici, c'était parce que son compagnon avait disparu, que sa malédiction faisait des siennes et que cette chose n'aidait en rien à la situation.
S'extirpe vite de là, Ariel, retrouve la terre à peu près ferme.
L'une de ses mains tire l'une de ses dagues, l'autre bouge, implore le marais de l'écouter, d'entendre la requête d'un siren bien loin de la Mer l'ayant vu naître, trouvant toutefois racine ici.
S'avère paresseux, mais s'exécute néanmoins, se transforme en pointes gelées.
Le soucis, c'est que la masse informe n'est pas familière, n'a aucune idée du point faible de cette dernière. Mouvements erratiques, déterminés, de quoi infliger le plus de dégâts possibles, lueur vicieuse brillant dans les orbites vides du crâne dénué de chair.
Hésite un instant, mais quand l'abomination lève une patte, les cristaux de glace sont projetés, se plantent dans la matière visqueuse qui la compose. Le geste est avorté, énième sifflement désagréable lui parvenant aux oreilles.
Mais ses autres membres continuent de grouiller, et ce qui lui sert de tête cherche encore à happer son compagnon.
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