Ciara
La haine rapproche [ft. Volric]
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Race·s
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Featuring
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Titre du joueur :
Vendetta
Âge :
~ 200 ans
Race·s :
Angias
Métier :
Veilleuse
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Illusions
Nom de l'oeuvre :
Fire Emblem Three Houses
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Shamir
Manichéisme :
diligence
Liges :
2325
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Vendetta","age":"~ 200 ans","races":"Angias","metier":"Veilleuse","magies":"Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Illusions","manicheisme":"diligence","taille":"1m59","poids":"53kg","orientation":"Pansexuelle","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t164-la-guerre-ne-s-arrete-q","nomdeloeuvre":"Fire Emblem Three Houses","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Shamir","autrescomptes":""}
Ciara
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Ciara
- message #1350
Cela faisait des semaines, peut être des mois, qu'elle n'avait plus arpenté ce Bosquet.
La veilleuse était enfin revenue à Cerah. Elle avait enfin pu se débarasser de ces sinistres vêtements humains, et pouvait à nouveau exposer sa Gae Bolga à la lumière du soleil. Sa démarche était fière, son port altier. Elle avait décidé après sa discussion avec Dogemius qu'elle se montrerait toujours digne, en Cerah. Cela n'effaçait pas sa honte, mais si elle pouvait présenter le visage d'une véritable veilleuse, alors les gens n'abandonneraient pas le combat. Cela comptait plus que tout le reste, et elle était prête à tenir le front aussi longtemps qu'il le faudrait.
Elle avait commencé par passer par le Bosquet des Anciens, prendre des nouvelles de ses anciens apprentis, transmettre quelques instructions, et reprendre sa route. Elle n'avait pas de temps à perdre, malgré l'affection qu'elle avait pour eux. Vinga était une alliée précieuse, mais une alliée exigeante. Et Ciara n'était toujours pas sûre d'avoir confiance en elle. Plutôt, elle était sûre qu'elle ne devrait jamais lui faire confiance entièrement. Mais tant que leurs objectifs concordaient... Elle n'avait pas de raison de se méfier. Ce serait lorsque le bosquet serait libéré qu'elles auraient peut être des conflits. Et en prévision de cela, mieux valait connaître les pions qu'elle devrait peut être défaire pour l'atteindre...
Volric. Elle cherchait un draconide noir du nom de Volric. Elle n'avait obtenu que des informations vagues, mais elle avait bien compris que l'intérêt de cet homme ne serait ni son regard tactique, ni la diplomatie, mais la puissance de frappe. Le genre de personnes qui faisaient forte impression. Elle n'aurait donc pas de mal à le trouver. C'était dans cette optique qu'elle s'était rendue à l'Orée d'emeraude. S'il y'avait un endroit où les étrangers étaient trouvés, c'était là. Les pélerins et voyageurs étaient nombreux, dans la Forêt, mais la majorité ne restait pas dans les autres bosquets, à moins d'avoir une bonne raison de le faire. Ils ne comprenaient pas ce monde. L'Orée d'Emeraude était simple. C'était presque une ville.
C'était la raison pour laquelle elle n'aimait pas cet endroit, mais elle lui reconnaissait cette qualité. Il était facile d'y obtenir des informations, ou des marchandises. Bien plus qu'ailleurs. La marque d'un peuple faible, à n'en pas douter, incapable de se débrouiller seul, mais là était le vice de la civilisation : une fois qu'elle était présente, ne pas l'utiliser revenait à accepter de soi même une faiblesse, et elle ne pouvait certainement pas se permettre ce luxe...
Elle fit rapidement la liste des draconides présents dans la cité auprès des habitants, et même de quelques gardes que la vision de son arme suffisait à impressionner. Il y'en avait peu, et il n'y avait rien d'étonnant à cela, mais elle se dirigea naturellement vers le plus impressionnant physiquement du lot. On lui avait décrit comme un colosse au regard sombre, et cela correspondait à ce que Vinga lui avait dit. Ce joyeux luron serait parti de la ville tôt ce matin, et devrait se trouver dans cette direction. Avec un hochement de tête, l'angias remercia son interlocuteur, avant de partir.
Elle traversa la forêt sans ralentir un instant. Si elle connaissait ce bois moins bien que Solaria, elle l'avait arpenté, plus jeune, et toutes les forêts partageaient certains codes. Nul n'aurait pu la distancer, si elle le souhaitait... Et lorsqu'elle finit par voir la personne qu'elle cherchait, elle sut qu'il ne chercherait pas à fuir, et qu'elle avait trouvé la bonne personne...
Le draconide était aussi impressionnant que ce qu'on lui avait décrit, mais se promenait surtout avec trois armes, chacune sans doute trop lourde pour l'Angias... Elle était curieuse de voir ce qu'il pouvait en faire. Curieuse aussi d'en apprendre plus sur ses autres compétences. Les armes et les capacités martiales n'étaient souvent qu'un aspect du danger que pouvait représenter un combattant, en Arathia... Elle interrompit ses pensées d'un éclat de voix, impérieux, mais assez chaud pour montrer qu'elle n'était pas hostile.
"Volric, je viens de la part de Dame Vinga. Nous avons un ennemi commun : Arvandor. "
La veilleuse était enfin revenue à Cerah. Elle avait enfin pu se débarasser de ces sinistres vêtements humains, et pouvait à nouveau exposer sa Gae Bolga à la lumière du soleil. Sa démarche était fière, son port altier. Elle avait décidé après sa discussion avec Dogemius qu'elle se montrerait toujours digne, en Cerah. Cela n'effaçait pas sa honte, mais si elle pouvait présenter le visage d'une véritable veilleuse, alors les gens n'abandonneraient pas le combat. Cela comptait plus que tout le reste, et elle était prête à tenir le front aussi longtemps qu'il le faudrait.
Elle avait commencé par passer par le Bosquet des Anciens, prendre des nouvelles de ses anciens apprentis, transmettre quelques instructions, et reprendre sa route. Elle n'avait pas de temps à perdre, malgré l'affection qu'elle avait pour eux. Vinga était une alliée précieuse, mais une alliée exigeante. Et Ciara n'était toujours pas sûre d'avoir confiance en elle. Plutôt, elle était sûre qu'elle ne devrait jamais lui faire confiance entièrement. Mais tant que leurs objectifs concordaient... Elle n'avait pas de raison de se méfier. Ce serait lorsque le bosquet serait libéré qu'elles auraient peut être des conflits. Et en prévision de cela, mieux valait connaître les pions qu'elle devrait peut être défaire pour l'atteindre...
Volric. Elle cherchait un draconide noir du nom de Volric. Elle n'avait obtenu que des informations vagues, mais elle avait bien compris que l'intérêt de cet homme ne serait ni son regard tactique, ni la diplomatie, mais la puissance de frappe. Le genre de personnes qui faisaient forte impression. Elle n'aurait donc pas de mal à le trouver. C'était dans cette optique qu'elle s'était rendue à l'Orée d'emeraude. S'il y'avait un endroit où les étrangers étaient trouvés, c'était là. Les pélerins et voyageurs étaient nombreux, dans la Forêt, mais la majorité ne restait pas dans les autres bosquets, à moins d'avoir une bonne raison de le faire. Ils ne comprenaient pas ce monde. L'Orée d'Emeraude était simple. C'était presque une ville.
C'était la raison pour laquelle elle n'aimait pas cet endroit, mais elle lui reconnaissait cette qualité. Il était facile d'y obtenir des informations, ou des marchandises. Bien plus qu'ailleurs. La marque d'un peuple faible, à n'en pas douter, incapable de se débrouiller seul, mais là était le vice de la civilisation : une fois qu'elle était présente, ne pas l'utiliser revenait à accepter de soi même une faiblesse, et elle ne pouvait certainement pas se permettre ce luxe...
Elle fit rapidement la liste des draconides présents dans la cité auprès des habitants, et même de quelques gardes que la vision de son arme suffisait à impressionner. Il y'en avait peu, et il n'y avait rien d'étonnant à cela, mais elle se dirigea naturellement vers le plus impressionnant physiquement du lot. On lui avait décrit comme un colosse au regard sombre, et cela correspondait à ce que Vinga lui avait dit. Ce joyeux luron serait parti de la ville tôt ce matin, et devrait se trouver dans cette direction. Avec un hochement de tête, l'angias remercia son interlocuteur, avant de partir.
Elle traversa la forêt sans ralentir un instant. Si elle connaissait ce bois moins bien que Solaria, elle l'avait arpenté, plus jeune, et toutes les forêts partageaient certains codes. Nul n'aurait pu la distancer, si elle le souhaitait... Et lorsqu'elle finit par voir la personne qu'elle cherchait, elle sut qu'il ne chercherait pas à fuir, et qu'elle avait trouvé la bonne personne...
Le draconide était aussi impressionnant que ce qu'on lui avait décrit, mais se promenait surtout avec trois armes, chacune sans doute trop lourde pour l'Angias... Elle était curieuse de voir ce qu'il pouvait en faire. Curieuse aussi d'en apprendre plus sur ses autres compétences. Les armes et les capacités martiales n'étaient souvent qu'un aspect du danger que pouvait représenter un combattant, en Arathia... Elle interrompit ses pensées d'un éclat de voix, impérieux, mais assez chaud pour montrer qu'elle n'était pas hostile.
"
Volric
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Race·s
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Featuring
•
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Âge :
353
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
Soldat
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
Liges :
465
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Volric
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Volric
Volric
- message #1384
Il avait fini par trouver son chemin dans cette damnée forêt. Les indications de Dulcinée étaient quand même beaucoup plus claires que celles du… gars qui l’avait fait terminer dans un bosquet paumé au milieu d’on ne savait où. Il ne savait toujours pas, d’ailleurs ! Cette maison était réellement un mystère. Il n’y avait bien que les habitants d’ici pour la construire là… Bref ! Il avait pu se rendre à l’orée d’émeraude. Il n’avait pas eu besoin, heureusement pour lui, de faire usage ni de son arme de prédilection, sa hache affûtée reposant contre sa cuisse, ni de ses autres armes disséminées sur sa personne (nombre de dagues indéterminé, une main gauche visible à son autre hanche, lance courte attachée dans le dos… bref), car le chemin de jour était assez tranquille malgré les bêtes qui rôdaient plutôt de nuit.
Ce n’était pas sa véritable destination, étant donné qu’il voulait en fait voir le bosquet de Solaria et ce qu’il en advenait. Il avait décidé de venir ici d’abord, parce qu’il n’était pas certain de ce qu’Arvandor pratiquait dans ce bosquet, et apparemment c’était une sage décision. Il avait pu faire quelques recherches (comprendre : demandé à des gens qui n’avaient rien demander mais qui se voyaient mal ne pas répondre à un gaillard pareil), et il avait appris qu’Arvandor ne l’aurait probablement pas laissé rentrer de toute façon, ou qu’il aurait été arrêté. Bon, en réalité, il ne se serait pas laissé rentrer non plus, si on voulait être tout à fait honnête… Il était trop équipé pour avoir l’air d’avoir de bonnes intentions envers qui que ce soit. Il espérait ne pas raviver un quelconque malaise entre leurs deux peuples par sa présence… Un préjugé coriace à Vollheim à propos des habitants de Cerah était qu’ils étaient faiblards et qu’ils se laissaient marcher sur les pieds. Pour l’instant, ce n’était pas l’impression qu’il en avait, mais bon, il n’avait pas non plus un échantillon significatif non plus. Cet échantillon avait l’air de devoir s’élargir, puisqu’on l’appelait par son nom.
En pleine réflexion qu’il était, se demandant ce qu’il allait bien pouvoir faire de ces nouvelles, alors qu’il était seul en terre inconnue et qu’il n’était probablement pas une bonne idée de s’infiltrer à Solaria seul pour y mettre un peu de désordre, on l’appela par son nom. Il crut d’abord avoir mal entendu, puisque personne ici ne le connaissait. Il se retourna tout de même, mais ne vit personne. Mais comme la phrase continuait et s’adressait apparemment à lui… Il se souvenu qu’en dehors de Vollheim, tout le monde n’était pas grand, et prit le parti de baisser la tête. Oh ! Elle était là. Il n’avait donc pas rêvé.
Cet interlude comique à son goût prit toutefois fin lorsque le nom de Vinga fut prononcé, ainsi que celui d’Arvandor. Son visage s’assombrit et prit une expression sérieuse à ces mots.
Finalement ce voyage n’avait peut être pas été vain.
Il devait tout de même s’assurer d’avoir devant lui un véritable allié, et pas un quelconque espion qui aurait eu vent de l’animosité commune qui animait Vinga et Volric. Il répondit donc de sa voix grave, avec un ton qui trahissait sa méfiance, mettant en exergue sa grande taille tel que peuvent le faire les militaires ou les brigands lorsqu’ils veulent paraître plus impressionnants :
« C’est bien moi ! Et s’il est vrai que je ne compte aucun Arvandien parmi mes amis, je n’ai pas l’honneur de te connaître ! Mais je suppose que tu n’utilises pas ces mots pour rien, et que je peux me rendre utile pour quelque chose. Je me trompe ? »
Il ne savait pas trop comment démêler le vrai du faux et si à vrai dire quiconque oserait pénétrer si profondément dans les bois pour s’occuper d’un gêneur tel que lui ni s’il était même assez signifiant pour que quelqu’un se pose la question. Il n’était cependant pas assez malin pour faire la part des choses, et toutes les informations qu’il avait entendues lui étaient peut être un peu montées à la tête. Il se tenait donc mains sur les hanches, suspicieusement proches de ses armes, dans une position qui ne trahissait pas d’hostilité à un œil non entraîné, mais que quiconque capable de lire le langage corporel d’un guerrier pouvait voir comme une posture de contre attaque. Il ne donnerait pas le premier coup, mais il ne tomberait pas tout seul.
Ce n’était pas sa véritable destination, étant donné qu’il voulait en fait voir le bosquet de Solaria et ce qu’il en advenait. Il avait décidé de venir ici d’abord, parce qu’il n’était pas certain de ce qu’Arvandor pratiquait dans ce bosquet, et apparemment c’était une sage décision. Il avait pu faire quelques recherches (comprendre : demandé à des gens qui n’avaient rien demander mais qui se voyaient mal ne pas répondre à un gaillard pareil), et il avait appris qu’Arvandor ne l’aurait probablement pas laissé rentrer de toute façon, ou qu’il aurait été arrêté. Bon, en réalité, il ne se serait pas laissé rentrer non plus, si on voulait être tout à fait honnête… Il était trop équipé pour avoir l’air d’avoir de bonnes intentions envers qui que ce soit. Il espérait ne pas raviver un quelconque malaise entre leurs deux peuples par sa présence… Un préjugé coriace à Vollheim à propos des habitants de Cerah était qu’ils étaient faiblards et qu’ils se laissaient marcher sur les pieds. Pour l’instant, ce n’était pas l’impression qu’il en avait, mais bon, il n’avait pas non plus un échantillon significatif non plus. Cet échantillon avait l’air de devoir s’élargir, puisqu’on l’appelait par son nom.
En pleine réflexion qu’il était, se demandant ce qu’il allait bien pouvoir faire de ces nouvelles, alors qu’il était seul en terre inconnue et qu’il n’était probablement pas une bonne idée de s’infiltrer à Solaria seul pour y mettre un peu de désordre, on l’appela par son nom. Il crut d’abord avoir mal entendu, puisque personne ici ne le connaissait. Il se retourna tout de même, mais ne vit personne. Mais comme la phrase continuait et s’adressait apparemment à lui… Il se souvenu qu’en dehors de Vollheim, tout le monde n’était pas grand, et prit le parti de baisser la tête. Oh ! Elle était là. Il n’avait donc pas rêvé.
Cet interlude comique à son goût prit toutefois fin lorsque le nom de Vinga fut prononcé, ainsi que celui d’Arvandor. Son visage s’assombrit et prit une expression sérieuse à ces mots.
Finalement ce voyage n’avait peut être pas été vain.
Il devait tout de même s’assurer d’avoir devant lui un véritable allié, et pas un quelconque espion qui aurait eu vent de l’animosité commune qui animait Vinga et Volric. Il répondit donc de sa voix grave, avec un ton qui trahissait sa méfiance, mettant en exergue sa grande taille tel que peuvent le faire les militaires ou les brigands lorsqu’ils veulent paraître plus impressionnants :
« C’est bien moi ! Et s’il est vrai que je ne compte aucun Arvandien parmi mes amis, je n’ai pas l’honneur de te connaître ! Mais je suppose que tu n’utilises pas ces mots pour rien, et que je peux me rendre utile pour quelque chose. Je me trompe ? »
Il ne savait pas trop comment démêler le vrai du faux et si à vrai dire quiconque oserait pénétrer si profondément dans les bois pour s’occuper d’un gêneur tel que lui ni s’il était même assez signifiant pour que quelqu’un se pose la question. Il n’était cependant pas assez malin pour faire la part des choses, et toutes les informations qu’il avait entendues lui étaient peut être un peu montées à la tête. Il se tenait donc mains sur les hanches, suspicieusement proches de ses armes, dans une position qui ne trahissait pas d’hostilité à un œil non entraîné, mais que quiconque capable de lire le langage corporel d’un guerrier pouvait voir comme une posture de contre attaque. Il ne donnerait pas le premier coup, mais il ne tomberait pas tout seul.
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Titre du joueur :
Vendetta
Âge :
~ 200 ans
Race·s :
Angias
Métier :
Veilleuse
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Illusions
Nom de l'oeuvre :
Fire Emblem Three Houses
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Shamir
Manichéisme :
diligence
Liges :
2325
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Ciara
- message #1393
Elle s'était arrêtée à quelques pas de lui, si bien qu'il avait besoin de baisser la tête pour la regarder. Et voilà que maintenant, il gonflait le torse pour paraître plus intimidant, et qu'il prenait même une voix grave. A qui pensait il donc qu'il parlait ? Elle en avait mis à terre des plus grands et des plus impressionnants. Même sa posture montrait toute l'étendue de sa méfiance. Ses mains reposaient sur ses hanches, prêtes à se saisir d'une arme, en quelques instants à peine. Il n'en fallait pas plus à la Veilleuse pour récupérer sa lance et lui planter dans le palais, cela dit... Mais sa priorité devait être de s'en faire un allié. Après tout, l'ego masculin pouvait être utilisé de bien des façons, mais qu'on ne s'attende pas à la voir sourire à un tel individu.
"Ciara. Je suis la veilleuse de Solaria. Cette Gae Bolga en est la preuve. "
Elle avait désigné sa lance d'un mouvement de menton par dessus son épaule. Elle avait le sentiment que dégainer ici et maintenant aurait pu causer un quiproquo, et il était souvent peu engageant dans un partenariat d'essayer de s'entretuer juste après les présentations. Elle s'était exprimée d'une voix calme, plus froide que sa voix habituelle. Elle n'était pas impressionnée et tenait à ce qu'il le sache. Elle croisa les bras devant sa poitrine, dans une posture relativement tendue, mais qui avait au moins le bon goût d'éloigner ses mains de son arme, et de la rendre plus vulnérable. Vu sa taille et le genre de ses armes, elle aurait le temps d'esquiver pour se remettre en position, s'il était hostile... mais cela restait un risque. Et elle n'appréciait pas être la seule à en prendre.
"Repos. Si j'étais menaçante, tu serais mort. Quand tu es perdu dans tes pensées, aie le bon goût de le faire quand tu as le dos contre un mur. J'ignore si tu peux te rendre utile, mais c'est en tout cas ce que l'on m'a dit. Je cherche des alliés pour m'aider à reprendre mon Bosquet, et je reviens d'Al'Malaq, où je m'étais rendue pour trouver de l'aide auprès de l'impératrice, mais c'est Vinga qui a fini par me proposer son assistance. Elle m'a parlé de toi. Mais avant de savoir si je veux te faire confiance, j'ai besoin d'informations, moi aussi. Qui es-tu, et pourquoi veux tu te venger d'Arvandor ? "
"
Elle avait désigné sa lance d'un mouvement de menton par dessus son épaule. Elle avait le sentiment que dégainer ici et maintenant aurait pu causer un quiproquo, et il était souvent peu engageant dans un partenariat d'essayer de s'entretuer juste après les présentations. Elle s'était exprimée d'une voix calme, plus froide que sa voix habituelle. Elle n'était pas impressionnée et tenait à ce qu'il le sache. Elle croisa les bras devant sa poitrine, dans une posture relativement tendue, mais qui avait au moins le bon goût d'éloigner ses mains de son arme, et de la rendre plus vulnérable. Vu sa taille et le genre de ses armes, elle aurait le temps d'esquiver pour se remettre en position, s'il était hostile... mais cela restait un risque. Et elle n'appréciait pas être la seule à en prendre.
"
Volric
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Âge :
353
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
Soldat
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
Liges :
465
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Volric
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Volric
Volric
- message #1472
Volric arqua un sourcil, légèrement dubitatif, devant les arguments de cette soit-disant Ciara. Cependant, elle n’avait pas tort : si elle en avait après lui, elle aurait pu tout simplement attendre un moment propice et le terminer dans la forêt, il n’était pas particulièrement discret. Il finit par hausser les épaules, accepter ce qu’on lui disait, et qu’il n’était de toute façon pas assez intelligent pour être aussi prudent. S’il s’agissait d’un espion ou d’un traître, il devrait tout simplement y faire quelque chose lorsqu’il le découvrirait. Mais il n’avait plus l’impression que ça pouvait être le cas. Plus décontracté, il éloigna lui aussi ses mains de ses armes, prenant une pose plus apaisée. Il rétorqua :
« Heh. Soit. Je n’imaginais pas qu’on puisse assassiner quelqu’un en pleine rue et s’en sortir tranquille dans ce pays, j’espère que je ne me trompe pas ! Mais j’ai plus d’un tour dans mon sac, ne t’en fais pas. Je ne tombe jamais seul. »
Un léger sourire ironique, peut être difficile à interpréter dans cette situation, se forma sur ses lèvres. « Tu serais déjà mort ». Combien de fois lui avait-on faite, celle là, depuis qu’il était… hé bien… mort ? Cela ne manquait jamais à la fois de lui faire mal, et à la fois de l’amuser.
Il n’était pas sûr d’apprécier qu’on remette en cause ses motivations, par contre. Il se raisonna en se disant que lui aussi avait bien douté de son interlocutrice, et que c’était donc probablement de bonne guerre. Mais ces derniers temps il y avait beaucoup de curieux à propos de ses vieilles histoires et de la haine d’Arvandor… Il le dirait tout haut à tous ceux qui voudraient bien l’entendre, tant qu’il aurait du souffle !
« Je ne suis qu’une simple victime, encore et encore, de ces satanés pestiférés, ces barbares ! Andreas, d’abord ! Et puis les attaques, année après année ! Il serra le poing. Cette satanée arcanite dorée ! Y a-t-il suffisamment d’or et de sang dans tout leur sale pays pour repayer la dette qui pèse sur eux, après tous ces torts ? Mais je tiens le compte. Il cracha par terre. Depuis le début, je tiens le compte. Une lueur mauvaise dans le regard. Là où il y a un ennemi d’Arvandor, il y a un ami à moi. Et là où on leur fait bataille, je viens, et j’en emporte autant que je peux. Depuis le temps, mon décompte est assez élevé, je dois dire. Par contre, si c'est d'informations concrètes dont tu as besoin, je te préviens, c'est pas mon rayon... Je suis plutôt une paire de bras solide et bien entraînée. »
S'il avait eu plus d'informations, les aurait-il partagées tout de suite ? Peut être fallait-il prendre la mesure de cette Ceranne et de ce qu'elle valait avant de tout à fait se faire confiance... Toujours était-il qu'il était au moins prêt à l'écouter et à partager avec elle le peu qu'il savait, pour un but commun : faire payer à l'envahisseur !
« Heh. Soit. Je n’imaginais pas qu’on puisse assassiner quelqu’un en pleine rue et s’en sortir tranquille dans ce pays, j’espère que je ne me trompe pas ! Mais j’ai plus d’un tour dans mon sac, ne t’en fais pas. Je ne tombe jamais seul. »
Un léger sourire ironique, peut être difficile à interpréter dans cette situation, se forma sur ses lèvres. « Tu serais déjà mort ». Combien de fois lui avait-on faite, celle là, depuis qu’il était… hé bien… mort ? Cela ne manquait jamais à la fois de lui faire mal, et à la fois de l’amuser.
Il n’était pas sûr d’apprécier qu’on remette en cause ses motivations, par contre. Il se raisonna en se disant que lui aussi avait bien douté de son interlocutrice, et que c’était donc probablement de bonne guerre. Mais ces derniers temps il y avait beaucoup de curieux à propos de ses vieilles histoires et de la haine d’Arvandor… Il le dirait tout haut à tous ceux qui voudraient bien l’entendre, tant qu’il aurait du souffle !
« Je ne suis qu’une simple victime, encore et encore, de ces satanés pestiférés, ces barbares ! Andreas, d’abord ! Et puis les attaques, année après année ! Il serra le poing. Cette satanée arcanite dorée ! Y a-t-il suffisamment d’or et de sang dans tout leur sale pays pour repayer la dette qui pèse sur eux, après tous ces torts ? Mais je tiens le compte. Il cracha par terre. Depuis le début, je tiens le compte. Une lueur mauvaise dans le regard. Là où il y a un ennemi d’Arvandor, il y a un ami à moi. Et là où on leur fait bataille, je viens, et j’en emporte autant que je peux. Depuis le temps, mon décompte est assez élevé, je dois dire. Par contre, si c'est d'informations concrètes dont tu as besoin, je te préviens, c'est pas mon rayon... Je suis plutôt une paire de bras solide et bien entraînée. »
S'il avait eu plus d'informations, les aurait-il partagées tout de suite ? Peut être fallait-il prendre la mesure de cette Ceranne et de ce qu'elle valait avant de tout à fait se faire confiance... Toujours était-il qu'il était au moins prêt à l'écouter et à partager avec elle le peu qu'il savait, pour un but commun : faire payer à l'envahisseur !
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Titre du joueur :
Vendetta
Âge :
~ 200 ans
Race·s :
Angias
Métier :
Veilleuse
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Illusions
Nom de l'oeuvre :
Fire Emblem Three Houses
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Shamir
Manichéisme :
diligence
Liges :
2325
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Vendetta","age":"~ 200 ans","races":"Angias","metier":"Veilleuse","magies":"Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Illusions","manicheisme":"diligence","taille":"1m59","poids":"53kg","orientation":"Pansexuelle","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t164-la-guerre-ne-s-arrete-q","nomdeloeuvre":"Fire Emblem Three Houses","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Shamir","autrescomptes":""}
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Ciara
Ciara
- message #1480
C'était une tête de con.
Son petit sourire narquois, en réponse à sa menace, ses paroles provocatrices... Oui, c'était assurément une tête de con. Mais elle l'aimait bien. Si l'orgueil pouvait être une faiblesse fatale pour un guerrier, l'assurance était nécessaire. Elle permettait de croire en ses capacités jusqu'au bout, d'accomplir ce qu'un être plus faible, dans le même corps, aurait pensé impossible, et parfois même, son épaule en était un cruel, mais honorable souvenir, de survivre à des blessures quasi-certainement létales. Par ailleurs, il s'était détendu en la voyant écarter ses bras de son arme, et avait suivi le mouvement. Elle pourrait peut être lui reprocher son manque de prudence, mais en cet instant, elle ne s'en souciait pas. Elle voulait des alliés puissants, elle avait déjà un allié malin.
En revanche, son discours était bien plus passionné que le sien aurait pu l'être... Cela n'avait rien à voir avec la profondeur de leur colère, mais c'était en réalité l'expression de sa haine. Ciara avait trouvé un exutoire à sa colère dans la haine des non-angias, une haine diffuse, tenace, qui ne la quitterait sans doute jamais... mais une haine qu'il était facile de juguler, d'appréhender. Celle de Volric était concentrée. Elle avait des cibles précises, et elle se demanda un instant ce qu'une bête comme lui pouvait faire à ses ennemis, une fois qu'il avait mis la main dessus. Elle espérait qu'il se contente de les exécuter... Mais si le prix à payer pour la délivrance de son bosquet était la souffrance de ses ennemis, elle saurait s'en accomoder.
"Je n'ai pas besoin d'un éclaireur, ni d'un cerveau. J'ai besoin de bras qui feront ce que je ne peux pas faire : affronter frontalement ces abominations. Vinga a l'air d'avoir des plans, et je me chargerai du repérage. J'ai parcouru ce Bosquet pendant plus d'un siècle, je saurais rester dans les ombres sans me faire voir. "
Elle l'observa encore un moment de haut en bas, puis recula d'un pas, et lui fit signe de la suivre, avant de s'asseoir dos à un arbre, un peu plus loin, et surtout, à l'abri des regards indiscrets qui pourraient les observer.
"A vrai dire, je n'avais rien contre Arvandor, ou n'importe quelle autre nation en dehors de Cerah. Rien de ce qu'il se passait hors de Cerah ne m'intéressait. Je n'avais que deux missions : protéger les pélerins et les habitants de Solaria, et m'assurer que personne ne s'attaque jamais à ses arbres. C'était les seules choses qui comptaient... Aujourd'hui, mes protégés sont dispersés aux quatres coins de la forêt, et les Arvandiens ont planté leur maudite bouche de sangsue dans les arbres qui étaient ma fierté. On m'a dit que c'était pour l'arcanite dorée dont tu parles, et cela semble vrai... Mais je n'ai aucune idée de ce que c'est. Peut être pourrais tu m'expliquer, après...
Je ne vais pas y aller par quatres chemins : si nous sommes alliés, alors je te fais confiance. Et j'attends de toi que tu fasses de même. Mais pour te montrer ma bonne foi, je vais commencer par parler. Outre Vinga, j'ai deux autres alliés. Dogemius, le Capitaine des Forestiers, que tu as sans doute dû voir si tu es ici depuis un moment. C'est un Beatach, petit et épais, avec une grande massue en os dans le dos. Il n'est pas très malin, et a les mains liées par le Conseil qui dirige Cerah, mais c'est un allié politique sincère et fidèle, au sein de la politique Ceranne, et le jour où le conseil se rendra à l'évidence et lui permettra de se joindre à nous, ses troupes seront... utiles, à défaut d'être précieuses. Le deuxième est le Roi des Profondeurs. J'ignore s'il se joindra à nous, car il est difficile de comprendre ce que cette créature pense, mais il sait au moins que la forêt est mise à mal par des étrangers, qui pourraient bien chercher à détruire son royaume ensuite, s'ils prenaient conscience des trésors qu'il abrite...
As-tu des questions, jusque là ? "
Son petit sourire narquois, en réponse à sa menace, ses paroles provocatrices... Oui, c'était assurément une tête de con. Mais elle l'aimait bien. Si l'orgueil pouvait être une faiblesse fatale pour un guerrier, l'assurance était nécessaire. Elle permettait de croire en ses capacités jusqu'au bout, d'accomplir ce qu'un être plus faible, dans le même corps, aurait pensé impossible, et parfois même, son épaule en était un cruel, mais honorable souvenir, de survivre à des blessures quasi-certainement létales. Par ailleurs, il s'était détendu en la voyant écarter ses bras de son arme, et avait suivi le mouvement. Elle pourrait peut être lui reprocher son manque de prudence, mais en cet instant, elle ne s'en souciait pas. Elle voulait des alliés puissants, elle avait déjà un allié malin.
En revanche, son discours était bien plus passionné que le sien aurait pu l'être... Cela n'avait rien à voir avec la profondeur de leur colère, mais c'était en réalité l'expression de sa haine. Ciara avait trouvé un exutoire à sa colère dans la haine des non-angias, une haine diffuse, tenace, qui ne la quitterait sans doute jamais... mais une haine qu'il était facile de juguler, d'appréhender. Celle de Volric était concentrée. Elle avait des cibles précises, et elle se demanda un instant ce qu'une bête comme lui pouvait faire à ses ennemis, une fois qu'il avait mis la main dessus. Elle espérait qu'il se contente de les exécuter... Mais si le prix à payer pour la délivrance de son bosquet était la souffrance de ses ennemis, elle saurait s'en accomoder.
"
Elle l'observa encore un moment de haut en bas, puis recula d'un pas, et lui fit signe de la suivre, avant de s'asseoir dos à un arbre, un peu plus loin, et surtout, à l'abri des regards indiscrets qui pourraient les observer.
"
Je ne vais pas y aller par quatres chemins : si nous sommes alliés, alors je te fais confiance. Et j'attends de toi que tu fasses de même. Mais pour te montrer ma bonne foi, je vais commencer par parler. Outre Vinga, j'ai deux autres alliés. Dogemius, le Capitaine des Forestiers, que tu as sans doute dû voir si tu es ici depuis un moment. C'est un Beatach, petit et épais, avec une grande massue en os dans le dos. Il n'est pas très malin, et a les mains liées par le Conseil qui dirige Cerah, mais c'est un allié politique sincère et fidèle, au sein de la politique Ceranne, et le jour où le conseil se rendra à l'évidence et lui permettra de se joindre à nous, ses troupes seront... utiles, à défaut d'être précieuses. Le deuxième est le Roi des Profondeurs. J'ignore s'il se joindra à nous, car il est difficile de comprendre ce que cette créature pense, mais il sait au moins que la forêt est mise à mal par des étrangers, qui pourraient bien chercher à détruire son royaume ensuite, s'ils prenaient conscience des trésors qu'il abrite...
As-tu des questions, jusque là ?
Volric
Volric
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Âge :
353
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
Soldat
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
Liges :
465
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Volric
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Volric
Volric
- message #1509
Le guerrier vollhyr suivit la veilleuse jusqu’au coin où elle voulait l’emmener, un lieu plus discret où on pouvait discuter tranquillement, plutôt que le milieu du chemin où la voix grave de Volric attirait l’attention. Il s’assit en face d’elle en tailleur, le menton calé sur la paume de la main, dans une pose relativement nonchalante, et l’écouta parler.
Il hochait la tête de façon entendue de temps en temps. Il n’avait aucune idée de qui était ces gens, mais au moins maintenant il savait qu’ils existaient. Enfin… Ne lui avait-on pas dit de se tenir éloigner de la forêt troglodyte à cause de ce roi des profondeurs justement ? Pas une bête qu’on voulait croiser, il lui semblait… Par contre, il n’avait aucune idée de ce que voulait dire le charabia sur la politique Ceranne. Cela faisait partie des raisons pour laquelle il hochait la tête de temps en temps : ça lui paraissait poli de signifier à son interlocutrice qu’il écoutait bien ce qu’elle lui disait, même si 70 % du discours rentrait dans une oreille et sortait par l’autre.
Par contre, l’historique de l’invasion arvandienne l’avait plutôt intéressé. C’est là qu’il s’était dit « ah oui, classique, on fait pas attention au monstre qui nous sert de voisin, et paf ! ». Ils en avaient fait les frais quelques siècles auparavant, et était attristé que plus de nations ne se soient pas préparées à ce que ce soit leur tour. Elysium, Cerah… Il aurait fallut aider Vollheim plus tôt ! Mais bon, ce qui était fait était fait.
Lors de la sollicitation de Ciara, il répondit tout simplement :
« Hé bien mis à part que je ne connais pas ces gens et que je n’ai aucune foutue idée de ce que ton conseil fait ou ne fait pas, je suppose que je n’ai pas trop d’interrogation. Si j’ai bien compris, on a PEUT ÊTRE des alliés, mais il y a surtout des chances qu’on doive se débrouiller seuls. Je vais considérer que nous n’avons que l’aide dont nous somme sûrs de pouvoir bénéficier. J’ai eu trop d’espoirs gâchés autrement. »
Il changea sa posture, de manière à être plus confortablement installé, et poursuivit avec l’air de celui qui veut ajouter quelque chose avant d’oublier :
« Ah si, tiens. Puisque tu n’a aucune idée de ce qu’est l’arcanite dorée. Je ne suis ni un grand scientifique, ni un de ces elfes qui en ont refilé aux barbares, hein. Mais j’ai de l’expérience concrète face à ce que ça peut faire. En gros, c’est des cristaux dorés remplis de magie instable. Et quand ça pète… Il fit un bruit d’explosion avec la bouche et mima de ses bras l’ampleur de la chose. Il ne reste plus rien. Tout brûle, les gens sont réduits en bouillie, et la terre est salie pour les décennies à venir. Le savais tu ? Il n’y a plus de poisson dans la mer de Selkryssingr. Ces idiots ont souillé tout le bras de mer, même pour leurs propres pêcheurs ! Il n’y a plus qu’une eau trouble, impropre à la vie, et des terres désolées où rien ne pousse plus. Je crois qu’on peut l’utiliser autrement aussi, mais je ne suis pas expert. »
Enfin, fixant Ciara dans les yeux, il conclut :
« C’est contre ce genre de fou furieux qu’on se bat. Ils en ont rien à secouer. Ils peuvent brûler la terre et souiller les mers pour arriver à leurs fins, tant qu’ils occasionnent des dégâts à leurs adversaires. Il n’y a rien d’honorable chez eux, que de la duplicité et une faim insatiable. Il faudra pas leur faire de cadeau, quand on sera prêts à agir, parce qu’ils nous en feront pas non plus. »
Il hochait la tête de façon entendue de temps en temps. Il n’avait aucune idée de qui était ces gens, mais au moins maintenant il savait qu’ils existaient. Enfin… Ne lui avait-on pas dit de se tenir éloigner de la forêt troglodyte à cause de ce roi des profondeurs justement ? Pas une bête qu’on voulait croiser, il lui semblait… Par contre, il n’avait aucune idée de ce que voulait dire le charabia sur la politique Ceranne. Cela faisait partie des raisons pour laquelle il hochait la tête de temps en temps : ça lui paraissait poli de signifier à son interlocutrice qu’il écoutait bien ce qu’elle lui disait, même si 70 % du discours rentrait dans une oreille et sortait par l’autre.
Par contre, l’historique de l’invasion arvandienne l’avait plutôt intéressé. C’est là qu’il s’était dit « ah oui, classique, on fait pas attention au monstre qui nous sert de voisin, et paf ! ». Ils en avaient fait les frais quelques siècles auparavant, et était attristé que plus de nations ne se soient pas préparées à ce que ce soit leur tour. Elysium, Cerah… Il aurait fallut aider Vollheim plus tôt ! Mais bon, ce qui était fait était fait.
Lors de la sollicitation de Ciara, il répondit tout simplement :
« Hé bien mis à part que je ne connais pas ces gens et que je n’ai aucune foutue idée de ce que ton conseil fait ou ne fait pas, je suppose que je n’ai pas trop d’interrogation. Si j’ai bien compris, on a PEUT ÊTRE des alliés, mais il y a surtout des chances qu’on doive se débrouiller seuls. Je vais considérer que nous n’avons que l’aide dont nous somme sûrs de pouvoir bénéficier. J’ai eu trop d’espoirs gâchés autrement. »
Il changea sa posture, de manière à être plus confortablement installé, et poursuivit avec l’air de celui qui veut ajouter quelque chose avant d’oublier :
« Ah si, tiens. Puisque tu n’a aucune idée de ce qu’est l’arcanite dorée. Je ne suis ni un grand scientifique, ni un de ces elfes qui en ont refilé aux barbares, hein. Mais j’ai de l’expérience concrète face à ce que ça peut faire. En gros, c’est des cristaux dorés remplis de magie instable. Et quand ça pète… Il fit un bruit d’explosion avec la bouche et mima de ses bras l’ampleur de la chose. Il ne reste plus rien. Tout brûle, les gens sont réduits en bouillie, et la terre est salie pour les décennies à venir. Le savais tu ? Il n’y a plus de poisson dans la mer de Selkryssingr. Ces idiots ont souillé tout le bras de mer, même pour leurs propres pêcheurs ! Il n’y a plus qu’une eau trouble, impropre à la vie, et des terres désolées où rien ne pousse plus. Je crois qu’on peut l’utiliser autrement aussi, mais je ne suis pas expert. »
Enfin, fixant Ciara dans les yeux, il conclut :
« C’est contre ce genre de fou furieux qu’on se bat. Ils en ont rien à secouer. Ils peuvent brûler la terre et souiller les mers pour arriver à leurs fins, tant qu’ils occasionnent des dégâts à leurs adversaires. Il n’y a rien d’honorable chez eux, que de la duplicité et une faim insatiable. Il faudra pas leur faire de cadeau, quand on sera prêts à agir, parce qu’ils nous en feront pas non plus. »
Ciara
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Titre du joueur :
Vendetta
Âge :
~ 200 ans
Race·s :
Angias
Métier :
Veilleuse
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Illusions
Nom de l'oeuvre :
Fire Emblem Three Houses
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Shamir
Manichéisme :
diligence
Liges :
2325
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Ciara
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Ciara
Ciara
- message #1578
Il y'avait quelque chose de rafraichissant à parler avec quelqu'un comme Volric. Après tout, ces derniers mois, ses principaux interlocuteurs avaient été un monstre-roi terrifiant, une impératrice maintenant en exil, qu'elle ne reverrait sans doute plus jamais, et la personnification de tout ce que la politique faisait de plus retors... Un homme droit et simple était agréable, pour une fois. Même si c'était un humain.
Mais il avait compris l'essentiel. Leurs alliés étaient peu nombreux, et leur loyauté était au mieux hasardeuse. Si ceux liés à Cerah ne trahiraient jamais la forêt, ils pourraient estimer à tout moment que l'intérêt de la forêt se trouvait ailleurs, et que libérer Solaria passait après la cohabitation avec l'envahisseur pour éviter qu'il ne plonge ses crocs plus profondément dans le flanc de leur nation. Mais, si cela pouvait objectivement être vrai, elle ne laisserait jamais les choses en arriver là sans punition. La simplicité du guerrier était donc sagesse : ils ne devaient compter que sur eux même. Vinga elle même pouvait devenir un danger, et elle ignorait si Volric se rangerait du côté de sa semblable. Mieux valait ne pas lui demander dès maintenant.
Son explication sur l'arcanite dorée était simple, peut être même trop, mais elle avait au moins le mérite d'être efficace... Ainsi, Solaria était, non seulement un bosquet où la splendeur coulait dans les veines même de la forêt, mais cette splendeur pouvait aussi devenir une arme. Cela expliquait pourquoi ces chiens humains cherchaient à se l'approprier, mais il y'avait plus grave encore... Si l'Arcanite risquait de rendre la terre stérile, alors le Bosquet pourrait ne pas se relever et rester stérile des décennies durant ! Elle saurait attendre et aider les pousses à grandir, mais c'était un sacrifice terrible, et qui savait si le bosquet finirait par retrouver sa splendeur ? Tout cela était bien trop risqué, ils ne pouvaient pas se permettre d'attendre.
Cela dit... elle leva les mains, comme pour signifier qu'elle n'avait aucune mauvaise intention, avant de dégainer lentement sa lance, et de la poser entre eux deux, comme pour les séparer. Du doigt, elle pointa une veine dorée dans le bois, qui remontait le long du manche, se séparait, s'évasait en multitude de faisceaux, qui venaient tous converger à la base de la lame pour la recouvrir presque entièrement.
"Si c'est de cela que tu parles, alors je crains que l'arcanite dorée ne soit pas quelque chose qu'ils pourraient extraire... Tôt ou tard, ils chercheront à trouver la source de cette sève et de ce bois, et commenceront à arracher les arbres, emporter le bois qu'elle a nourri, et en faire des armes loin de Cerah... Je ne peux pas autoriser cela. J'ignore comment nous allons lutter, mais je crois que le mieux, pour savoir ce que nous allons faire est de présenter nos capacités, sans secrets ni esquives... Si tu devais me trahir, alors tu en saurais assez sur moi pour connaître mes faiblesses, mais peu importe. Je ne suis que la Veilleuse de Solaria, et sans cela, Solaria disparaîtra. "
Elle soupira, avant de regarder à nouveau Volric dans les yeux.
"Je suis une duelliste. Ma lance n'est pas une arme faite pour affronter les masses, mais elle est redoutable en combat singulier. Je n'ai encore rencontré aucune armure qu'elle ne savait percer, sans qu'il y'ait nécessairement besoin de force dans les coups portés. C'est pourquoi je me suis toujours concentré sur la vitesse. Ca, et la connaissance de mon environnement. L'idée est de toujours prendre mes ennemis par surprise, parce qu'un coup suffit en général à les terrasser, s'il est bien porté. Et personne ne s'attend à ce qu'une petite angias avec une lance trop grande ne sorte soudainement du feuillage d'un arbre derrière soi. Si j'ai besoin d'atteindre un endroit en hauteur, ou de créer de la distance entre mon ennemi et moi, je peux utiliser les arbres voisins pour créer des passerelles, des murs... ou même des lances pour occuper mon ennemi alors que je me déplace. Et au cas où ça ne suffirait pas... "
Un sifflement sur la droite de Volric se fit entendre, alors qu'une deuxième Ciara le fixait, adossée à un arbre, avant de s'évaporer comme si de rien n'était.
"Je peux créer un double de moi même pendant quelques secondes. Ce n'est qu'une illusion, il n'a rien de dangereux, mais il peut suffir à ouvrir une garde, et me permettre de vaincre mon ennemi. Tout ça fait que je n'ai pas perdu de duels depuis que je porte cette lance... un siècle et demie environ... Mais comme je l'ai dit, affronter un groupe est bien plus dangereux. On ne disparaît pas si simplement contre eux, et s'ils sont impitoyables, ils n'ont qu'à attendre que je morde l'un d'entre eux pour s'abattre sur moi le temps que je me rétablisse de l'attaque que je viens de porter.
Et toi ? Raconte-moi. "
Mais il avait compris l'essentiel. Leurs alliés étaient peu nombreux, et leur loyauté était au mieux hasardeuse. Si ceux liés à Cerah ne trahiraient jamais la forêt, ils pourraient estimer à tout moment que l'intérêt de la forêt se trouvait ailleurs, et que libérer Solaria passait après la cohabitation avec l'envahisseur pour éviter qu'il ne plonge ses crocs plus profondément dans le flanc de leur nation. Mais, si cela pouvait objectivement être vrai, elle ne laisserait jamais les choses en arriver là sans punition. La simplicité du guerrier était donc sagesse : ils ne devaient compter que sur eux même. Vinga elle même pouvait devenir un danger, et elle ignorait si Volric se rangerait du côté de sa semblable. Mieux valait ne pas lui demander dès maintenant.
Son explication sur l'arcanite dorée était simple, peut être même trop, mais elle avait au moins le mérite d'être efficace... Ainsi, Solaria était, non seulement un bosquet où la splendeur coulait dans les veines même de la forêt, mais cette splendeur pouvait aussi devenir une arme. Cela expliquait pourquoi ces chiens humains cherchaient à se l'approprier, mais il y'avait plus grave encore... Si l'Arcanite risquait de rendre la terre stérile, alors le Bosquet pourrait ne pas se relever et rester stérile des décennies durant ! Elle saurait attendre et aider les pousses à grandir, mais c'était un sacrifice terrible, et qui savait si le bosquet finirait par retrouver sa splendeur ? Tout cela était bien trop risqué, ils ne pouvaient pas se permettre d'attendre.
Cela dit... elle leva les mains, comme pour signifier qu'elle n'avait aucune mauvaise intention, avant de dégainer lentement sa lance, et de la poser entre eux deux, comme pour les séparer. Du doigt, elle pointa une veine dorée dans le bois, qui remontait le long du manche, se séparait, s'évasait en multitude de faisceaux, qui venaient tous converger à la base de la lame pour la recouvrir presque entièrement.
"
Elle soupira, avant de regarder à nouveau Volric dans les yeux.
"
Un sifflement sur la droite de Volric se fit entendre, alors qu'une deuxième Ciara le fixait, adossée à un arbre, avant de s'évaporer comme si de rien n'était.
"
Et toi ? Raconte-moi.
Volric
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Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
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Volric
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Volric
Volric
- message #1587
Volric était un peu dubitatif de la tournure de la conversation. Pourquoi pas, après tout, faire un tel échange ? Il avait jaugé que Ciara avait l’air d’être une bonne combattante et ça lui avait suffi. Mais il la catégorisait dans sa tête dans la catégorie « les gens gradés », qui ont besoin de faire des plans compliqués, et pour faire des plans compliqués il fallait des informations détaillées. Il le comprenait, il n’en ressentait juste pas le besoin. Mais il respecta le souhait de son interlocutrice, et prit le parti déjà d’écouter.
Quand elle fit son clône, il se permit un sifflement. « Hé beh, rien que ça ! » Mais à vrai dire, c’était l’arme qui l’avait le plus intéressé. Pendant que la veilleuse terminait son discours, il avait reluqué un moment la lance, et ça avait l’air d’être un sacré morceau d’artisanat. Pas qu’il soit capable d’en produire de tels, malgré la réputation des vollhyrs, mais il savait en reconnaître un quand il le voyait. C’était l’instinct : il pouvait être sûr, juste du regard, qu’elle se maniait avec aise et que les résultats qu’elle produisait étaient très bons.
Quand vint son tour, il prit une grande respiration, mais il était tout de même persuadé de ne rien avoir de particulier à dire.
« Je n’ai pas d’arme compliquée, pas de spécialité au combat, et ma seule aptitude particulière, c’est d’être tenace ! J’ai des écailles dures comme l’acier, et je peux régénérer mes plaies par magie. Toute mon expertise se joue sur le champ de bataille, que j’arpente depuis… Il fit mine de compter sur ses doigts. Deux cent cinquante ? Trois cents ans ? Truc comme ça. Pas de duel honorable, j’avance, je fais avec ce que j’ai sur moi, et quand j’ai plus d’arme, j’en pique une qui traîne. On fait c’qu’on peut avec ce qu’on a. Il se frappa le torse, l’air fier. Et pour le coup, j’ai de la ressource, ha ! On peut dire que je suis un peu touche à tout. »
Il n’était pas très « à l’aise » avec le fait d’expliquer sa manière de se battre, mis à part les parties très « factuelles » : les écailles, la magie, les armes. Après des siècles de champ de bataille, c’était son instinct qui faisait le plus gros du travail, ce qui lui compliquait la tâche quand il s’agissait de le retranscrire pour quelqu’un d’autre.
Il prit un air narquois, pour ce qui est de la suite, car l’idée ne lui avait même pas traversé l’esprit avant que Ciara ne la prononce.
« On n’se connaît pas assez pour que je te trahisse. Te vendre à qui ? Il n’y a que pour arvandor que ta perte a de la valeur. Il cracha de nouveau, comme plus tôt dans la conversation, pour bien appuyer son mépris. Par contre faut pas s’attendre à ce que je donne ma vie pour rien. Je ne suis ni fuyard ni lâche mais je ne me donne pas gratuitement pour les causes perdues du monde entier, j’ai bien assez à faire avec la mienne. Tu peux t’assurer que je serai clair là dessus. Je ne te lâcherai pas au hasard au dernier moment sans rien dire.. »
Quand elle fit son clône, il se permit un sifflement. « Hé beh, rien que ça ! » Mais à vrai dire, c’était l’arme qui l’avait le plus intéressé. Pendant que la veilleuse terminait son discours, il avait reluqué un moment la lance, et ça avait l’air d’être un sacré morceau d’artisanat. Pas qu’il soit capable d’en produire de tels, malgré la réputation des vollhyrs, mais il savait en reconnaître un quand il le voyait. C’était l’instinct : il pouvait être sûr, juste du regard, qu’elle se maniait avec aise et que les résultats qu’elle produisait étaient très bons.
Quand vint son tour, il prit une grande respiration, mais il était tout de même persuadé de ne rien avoir de particulier à dire.
« Je n’ai pas d’arme compliquée, pas de spécialité au combat, et ma seule aptitude particulière, c’est d’être tenace ! J’ai des écailles dures comme l’acier, et je peux régénérer mes plaies par magie. Toute mon expertise se joue sur le champ de bataille, que j’arpente depuis… Il fit mine de compter sur ses doigts. Deux cent cinquante ? Trois cents ans ? Truc comme ça. Pas de duel honorable, j’avance, je fais avec ce que j’ai sur moi, et quand j’ai plus d’arme, j’en pique une qui traîne. On fait c’qu’on peut avec ce qu’on a. Il se frappa le torse, l’air fier. Et pour le coup, j’ai de la ressource, ha ! On peut dire que je suis un peu touche à tout. »
Il n’était pas très « à l’aise » avec le fait d’expliquer sa manière de se battre, mis à part les parties très « factuelles » : les écailles, la magie, les armes. Après des siècles de champ de bataille, c’était son instinct qui faisait le plus gros du travail, ce qui lui compliquait la tâche quand il s’agissait de le retranscrire pour quelqu’un d’autre.
Il prit un air narquois, pour ce qui est de la suite, car l’idée ne lui avait même pas traversé l’esprit avant que Ciara ne la prononce.
« On n’se connaît pas assez pour que je te trahisse. Te vendre à qui ? Il n’y a que pour arvandor que ta perte a de la valeur. Il cracha de nouveau, comme plus tôt dans la conversation, pour bien appuyer son mépris. Par contre faut pas s’attendre à ce que je donne ma vie pour rien. Je ne suis ni fuyard ni lâche mais je ne me donne pas gratuitement pour les causes perdues du monde entier, j’ai bien assez à faire avec la mienne. Tu peux t’assurer que je serai clair là dessus. Je ne te lâcherai pas au hasard au dernier moment sans rien dire.. »
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Ciara
Ciara
- message #1604
Le pire, dans cette histoire, c'est qu'elle avait envie de le croire sur parole. Sa motivation était simple : il détestait Arvandor. Sa façon de se battre était simple : il fonçait dans le tas. Sa façon de choisir ses armes semblait simple aussi : il ne choisissait pas. Tout en lui était simple, dépourvu d'artifice. A n'en pas douter, l'archétype même du pion... Et c'est en réalité ce qu'elle craignait. Elle n'était pas idiote, mais n'avait aucune envie de faire de la politique, encore moins de manipuler des gens... Et elle avait une forme d'affection simple pour cet homme. Il semblait avoir vécu au moins autant qu'elle, et le fait qu'il ne reste plus de tout cela que la haine... Elle éprouvait une forme de pitié pour lui, et dans le même temps, du respect.
Elle-même ne se voyait pas différemment d'une arme, mais cet homme semblait avoir poussé cela à un point qu'elle n'aurait pas cru possible. Et malgré tout, il avait gardé l'instinct de survie nécessaire pour continuer la lutte, même si une bataille était perdue. Elle aimait Zorah comme une âme soeur qui se serait perdue dans un corps d'humain, mais Volric était la première personne qu'elle rencontrait depuis sa Défaite qui lui inspirait de l'Admiration.
"Ne t'en fais pas, je n'en exigerai pas tant, bien au contraire... Je suis prête à mourir pour cette cause, car Solaria a été et sera toujours ma vie, mais car je sais aussi que le flambeau sera transmis. Un homme a promis de transmettre ma Gae Bolga à l'Angias qui sera digne d'en hériter, et lui se battra à son tour contre Solaria. Si ma mort me permet de porter le premier des coups qui éventreront cette nation maudite, alors je serais heureuse de mourir... Mais ta raison de te battre n'est pas de libérer Solaria, mais de mettre à terre leur Empire. Ma cause ne vaut pas le cout de ta mort. "
Elle hocha la tête, comme pour approuver sa décision, mais il s'agissait plutôt pour elle d'une façon de sceller ses mots, de ne jamais revenir dessus. Puis la curiosité refit surface, et elle reprit la parole.
"Mais je me demande... Qui, entre Vinga et toi, est à l'origine de votre rencontre ? Je t'imagine mal parcourir Arathia en cherchant à identifier les personnes politiques détestant le plus Arvandor... "
Elle-même ne se voyait pas différemment d'une arme, mais cet homme semblait avoir poussé cela à un point qu'elle n'aurait pas cru possible. Et malgré tout, il avait gardé l'instinct de survie nécessaire pour continuer la lutte, même si une bataille était perdue. Elle aimait Zorah comme une âme soeur qui se serait perdue dans un corps d'humain, mais Volric était la première personne qu'elle rencontrait depuis sa Défaite qui lui inspirait de l'Admiration.
"
Elle hocha la tête, comme pour approuver sa décision, mais il s'agissait plutôt pour elle d'une façon de sceller ses mots, de ne jamais revenir dessus. Puis la curiosité refit surface, et elle reprit la parole.
"
Volric
Volric
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Âge :
353
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
Soldat
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
Liges :
465
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{"titredujoueur":"","age":"353","races":"Draconide","metier":"Soldat","magies":"Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain","manicheisme":"colère","taille":"2m","poids":"140kg","orientation":"?????","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t94-there-is-only-war-volric","nomdeloeuvre":"Arknights","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Chong Yue","autrescomptes":""}
Volric
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Volric
Volric
- message #1643
« Ne t’inquiète pas, si je meurs quand même en t’aidant, je ne reviendrai pas te hanter, malgré ce qu’on dit sur les vollhyrs et le spiritisme ! » Répondit-il d’un air rieur pour détendre l’atmosphère malgré leur première impression un peu compliquée. Il éclata ensuite d’un grand rire sincère, très content de son trait d’humour, en essayant avec plus ou moins de succès de ne pas non plus faire trop de bruit et attirer toute l’attention vers eux.
Il se remit doucement de ses émotions, essuyant même une petite larme.
« Désolé. Ce n’est pas que ce que tu dis n’est pas sérieux mais… Je sais dans quoi je m’engage en venant ici. On prend forcément des risques, en se battant contre cet envahisseur ! Je ne dirais pas que ta cause ne vaut pas ma mort, car sinon je ne proposerais pas du tout mon aide. Disons que je ne m’y jetterai simplement pas à corps perdu. »
Puisque la discussion continuait, il sortir un petit bout de bois de sa poche, afin d’occuper ses mains. Celui ci était déjà un peu travaillé et semblait destiné à devenir un genre de figurine encore non déterminée, bien que la silhouette ait commencé à se préciser. Redevenu plus calme, il prit en compte les dernières paroles de son interlocutrices.
« Hé bien, nous sommes tous deux vollhyrs, notre rencontre n’a rien de très étonnant. C’était une totale coïncidence, au détour d’une balade. Et, bien entendu, nos intérêts s’alignent, étant compatriotes, donc nous nous sommes tout de suite entendus. Mais, hé bien, tu en sais plus que moi, je n’avais pas connaissance du fait que Vinga était une personne politique. Je dirais même que je le connais peu. Juste assez pour lui accorder ma confiance au moins je dirais ! »
Lui aussi se laisse aller à la curiosité en retour :
« Et toi, comment la connaît-elle ? Tu n’as pas l’air de beaucoup traîner à Vollheim. »
Il se remit doucement de ses émotions, essuyant même une petite larme.
« Désolé. Ce n’est pas que ce que tu dis n’est pas sérieux mais… Je sais dans quoi je m’engage en venant ici. On prend forcément des risques, en se battant contre cet envahisseur ! Je ne dirais pas que ta cause ne vaut pas ma mort, car sinon je ne proposerais pas du tout mon aide. Disons que je ne m’y jetterai simplement pas à corps perdu. »
Puisque la discussion continuait, il sortir un petit bout de bois de sa poche, afin d’occuper ses mains. Celui ci était déjà un peu travaillé et semblait destiné à devenir un genre de figurine encore non déterminée, bien que la silhouette ait commencé à se préciser. Redevenu plus calme, il prit en compte les dernières paroles de son interlocutrices.
« Hé bien, nous sommes tous deux vollhyrs, notre rencontre n’a rien de très étonnant. C’était une totale coïncidence, au détour d’une balade. Et, bien entendu, nos intérêts s’alignent, étant compatriotes, donc nous nous sommes tout de suite entendus. Mais, hé bien, tu en sais plus que moi, je n’avais pas connaissance du fait que Vinga était une personne politique. Je dirais même que je le connais peu. Juste assez pour lui accorder ma confiance au moins je dirais ! »
Lui aussi se laisse aller à la curiosité en retour :
« Et toi, comment la connaît-elle ? Tu n’as pas l’air de beaucoup traîner à Vollheim. »
Ciara
Ciara
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Vendetta
Âge :
~ 200 ans
Race·s :
Angias
Métier :
Veilleuse
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Illusions
Nom de l'oeuvre :
Fire Emblem Three Houses
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Shamir
Manichéisme :
diligence
Liges :
2325
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Ciara
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Ciara
Ciara
- message #1685
Elle n'était pas sûre de comprendre la blague, mais elle sourit néanmoins. Lui semblait très fier de son jeu de mot, et elle n'avait pas le coeur de lui demander d'expliquer, ou de ne pas rire avec lui. Il lui rappelait un peu certains apprentis sur lesquels elle avait veillé, et qu'elle avait entrainés. Certains d'entre eux étaient morts, et la colère ne les ramènerait pas... La colère les vengerait. Mais le rire pouvait aider à vivre les jours qui les séparaient de leur vengeance. Quant à lui, il était plus déterminé qu'elle ne l'aurait cru. Et après tout, c'était lui qui choisissait ses combats, elle ne l'empêcherait certainement pas de mourir si il le souhaitait. Mais elle ne reviendrait pas sur sa parole non plus. Elle le protégerait, autant que possible.
Elle l'observa tailler un bout de bois d'un oeil, et tiqua légèrement. Elle n'aimait guère ce passe-temps, et, si ce n'avait été lui, elle aurait utilisé sa magie pour lui planter des échardes dans les bois... Mais elle préféra se concentrer sur sa question.
"C'est une longue histoire... Lorsque je n'ai pas trouvé l'aide que j'espérais auprès du Conseil, j'ai décidé de chercher des personnes qui détesteraient Arvandor autant que moi. Xing Alfa semblait refermée sur elle même, les habitants de la Tour Galate sont des monstres qui essaieraient de s'approprier Solaria, Volheim était trop loin, et de l'autre côté de ce pays maudit... Il ne restait qu'Al Malaaq. Et j'avais entendu dire qu'ils étaient puissants et détestaient Arvandor. Je m'y suis donc rendue, pour transmettre mon message, et demander de l'aide.
J'ai rencontré l'impératrice, là bas... Zorah, une humaine, mais qui a le coeur d'une angias. Elle était devenue impératrice en gagnant sa place par la force et la politique. Elle et moi avons beaucoup discuté, et, même si elle devait faire passer les intérêts de son pays avant les miens, je crois qu'elle était l'alliée la plus sincère que j'ai rencontrée jusque là. Si les choses avaient été différentes, nous aurions sans doute même pu devenir amies... Mais presque immédiatement après cette entrevue, la régente et l'empereur qu'elle avait exilés pour prendre leur place ont reparu, comme par magie...
Le peuple a décidé de les suivre, et Zorah fut exilée... Ca a été un coup dur pour ma cause comme pour moi personnellement. Mais elle a eu le temps d'arranger un rendez vous... Entre Zinga et moi. Elle pensait que Vinga pourrait m'aider à réaliser mon objectif. Et c'est vrai... Elle est certainement un allié de poids, elle connaît du beau monde, et elle saura déceler les pièges politiques que l'on pourrait nous tendre... Mais je ne lui accorde pas la confiance que tu lui prêtes. Peut être parce que je ne suis pas comme elle...
J'ai l'impression qu'à ses yeux, je ne suis qu'un pion... Et cela ne me dérange pas, ou ne devrait pas me déranger, je ne suis qu'une Lance pour Solaria... Mais justement. Je suis la Lance de Solaria. Non celle de Vinga... Je pense que tu comprends ce que je veux dire... "
Elle l'observa tailler un bout de bois d'un oeil, et tiqua légèrement. Elle n'aimait guère ce passe-temps, et, si ce n'avait été lui, elle aurait utilisé sa magie pour lui planter des échardes dans les bois... Mais elle préféra se concentrer sur sa question.
"
J'ai rencontré l'impératrice, là bas... Zorah, une humaine, mais qui a le coeur d'une angias. Elle était devenue impératrice en gagnant sa place par la force et la politique. Elle et moi avons beaucoup discuté, et, même si elle devait faire passer les intérêts de son pays avant les miens, je crois qu'elle était l'alliée la plus sincère que j'ai rencontrée jusque là. Si les choses avaient été différentes, nous aurions sans doute même pu devenir amies... Mais presque immédiatement après cette entrevue, la régente et l'empereur qu'elle avait exilés pour prendre leur place ont reparu, comme par magie...
Le peuple a décidé de les suivre, et Zorah fut exilée... Ca a été un coup dur pour ma cause comme pour moi personnellement. Mais elle a eu le temps d'arranger un rendez vous... Entre Zinga et moi. Elle pensait que Vinga pourrait m'aider à réaliser mon objectif. Et c'est vrai... Elle est certainement un allié de poids, elle connaît du beau monde, et elle saura déceler les pièges politiques que l'on pourrait nous tendre... Mais je ne lui accorde pas la confiance que tu lui prêtes. Peut être parce que je ne suis pas comme elle...
J'ai l'impression qu'à ses yeux, je ne suis qu'un pion... Et cela ne me dérange pas, ou ne devrait pas me déranger, je ne suis qu'une Lance pour Solaria... Mais justement. Je suis la Lance de Solaria. Non celle de Vinga... Je pense que tu comprends ce que je veux dire...
Volric
Volric
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Race·s
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Featuring
•
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Âge :
353
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
Soldat
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
Liges :
465
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Volric
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Volric
Volric
- message #1759
Durant l’histoire de la veilleuse, Volric resta silencieux, n’effectuant que des grognements ou autre signe qu’il écoutait bel et bien lorsque son interlocutrice en avait besoin au cours de son long récit, ou qu’une information en particulier le faisait réagir. Il avait l’impression, probablement à juste titre, qu’il y avait beaucoup de frustration chez Ciara également. Peut être autant que chez lui même, allez savoir ! En ça, à cause d’Arvandor, ils étaient similaires. La comparaison pouvait peut être s’arrêter là, car là où elle avait des responsabilités, quelque chose sur lequel veiller, Volric n’avait plus que sa vieille carcasse comme charge, ainsi que la promesse de se venger. C’était moins compliqué pour le Vollhyr, pour sûr.
L’histoire terminée, il prit le temps de la réflexion, une main frottant son menton d’un air pensif, l’autre jouant avec le bout de bois travaillé. C’était beaucoup de politique. Il soupira. Il fallait bien que quelqu’un s’occupe de la politique, puisqu’il ne le ferait pas lui même. C’était pour lui trop compliqué, il aimait aller à l’essentiel. Mais de ce fait, à la fois il comprenait le sentiment de Ciara, et à la fois il en était éloigné : il avait l’habitude d’être un outil, un outil fait pour tuer.
« Je pense que je saisis l’essentiel, répondit-il. Nous sommes dans une situation similaire. Je suis un outil pour Vollheim, comme tu l’es pour Solaria. Je n’apprécierais pas non plus qu’on se serve de moi pour motif ultérieur. Enfin, tant que l’objectif principal est rempli, je suppose que je pourrais m’en accommoder… Hmmm... »
C’était manifestement un sujet qui allait au-delà de la philosophie personnelle qu’il utilisait, et pour lequel il était bien peu armé pour répondre. Il se redressa un brin, et frappa du poing sur sa poitrine :
« Je n’ai qu’une chose à dire. Dans ce genre de situation, il faut suivre son coeur. Son instinct ! Il n’y a que ça qui te dira si tu suis le bon chemin. Et si Vinga se sert de toi pour ses propres buts, hé bien ! Je suppose qu’à ton tour, tu peux te servir de Vinga tant que vous vous êtes utiles mutuellement. C’est ton instinct qui te dictera quand il faut y mettre fin, ou s’il faut aller jusqu’au bout ! »
Cette fois, il se redressa tout à fait, allant jusqu’à se relever, en profitant au passage pour ranger son bout de bois. Il conclut par ces mots :
« Ma foi, ma venue ici a été plus fructueuse que ce que je pensais. Je suis content de savoir que d’autres agissent aussi contre cet envahisseur. Je dois rentrer à Vollheim dans un futur proche, donc à moins que nous n’agissions rapidement, nous ne nous reverrons pas avant un moment. Sache que tu as mon support, et que dès que nous serons prêts, tu pourras me compter parmi tes camarades. »
L’histoire terminée, il prit le temps de la réflexion, une main frottant son menton d’un air pensif, l’autre jouant avec le bout de bois travaillé. C’était beaucoup de politique. Il soupira. Il fallait bien que quelqu’un s’occupe de la politique, puisqu’il ne le ferait pas lui même. C’était pour lui trop compliqué, il aimait aller à l’essentiel. Mais de ce fait, à la fois il comprenait le sentiment de Ciara, et à la fois il en était éloigné : il avait l’habitude d’être un outil, un outil fait pour tuer.
« Je pense que je saisis l’essentiel, répondit-il. Nous sommes dans une situation similaire. Je suis un outil pour Vollheim, comme tu l’es pour Solaria. Je n’apprécierais pas non plus qu’on se serve de moi pour motif ultérieur. Enfin, tant que l’objectif principal est rempli, je suppose que je pourrais m’en accommoder… Hmmm... »
C’était manifestement un sujet qui allait au-delà de la philosophie personnelle qu’il utilisait, et pour lequel il était bien peu armé pour répondre. Il se redressa un brin, et frappa du poing sur sa poitrine :
« Je n’ai qu’une chose à dire. Dans ce genre de situation, il faut suivre son coeur. Son instinct ! Il n’y a que ça qui te dira si tu suis le bon chemin. Et si Vinga se sert de toi pour ses propres buts, hé bien ! Je suppose qu’à ton tour, tu peux te servir de Vinga tant que vous vous êtes utiles mutuellement. C’est ton instinct qui te dictera quand il faut y mettre fin, ou s’il faut aller jusqu’au bout ! »
Cette fois, il se redressa tout à fait, allant jusqu’à se relever, en profitant au passage pour ranger son bout de bois. Il conclut par ces mots :
« Ma foi, ma venue ici a été plus fructueuse que ce que je pensais. Je suis content de savoir que d’autres agissent aussi contre cet envahisseur. Je dois rentrer à Vollheim dans un futur proche, donc à moins que nous n’agissions rapidement, nous ne nous reverrons pas avant un moment. Sache que tu as mon support, et que dès que nous serons prêts, tu pourras me compter parmi tes camarades. »
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La haine rapproche [ft. Volric]