{"name":"GroupPerso","value":"vollheim"},{"name":"ChampTitre","value":"Damned runesmith"},{"name":"prenomPerso","value":"Vekhia"},{"name":"nomPerso","value":"Heartbrand"},{"name":"titreperso","value":"La Runeforgeuse"},{"name":"originefeat","value":"Dzi"},{"name":"nomfeat","value":"OC"},{"name":"iconfiche","value":"https://i.servimg.com/u/f88/20/28/34/45/icon10.png"},{"name":"racePerso","value":"Morte-vivante draconique laerte"},{"name":"ageperso","value":"73 ans"},{"name":"metierPerso","value":"forgeronne runique"},{"name":"LieuNaissance","value":"Vollheim"},{"name":"genreperso","value":"Féminin"},{"name":"pronomsperso","value":"elle"},{"name":"orientationperso","value":"Homosexuelle"},{"name":"manicheismeperso","value":"Patience"},{"name":"magieperso","value":"Ritualisme - Runes & totems"},{"name":"aptitudeperso","value":"Maitre de la forge"},{"name":"habilitesperso","value":"Maitre de la forge : forgeronne très douée, Vekhia était de son vivant fournisseuse d'armes pour la Griffe Ardente. Mais son art a atteint un nouveau sommet avec les connaissances runiques acquises dans la mort, lui permettant de forger des armes runiques certes maudites, mais à la facture inégalée.\r\n\r\nRunes : Vekhia a appris du nécromancien qui l'a asservie à créer des runes et à pouvoir les lier aux armes et armures d'autrui lors de rituels corrompus. Elle a toujours haï ce pouvoir qu'on lui a imposé, mais doit bien reconnaître son utilité, bien qu'elle se refuse généralement à le mettre au service d'autrui, ou même de graver de nouvelles runes. Aussi traumatisante que soit l'expérience, elle fut contrainte de réaliser plusieurs runes dont elle a affublé ses armes (2 runes permanentes maxi par arme).\r\n- Rune de givre mordant : la lame gravée devient d'un froid si extrême qu'elle en dégage un léger brouillard au contact de l'air. La toucher gêle la peau en profondeur si bien qu'il est presque impossible pour un mortel de la tenir en main, bien que la morte-vivante n'en ressente aucun mal\r\n- Rune du croisé déchu : La force de la personne qui porte cette arme semble légèrement augmentée par la magie noire contenue dans la rune\r\n- Rune de flétrissement : La rune gravée dans la lame dévore la force vitale des ennemis, ce qui les épuise plus rapidement que la normale\r\n- Rune de lien occulte : Les armes gravées de cette rune peuvent être rappelées par magie dans les mains de Vekhia\r\nDe plus, elle peut activer des runes déployant des auras éphémères, permettant de se soutenir elle-même, ou d'affaiblir ses ennemis."},{"name":"tailleperso","value":"1m73"},{"name":"poidsperso","value":"63kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"- arbore une cicatrice partant du nombril jusqu'entre ses seins, reliquat de la blessure qui l'a tuée et qui ne guérira jamais\r\n- ses yeux sont d'un bleu glacial et irréel, comme nimbés de magie\r\n- des écailles bleu nuit courent tout le long de sa colonne vertébrale "},{"name":"factsperso","value":"- A encore aujourd'hui des flashs de sa propre mort\r\n- N'a confiance en aucun spiritualiste de peur de se faire asservir de nouveau\r\n- Aime prendre des bains\r\n- Déteste danser, mais adore le chant et la musique\r\n- Veille encore de loin sur sa sœur cadette et ses amis de son vivant, mais craint de se montrer à eux dans son état\r\n- Est physiquement incapable de pleurer\r\n- Ses lames se nomment Brisâme et Givrecroc"},{"name":"traitcaract","value":"Déterminée - Fidèle - Persévérante - Dure au mal - Calme - Discrète - Spontanée - Amère - Cynique - Angoissée "},{"name":"caractereperso","value":"La première chose que l'on apprend si l'on demande une description de Vekhia de son vivant, c'est qu'elle a toujours été une femme déterminée, persévérante face à l'adversité, le genre qui déteste abandonner ou ne pas réussir à faire une chose, même en y mettant le temps. Peu importent ses blessures, sa fatigue ou son état mental, la laerte endurait tout en serrant les dents, et essayait d'en montrer le moins possible. Pourvu qu'elle ait un objectif, et elle fera tout pour l'atteindre. Ce caractère indomptable et fort tranchait nettement avec son physique plus frêle, et pourtant malgré celui-ci elle en impressionnait plus d'un à la guilde de la forge par son endurance. Cela explique en grande partie qu'elle ait dédié sa vie à son art de la forge, et qu'elle ait fini par devenir une forgeronne respectée.\r\n\r\nCeux qui la connaissent mieux, plus intimement, décriront peut-être une femme fidèle, honnête, qui même si elle ne parle que peu de ses propres sentiments et se contente souvent de suivre le groupe plutôt que de le mener, est une personne de confiance. Elle est une personne avec qui il fait bon discuter, qui aime le calme et la sérénité, loin du fracas des marteaux sur l'acier, qui préfère les activités reposantes à celles sportives. En privé, elle est étonnamment douce pour une forgeronne acharnée, mais certains lui reprocheraient de passer trop de temps à son travail plutôt qu'avec les siens. Elle n'a pourtant jamais abandonné personne, accordant une importance capitale à sa famille et notamment sa sœur, ainsi qu'à ses amis qu'elle s'est fait en chemin.\r\n\r\nSi elle encaissait avec aisance la fatigue physique, les muscles douloureux d'heures passées à battre le fer encore chaud, les blessures ou brûlures, son moral était peut-être sa plus grande faiblesse. Elle prends toujours tout sur elle, accumulant des choses, les moqueries sur la petite taille de ses cornes ou sur son physique pas taillé pour le combat, ses peurs quand à son avenir et celui de sa famille... Elle faisait pourtant en sorte de toujours être rayonnante pour les autres. \r\n\r\nSi la mort a chassé la peur, toutes ses peurs hormis peut-être celle de se revoir asservie, elle n'a pas amélioré ces points de sa psyché. Son état de morte-vivante, elle essaye de le prendre avec philosophie, de le voir comme une seconde chance, une opportunité de continuer à accomplir de plus grandes choses encore, sans se soucier du passage du temps, mais au fond elle ne le considère pas comme tel. Elle a constamment froid, bien qu'elle ne ressente plus rien en vérité, la chaleur lui manque, de pouvoir sentir un feu, une couverture sur ses épaules ou un corps contre le sien. Elle sait que tous ceux qu'elle voit sont condamnés à périr avant elle. Elle a honte de ce qu'elle est devenue, de ce qu'on a fait d'elle, lui donnant un regard cynique et amer sur la vie et la mort, et sur le monde qui l'entoure. Elle n'ose pas revoir ses amis, sa famille, de peur qu'ils ne la chassent, alors elle observe de loin.\r\n\r\nMais Vekhia reste trop fière pour mourir, pour se laisser aller à l'étreinte froide qui l'appelle. Alors encore une fois, elle endure."},{"name":"histoireperso","value":"Vekhia est née dans une tribu draconide de Vollheim, au coin d'un feu, dans une tente couverte de lourdes peaux. Elle mena une enfance normale, mais déjà les prémices de la première source de moqueries qu'elle aurait à subir se faisaient sentir. Ses cornes poussaient peu, elle avait peu d'écailles également, et même si elle grandissait bien, elle restait une brindille aux yeux des autres de sa tribu, plus forts physiquement. C'est une vie dans un pays en guerre, où il faut être prêts à se battre pour protéger ce qui nous est cher, en l'occurence sa famille pour elle. On lui disait pourtant qu'elle ne pourrait pas être soldate, qu'elle n'était pas assez forte. Qu'à cela ne tienne, elle leur prouverait.\r\n\r\nA la mort de son père au combat, la laissant seule avec sa mère pour s'occuper de sa jeune sœur, Vekhia fut dévastée et se réfugia un temps dans sa forge pour évacuer sa peine d'une manière bien à elle : en travaillant. Elle avait emprunté la voie de la forge, il était vrai qu'elle n'était pas douée pour le combat comme certains, et elle y excellait pour son âge. On ne la vit pas sortir de la forge pendant trois jours et trois nuits, et quand finalement sa soeur osa entrer pour voir comment elle allait, inquiête de ne plus entendre le marteau de la forgeronne, elle la trouva évanouie. Posée sur le présentoir se trouvait une splendide lame qu'elle nommera ensuite Brisepeine.\r\n\r\nElle continua à s'entraîner au combat, même si elle accusait du retard en la matière, et elle passa l'épreuve de la chasse au voldrak très tard, presque à trente ans. Mais pour elle, c'était là une fierté que d'avoir pu faire taire ses détracteurs. Elle pouvait se battre, et elle le ferait. D'abord, elle aida longtemps des membres de la Griffe Ardente, réparant leurs armures et leur forgeant des armes d'une grande qualité. Elle n'était pas la meilleure forgeronne, mais on appréciait ses talents et ça lui suffisait. Et puis un jour elle décida de s'enrôler dans l'armée, désireuse de faire sa part elle aussi.\r\n\r\nLa guerre, ce n'était pas pour elle, et elle y découvrit l'horreur et la réalité des choses, loin de ce qu'on pouvait lui raconter à l'arrière. Mais malgré l'adversité et la peur qui l'étreignait, elle endura ces épreuves, notamment grâce au soutien de ses camarades. En cela, l'armée avait du bon, créant des liens forts avec tous ceux avec qui elle bataillait, dont une guerrière nommée Lilienthal, qui l'aida à surmonter ses peurs et ses angoisses, l'incitant à se surpasser. Et puis vint Selkryssingr, mais Vekhia n'en fut pas traumatisée pour les mêmes raisons. Séparée de son unité avant même le tournant de la guerre, elle se battit comme une lionne, la peur lui donnant des ailes... Jusqu'à ce qu'une lame lui traverse le ventre. Affaiblie, haletante, ses lames tombèrent de ses mains, Brisepeine pourtant si légère ne tenait plus dans son poing serré. Elle chercha du regard autour d'elle, de l'aide, n'importe qui, mais dans ses yeux embrumés de larmes elle ne sut qui elle avait bien pu regarder. Puis le soldat d'Arvandor releva sa lame jusqu'à son plexus solaire. Elle tomba, mais avant même de heurter la neige, elle était déjà morte.\r\n\r\nQuand on la ramena à la vie, elle avait l'impression de sortir d'un songe lors duquel elle avait parlé à quelqu'un, un inconnu... Elle ignorait combien de temps avait passé, elle ignorait l'issue de la bataille, et le découvrirait bien plus tard, car le géant qui l'avait ramenée n'avait pas l'intention de la laisser tranquillement vivre sa vie. L'être méprisait toutes les lois de la nature, enivré et rendu fou par ses pouvoirs de spirite et ambitionnant de lever une armée de morts afin de prendre le contrôle de son clan par la force. Vekhia serait son instrument dans cette conquête, réduite en esclavage par sa magie, et elle comprit rapidement que c'étaient ses talents de forgeron qui l'intéressaient. Son armée aurait besoin d'armes, d'armures, et si le géant avait acquis les connaissances permettant de créer des runes impies à graver en permanence dans un réceptacle, le coût à payer était trop grand pour qu'il le fasse lui-même. Connectée malgré elle à la volonté de son maître, Vekhia apprit par ce lien à forger des runes dans ses armes, elle désacralisa Brisepeine, qu'elle renomma Brisâme. Elle apprit également à forger d'autres runes, inactives, comme un prémice de magie runique qui nécessitaient d'être activées par sa magie en combinaisons pour agir en aura temporaires autour d'elle.\r\n\r\nPendant toute cette période, Vekhia eut la sensation de se perdre, de perdre de vue son humanité, ce qui faisait d'elle une personne, une bonne personne, alors qu'on lui vrillait dans le crâne une connaissance dont elle ne voulait pas. Mais son tourment serait également son salut, car si Vekhia ne pouvait pas s'en prendre directement à son maître, son corps se refusant à l'attaquer, elle pouvait forger une arme qui le ferait pour elle. Givrecroc fut sa seconde arme runique forgée pour elle-même, gravée des runes de rappel. Leurrant son maître dans un piège, elle attira l'arme nouvellement forgée à elle, et dans son mouvement, l'épée passa près du géant, bien trop près en vérité. Pour la première fois depuis longtemps, Vekhia se sentit soulagée, bien qu'elle ait tué. Devant la mort, elle découvrit qu'elle ne ressentait plus rien. Désormais libre, la laerte n'aspire qu'à retrouver une place dans la société, à vivre une vie plus libre. Mais elle avait encore honte de ce qu'elle était devenue, de ce qu'on avait fait d'elle, aussi elle évita de trop attirer l'attention alors qu'elle cherchait encore comment elle pourrait se rendre utile auprès des siens désormais.\r\n\r\nElle apprit pour Selkryssingr, ce qu'il s'était passé, et découvrit qu'elle ne pouvait plus pleurer, même alors qu'une immense peine faisait flancher ses jambes. Elle fut au moins soulagée de voir que sa sœur était en vie, apprenant toujours la magie... Mais elle n'osa pas revenir la voir, pensant que c'était mieux qu'elle continue de la penser morte, tout comme ses anciens compagnons d'arme, pour ceux dont elle avait pu retrouver trace.\r\n\r\nVekhia était peut-être bien morte sur les plateaux enneigés, finalement..."},{"name":"pseudoJoueur","value":"Harz"},{"name":"pronomsJoueur","value":"il"},{"name":"TrucADire","value":"toujours vivant, rassurez-vous !"}