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Dies Irae, on cultive ce que l'on sème.
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- message #10005
{"name":"GroupPerso","value":"ananda"},{"name":"ChampTitre","value":"Dies Irae, on cultive ce que l'on sème."},{"name":"prenomPerso","value":"Behnime"},{"name":"nomPerso","value":"Moth"},{"name":"titreperso","value":"Le Guide."},{"name":"originefeat","value":"Twisted Wonderland"},{"name":"nomfeat","value":"Idia Shroud"},{"name":"iconfiche","value":"https://www.zupimages.net/up/24/21/n1uf.png"},{"name":"racePerso","value":"Mort vivant."},{"name":"ageperso","value":"356 ans"},{"name":"metierPerso","value":"Champion d'Ananda / Chasseur de monstres."},{"name":"LieuNaissance","value":"Evran."},{"name":"genreperso","value":"Homme."},{"name":"pronomsperso","value":"Il / Lui"},{"name":"orientationperso","value":"Hétéro."},{"name":"manicheismeperso","value":"Colère"},{"name":"magieperso","value":"Flammes impies"},{"name":"aptitudeperso","value":"Magie corporelle."},{"name":"habilitesperso","value":"Behnime est capable de créer, contrôler et faire jaillir le feu impie, d'une couleur bleuté, il en a une maîtrise telle, et une telle communion avec cette magie ressemblant à celle avant sa mort (le feu), qu'il peut fusionner, se transformer, et ne sera jamais blessé par ses propres flammes impies. De plus, la nécromancienne qui s'est escrimé à le ramener à la vie, a ajouté quelques spécificité dans son sort, pour en faire une bête impie : Son sang, sa salive, et tout ce qui sort de son corps ronge comme l'acide, et empoisonne comme le plomb. Il est pourvue d'une dentition incroyablement proéminante, et doté d'une pression digne des plus grands prédateurs marins.\r\n\r\nIl ne ressent plus ni la douleur, ni la fatigue, ne peut pas se noyer ... La belle vide cadavre ambulant."},{"name":"tailleperso","value":"1.89 m"},{"name":"poidsperso","value":"66 kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"Lèvres bleues - Dentition hors normes, pointue et effrayante - Teint pâle - Cheveux bleus - Sang noir - Sourire dérangeant, presque celui d'un requin blanc - Escogriffe, il semble désarticulé - Démarche de cadavre - Rire grinçant - Yeux fauves et vides de vie. - cernes violacées.\r\n\r\nLa colère semble lui donner des couleurs. L'amour en revanche, le vide de ses forces et le rend palot. Emotions visibles, il est un livre ouvert pour ceux qui savent lire.\r\n\r\nS'il se meut encore, Behnime est avant tout un mort vivant. Peau blafarde. Lèvres bleues et pulpeuses, qui feraient presque croire que la mort est douce et belle, attractive. Il a cet air apathique en permanence, qui n'est qu'une apparence. Sa seule mimique, c'est celle d'un farouche et cruel combattant, entrainé à donner la mort depuis l'enfance, Behnime est entrainé aux arts du close combat, comme du combat armé. Il porte une grosse hache à double tranchant dans le dos, qu'il peut lancer ou bien agiter dans tous les sens, pour blesser ses ennemis. Mais cette arme n'est pas la seule façon de blesser du jeune homme. Ses dents proéminentes, tranchantes et développant des tonnes de pression, peuvent déchirer les peaux les plus faibles, et entamer tendons ou os, ripant comme un glouton sur une aile de poulet.\r\n\r\nSes yeux fauves ne montrent que mort, meurtre et destruction. Ne s'allument de joie que devant les carnages. Ne semblent pas intéressés par le reste, ni les femmes, ni la nourriture. Par contre, il aime la gloire, l'argent et déguster vos abatis avec un excellent chianti. Pas juge, ni jury, le candidat à l'ordalie d'Ananda, n'est pas un barbare pour autant. Assez grand pour rendre quelques têtes au commun des mortels, il possède cette stature haute, et ses os fins lui donnant un air longiligne. Sa démarche, elle, donne l'impression qu'il est en proie à la rigidité cadavérique, bien que pendant les combats, elle se fluidifie. Un peu comme s'il se bridait tout le temps, il ne daigne donner son cent pour cent que devant les plus féroces combattants.\r\n\r\nQuand il arrive que Behnime saigne, son sang impur, d'une couleur obsidienne de mauvaises augures, semble n'être que du poison. Et c'est peut être le cas. Quand il arrive ses cheveux d'un bleu vif, soyez sur que les morts vont pleuvoir. Ce personnage sinistre, au rire grinçant, ne sait pas ce qu'est que la pitié ou bien la compassion ; La mort et la guerre semblent lui donner vie, autant que la bonté et l'amour le pousse dans les bras de son amante de toujours : La faucheuse."},{"name":"factsperso","value":"Aime quand la lune est rouge sang ; C'est l'heure de la récolte. \r\nIl se ballade sous la pluie en laissant les gouttes le nettoyer de ses impuretés ; Croyance. Prédateur, il sent le sang comme les requin dans l'eau. Ses cheveux s'enflamment et se transforment en flammes quand il commence à être agacé. Fume autant qu'il peut, sachant que ça ne peut pas lui faire plus de mal que ça. \r\n\r\nParlé ampoulé, datant de sa précédente vie. \r\n\r\nMémoire photographique, et très bon sens de l'orientation. \r\n\r\nMauvais menteur, son sourire donne des sueurs froides. "},{"name":"traitcaract","value":"Écorché vif, sensible, instable, borderline, sur le fil, en équilibre constant entre la joie et la tristesse, la haine et l'amour, la vie et la mort. Fidèle à sa famille, amoureux de la musique (surtout du violon dont il joue un peu). A deux doigt de la folie en permanence. Flegmatique. Apathique en dehors de ses crises."},{"name":"caractereperso","value":"Les émotions, ça sert à rien. Lui dit le petit diablotin sur son épaule. Sauf que voilà, on ne peut pas toujours feindre de ne rien ressentir, lui réponds l'ange sur l'autre. Le flegme apparent qu'il dégage au premier abords, n'est que le vernis sur la toile peinturlurée qu'il n'aspire qu'à briser, détruire, effacer. Éternel insatisfait -surtout de lui même, Behnime est une de ses âmes sensibles, peut être un peu trop, dont les expériences de morts imminentes, les massacre et la mort elle même, n'ont fait qu'exacerber les défauts, les usures, et les accrocs dans le fil. Manipulé depuis sa tendre enfance, on lui a apprit à être mauvais, que ressentir des choses pour ses ennemis, c'est mal. En bon petit, il a toujours appliqué les règles de sa famille : Pas de pitié, pas de sentiments, que de la haine en barre, des coups tordus et du sang sur les mains ... Ça, et sa mort sur les terres maudites des sirènes, en font un élément plus instable que de la nitroglycérine, un élément explosif à haute dangerosité, pour tous.\r\n\r\nAttention à comment le manipuler, dit toujours celui qui en est responsable, l’arme est à double tranchant. Par contre, personne ne connaît mieux que lui la topographie d'Ananda. Il connaît le coin comme sa poche, pour y avoir trainer ses guêtres et haillons, grâce à une mémoire photogaphique.\r\n\r\nIl devint un simple mort vivant par la volonté d'une nécromante puissante aujourd'hui disparue des terres infertiles et sanglante. Ce qu'il en pense ? Il aime n'être que du bois dans le courant, se laissant emporter par les évènements et la puissance d'attraction de certains êtres ...\r\n\r\nÉcorché vif, il ressent les âmes empilés là, comme d’autre ressente l’amour ou la haine. Ses deux émotions contradictoires, cohabitent en lui également, lui donnant des sueurs qui le poussent à ne plus vouloir être concerné par l’un ou l’autre. Jamais bien, toujours sur le fil du rasoir, Behnime est avant tout guetté par une folie latente, venu tout droit des profondeurs et de son vécu. Mais pas que. Car qui connaît intimement les morts violentes et inutiles, ne se remet jamais vraiment du voyage. Même si son échappée belle dure depuis peu, et qu'il sait que certains voudront la stopper, il a pu goûter à la joie, au plaisir du carnage et de la violence à l'état brut… Et çà lui a plut.\r\n\r\nAlors il cherche la mort comme d’autre cherchent leur lunettes, retenus en ce bas monde que par ses obligations, et quelques relations qu’il cultive, comme d’autre le font du raisin. Car ses raisons sont plus obscurs que sa morale, il s'aliène un peu plus chaque jour ... Descendant dans le puits à la recherche du lapin blanc, et de cette petite voix qui résonne dans son crâne et le pousse à chanter à tue-tête."},{"name":"histoireperso","value":"Les Moths, c'est basiquement une famille de criminelle et pirates de la pire espèces, tous reliés, si ce n'est par les liens du sang, au moins par une cause commune et une haine des règles et des lois. Un organigramme que personne ne connaît vraiment, n'est basé que sur la force brute et la fortune de ses membres. L'actuel numéro 1 est inconnu de tous, et il est rare de ne serait-ce qu'entendre parler de lui. Généralement, c'est même mauvais signe, même pour les autres membres de cette \"famille\". Venant de Malaquii, un archipel d'île dans un coin paumé du globe leur appartient, même si pour s'y rendre, il faut le faire par ses propres moyens, et à ses risques et périls. Il n'est pas rare de voir mourir un non initié ou un novice fraichement introduit, en essayant de s'y rendre.\r\n\r\nIl paraît que des trésors indéfinissables, et des savoirs inédits sont entassés là bas, comme un gros tas de poussière qu'on ne peut plus cacher sous le tapis. La Famille Moth, a comprit en tout les cas que c'est en restant unis qu'ils pourraient gagner en puissance, renommée et surtout survivre dans ce monde qui change plus vite qu'une fashionista de tenue.\r\n\r\nIl paraît qu'au bout de quatre cent vingt ans d'existence, certaines institutions ont oublié le nom de Moth. Après tout, on en sait si peu sur eux, si ce n'est cette île et leur puissance, qu'on peut difficilement se rappeller de l'horreur et des morts par milliers. Ils ont décidés de se terrer, mais on en sait pourquoi. Tout ce qu'on sait c'est que le jour ils reviendront ... Cela va faire mal.\r\n\r\n***\r\n\r\n\r\nAu commencement il y'avait Behnime, et ses deux parents. Rien de plus simple, ni de plus naturel que ça. Evren, malgré sa communauté engageanet, n'était pas vraiment l'endroit le plus accueillant pour une sirène. Pourquoi venir ici alors ? Histoire classique dirons nous. Père pêcheur en haute mer, il rencontrera sa femme en tombant dans l'océan, et en réchappant que grâce à elle, et son baiser oxygéné. Et dès lors, ils ne se quittèrent plus.\r\n\r\nRien de plus horrible que les gens. L'enfer c'est les autres, rappelez le vous. Jalousie, disgrâce, haine. Des sentiments humains mais aussi présent dans toutes les races de notre monde. La petite famille, installée en bordure du centre ville de la capitale, en fut la plus usité des victimes. Le syndicat des pêcheurs ne voyaient pas d'un bon oeil la réussite de Klarence, le père de notre héro. Le syndicat voulait détruire son moral, et saper ses forces. L'homme appelait, par ses pêches miraculeuse et son refus de coopérer avec les plus habiles marchands de la ville, à une vie sans eux et à négocier eux même, à l'étranger, leur propre marchandises.\r\n\r\nAlors la peur, la haine et le la jalousie fit le reste. Un des hommes de l'ombre, un de ceux qui connaît le monde et ses pires criminels, se mit en relation avec la famille Moth afin qu'ils viennent à la rescousse. Après tout, n'avez-t-il pas des intérêts dans toute la ville ? Leur gagne pain passerait surement avant toute considération éthique.\r\n\r\nC'est Kahl Moth, qui vint régler l'affaire. Le pêcheur était un ancien militaire, et par se fait, savait comment recevoir les plus faibles à coup de main, de pied ou de lame. Seulement Khal, n'était pas une petite frappe. On l'appelait le \"Blindé\" ou encore \"La machine\". Et sa réputation était légendaire dans le milieu des pirates de toutes sortes. Sa peau était cuirassé, son bras gauche faisait peur à voir, ses muscles et ses cornes, sa peau rouge, en faisait un homme dangereux, on le considérait donc comme un démon plus comme un draconide.\r\n\r\n***\r\n\r\nLe combat fut rapide. David contre Goliath. Klarence fut laissé pour mort, pour l'exemple, pendu par les mains à un arbre, couvert de sang et de contusions violacées. On eut dit plus un paillasson ou un sac de frappe vivant, qu'un être humain. La mère, fut envoyé dans le cheptel d'un esclavagiste de haute renommée qui garantissait de la bonne marchandise un brin exotique partout dans le monde, et quand il trouva le fils, qui essaya de le mordre, Khal entrevit quelque chose de mieux que de simplement en faire un esclave. Cette rage de vivre, cette soif de sang ... Il ferait un bon petit Moth. Pour l'hégémonie de leur nom. Pour ne pas faire un orphelin de plus. Il se disait qu'il agissait pas pur bonté d'âme, et se sentit même clément. Et l'homme se prit pour une figure paternel. Et le gamin, prit toutes ses paroles, tous ses enseignements, pour la vérité.\r\n\r\nLa faiblesse est interdite.\r\nL'empathie c'est être faible.\r\nLa haine te pousse vers les chemins glorieux.\r\nTa famille, tu honoreras.\r\nLa loi, tu te deviras.\r\n\r\nAprès la théorie, viendra la pratique. Déposé dans le pays d'Arvandor à l'âge de treize ans, à peine plus fort qu'un homme normal, il devra se tailler la part du lion, dans cet environnement impitoyable. Il rencontrera des hommes qui font maintenant partis de son passé comme une poignée de grain de sable s'envolant face à l'alizée du temps ... En trois ans, il parviendra à réunir assez d'hommes et d'argent pour pourvoir se donner le titre de Capitaine Pirate, et partir direction Avalon, pour y faire la razzia qu'on lui a promit, droit dans les yeux, quand il n'était qu'un bambin et qu'il chialait encore pour se faire entendre ; Une habitude bien vite perdue, quand la voie de Khal résonna sur le navire pour lui intimer de se taire, de subir son courroux. Né dans la fange, élevé dans la violence, celui qu'on appela Béhémoth, le futur Champion d'obsidienne devint un homme exécrable. Laissé pour compte, esseulé, sans souvenir de son passé, il ne fit, au final, que s'adapter à un monde difficile et impitoyable.\r\n\r\nLui aussi, l'est devenu, difficile, impitoyable et sanguinaire. Il aime voir le sang tâcher sa peau , comme si elle lui procurait puissance et vigueur.\r\n\r\nSeulement les autorités des futurs royaumes unis avaient d'autre plan pour lui, son arrestation causa de nombreux morts et blessés, appuyant la thèse selon laquelle il ferait de la très bonne chaire à canon pour la première Ordalie des cendres. Qu'il la gagna ou la perdit fait partie de l'histoire du monde, ce qui est sûr c'est qu'il fut aussi vite enrôlé dans l'armée du pays belligérant, qu'il ne combattit la guerre contre les géants, et en mourrut.\r\n\r\n*** \r\n\r\nIllusion perdue. Psyché déformée. Déchirement intérieur. Mélange de palette, le pinceau trempe dans l’aquarelle. Dessine la vie. Donne lui une forme, impose lui un genre, fais lui connaître des peurs. Inverse la vapeur. Prend la clef. Renverse le jeu de dupe, miroir brisé qui continue de refléter. Tourne-la. Entrer dans sa tête, s’obliger à y rester ; Et comme un voleur, repartir sans laisser de marques. Sans sacrifice ni artifice. Pénètre son sacro saint. Faire de son cœur le tiens. Tout est mélangé. Les pensées et les mots ne tardent pas à s’envoler.\r\n\r\n- Heureusement que j’ai laissé le novice à l’extérieur, j’ai bien fais, cette âme est difficile. Cela vous coutera plus cher ... \r\n\r\nDimension cachée, regret amer que l’on n’arrive pas à oublier. Et là, devant moi, une sorcière , son amulette toujours à la main, qui me sourit.\r\n\r\nDans le maelstrom d’émotions et d’images qui se superpose tel des couches d’une toile, d’un jeu de dupe ; Même ce que je pense est déformé, amplifié, répétée. La mort. Le mot se perd dans la toile, se répète à l’infini sur les murs noir, dans un typographie stylisée, grandie, grossie … Explose. \r\n\r\n- Qu'il en soit ainsi, sorcière, le jeu en vaut la chandelle ! \r\n\r\n- Hey ! Hey hey ey eye y ... Fait sa voix comme s'il était loin et qu'elle se répercutait entre les toiles de l'illusion. Concentré de volonté propre à s’approprier l’homme en face de toi est sans doute le seigneur commanditer, mais surtout un homme qui veut… Ne t’approche pas plus d’elle ! Explosion de colère, implosion de silence, calme plat, l’eau d’un lac aurait plus de vague qu’en ce moment troublé, esprit cartésiens entré dans la matrice.\r\n\r\nRecalcule des possibles. Irréductible catastrophe, une autre est là. La dame aux cheveux longs et rouges... Rien n’est jamais réellement dichotomique. Contact bientôt établie, relation en fusion. Trois … Je me désolidarise de la résonance du cœur du corps de la sorcière, qui m’entoure comme le ferait les bras d’une mère, avec le corps de son fils. Mes pensées sont redevenues moins floues, moins barbouillées, moins influencées … A travers le rideau de nuit, je vois enfin la pièce comme elle est, on croirait une chambre à coucher sauf que nous sommes en dessous du niveau de la terre et que mon lit est de pierre et d'os... \r\n\r\nNon loin d’elle, se trouve mon futur maître;\r\n\r\n\r\nLa graine est vigoureuse. Me manque plus que de l’arroser, je l'ai fais revenir au cap de ses capacités mais d'abords … Le paiement je vous prie. Echange de bourse amplie de pièces ou de que sais-je ... \r\n\r\nLa symbiose se brise, les éclats de réalités pleuvent tout autours de nous, j’ai l’impression qu’on me débouche les oreilles. En quelle années sommes nous... Qui suis-je ? Pourquoi la douleur, le manque et le vide m'emplit-il ?\r\n\r\nJe suis en face du maître. Certitude.\r\n\r\nConcentration et prudence de mise.\r\n\r\nJe m'agenouille, roide, la peau glaciale et nu comme un ver. Peu d'ouverture, un rien de danger dans ma posture, j'attends.\r\n\r\n- Dites et j'obéirais. \r\n"},{"name":"pseudoJoueur","value":"Larsen_ik"},{"name":"pronomsJoueur","value":"il "},{"name":"TrucADire","value":"ouf c posté"}
Dies Irae, on cultive ce que l'on sème.