Onyxa Manfra
Le coffret de mort [PV Clefford]
Onyxa Manfra
Onyxa Manfra
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Elue de l'Avarice
Âge :
33 ans
Particularités de la race :
Arvandor
Métier :
élue de l'avarice
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XIV
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Yotsuyu Brutus
Manichéisme :
avarice
Liges :
2130
champ vide pour le json :
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Onyxa Manfra
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Onyxa Manfra
- message #10126
Assise dans son carosse, à moitié allongée sur le canapé couvert de coussins et de soieries, la peau légèrement luisante de sueur en raison de la chaleur du désert, l'élue de l'Avarice entamait sa descente dans Fang en tapotant l'acoudoir de ses ongles parfaitement manucurés et peints. Elle détestait qu'on lui donne des ordres, et encore plus de devoir s'éloigner de son fief, mais parfois elle devait s'acquitter de son devoir de représentante du divin auprès des autres nations, en l'occurence le royaume de l'étoile. Et en raison de la difficulté du parcours, sa suite avait été réduite au minimum de soldats, aucun servant ou porteur. Des soldats qui avaient fait le parcours à cheval, affrontant la fureur du désert, mais ça elle s'en fichait éperdument, ils pouvaient bien crever de soif alors qu'elle buvait de l'eau tenue glacée par un objet magique hors de prix.
Elle fumait sur sa longue pipe en parcourant les détails de la demande de Xing Alda à Arvandor, des conditions absurdes qu'elle allait bien évidemment revoir à la baisse en profitant de la conjecture économique actuelle du royaume de l'étoile. Mais elle fut interrompue quand un soldat frappa à la cloison de son vehicule, lui faisant pousser un long soupir de déplaisir.
" Ma Dame, il y a une sorte de... Festival, devant nous, on ne peut pas progresser plus loin avec le carosse. "
Nouveau soupir agacé, à Avalon, avec ses propres hommes de main, elle aurait ordonné qu'on fasse place par la force si nécessaire, quitte à écraser les pouilleux qui barraient la route, mais ici elle représentait son pays, et n'avait donc pas vraiment d'alternative. Elle referma plus convenablement le kimono noir et rouge qu'elle portait pour l'occasion et remit ses geta, en attendant qu'on lui ouvre la porte. Elle prit egalement le temps de saisir un coffret de bois et de glisser ses catalyseurs de tir dans les jarretières sur ses cuisses, avant que l'on ne lui ouvre la porte. Alors qu'elle descendait les quelques marches vers le sol, elle tourna son regard dédaigneux et perçant vers la simple soldate qui lui avait ouvert, une femme elfique, original, et lui posa le coffret dans les bras.
" Vous, tenez ce coffret pour moi, et gardez-le au péril de votre vie. Ne l'ouvrez que si je suis en danger. Et ne vous éloignez jamais de moi, compris ? Oh, et si vous dérogez, je ferai jeter votre cadavre dans la rade d'Avalon. "
Que pouvait contenir le coffret de bois finement ouvragé aux motifs clairement aldanis ? Onyxa ne daignerait pas le dire à la demoiselle, quoi qu'elle demande. Mais les gravures évoquaient quelque chose d'inquiétant et de dangereux, très dangereux. Ainsi flanquée de la soldate d'un côté et du lieutenant de l'autre, les autres membres de l'escouade leur ouvrant la marche, l'élue et son cortège commencèrent leur route dans festival en plein air dédié aux astres vénérables. La population dense qui festoyait, dansait, jouait de la musique, rendait la progression difficile malgré les soldats arvandiens qui criaient pour que l'on fasse place.
" Je déteste les aldanis, regardez-les, a danser, festoyer, alors que leur royaume est si faible, et eux si insignifiants. Ils ont de la chance que je sois là au nom d'Arvandor. "
La parade les contraignit à virer de direction dans le cratère de Fang, à se perdre dans les rues tortueuses pour éviter la foule. Des rues qui ressemblaient bien plus à Avalon, en cela qu'elles semblaient plus dangereuses, moins fréquentables. Parfaitement le domaine de l'élue de l'Avarice, qui eut un petit sourire amusé en passant devant un bordel. Et il ne fallut pas longtemps pour que le groupe arvandien n'attire de mauvaises attentions. En tout cas, la criminelle l'avait remarqué, elle, mais qu'en était-il de ses propres soldats ? Elle se pencha sur la soldate, glissant une main sur son bras, ses lèvres peintes de rouge affichant un sourire mauvais.
" Je compte sur vous pour assurer ma protection, soldate... Et uniquement la mienne, mh ? "
Si les choses devaient devenir violentes, la vie des soldats n'avaient pas la moindre importance aux yeux de l'élue. Mais peut-être allaient-ils simplement traverser cet endroit sans heurt... Ou tomber de Charybde en Scylla.
Elle fumait sur sa longue pipe en parcourant les détails de la demande de Xing Alda à Arvandor, des conditions absurdes qu'elle allait bien évidemment revoir à la baisse en profitant de la conjecture économique actuelle du royaume de l'étoile. Mais elle fut interrompue quand un soldat frappa à la cloison de son vehicule, lui faisant pousser un long soupir de déplaisir.
" Ma Dame, il y a une sorte de... Festival, devant nous, on ne peut pas progresser plus loin avec le carosse. "
Nouveau soupir agacé, à Avalon, avec ses propres hommes de main, elle aurait ordonné qu'on fasse place par la force si nécessaire, quitte à écraser les pouilleux qui barraient la route, mais ici elle représentait son pays, et n'avait donc pas vraiment d'alternative. Elle referma plus convenablement le kimono noir et rouge qu'elle portait pour l'occasion et remit ses geta, en attendant qu'on lui ouvre la porte. Elle prit egalement le temps de saisir un coffret de bois et de glisser ses catalyseurs de tir dans les jarretières sur ses cuisses, avant que l'on ne lui ouvre la porte. Alors qu'elle descendait les quelques marches vers le sol, elle tourna son regard dédaigneux et perçant vers la simple soldate qui lui avait ouvert, une femme elfique, original, et lui posa le coffret dans les bras.
" Vous, tenez ce coffret pour moi, et gardez-le au péril de votre vie. Ne l'ouvrez que si je suis en danger. Et ne vous éloignez jamais de moi, compris ? Oh, et si vous dérogez, je ferai jeter votre cadavre dans la rade d'Avalon. "
Que pouvait contenir le coffret de bois finement ouvragé aux motifs clairement aldanis ? Onyxa ne daignerait pas le dire à la demoiselle, quoi qu'elle demande. Mais les gravures évoquaient quelque chose d'inquiétant et de dangereux, très dangereux. Ainsi flanquée de la soldate d'un côté et du lieutenant de l'autre, les autres membres de l'escouade leur ouvrant la marche, l'élue et son cortège commencèrent leur route dans festival en plein air dédié aux astres vénérables. La population dense qui festoyait, dansait, jouait de la musique, rendait la progression difficile malgré les soldats arvandiens qui criaient pour que l'on fasse place.
" Je déteste les aldanis, regardez-les, a danser, festoyer, alors que leur royaume est si faible, et eux si insignifiants. Ils ont de la chance que je sois là au nom d'Arvandor. "
La parade les contraignit à virer de direction dans le cratère de Fang, à se perdre dans les rues tortueuses pour éviter la foule. Des rues qui ressemblaient bien plus à Avalon, en cela qu'elles semblaient plus dangereuses, moins fréquentables. Parfaitement le domaine de l'élue de l'Avarice, qui eut un petit sourire amusé en passant devant un bordel. Et il ne fallut pas longtemps pour que le groupe arvandien n'attire de mauvaises attentions. En tout cas, la criminelle l'avait remarqué, elle, mais qu'en était-il de ses propres soldats ? Elle se pencha sur la soldate, glissant une main sur son bras, ses lèvres peintes de rouge affichant un sourire mauvais.
" Je compte sur vous pour assurer ma protection, soldate... Et uniquement la mienne, mh ? "
Si les choses devaient devenir violentes, la vie des soldats n'avaient pas la moindre importance aux yeux de l'élue. Mais peut-être allaient-ils simplement traverser cet endroit sans heurt... Ou tomber de Charybde en Scylla.
Clefford Crescendo
Clefford Crescendo
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Âge :
149 ans
Race·s :
Elfe, Mécanique
Particularités de la race :
augmentée
Métier :
soldate
Magie·s :
Magie Élémentaire - Élémentaire - Aéromancie
Nom de l'oeuvre :
League of Legends
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Renata Glasc
Manichéisme :
avarice
Liges :
1620
champ vide pour le json :
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Clefford Crescendo
- message #10703
feat.
Onyxa
La chaleur est difficilement comparable à ce que tu as connu, même les plus beaux jours d’été d’Arvandor. La sueur coule le long de ton dos, colle la chemise de ton uniforme dont tu as strictement refusé de retirer la veste. Un uniforme, ce n’est pas un guide vague, mais bel et bien une règle qu’il faut respecter. Quand bien même, entre ça et ton masque respiratoire, tu galères avec les températures. Au moins, te dis-tu, trie-t-il la poussière ambiante.
Une chose est certaine, tu n’aimes pas Xing Alda. Tu n’as pas aimé le trajet épuisant, à crever de chaud au moins aussi fort que ton pauvre canasson, tu aimes encore moins les rues trop bondées, rendant la surveillance de l’élue même de l’Avarice particulièrement usante. Et dans la ville, vous voilà à pied à côté du carrosse de cette femme que tu n’as vu que de loin, ne voyant pas l’intérêt de lui parler. Elle est ta mission, toi son outil, c’est très bien comme ça.
Mais la triste réalité est que la marée humaine répugnante ne s’ouvre pas pour laisser passer une élue d’un royaume étranger, lorsque les festivités sont de mise. Si tu trouves cela particulièrement impoli, tu te gardes bien sûr de donner ton avis. C’est le capitaine de cette petite escouade qui prend la responsabilité de stopper le convoi, et prévenir que vous ne pourrez pas avancer plus. Toi, tu te contentes d’ouvrir la porte, tendre ta main métalique pour aider l’élue à descendre… Et tu te retrouves avec une boite dans les mains. Un sourcil de lève, alors que tu la cales sous ton bras de chair en écoutant les directives qui s’égrainent de la bouche de l’élue comme si tu lui appartenais. Ton regard presque fuschia vrille le sien, sans honte ni mal-être. Une seconde, presque plus, avant que tu ne clignes lentement des cils.
“J’obéis au lieutenant Malorm. Ses ordres sont d’assurer votre sécurité, mlle Manfra. Je ne compte pas échouer.”
Tu n’attends pas vraiment. Dès que tu as le mouvement de ton lieutenant, tu avances, restant proche de l’élue. Tu n’as pas de sympathie spécifiquement pour elle, mais tu as conscience qu’elle ne peut aller contre les dieux. Lui reprocher son Avarice serait reprocher au soleil de se lever, et tu te contentes de supporter la chaleur, l’étroitesse des rues, le bruit des festivités. Aux aguets du moindre mouvement suspect, consciente que c’est le genre de configuration idéale pour une embuscade, tu cherches à tout voir, tout contrôler.
“La puissance d’un pays ne signifie pas le bonheur de ses habitants… ” Sinon, tu n’aurais jamais quitté Clara Nocte, clairement supérieur sur bien des points, pour Arvandor. “Mais je vous rejoins, tant de monde, c’est épuisant.”
Vous bifurquez, et l’ambiance change progressivement, te tirant un grognement alors que l’élue se rapproche. Elle fait bien de s’accrocher, même si ça bloque tes mouvements. Parce que tu les repères, là, ces gens qui la fixent - elle ou cette putain de boite ? - avec envie. Des mendiants, quelques passants, vous n’êtes pas en terrain conquis.
Echange de regard avec ton lieutenant, un autre de tes camarades. Puisque le colis a décidé de s’accrocher à toi, tu sais que c’est ta responsabilité. Tu observes. Et lorsqu’il y a le mouvement de trop, dans les ombres, tu agrippes fort sa main. Tu n’as pas eu la possibilité d’avoir accès à une carte détaillée du quartier, à ton grand regret ; certainement que ce genre d’information est trop sensible pour circuler assez officiellement entre les royaumes pour que l’armée en ait connaissance.
“Courrez.”
Tu n’as pas vraiment de pitié pour ses getas qui manquent certainement de praticité. Tu l’entraînes, d’un coup, laissant tes camarades se battre. Tu as confiance en eux, après tout, et tu as plus important. Derrière vous, des bruits de combat. On vous suit, même, et tu t’arrêtes un instant à peine pour la balancer sans grace, comme un sac à patates, sur ton épaule. Quelle idée de porter des fringues aussi peu pratiques ! Tu n’as pas vraiment le temps de voir vos poursuivants, mais ils ont préparé leur coup. Peut-être même ne sont-ils pas d’ici, et veulent-ils juste faire porter le chapeau à Xing Alda…
Pas le temps de réfléchir. Tu vois une porte, encadrée de deux lampions rouges auxquels tu ne prête pas d’importance, et tu la franchis, la refermant tout aussi rapidement. Le souffle court, la poitrine douloureuse, j’ai le bras qui lâche, un tressautement, l’élue par terre. Tant pis.
“MERDE ! Vous les connaissez ?”
Une chose est certaine, tu n’aimes pas Xing Alda. Tu n’as pas aimé le trajet épuisant, à crever de chaud au moins aussi fort que ton pauvre canasson, tu aimes encore moins les rues trop bondées, rendant la surveillance de l’élue même de l’Avarice particulièrement usante. Et dans la ville, vous voilà à pied à côté du carrosse de cette femme que tu n’as vu que de loin, ne voyant pas l’intérêt de lui parler. Elle est ta mission, toi son outil, c’est très bien comme ça.
Mais la triste réalité est que la marée humaine répugnante ne s’ouvre pas pour laisser passer une élue d’un royaume étranger, lorsque les festivités sont de mise. Si tu trouves cela particulièrement impoli, tu te gardes bien sûr de donner ton avis. C’est le capitaine de cette petite escouade qui prend la responsabilité de stopper le convoi, et prévenir que vous ne pourrez pas avancer plus. Toi, tu te contentes d’ouvrir la porte, tendre ta main métalique pour aider l’élue à descendre… Et tu te retrouves avec une boite dans les mains. Un sourcil de lève, alors que tu la cales sous ton bras de chair en écoutant les directives qui s’égrainent de la bouche de l’élue comme si tu lui appartenais. Ton regard presque fuschia vrille le sien, sans honte ni mal-être. Une seconde, presque plus, avant que tu ne clignes lentement des cils.
“J’obéis au lieutenant Malorm. Ses ordres sont d’assurer votre sécurité, mlle Manfra. Je ne compte pas échouer.”
Tu n’attends pas vraiment. Dès que tu as le mouvement de ton lieutenant, tu avances, restant proche de l’élue. Tu n’as pas de sympathie spécifiquement pour elle, mais tu as conscience qu’elle ne peut aller contre les dieux. Lui reprocher son Avarice serait reprocher au soleil de se lever, et tu te contentes de supporter la chaleur, l’étroitesse des rues, le bruit des festivités. Aux aguets du moindre mouvement suspect, consciente que c’est le genre de configuration idéale pour une embuscade, tu cherches à tout voir, tout contrôler.
“La puissance d’un pays ne signifie pas le bonheur de ses habitants… ” Sinon, tu n’aurais jamais quitté Clara Nocte, clairement supérieur sur bien des points, pour Arvandor. “Mais je vous rejoins, tant de monde, c’est épuisant.”
Vous bifurquez, et l’ambiance change progressivement, te tirant un grognement alors que l’élue se rapproche. Elle fait bien de s’accrocher, même si ça bloque tes mouvements. Parce que tu les repères, là, ces gens qui la fixent - elle ou cette putain de boite ? - avec envie. Des mendiants, quelques passants, vous n’êtes pas en terrain conquis.
Echange de regard avec ton lieutenant, un autre de tes camarades. Puisque le colis a décidé de s’accrocher à toi, tu sais que c’est ta responsabilité. Tu observes. Et lorsqu’il y a le mouvement de trop, dans les ombres, tu agrippes fort sa main. Tu n’as pas eu la possibilité d’avoir accès à une carte détaillée du quartier, à ton grand regret ; certainement que ce genre d’information est trop sensible pour circuler assez officiellement entre les royaumes pour que l’armée en ait connaissance.
“Courrez.”
Tu n’as pas vraiment de pitié pour ses getas qui manquent certainement de praticité. Tu l’entraînes, d’un coup, laissant tes camarades se battre. Tu as confiance en eux, après tout, et tu as plus important. Derrière vous, des bruits de combat. On vous suit, même, et tu t’arrêtes un instant à peine pour la balancer sans grace, comme un sac à patates, sur ton épaule. Quelle idée de porter des fringues aussi peu pratiques ! Tu n’as pas vraiment le temps de voir vos poursuivants, mais ils ont préparé leur coup. Peut-être même ne sont-ils pas d’ici, et veulent-ils juste faire porter le chapeau à Xing Alda…
Pas le temps de réfléchir. Tu vois une porte, encadrée de deux lampions rouges auxquels tu ne prête pas d’importance, et tu la franchis, la refermant tout aussi rapidement. Le souffle court, la poitrine douloureuse, j’ai le bras qui lâche, un tressautement, l’élue par terre. Tant pis.
“MERDE ! Vous les connaissez ?”
Onyxa Manfra
Onyxa Manfra
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Titre du joueur :
Elue de l'Avarice
Âge :
33 ans
Particularités de la race :
Arvandor
Métier :
élue de l'avarice
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XIV
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Yotsuyu Brutus
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Onyxa Manfra
Onyxa Manfra
- message #10715
La personne à qui elle avait confié son précieux et dangereux coffret, une immigrée elfe, semblait briller par sa loyauté à son devoir et à son corps d'armée, et chercher à obtenir les résultats attendus d'elle. Parfait. Onyxa avait donc bien choisi en lui remettant ce fardeau, elle saurait sans aucun doute le supporter et s'en tenir aux ordres. Elle n'avait pas vraiment demandé son avis quant à la populace qui s'étendait devant elles, l'élue aimant bien simplement partager ses réflexions, mais elle poursuivit néanmoins les discussions.
" Épuisant, pour ne pas dire répugnant, n'ont-ils pas mieux à faire pour leur nation ? "
Le fait que ces gens puissent se permettre de faire la fête malgré l'état économique de leur nation la dépassait. Mais qu'importe, elle avait bien d'autres choses à faire, leur ingérence ne venait que déranger son trajet. Ce à quoi l'élue n'était pas préparée, en revanche, c'était bien à se faire attaquer en pleine rue dans les quartiers de Fang. Du moins donnait-elle l'impression de ne pas l'être, sa garde était là pour ça, après tout. Onyxa n'était pas une noble, pensant être intouchable, et si des criminels se trouvaient embusqués autour d'eux, elle restait probablement la pire de tous. Et pourtant, voilà que son escorte prit sa main, un peu trop fort à son goût.
Agissait-elle par peur ? Ou bien par devoir ? Onyxa ne sut dire ce qu'il passa par la tête de la soldate elfique tout à coup, laquelle se mit à fuir avec elle au lieu de former un blocus défensif autour de sa personne. Ce faisant elle abandonnait son escouade, peut-être à une mort certaine, peut-être pas, mais en tout cas elle partait tête baissée vers une direction inconnue qui pouvait parfaitement les mettre encore plus en danger. Et l'élue de l'Avarice ne tenait pas la route, ses chaussures clairement pas adaptées, son long kimono non plus, la forçant a garder une main prise pour en lever les plis. Comble de l'indignité, la soldate finit par la porter sur son épaule, s'attirant des injures et des sommations d'une dragonne visiblement énervée. Et elle entre alors en trombe dans un établissement, fermant la porte derrière elles, et... Laissa tomber l'élue au sol comme une vulgaire marchandise.
" Aie ! Imbécile ! " Excédée, l'élue se releva et gifla céans la soldate, à la tempe pour éviter son masque de fer, sans se soucier des dégâts que ses bagues pouvaient faire. Elle n'avait de toute manière pas grande force. " Vous me prenez pour un vulgaire sac de pommes de terres ou quoi ?! "
Après quoi, l'élue, fâchée, se retourna pour faire dos à l'elfe, prenant un temps pour réajuster sa tenue qui baillait en tous sens. Sa colère retombant pour laisser place au sérieux d'une criminelle habituée aux coups-bas, et à y réagir, elle se calma rapidement pour repenser à sa situation. Certes, la soldate l'avait sauvée, elle en convenait, mais jamais elle ne s'excuserait pour son geste. Plutôt mourir que perdre la face. Regardant un moment sa pipe, laquelle s'était éteinte, et sachant qu'elle n'avait pas ses servants pour la rallumer, elle soupira en secouant la tête, avant de se tourner vers la dame en uniforme.
" Si je savais qui ils étaient, ils seraient déjà morts. Au moins vous avez gardé le coffret, nous sommes donc en sécurité pour le moment. "
Le vieil homme à qui le petit restaurant de ramens appartenait les regardait de loin, sans rien oser dire ni faire. Onyxa n'y prêta pas attention, elle avait d'autres chats à fouetter. Elle plongea son regard acéré dans celui, bien singulier, de l'elfe augmentée.
" On ne va pas pouvoir rester ici bien longtemps, si on a à faire à la pègre locale ils contrôlent probablement plus ou moins tout le quartier. Vous avez bien accompli votre devoir, soldat, et vous venez d'être promue. " Onyxa partait du principe que le lieutenant était mort, sans le moindre état d'âme. " Votre nom ? "
Une marque de reconnaissance, de la part d'une élue qui ne semblait considérer personne. Elle s'approcha du vieil homme et lui demanda s'il y avait une sortie par derrière son établissement, ce qu'il fit en pointant timidement du doigt une porte. Alors elle se tourna vers l'elfe. Onyxa dévoilait ne pas être qu'une élue précieuse et jolie, elle était bien, bien pire que les apparences le laissaient croire.
" Dans cette situation, c'est eux ou nous, ils ne nous lâcheront pas. Alors qu'importe que vous choisissiez de vous battre pour vos compagnons d'arme, pour votre devoir envers moi, ou pour la couronne, aidez-moi à contre-attaquer. "
" Épuisant, pour ne pas dire répugnant, n'ont-ils pas mieux à faire pour leur nation ? "
Le fait que ces gens puissent se permettre de faire la fête malgré l'état économique de leur nation la dépassait. Mais qu'importe, elle avait bien d'autres choses à faire, leur ingérence ne venait que déranger son trajet. Ce à quoi l'élue n'était pas préparée, en revanche, c'était bien à se faire attaquer en pleine rue dans les quartiers de Fang. Du moins donnait-elle l'impression de ne pas l'être, sa garde était là pour ça, après tout. Onyxa n'était pas une noble, pensant être intouchable, et si des criminels se trouvaient embusqués autour d'eux, elle restait probablement la pire de tous. Et pourtant, voilà que son escorte prit sa main, un peu trop fort à son goût.
Agissait-elle par peur ? Ou bien par devoir ? Onyxa ne sut dire ce qu'il passa par la tête de la soldate elfique tout à coup, laquelle se mit à fuir avec elle au lieu de former un blocus défensif autour de sa personne. Ce faisant elle abandonnait son escouade, peut-être à une mort certaine, peut-être pas, mais en tout cas elle partait tête baissée vers une direction inconnue qui pouvait parfaitement les mettre encore plus en danger. Et l'élue de l'Avarice ne tenait pas la route, ses chaussures clairement pas adaptées, son long kimono non plus, la forçant a garder une main prise pour en lever les plis. Comble de l'indignité, la soldate finit par la porter sur son épaule, s'attirant des injures et des sommations d'une dragonne visiblement énervée. Et elle entre alors en trombe dans un établissement, fermant la porte derrière elles, et... Laissa tomber l'élue au sol comme une vulgaire marchandise.
" Aie ! Imbécile ! " Excédée, l'élue se releva et gifla céans la soldate, à la tempe pour éviter son masque de fer, sans se soucier des dégâts que ses bagues pouvaient faire. Elle n'avait de toute manière pas grande force. " Vous me prenez pour un vulgaire sac de pommes de terres ou quoi ?! "
Après quoi, l'élue, fâchée, se retourna pour faire dos à l'elfe, prenant un temps pour réajuster sa tenue qui baillait en tous sens. Sa colère retombant pour laisser place au sérieux d'une criminelle habituée aux coups-bas, et à y réagir, elle se calma rapidement pour repenser à sa situation. Certes, la soldate l'avait sauvée, elle en convenait, mais jamais elle ne s'excuserait pour son geste. Plutôt mourir que perdre la face. Regardant un moment sa pipe, laquelle s'était éteinte, et sachant qu'elle n'avait pas ses servants pour la rallumer, elle soupira en secouant la tête, avant de se tourner vers la dame en uniforme.
" Si je savais qui ils étaient, ils seraient déjà morts. Au moins vous avez gardé le coffret, nous sommes donc en sécurité pour le moment. "
Le vieil homme à qui le petit restaurant de ramens appartenait les regardait de loin, sans rien oser dire ni faire. Onyxa n'y prêta pas attention, elle avait d'autres chats à fouetter. Elle plongea son regard acéré dans celui, bien singulier, de l'elfe augmentée.
" On ne va pas pouvoir rester ici bien longtemps, si on a à faire à la pègre locale ils contrôlent probablement plus ou moins tout le quartier. Vous avez bien accompli votre devoir, soldat, et vous venez d'être promue. " Onyxa partait du principe que le lieutenant était mort, sans le moindre état d'âme. " Votre nom ? "
Une marque de reconnaissance, de la part d'une élue qui ne semblait considérer personne. Elle s'approcha du vieil homme et lui demanda s'il y avait une sortie par derrière son établissement, ce qu'il fit en pointant timidement du doigt une porte. Alors elle se tourna vers l'elfe. Onyxa dévoilait ne pas être qu'une élue précieuse et jolie, elle était bien, bien pire que les apparences le laissaient croire.
" Dans cette situation, c'est eux ou nous, ils ne nous lâcheront pas. Alors qu'importe que vous choisissiez de vous battre pour vos compagnons d'arme, pour votre devoir envers moi, ou pour la couronne, aidez-moi à contre-attaquer. "
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