Volric
Un titano-varan, ça trompe énormément (je crois) (ft Iola)
Volric
Volric
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Race·s
•
Featuring
•
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Âge :
353
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
Soldat
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
Liges :
465
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"","age":"353","races":"Draconide","metier":"Soldat","magies":"Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain","manicheisme":"colère","taille":"2m","poids":"140kg","orientation":"?????","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t94-there-is-only-war-volric","nomdeloeuvre":"Arknights","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Chong Yue","autrescomptes":""}
Volric
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Volric
- message #345
Sur la place du marché de la cité d’Arvandor, on pouvait trouver moult types de produits et d’étalages, provenant du monde entier. Des plus communs, comme de la nourriture locale, aux plus exotiques, comme des artéfacts ou encore des œuvres d’arts importées de l’autre bout du monde. Si Volric y était en ce moment même, ce n’était ni pour flâner, ni par amour du troc ou du marchandage, et encore moins pour profiter de ce pays honni. Simplement, il fallait bien vivre, et la période actuelle n’était pas propice à la guerre. Donc il vagabondait, recherchant diverses expériences et pourquoi pas alliés dans sa quête continue de vengeance.
Son tapis était donc installé là, dans un coin à l’ombre d’un bâtiment plus imposant, entre deux étals bien mieux fournis et dont les commerçants étaient bien plus bruyants que lui. « Approchez, approchez ! Fourrures, bijoux, vêtements de Xing Alda ! Qualité incomparable ! Approchez ! » beuglait l’un. « Venezzzzz goûter mes produits ! Spécialités importées d’Avalon ! Epices et sucreries du monde entier ! Venezzzz goûter ! » s’époumonait l’autre. Et dans cette cacophonie ambiante, le draconide, posé, assis en tailleur, son couteau à la main, un bout de bois dans l’autre. Par terre, devant lui, quelques dizaines de figurines sculptées, de diverses formes et dans divers poses. Ici ce qui ressemblait à un dragon, ou à un monstre, et là un chevalier ou un soldat. Il n’en avait pas l’air, et il n’accepterait jamais de l’avouer, mais son flair marchand n’était pas mauvais. Des figurines simples aux traits reconnaissables de « factions » identifiables s’adressant aux enfants qui voudraient jouer aux figurines, avec des prix abordables ; et des pièces plus travaillées, a l’air plus « noble », dans des morceaux de bois un peu meilleur et plus gros, à l’attention de leurs parents dont l’oeil aurait été attiré par leur progéniture. Le plan parfait ! Il n’était pas insensible à l’ironie de la situation, sachant qu’il y aurait peut être de ses œuvres dans les maisons qu’on brûlerait lorsqu’on saccagerait cette foutue ville. Mais il se consolait en tirant le trait des chevaliers qu’il sculptait et leur donnant un visage qu’il trouvait diabolique. Il n’avait aucune idée de ce que ressentaient les humains en les voyant, mais ça lui permettait de se passer les nerfs, ce qui était particulièrement agréable.
Il y avait aujourd’hui un nombre particulièrement élevé de passants, même pour ce marché. Cela intriguait un peu Volric, mais il se faisait une fierté de ne surtout pas demander plus d’informations que nécessaire pour éviter d’interagir avec les humains plus qu’il ne faut. Il eu cependant la réponse à la question qu’il n’avait même pas encore posée (« pourquoi ?? ») avec les vibrations du sol, qui eurent l’effet de faire basculer les figurines qu’il avait savamment faites tenir en équilibre sur le sol. Les vibrations se rapprochaient, se rapprochaient… Et enfin il vit. Un gigantesque titano-varan se déplaçait maladroitement entre les étals. L’ancien dû l’avouer : c’était un magnifique spécimen. A priori un mâle, sûr de lui, se portant comme un animal extrêmement bien dressé qui a l’habitude d’être manipulé mais connaît sa valeur. Il était d’un blanc immaculé et proportionné comme il fallait partout où il le fallait. Et vu les personnes qui l’accompagnaient, c’était probablement une bête de concours. Enfin, rien qui ne l’intéressait plus que de raison…
Sauf que le varan n’était pas d’accord.
En passant proche de l’étal de Volric, la bête s’arrêta un instant, reniflant malgré le dresseur qui tirait sur sa laisse. Peut-être avait-il senti, avec ses sens de lézard, que le marchand devant lui était un draconide, même si les humains eux ne pouvaient le déceler à cause du grand chapeau à bords longs qu’il portait, ainsi que ses vêtements amples d’inspiration aldanienne pour cacher écailles et tatouages. Il ne releva pas la tête de son ouvrage, ne les salua pas, et ils lui rendirent la courtoisie. Il dû toutefois réprimer un cri d’outrage lorsque la bête, repartant, déposa sa grosse patte arrière et tout son poids sur la moitié de sa marchandise ! D’un bond il se leva, outils à la main, pointant le désastre ! Une dizaine de figurines réduites en miettes par le lourdaud !
Sans doute alerté par le bruit, le cavalier sur le dos du varan se retourna d’un air nonchalant, et lança une poignée de liges de bronze dans la direction générale de Volric. Quelle insulte ! Il les aurait bien étripés ici et maintenant ! Mais…
Autour de lui, toute la foule regardait. Il étrangla le cri de rage qui était coincé dans sa gorge, arrêta d’agiter son couteau d’un air colérique dans la direction générale des dresseurs, et se rassit. Il n’avait plus qu’à ramasser tout ça et le jeter dans un coin, tant pis… Il ne comptait pas faire fortune de toute façon…
Son tapis était donc installé là, dans un coin à l’ombre d’un bâtiment plus imposant, entre deux étals bien mieux fournis et dont les commerçants étaient bien plus bruyants que lui. « Approchez, approchez ! Fourrures, bijoux, vêtements de Xing Alda ! Qualité incomparable ! Approchez ! » beuglait l’un. « Venezzzzz goûter mes produits ! Spécialités importées d’Avalon ! Epices et sucreries du monde entier ! Venezzzz goûter ! » s’époumonait l’autre. Et dans cette cacophonie ambiante, le draconide, posé, assis en tailleur, son couteau à la main, un bout de bois dans l’autre. Par terre, devant lui, quelques dizaines de figurines sculptées, de diverses formes et dans divers poses. Ici ce qui ressemblait à un dragon, ou à un monstre, et là un chevalier ou un soldat. Il n’en avait pas l’air, et il n’accepterait jamais de l’avouer, mais son flair marchand n’était pas mauvais. Des figurines simples aux traits reconnaissables de « factions » identifiables s’adressant aux enfants qui voudraient jouer aux figurines, avec des prix abordables ; et des pièces plus travaillées, a l’air plus « noble », dans des morceaux de bois un peu meilleur et plus gros, à l’attention de leurs parents dont l’oeil aurait été attiré par leur progéniture. Le plan parfait ! Il n’était pas insensible à l’ironie de la situation, sachant qu’il y aurait peut être de ses œuvres dans les maisons qu’on brûlerait lorsqu’on saccagerait cette foutue ville. Mais il se consolait en tirant le trait des chevaliers qu’il sculptait et leur donnant un visage qu’il trouvait diabolique. Il n’avait aucune idée de ce que ressentaient les humains en les voyant, mais ça lui permettait de se passer les nerfs, ce qui était particulièrement agréable.
Il y avait aujourd’hui un nombre particulièrement élevé de passants, même pour ce marché. Cela intriguait un peu Volric, mais il se faisait une fierté de ne surtout pas demander plus d’informations que nécessaire pour éviter d’interagir avec les humains plus qu’il ne faut. Il eu cependant la réponse à la question qu’il n’avait même pas encore posée (« pourquoi ?? ») avec les vibrations du sol, qui eurent l’effet de faire basculer les figurines qu’il avait savamment faites tenir en équilibre sur le sol. Les vibrations se rapprochaient, se rapprochaient… Et enfin il vit. Un gigantesque titano-varan se déplaçait maladroitement entre les étals. L’ancien dû l’avouer : c’était un magnifique spécimen. A priori un mâle, sûr de lui, se portant comme un animal extrêmement bien dressé qui a l’habitude d’être manipulé mais connaît sa valeur. Il était d’un blanc immaculé et proportionné comme il fallait partout où il le fallait. Et vu les personnes qui l’accompagnaient, c’était probablement une bête de concours. Enfin, rien qui ne l’intéressait plus que de raison…
Sauf que le varan n’était pas d’accord.
En passant proche de l’étal de Volric, la bête s’arrêta un instant, reniflant malgré le dresseur qui tirait sur sa laisse. Peut-être avait-il senti, avec ses sens de lézard, que le marchand devant lui était un draconide, même si les humains eux ne pouvaient le déceler à cause du grand chapeau à bords longs qu’il portait, ainsi que ses vêtements amples d’inspiration aldanienne pour cacher écailles et tatouages. Il ne releva pas la tête de son ouvrage, ne les salua pas, et ils lui rendirent la courtoisie. Il dû toutefois réprimer un cri d’outrage lorsque la bête, repartant, déposa sa grosse patte arrière et tout son poids sur la moitié de sa marchandise ! D’un bond il se leva, outils à la main, pointant le désastre ! Une dizaine de figurines réduites en miettes par le lourdaud !
Sans doute alerté par le bruit, le cavalier sur le dos du varan se retourna d’un air nonchalant, et lança une poignée de liges de bronze dans la direction générale de Volric. Quelle insulte ! Il les aurait bien étripés ici et maintenant ! Mais…
Autour de lui, toute la foule regardait. Il étrangla le cri de rage qui était coincé dans sa gorge, arrêta d’agiter son couteau d’un air colérique dans la direction générale des dresseurs, et se rassit. Il n’avait plus qu’à ramasser tout ça et le jeter dans un coin, tant pis… Il ne comptait pas faire fortune de toute façon…
Iola
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???
Race·s :
Siren
Particularités de la race :
sirène
Métier :
5e d'Ouroboros, mercenaire
Magie·s :
Magie Élémentaire - Hydromancie - Glace, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Force
Nom de l'oeuvre :
arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
skadi/skalter
Manichéisme :
envie
Liges :
270
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Iola
- message #392
elle respirait les effluves des épices avec un petit sourire vissé sur le visage, espérant toujours, secrètement, que quelque chose se passe au milieu de toutes ces odeurs, de tout ces sons, de tout ces gens. qu'on lui rende un fragment de sa mémoire, que la flamme vacillante de ses souvenir se ravive, ne serait-ce qu'une seconde, pour lui laisser l'occasion d'une véritable connexion avec son avant.
au milieu des allées, on ne pouvait manquer l'avancée d'un spécimen absolument remarquable de titano-varan, lustré et harnaché avec les plus belles pièces de sellerie que Iola ait vu jusqu'à présent. la bête était plus grande que la moyenne et possédait le museau plus long, caractéristique des mâles de l'espèce. Iola avait beau être ce qu'elle était, faire ce qu'elle faisait — elle avait beau n'avoir aucune sorte d'états d'âme sur un champ de bataille — son cœur était celui d'une créature sensible, et les animaux avaient toujours été un sujet de fascination.
elle regarda passer la bête et son cavalier et sa troupe, admirant le lustre des écaille et le blanc quasiment immaculé de sa robe... jusqu'à ce que l'un des marchands, posé sur le sol modestement, voit le fruit de son travail être complètement ruiné par la créature prestement forcer d'avancer. iola nota quelque chose pour elle-même dans son crâne et s'avança vers l'étal, dans le but d'offrir un peu d'aide.
Son sourire s'était effacé mais son expression restait amicale. quelque chose cependant, dans l'arrière de son crâne, grattait. une pensée sur laquelle elle n'arrivait pas à mettre le doigt.
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Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
Soldat
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
Liges :
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- message #397
Il avait commencé à ramasser les miettes de ce qu’il restait de ses sculptures sans trop regarder ce qui se passait autour de lui, accroupi et faisant dos à la rue, quand une voix vint l’interrompre. Elle avait un ton neutre, et lui proposait un service que peu étaient prêts à rendre ces temps ci, surtout sur une place aussi agitée, où tout le monde était occupé. C’était souvent chacun pour soi.
Il se retourna, son air renfrogné habituel renforcé par son mécontentement actuel. En résumé, il faisait bien la gueule. Il était prêt à refuser le service, car si ses créations avaient été détruites par un varan arvandien, il n’était pas venu le jour où il accepterait l’aide d’un autre arvandien même s’il voulait réparer les erreurs de ses sombres semblables. Cependant, une partie de la phrase le fit se rasséréner un peu, et reconsidérer. « les arvandiens ». Qui s’exprimerait ainsi en en étant soi même ? Cela le fit baisser un peu sa garde.
Il revissa son chapeau sur sa tête, prenant une respiration pour avoir l’air moins désagréable, mais restant renfrogné, avant de prendre la parole.
« C’est bien vrai. Pas un pardon, personne pour s’arrêter ! Hrmpf. Qu’est ce qu’ils veulent que j’en fasse de leurs pièces ? Vraiment quel monde, quel monde ! De mon temps… » Il se racla la gorge, s’interrompant. « Enfin bref, ça se fait pas, quoi. » Il reconsidéra l’offre un instant, en toisant son interlocutrice. Elle avait l’air fort humainoïde, mais il serait damné s’il était en mesure de faire la différence entre les aldiens, les arvandiens, les malaqii… et bon, certains, comme lui, préféraient cacher ou modifier leur apparence. Elle avait également l’air très bien équipée, vu la taille de la lame qui pendait dans son dos, donc probablement pas un marchand ou un badaud. Et puis, à l'observation attentive, on pouvait remarquer quelques détails qui, s'ils ne lui permettaient pas forcément de se prononcer de façon certaines, lui évoquaient autre chose qu'un simple humain. Bref. Il soupira. « Je veux bien, merci. Il n’y a pas grand-chose, mais bon. Si tu veux m’aider à repositionner ce qu’il reste pendant que je jette ces débris là… Si ça t’intéresse, tu auras qu’à en choisir une, je te la donne. En guise de remerciement ! » De toute façon, il n’avait pas grand-chose d’autre à proposer.
Les instructions données, ils commencèrent donc à s’affairer. Mais cela ne devait pouvoir durer bien longtemps…
Les tremblements, à nouveau. Si la première fois ils étaient réguliers, maîtrisés, cette fois c’était une toute autre histoire : ils semblaient aller à toute allure et se rapprocher de plus en plus ! Et à mesure que les tremblements se rapprochaient, des cris, des ordres mêlés de panique, tandis que depuis l’étal mal placé de Volric on commençait à apercevoir des gens s’enfuir.
« Aaaaahhhhh ! Le varan ! Il s’enfuit ! Mais rattrapez le, rattrapez le !!!! » S’égosillait ce qui semblait être le meneur de tout à l’heure.
Et sans y louper, quelqu’un s’y tenta, attrapa la bride de l’animal qui couraient à toute allure dans le but de le ralentir, mais… ne put que déranger le monstre, 400kg de muscles déchaînés et à la recherche de quelque chose que le draconide n’aurait su identifier. Mais il avait une lueur folle dans l’oeil qui ne trompait pas : il ne comptait pas se laisser attraper. Tirer sur la bride eut un autre effet secondaire indésirable. L’animal navigant à l’instinct dans cet endroit qu’il ne connaissait pas, il fut désorienté un instant et vint s’écraser contre l’étal qui était juste avant celui de Volric. Ceci amortit sa chute, lui permit de se rééquilibrer et de reprendre la route… écrasant au passage la majorité de ce qu’il lui restait. Il ne put, par réflexe, que tenter d’attraper la dame qui lui donnait son aide pour la tirer de la trajectoire, ne sachant pas si elle les aurait elle même, bien qu’en le faisant il eut également la pensée qu’un guerrier maniant une telle arme n’avait probablement pas besoin de son aide…
Une fois la bête passée, il se releva de tout son haut.
« Bon. Peut être qu’il faut y faire quelque chose à cet animal parce que ça commence à me gonfler. Est ce que tu es partante ? Peut être l’arvandien sera reconnaissant, à défaut de respectueux... » Dans son amertume, un sourire un peu moqueur, avant de diriger son regard vers la suite du raffut.
Il se retourna, son air renfrogné habituel renforcé par son mécontentement actuel. En résumé, il faisait bien la gueule. Il était prêt à refuser le service, car si ses créations avaient été détruites par un varan arvandien, il n’était pas venu le jour où il accepterait l’aide d’un autre arvandien même s’il voulait réparer les erreurs de ses sombres semblables. Cependant, une partie de la phrase le fit se rasséréner un peu, et reconsidérer. « les arvandiens ». Qui s’exprimerait ainsi en en étant soi même ? Cela le fit baisser un peu sa garde.
Il revissa son chapeau sur sa tête, prenant une respiration pour avoir l’air moins désagréable, mais restant renfrogné, avant de prendre la parole.
« C’est bien vrai. Pas un pardon, personne pour s’arrêter ! Hrmpf. Qu’est ce qu’ils veulent que j’en fasse de leurs pièces ? Vraiment quel monde, quel monde ! De mon temps… » Il se racla la gorge, s’interrompant. « Enfin bref, ça se fait pas, quoi. » Il reconsidéra l’offre un instant, en toisant son interlocutrice. Elle avait l’air fort humainoïde, mais il serait damné s’il était en mesure de faire la différence entre les aldiens, les arvandiens, les malaqii… et bon, certains, comme lui, préféraient cacher ou modifier leur apparence. Elle avait également l’air très bien équipée, vu la taille de la lame qui pendait dans son dos, donc probablement pas un marchand ou un badaud. Et puis, à l'observation attentive, on pouvait remarquer quelques détails qui, s'ils ne lui permettaient pas forcément de se prononcer de façon certaines, lui évoquaient autre chose qu'un simple humain. Bref. Il soupira. « Je veux bien, merci. Il n’y a pas grand-chose, mais bon. Si tu veux m’aider à repositionner ce qu’il reste pendant que je jette ces débris là… Si ça t’intéresse, tu auras qu’à en choisir une, je te la donne. En guise de remerciement ! » De toute façon, il n’avait pas grand-chose d’autre à proposer.
Les instructions données, ils commencèrent donc à s’affairer. Mais cela ne devait pouvoir durer bien longtemps…
Les tremblements, à nouveau. Si la première fois ils étaient réguliers, maîtrisés, cette fois c’était une toute autre histoire : ils semblaient aller à toute allure et se rapprocher de plus en plus ! Et à mesure que les tremblements se rapprochaient, des cris, des ordres mêlés de panique, tandis que depuis l’étal mal placé de Volric on commençait à apercevoir des gens s’enfuir.
« Aaaaahhhhh ! Le varan ! Il s’enfuit ! Mais rattrapez le, rattrapez le !!!! » S’égosillait ce qui semblait être le meneur de tout à l’heure.
Et sans y louper, quelqu’un s’y tenta, attrapa la bride de l’animal qui couraient à toute allure dans le but de le ralentir, mais… ne put que déranger le monstre, 400kg de muscles déchaînés et à la recherche de quelque chose que le draconide n’aurait su identifier. Mais il avait une lueur folle dans l’oeil qui ne trompait pas : il ne comptait pas se laisser attraper. Tirer sur la bride eut un autre effet secondaire indésirable. L’animal navigant à l’instinct dans cet endroit qu’il ne connaissait pas, il fut désorienté un instant et vint s’écraser contre l’étal qui était juste avant celui de Volric. Ceci amortit sa chute, lui permit de se rééquilibrer et de reprendre la route… écrasant au passage la majorité de ce qu’il lui restait. Il ne put, par réflexe, que tenter d’attraper la dame qui lui donnait son aide pour la tirer de la trajectoire, ne sachant pas si elle les aurait elle même, bien qu’en le faisant il eut également la pensée qu’un guerrier maniant une telle arme n’avait probablement pas besoin de son aide…
Une fois la bête passée, il se releva de tout son haut.
« Bon. Peut être qu’il faut y faire quelque chose à cet animal parce que ça commence à me gonfler. Est ce que tu es partante ? Peut être l’arvandien sera reconnaissant, à défaut de respectueux... » Dans son amertume, un sourire un peu moqueur, avant de diriger son regard vers la suite du raffut.
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Nom de l'oeuvre :
arknights
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Iola
- message #504
du moins c'est ce qui était prévu avant qu'un cri de panique ne fende la foule et que les gens se mettent à courir de part et d'autre de la place.
la merveilleuse bête s'était échappée et allait maintenant à une vitesse incroyable entre les étals, bien décider à semer son cavalier et toutes les personnes qui tentaient désespérément de le stopper. la créature avançait à la vitesse d'un boulet de canon, les yeux grands ouvert et la tête haute. Iola comprit, poussa un juron. une tentative d'arrêt fut faites, échoua et elle sentit qu'on la trainait en arrière. la main sur la garde de son arme, elle lança un coup d'œil en arrière.
elle retira la gigantesque épée de son dos et l'enfonça dans le sol, créant devant elle une rampe glacée. elle grimpa prestement en haut de cette plateforme temporaire et informa le marchand de ses conclusions : je sais où il va, il essaie de sortir du marché pour atteindre le relais de titano-varan à l'entrée de la ville.
elle sauta de sa plateforme, la glace se défit en une pluie de petits éclats bruyants.
le cavalier — qui avait maintenant perdu de sa superbe — courrait de façon erratique, les yeux remplis de larmes "nooon, mon étalon, Gary, reviiiient!". Iola interrompit sa course, l'obligeant à se mettre à genoux au sol et l'y gardant fermement du poids de son arme.
elle désigna la direction et se mit à courir.
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Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
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Liges :
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Volric
- message #563
Volric était grand, mais même lui ne put qu’être impressionné par la taille de l’arme que son homologue guerrière maniait, ainsi que par l’aisance avec laquelle elle s’en servit en conjugaison avec sa magie.
Elle devait faire un adversaire redoutable.
Mais ce n’était pas la question (il est difficile de se débarrasser de certains vieux réflexes), donc il se reconcentra sur le sujet pertinent : le titano-varan en fuite. Elle lui assura que le dresseur paierait, et le draconide hocha la tête d’approbation immédiatement. C’était la moindre des choses. Et s’il était radin, il pourrait aller se faire voir avec son varan à la con. C’était le fond de sa pensée.
Pendant qu’elle était montée sur son perchoir de glace, Volric s’apprêtait à commencer à partir dans la direction indiquée, essayant de former un tandem efficace avec elle. Il ne pouvait toutefois pas partir trop en avance, sinon ce serait contre productif ! Mais au moins, quand elle lui indiqua qu’ils partaient, il était prêt et commença la course immédiatement.
Un titano-varan, ça peut courir vite. Et avec sa masse, il y a peu de choses pour l’arrêter. Toutefois, même si ses sens le mènent vers un endroit, il lui reste un gros désavantage : la connaissance du terrain, la largeur des rues, et le monde dans celles ci. Il ne pouvait pas, physiquement, juste écraser tout le monde. Il avait toujours ses réflexes d’animaux, de bousculer telle chose, d’avoir peur de telle autre qui agresse ses sens et le désoriente… Cela ne lui permet pas d’atteindre sa vitesse de croisière en conditions optimales.
Volric eut donc une idée. Il tenta de la communiquer à sa compère, lui qui courait juste un peu devant elle. Par des signes, il lui indiqua de continuer la course de ce côté, tandis que lui prendrait un autre passage. Si le varan allait vers le relais, alors il pouvait peut être, en accélérant, lui couper la route. Ils pourraient lui faire une prise en tenaille et tenter de le maîtriser, ou de le ralentir suffisamment pour que le dresseur intervienne d’une manière ou d’une autre. C’était un plan comme un autre. Il espérait qu’elle comprendrait son message, et commença l’exécution de son plan.
Donc, il pris quelques ruelles qu’il savait couper le chemin et être peu fréquentées, en accélérant un brin pour être sûr d’arriver avant le gigantesque lézard. Et, effectivement, il redéboucha sur le chemin devant le varan… qui arrivait pour le coup à grande vitesse ! Maintenant, il fallait le ralentir suffisamment pour qu’elle puisse le rattraper et… faire de la magie, qu’en savait-il ! Quelque chose !
Une seule solution pour cela.
Il se frotta les mains, se mis en position, les jambes écartées, légèrement pliées, bien solide sur ses appuis, attendant la bête d’une manière qui semblait vouloir la tacler de front. Le varan se rapprochait, se rapprochait, à grande vitesse… Mais il ne comptait absolument pas le tacler de front. Au dernier moment, ayant espéré avoir un peu réduit la vitesse de l’animal qui n’avait peut être pas envie de slam dans quelqu’un, il se jeta sur le côté… Pour attraper la bride ! Mais bien sûr il n’espérait pas arrêter l’animal juste comme ça… S’étant préparé à cette action, il utilisa la vitesse de l’animal, l’inertie de son saut, et l’appui de la bride pour se hisser en pleine course sur son dos ! C’était pas passé loin… Une seconde de plus, un faux mouvement, et son bras se brisait en mille morceaux sous le choc.
Une fois sur le dos de l’animal… Le rodéo. Une pratique commune à Vollheim ! Pas quelque chose qu’il savait très bien faire. Il s’y essaya néanmoins : les deux bras tirant sur les rênes, les cuissots serrés pour se maintenir un appui sur l’animal s’étant débarrassé de sa selle… On ne va pas mentir : l’équilibre est précaire. À tout instant, Volric risque de s’envoler ! Mais en attendant, le varan ne progresse plus, trop occupé à se débattre pour déloger l’inopportun qui se trouve sur son dos.
Elle devait faire un adversaire redoutable.
Mais ce n’était pas la question (il est difficile de se débarrasser de certains vieux réflexes), donc il se reconcentra sur le sujet pertinent : le titano-varan en fuite. Elle lui assura que le dresseur paierait, et le draconide hocha la tête d’approbation immédiatement. C’était la moindre des choses. Et s’il était radin, il pourrait aller se faire voir avec son varan à la con. C’était le fond de sa pensée.
Pendant qu’elle était montée sur son perchoir de glace, Volric s’apprêtait à commencer à partir dans la direction indiquée, essayant de former un tandem efficace avec elle. Il ne pouvait toutefois pas partir trop en avance, sinon ce serait contre productif ! Mais au moins, quand elle lui indiqua qu’ils partaient, il était prêt et commença la course immédiatement.
Un titano-varan, ça peut courir vite. Et avec sa masse, il y a peu de choses pour l’arrêter. Toutefois, même si ses sens le mènent vers un endroit, il lui reste un gros désavantage : la connaissance du terrain, la largeur des rues, et le monde dans celles ci. Il ne pouvait pas, physiquement, juste écraser tout le monde. Il avait toujours ses réflexes d’animaux, de bousculer telle chose, d’avoir peur de telle autre qui agresse ses sens et le désoriente… Cela ne lui permet pas d’atteindre sa vitesse de croisière en conditions optimales.
Volric eut donc une idée. Il tenta de la communiquer à sa compère, lui qui courait juste un peu devant elle. Par des signes, il lui indiqua de continuer la course de ce côté, tandis que lui prendrait un autre passage. Si le varan allait vers le relais, alors il pouvait peut être, en accélérant, lui couper la route. Ils pourraient lui faire une prise en tenaille et tenter de le maîtriser, ou de le ralentir suffisamment pour que le dresseur intervienne d’une manière ou d’une autre. C’était un plan comme un autre. Il espérait qu’elle comprendrait son message, et commença l’exécution de son plan.
Donc, il pris quelques ruelles qu’il savait couper le chemin et être peu fréquentées, en accélérant un brin pour être sûr d’arriver avant le gigantesque lézard. Et, effectivement, il redéboucha sur le chemin devant le varan… qui arrivait pour le coup à grande vitesse ! Maintenant, il fallait le ralentir suffisamment pour qu’elle puisse le rattraper et… faire de la magie, qu’en savait-il ! Quelque chose !
Une seule solution pour cela.
Il se frotta les mains, se mis en position, les jambes écartées, légèrement pliées, bien solide sur ses appuis, attendant la bête d’une manière qui semblait vouloir la tacler de front. Le varan se rapprochait, se rapprochait, à grande vitesse… Mais il ne comptait absolument pas le tacler de front. Au dernier moment, ayant espéré avoir un peu réduit la vitesse de l’animal qui n’avait peut être pas envie de slam dans quelqu’un, il se jeta sur le côté… Pour attraper la bride ! Mais bien sûr il n’espérait pas arrêter l’animal juste comme ça… S’étant préparé à cette action, il utilisa la vitesse de l’animal, l’inertie de son saut, et l’appui de la bride pour se hisser en pleine course sur son dos ! C’était pas passé loin… Une seconde de plus, un faux mouvement, et son bras se brisait en mille morceaux sous le choc.
Une fois sur le dos de l’animal… Le rodéo. Une pratique commune à Vollheim ! Pas quelque chose qu’il savait très bien faire. Il s’y essaya néanmoins : les deux bras tirant sur les rênes, les cuissots serrés pour se maintenir un appui sur l’animal s’étant débarrassé de sa selle… On ne va pas mentir : l’équilibre est précaire. À tout instant, Volric risque de s’envoler ! Mais en attendant, le varan ne progresse plus, trop occupé à se débattre pour déloger l’inopportun qui se trouve sur son dos.
Iola
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5e d'Ouroboros, mercenaire
Magie·s :
Magie Élémentaire - Hydromancie - Glace, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Force
Nom de l'oeuvre :
arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
skadi/skalter
Manichéisme :
envie
Liges :
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- message #650
travailler en équipe était une tâche récurrente au sein de l'Ouroboros ― le seul bémol ici résidait dans le fait qu'elle ne connaissait pas le moins du monde son partenaire. mais il avait de bons réflexes, de ceux qu'ont les gens qui ont vu bien trop de batailles et qui ont du, bien trop de fois, risquer leurs vies dans celles-ci.
il y avait la fatigue aussi, celle qu'il cachait sous ce grand chapeau, et qui s'était installée sous ses yeux, dans le creux de cernes indélébiles. elle connaissait la fatigue des guerriers, ils étaient nombreux, à la maison, qui possédaient la même. et c'était pour elle une forme de rassérènement. si elle ne le connaissait pas personnellement, elle avait déjà vu des gens comme lui et ça lui suffisait pour le moment.
la course contre-la-montre ― ou contre le varan, avait commencé. le bruit, rapide mais régulier, de leurs pieds au pas de course résonnait par intermittence entre les murs des rues et des ruelles. elle tenait d'une main l'immense épée, sans grande difficulté et gardait un œil sur le marchand. il ne tarda pas à lui faire signe et la jeune femme acquiesça, comprenant ce qu'on lui demandait de faire. la bifurcation effectuée, elle se fraya un chemin aisément au milieu des rares passants fréquentant les ruelles annexes. il lui fallut cependant, de peu, éviter une carriole rempli de meubles au détour d'un virage légèrement serré ― une perte de temps qui la fit jurer. lorsqu'elle réapparu, à l'opposé du relais, elle avait déjà ses deux mains sur la garde de son épée, le regard fixé sur le gros lézard.
il s'agitait, pauvre bête, perdu, confus, colérique. et sur son dos, le marchand-guerrier paraissait étrangement petit ― car la bête était particulièrement grande.
Iola accéléra et, lorsqu'elle fut le plus près possible du rodéo, se servit du poids de sa lame pour créer une inertie qui la projeta en avant, entraînant avec elle le froid glacé. lorsqu'elle retouche terre, des colonnes d'une glace claire ceignaient les pattes avant du varan. cependant, ne voulant pas blesser l'animal, le piège n'était pas fait pour durer, uniquement pour immobiliser afin de trouver une solution plus durable.
confuse, la créature tentait maintenant de récupérer ses membres, oubliant un bref instant sa volonté de désarçonner son inopportun cavalier.
Iola en profita pour revenir à la charge et, après un bonk résonnant, le titano-varan se raidit et s'aplatit au sol, sonné.
Volric
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Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
Soldat
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
Liges :
465
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Volric
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Volric
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- message #664
Pour tout dire, ce n’était pas vraiment la manière dont Volric s’imaginait passer sa journée. Disons que ce n’était pas foncièrement désagréable, mais qu’il espérait quand même que le dresseur serait assez généreux pour que la rémunération couvre ce qu’il avait perdu aujourd’hui, ce qu’il aurait gagné, et bien plus encore. Ca lui permettrait de changer de logement pour son temps ici.
Oui, c’était le genre de pensées qui traversaient son esprit alors qu’il était sur le dos d’un gigantesque varan se ruant de toutes ses forces pour essayer de le déloger alors qu’il l’enserrait de ses cuisses musclées et bandait toute la force de ses bras pour retenir l’animal via sa bride. Le mouvement avait fait tomber son chapeau et, à la lumière éclatante du soleil arvandien, on pouvait deviner les gouttes de sueur luisante qui ruisselait sur son crâne et faisait adhérer ses vêtements à ses pectoraux saillants. Un homme musclé, tête vide, montant son varan, haletant par l’effort, suspendu dans le temps.
Alors qu’il fatiguait, alors que la bête ne montrait, elle, aucun signe de relâchement, vinrent la délivrance et la fraîcheur. La guerrière, qui avait compris ses signes et les avait rattrapés, fit à nouveau usage de sa magie pour aider à la capture. Alors que des blocs de glace entouraient les pattes avant du varan, leur froid salvateur atteint jusqu’à Volric, faisant s’évaporer dans la réaction thermique les perles qui roulaient sur son front concerné. Puis vint le bonk et, alors que la créature était encore sonnée, enfin les dresseurs qui, avec moult collets, purent enfin maîtriser l’animal avant qu’il ne fasse plus de dégâts. Alors, l’office du draconide terminée, il sauta de son perchoir, les fesses un peu douloureuses il fallait bien l’avouer, le menant à claudiquer quelques temps vers son chapeau, afin de le visser à nouveau sur sa tête et cacher à nouveau les cornes que les habitants de ce quartier ne sauraient voir.
Volric était un piètre cavalier, et il sentirait ces courbatures pour quelques temps. Il n’était plus tout jeune…
Il se rapprocha donc des dresseurs, au même niveau que sa partenaire de chasse, avec sa démarche toujours un peu étrange. Les négociations avaient l’air déjà entamées, et celui qui paraissait être le chef avait l’air particulièrement contrit :
« Oui bon, il a causé quelques dommages. Mais c’est la saison vous savez ! Ils sont inarrêtables, vous avez vu le bestiau ? Mais enfin… Où aviez vous la tête ? J’espère qu’il n’a rien de cassé ! On a un concours dans une semaine, vous imaginez les pertes s’il a quoi que ce soit ! Quand même… Et il ne semblait pas pouvoir s’arrêter de causer, de causer, de se plaindre… Vraiment quelle plaie ! Il ne fallait pourtant pas être un observateur attentif pour déterminer que ni la guerrière de glace, ni le draconide musclé n’étaient amusés par cette conversation, à laquelle il allait falloir mettre un terme promptement.
- C’est très bien tout ça mais c’est pas mon problème ! T’as saccagé ma marchandise et ta bête a causé d’énormes dégâts ! T’as intérêt à payer ici et maintenant pour le service rendu sinon… Il jeta un coup d’oeil à sa partenaire, pour guetter son approbation, puis à nouveau vers le dresseur, sourcils froncés. T’as pas envie que je termine cette phrase.
- Tssss les draconides franchement ! Toujours la même chose ! Prenez là votre sale monnaie puisqu’il n’y a que ça qui compte ! »
L’homme leur refila à chacun une bourse avant de partir en levant les bras, aboyant des ordres et feindre le drame absolu plus loin. Soupesant et regardant rapidement, Volric en estima le contenu.
« Heh. Cent liges pour notre peine. Un peu radin mais pas trop mal, je dirais. Hé bien. Puisque ma journée de commerce est foutue, est ce que ça te dirait que je passe récupérer mes affaires rapidement et qu’on aille manger un morceau ? Cette affaire là m’a bien fatigué ! »
En fin de compte, même si ça avait assez mal démarré, c’était une assez bonne journée. Il avait eu une montée de tension mais il avait pu passer ses nerfs sur l’animal et sur l’humain, et avait eu de l’argent en prime. Et maintenant, quelqu’un de sympathique et, bien qu’il n’ait nullement besoin de manger, c’était une activité qu’il appréciait encore.
Une bonne journée.
Oui, c’était le genre de pensées qui traversaient son esprit alors qu’il était sur le dos d’un gigantesque varan se ruant de toutes ses forces pour essayer de le déloger alors qu’il l’enserrait de ses cuisses musclées et bandait toute la force de ses bras pour retenir l’animal via sa bride. Le mouvement avait fait tomber son chapeau et, à la lumière éclatante du soleil arvandien, on pouvait deviner les gouttes de sueur luisante qui ruisselait sur son crâne et faisait adhérer ses vêtements à ses pectoraux saillants. Un homme musclé, tête vide, montant son varan, haletant par l’effort, suspendu dans le temps.
Alors qu’il fatiguait, alors que la bête ne montrait, elle, aucun signe de relâchement, vinrent la délivrance et la fraîcheur. La guerrière, qui avait compris ses signes et les avait rattrapés, fit à nouveau usage de sa magie pour aider à la capture. Alors que des blocs de glace entouraient les pattes avant du varan, leur froid salvateur atteint jusqu’à Volric, faisant s’évaporer dans la réaction thermique les perles qui roulaient sur son front concerné. Puis vint le bonk et, alors que la créature était encore sonnée, enfin les dresseurs qui, avec moult collets, purent enfin maîtriser l’animal avant qu’il ne fasse plus de dégâts. Alors, l’office du draconide terminée, il sauta de son perchoir, les fesses un peu douloureuses il fallait bien l’avouer, le menant à claudiquer quelques temps vers son chapeau, afin de le visser à nouveau sur sa tête et cacher à nouveau les cornes que les habitants de ce quartier ne sauraient voir.
Volric était un piètre cavalier, et il sentirait ces courbatures pour quelques temps. Il n’était plus tout jeune…
Il se rapprocha donc des dresseurs, au même niveau que sa partenaire de chasse, avec sa démarche toujours un peu étrange. Les négociations avaient l’air déjà entamées, et celui qui paraissait être le chef avait l’air particulièrement contrit :
« Oui bon, il a causé quelques dommages. Mais c’est la saison vous savez ! Ils sont inarrêtables, vous avez vu le bestiau ? Mais enfin… Où aviez vous la tête ? J’espère qu’il n’a rien de cassé ! On a un concours dans une semaine, vous imaginez les pertes s’il a quoi que ce soit ! Quand même… Et il ne semblait pas pouvoir s’arrêter de causer, de causer, de se plaindre… Vraiment quelle plaie ! Il ne fallait pourtant pas être un observateur attentif pour déterminer que ni la guerrière de glace, ni le draconide musclé n’étaient amusés par cette conversation, à laquelle il allait falloir mettre un terme promptement.
- C’est très bien tout ça mais c’est pas mon problème ! T’as saccagé ma marchandise et ta bête a causé d’énormes dégâts ! T’as intérêt à payer ici et maintenant pour le service rendu sinon… Il jeta un coup d’oeil à sa partenaire, pour guetter son approbation, puis à nouveau vers le dresseur, sourcils froncés. T’as pas envie que je termine cette phrase.
- Tssss les draconides franchement ! Toujours la même chose ! Prenez là votre sale monnaie puisqu’il n’y a que ça qui compte ! »
L’homme leur refila à chacun une bourse avant de partir en levant les bras, aboyant des ordres et feindre le drame absolu plus loin. Soupesant et regardant rapidement, Volric en estima le contenu.
« Heh. Cent liges pour notre peine. Un peu radin mais pas trop mal, je dirais. Hé bien. Puisque ma journée de commerce est foutue, est ce que ça te dirait que je passe récupérer mes affaires rapidement et qu’on aille manger un morceau ? Cette affaire là m’a bien fatigué ! »
En fin de compte, même si ça avait assez mal démarré, c’était une assez bonne journée. Il avait eu une montée de tension mais il avait pu passer ses nerfs sur l’animal et sur l’humain, et avait eu de l’argent en prime. Et maintenant, quelqu’un de sympathique et, bien qu’il n’ait nullement besoin de manger, c’était une activité qu’il appréciait encore.
Une bonne journée.
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Siren
Particularités de la race :
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Métier :
5e d'Ouroboros, mercenaire
Magie·s :
Magie Élémentaire - Hydromancie - Glace, Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Force
Nom de l'oeuvre :
arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
skadi/skalter
Manichéisme :
envie
Liges :
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Iola
Iola
- message #857
si l'homme savait que ce genre d'incidents pouvaient arriver, pourquoi prendre le risque ? la question reste sans réponse, tandis qu'elle attend, la bouche close. personne n'est là pour lui expliquer et elle ne compte pas demander au marchand-guerrier.
la bourse atterri finalement dans sa main tendue avec un cliquetis reconnaissable et satisfaisant. elle fait un bref signe d'au revoir au varan avant de reporter son attention sur ce nouvel allié temporaire — un draconide donc.
elle savait ce qu'était un draconide, oui. cette réalisation fut satisfaisante et elle sourit.
avec des gestes répétés mille fois, elle raccrocha son arme dans son dos, une lanière après l'autre. remit en place sa chemise et resserra de façon brouillonne les liens qui tenaient ses cheveux hors de son visage. puis elle eut une réalisation en regardant l'homme et se retourna, fit quelques pas rapides vers l'endroit où se trouvait auparavant le titano-varan et y ramassa un chapeau. le chapeau.
elle revint en l'époussetant comme elle put et le tendit à son propriétaire :
Volric
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Particularités de la race :
Laerte
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Soldat
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Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Regain
Nom de l'oeuvre :
Arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Chong Yue
Manichéisme :
colère
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Volric
Volric
- message #1046
Volric, récupérant son chapeau, était relativement reconnaissant de l’absence de commentaire sur ce point de sa partenaire de chasse. Il avait un peu appréhendé, après tout ici les gens pouvaient ne pas trop apprécier son espèce. Mais ce choix commun et tacite de ne pas s’exprimer sur la question révélait qu’elle s’en moquait probablement, et c’était agréable. Cela lui donnait encore plus envie d’aller manger un morceau.
Il avait une bonne idée en tête. Lorsqu’ils se mirent en chemin, il décida de retourner vers la place du marché, d’un côté un peu reculé. Aussi, puisqu’ils n’étaient plus aussi pressés que pendant la course, il décida de faire un peu de conversation, parce que pourquoi pas.
« Au fait… Désolé, on ne s’est pas présenté jusqu’à maintenant, alors que tu m’as bien aidé ! Je m’appelle Volric. Bien content d’avoir fait ta connaissance ! »
Après le chemin qui les mena juste en retrait de la place, il put enfin révéler là où il les emmener… Le plus fameux glacier qu’il avait pu trouver dans la ville ! Rien qui ne vaille la bonne vieille glace naturelle qu’on trouvait en Vollheim, mais ça devrait faire l’affaire.
« Hé voilà ! C’est moi qui régale. J’espère que ça te plait ! Avec cette chaleur et après cet effort, j’avais envie de quelque chose de bien frais ! Choisis ce que tu veux, et puis nous n’aurons qu’à nous installer non loin pour profiter. Puis, se tournant vers le tenancier : Chef ! Une double vanille fraise pour moi ! » Et déjà, il se pourléchait les babines, des étoiles dans les yeux.
Pas besoin de manger, ça ne voulait pas dire qu’on ne pouvait pas apprécier !
« C’est quand même incroyable, ce pays. Tout ce qu’ils ont, ce confort, les bonnes choses. Pourquoi est ce que ses habitants sont aussi cupides ? Moi, si je pouvais, je profiterais toute ma vie de ce que j’ai à la maison, pas besoin d’aller le prendre aux autres ! »
Il y avait dans sa voix comme une pointe d’envie, mais aussi de ressentiment. Cependant, il se rendit compte que ce n’était peut être pas approprié, ou alors qu’il allait gâcher le moment en râlant. Il lança donc un sourire à la guerrière, qui se voulait rassurant mais qui était un peu gêné, signifiant si elle le comprenait qu’on pouvait tout simplement abandonner cette ligne de discussion si c’était chiant. Il attendait qu’elle ait choisi à son tour avant de payer et de s’installer.
Il avait une bonne idée en tête. Lorsqu’ils se mirent en chemin, il décida de retourner vers la place du marché, d’un côté un peu reculé. Aussi, puisqu’ils n’étaient plus aussi pressés que pendant la course, il décida de faire un peu de conversation, parce que pourquoi pas.
« Au fait… Désolé, on ne s’est pas présenté jusqu’à maintenant, alors que tu m’as bien aidé ! Je m’appelle Volric. Bien content d’avoir fait ta connaissance ! »
Après le chemin qui les mena juste en retrait de la place, il put enfin révéler là où il les emmener… Le plus fameux glacier qu’il avait pu trouver dans la ville ! Rien qui ne vaille la bonne vieille glace naturelle qu’on trouvait en Vollheim, mais ça devrait faire l’affaire.
« Hé voilà ! C’est moi qui régale. J’espère que ça te plait ! Avec cette chaleur et après cet effort, j’avais envie de quelque chose de bien frais ! Choisis ce que tu veux, et puis nous n’aurons qu’à nous installer non loin pour profiter. Puis, se tournant vers le tenancier : Chef ! Une double vanille fraise pour moi ! » Et déjà, il se pourléchait les babines, des étoiles dans les yeux.
Pas besoin de manger, ça ne voulait pas dire qu’on ne pouvait pas apprécier !
« C’est quand même incroyable, ce pays. Tout ce qu’ils ont, ce confort, les bonnes choses. Pourquoi est ce que ses habitants sont aussi cupides ? Moi, si je pouvais, je profiterais toute ma vie de ce que j’ai à la maison, pas besoin d’aller le prendre aux autres ! »
Il y avait dans sa voix comme une pointe d’envie, mais aussi de ressentiment. Cependant, il se rendit compte que ce n’était peut être pas approprié, ou alors qu’il allait gâcher le moment en râlant. Il lança donc un sourire à la guerrière, qui se voulait rassurant mais qui était un peu gêné, signifiant si elle le comprenait qu’on pouvait tout simplement abandonner cette ligne de discussion si c’était chiant. Il attendait qu’elle ait choisi à son tour avant de payer et de s’installer.
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arknights
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
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Iola
- message #1174
ils passèrent devant un petit point d'eau, où elle prit quelques secondes pour rincer son visage et ses avant-bras de la poussière soulevé par le varan pendant sa cavalcade. il l'amena devant un glacier où elle ne pu qu'acquiescer intérieurement ― Iola aimait les sucreries, à n'importe quel moment du jour ou de la nuit.
il lui arrivait, lors des forts chaleurs de l'été, de se créer elle-même des petits pots de glace pilée qu'elle recouvrait de n'importe quelle substance sucrée à laquelle elle aurait pu avoir accès. mais rien ne valait les véritables glaces ― et rien ne valait la nourriture préparée par quelqu'un d'autre que soit. Iola était loin d'être une bonne cuisinière. elle n'empoisonnait personne mais la tâche était peu intéressante de son point de vue.
elle commanda une spécialité de l'endroit, à la crème de lait de shroomoo et remercia Volric pour l'en-cas.
elle continuait de manger sa glace lentement, appréciant la douceur du goût. puis lui vint une question, qu'elle posa soudainement :
Iola porta sur Volric un regard interrogateur, dénué de toute forme d'intention, rempli de pure curiosité. après tout, on ne croisait pas souvent des aussi grands et intéressants chapeaux.
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Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
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Manichéisme :
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Volric
- message #1197
« C’est vrai. Moi non plus, je n’aime pas particulièrement cet endroit. Il soupira. Tu peux aisément voir pourquoi, après ce qu’il s’est passé avec le varan ! »
Il prit le temps de déguster un instant sa glace. Ce serait dommage qu’elle fonde ! Quoi qu’avec le pouvoir de Iola… Elle pouvait sans douter sauver leurs glaces de ce funeste destin, avec sa magie… Une application fort utile.
Il fut un peu pris par surprise par la question, à la fois naïve, directe, manquant complètement de tact, mais néanmoins, il le sentait, complètement sincère. Une réelle interrogation, absolument à côté de la plaque étant donné qu’elle avait bien vu qu’il était un draconide, au point qu’il s’était demandé un instant si elle se moquait de lui, avant de se figurer, vu sa tête, que non.
Il ne répondit pas tout de suite. Comment expliquer ça simplement, sans attirer l’attention autour de lui, et sans trop savoir ce qu’elle pensait de toute cette histoire… ?
« Disons… Que je préfère qu’on ne voie pas mes cornes. Les arvandiens n’aiment pas trop les draconides… Alors… Je cache mes cornes… » L’explication était un peu triste, même si c’était la réalité. Il ajouta tout de même, l’air pensif : « Mais je pense aussi qu’il me va bien ! » Ce disant, il l’ajusta légèrement sur sa tête, l’air concentré. Il avait en fait l’air un peu ridicule mais personne n’avait dit qu’il avait le sens de l’esthétique…
En tout état de cause, il arrivait à la fin de sa glace. Cette interlude avait été très agréable. Mais malheureusement, il avait d’autres obligations (comme s’assurer qu’il aurait un endroit où dormir ce soir). Il se leva, et pris congé :
« Hé bien Iola, je te remercie pour ton aide, et je suis content d’avoir fait ta connaissance. Je dois y aller, mais j’espère que nous nous reverrons ! Quel que soit le travail qui t’amène ici, j’espère qu’il se passera bien. Mieux que mon étal en tout cas ! »
Il prit le temps de déguster un instant sa glace. Ce serait dommage qu’elle fonde ! Quoi qu’avec le pouvoir de Iola… Elle pouvait sans douter sauver leurs glaces de ce funeste destin, avec sa magie… Une application fort utile.
Il fut un peu pris par surprise par la question, à la fois naïve, directe, manquant complètement de tact, mais néanmoins, il le sentait, complètement sincère. Une réelle interrogation, absolument à côté de la plaque étant donné qu’elle avait bien vu qu’il était un draconide, au point qu’il s’était demandé un instant si elle se moquait de lui, avant de se figurer, vu sa tête, que non.
Il ne répondit pas tout de suite. Comment expliquer ça simplement, sans attirer l’attention autour de lui, et sans trop savoir ce qu’elle pensait de toute cette histoire… ?
« Disons… Que je préfère qu’on ne voie pas mes cornes. Les arvandiens n’aiment pas trop les draconides… Alors… Je cache mes cornes… » L’explication était un peu triste, même si c’était la réalité. Il ajouta tout de même, l’air pensif : « Mais je pense aussi qu’il me va bien ! » Ce disant, il l’ajusta légèrement sur sa tête, l’air concentré. Il avait en fait l’air un peu ridicule mais personne n’avait dit qu’il avait le sens de l’esthétique…
En tout état de cause, il arrivait à la fin de sa glace. Cette interlude avait été très agréable. Mais malheureusement, il avait d’autres obligations (comme s’assurer qu’il aurait un endroit où dormir ce soir). Il se leva, et pris congé :
« Hé bien Iola, je te remercie pour ton aide, et je suis content d’avoir fait ta connaissance. Je dois y aller, mais j’espère que nous nous reverrons ! Quel que soit le travail qui t’amène ici, j’espère qu’il se passera bien. Mieux que mon étal en tout cas ! »
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Un titano-varan, ça trompe énormément (je crois) (ft Iola)