Automne du Val
I'm blind, but that doesn't mean I can't see you.
Automne du Val
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informations
Race·s
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Featuring
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Titre du joueur :
La sorcière aveugle
Âge :
250 ans
Race·s :
Fée
Particularités de la race :
Unseelie
Métier :
Herboriste
Magie·s :
Magie Noire - Mort - Nécromancie
Nom de l'oeuvre :
Le Vuong
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Clairvoyance
Manichéisme :
colère
Liges :
580
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Automne du Val
- message #10930
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Ainsi elle ère dans les ténèbres toujours avec sa besace remplie de corneilles mortes ou d'autres petits animaux, pour qu'ils remplacent ses yeux. Si elle n'a rien sous la main, elle saura quoi faire pour se trouver un nouveau pantin. Elle-même semble déjà appartenir au royaume de la non-vie, sa magie affectant grandement son état physique, si bien qu'on la prend aisément pour une ressuscitée tant son corps semble peu sain. \r\n\r\nIllusion : Elle s’en sert à loisir pour dissimuler son apparence, préférant passer pour autre chose, toujours en fonction de ses envies. Ayant honte de son corps abîmé par les épreuves, elle préfère se présenter sous un plus beau jour, sa cécité ne se perçoit pas sous ses apparences d’emprunts, si bien qu’elle passe plutôt pour quelqu’un d'étrange et de maladroit. Si la situation l’exige elle s’en servira pour effrayer les menaces, elle-même n’a jamais vu les fruits de ses pouvoirs, mais ils sont efficaces, à juger les cris si effrayés. Cela l'épuise, dépendant de combien de temps elle a besoin de les maintenir et de ce qu'elle leur fait faire."},{"name":"tailleperso","value":"180 cm"},{"name":"poidsperso","value":"55 kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"Frappée de cécité totale, ses yeux blancs fixent parfois étrangement les choses autrefois ils étaient d'un élégant vert-de-gris, mais la plupart du temps ils sont en mouvement aux aguets • Sa peau est grisâtre, pâle voir bleutée, et presque froide, signe de maladie • Ses cheveux sont d'un brun-gris étrange présentant des reflets iridescents • Valétudinaire, son souffle est court, laborieux et parler lui coûte • Son corps est rachitique, osseux, certains diront bien peu pourvu des charmes féminins • Il ne reste plus grand chose de ses ailes qu’elle dissimule dans les pans de ses tenues • Ses bras et ses jambes sont souvent abîmés à force de trébucher ou de se heurter aux obstacles • Préfère les tenues amples et sombres.\r\n"},{"name":"factsperso","value":"N'a pas toujours été aveugle • Sa non-voyance est le fruit d'une punition ou d'une mise à l'épreuve il y a de cela bien longtemps • Mentira aisément si on lui demande la cause • Jouissait visiblement d'un statut élevé vu tous ses bijoux d'or la couvrant • Sent l'humus • Peau souvent humide et froide • N'est vraiment pas drôle pour une Fée • Ne respecte pas les règles, hormis celles dictées par sa hiérarchie dont elle peine à se souvenir l'existence. • Marquée d'un profond respect pour sa Reine • Se nourrit de tout ce qu'elle trouve même ce qui est dégoûtant pour la plupart des gens. • Ne lui parlez pas de ses ailes • Goûte tous ses ingrédients quitte à se rendre malade • La magie qui anime les corps infuse leurs iris est d’un vert-de-gris sombre."},{"name":"traitcaract","value":"Autonome - Maladive - Autoritaire - Opiniâtre - Abrupte - Inaccessible - Malhonnête - Cruelle - Méfiante - Rancunière - Revancharde - Solitaire - Sournoise - Versatile."},{"name":"caractereperso","value":"On revêt une forme animale lorsqu'on est exclu de la parole des hommes. \r\nSoit parce qu'on ne vous écoute pas. \r\nSoit parce qu'on n'accorde pas à votre parole la qualité de celle être humain. \r\nTu préfères ramper que de demander de l’aide, tu méprises profondément la pitié que l’on peut ressentir à ton égard à cause de ton handicap, tu ne le perçois pas ainsi, tu ne l’as jamais perçu comme une faiblesse, bien au contraire, tu n’as jamais vu aussi bien vu depuis que l’on t’a privée de la vue, c’est l’un des rares souvenirs qu’il te reste et tu n’oubliera pas la sensation de brûlure liée au liquide que l’on t’a versé dessus. Tu sais tuer pur te nourrir, te débrouiller pour survivre, seule, quitte à te nourrir de carcasse et de racine.. Avec un parfait étranger ou même seule tu revêtiras un aspect primitif et sauvage, délaissant les bonnes manières, tu te sais vulnérable, alors tu ne laisses pas n'importe qui s'approcher et pour ça il devront affronter l'animal que tu es devenu.\r\n\r\nL’on ne peut pas dire que tu fais preuve d’un excellent caractère, à vrai dire tu es venue dans une telle détestation de ton propre corps et de sa faiblesse que ce fait transpire dans tout ce que tu accomplis, y comprit tes relations avec d’autres personnes, si bien que tu as tout le mal du monde à t’entourer et encore plus de personne t’appréciant pour ce que tu es. Même si tu préfères la solitude, tu es capable d’apprécier une présence qui correspond à tes attentes ou qui peut t’apporter quelque chose ou te rapprocher d’un but quelconque.\r\n\r\nVestige de ce que tu as pu être autrefois avant ton amnésie tu te montre contrôlante et autoritaire, sans nuance. Te dissimulant derrière un air inaccessible et glacial. Tu méprises aussi bien les vivants que les morts et encore plus la faiblesse, la vie n’a pas d’importance pour toi pas plus que la dignité ou la liberté, il n’y a donc rien d’étrange à te voir utiliser la nécromancie à croire que cette magie à été faite pour toi.\r\n\r\nPour toi la nécromancie c’est un don que tu offres, les séparant de leurs vies misérables, mais tu ne les considères pas morts pour autant, simplement ils sont différents.. La fin de la vie te touche bien peu, ils peuvent revenir, si bien que tu tues avec une facilité déconcertante. Autre chose, même si tu les remplaces au gré de tes caprices et que tu les prives de leur volonté voir même de la parole, ça ne signifie pas que tu ne t’y attaches pas. N’est-ce pas là une façon de refuser la mort ?\r\n\r\nTu choisis avec soin les informations que tu décides de partager ou d'offrir, bloquant celles qui ne te permettent pas d'obtenir quelque chose en retour ou qui pourraient te nuire. Tu parles cependant assez peu, et encore plus rarement de toi, distillant tes paroles. Jugeant de qui est digne ou non de les recevoir. Manipulant aisément tes cibles, jusqu'à parvenir à leur faire douter de leur propre perception de la réalité ou même de leurs capacités, allant jusqu'à mettre en scène certains évènements. Minimisant les sentiments et entretenant les incertitudes, attaquant sérieusement leur santé mentale. Rendant tes cibles anxieuses et dépendantes de toi pour que tu puisses valider leurs ressentis.\r\n\r\nD’une détermination sans borne, tu sais parfaitement imposer tes idées, brisant les égos sous tes talons, te moquant bien de blesser. Faisant de toi une créature franche, malgré que tu sois une manipulatrice accomplie. Néanmoins, tu es capable de te tenir correctement, face à quelqu’un qui possède quelques valeurs qui te plaisent, ça ne court pas les rues mais ce n’est pas impossible. "},{"name":"histoireperso","value":"Un grand flash blanc te tire de ton abîme enténébrée, s’imposant à toi, tu appelles qu’on te rende à l’obscurité, mais un contact doux s’empare de toi, ignorant tes suppliques éraillées et bien peu mélodieuses tendis que ton corps rachitique rue et se cabre. Et lorsque tu reviens enfin à toi, la nuit à repris ses droits, tu sens le froid et la piqûre du soleil sur ta peau. Et une toux s'empare de toi, sifflante, et le goût acre du liquide porteur de vie s'immisce dans ta bouche, un liquide salé coule de tes paupières pour rouler sur tes joues froides.\r\n\r\nTon corps se hisse sur ses frêles jambes, prenant une dizaine de minutes pour analyser ce que ses sens lui offrait, dans le souffle du vent, les bruits t’entourant, penchant la tête sur le côté tes yeux livides n'observent que le néant se trouvant devant toi, tu recules sentant un obstacle dans cette direction, tes paumes caressent la surface rugueuse inégale, tu ne parviens pas à l’effriter, c’est de la roche, trois pas en avant, une bourrasque te porte vers l’avant, tu refuses de faire un pas de plus en avant, si l’air s'engouffre tu dois être sur le rebord d’une falaise ou un autre piège du même genre.\r\n\r\nL’odeur de la mort te parvient, légère, c’est encore frais, récent, vivide. Au moins, elle n’a pas changé, cette odeur qui te parle tant. Tes doigts quittent la roche, s’enfonçant sur le sol, tu rampes quelques instants dans la neige partiellement fondue, formant davantage de la soupe boueuse qu’un épais manteau blanc, estimant le terrain trop peu sûr pour t’y aventurer debout, guidée par ton odorat qui bien que performant est troublé par toutes ces odeurs nouvelles. De longues minutes sont nécessaires pour faire les quelques mètres te séparant de ta cible. Ta main se resserre sur les plumes de l’oiseau, tu enfouis ton nez entre elles, t’en gorgeant, tu tournes le corps froid et rigide dans tous les sens, reconnaissant un corvidé, en assez bon état pour voler et t’offrir un œil nouveau sur ta situation. \r\n\r\nTu murmures quelques mots contre le corps de l’oiseau et il s’anime dans un croassement de surprise, il s’agite, se débattant, sans doute perturbé de retrouver la vie, mais sans sa chaleur. « Guide-moi. » Il bondit d’un support à l’autre, te guidant au rythme de ses cris désagréables. \r\n\r\nIl te guide un certain moment, ta main glissant sur la roche te servant comme de guide pour ne pas risquer de tomber dans le gouffre, le chemin est à peine large de trois mètres, sinueux et chaotique. Ton attention est captée par quelque chose, ton regard cherche instinctivement la cause, tu n’es pas seule sur ce petit chemin, et l’agitation de ta créature t’assure que tes sens ne te trompent pas. Il y a quelque chose sur ton chemin, c’est gros menaçant, et ce n’est pas seul, vu que tu perçois une voix dont tu ne comprends pas les mots, ça n’a aucune importance. Tu matérialises quelque chose de terrifiant tirée de ton imagination et l’animal comme son cavalier hurlent, s’agitent et leurs cris sont si francs qu’ils te sont presque visibles dans ton obscurité. Ils se heurtent une fois, puis deux à la paroie rocheuse. Ton cœur n’osant pas un battement plus haut que l’autre, réglé comme un parfait métronome, ce n’était pas un geste de défense de ta part, bien au contraire, c’était pire.\r\n\r\nMais le chemin est dangereux et sinueux, alors la chute est inévitable dans la panique et c’est précisément ce qu’il advient du duo, tu entends une longue chute suivit d’un bruit ignoble. \r\n\r\nTa main se tend devant toi, l’oiseau venant se poser naturellement dessus. « Montres-moi un chemin pour descendre et allons voir ce que la Providence nous a offert. » Tu sens que la tâche ne sera pas aisée, mais cela t’importe peu.\r\n\r\nAbrupte, cela pourrait bien décrire ta descente, tes pas peu assurés te guide au pied de la falaise, ici nul risque de se briser la nuque. Tu entends les cris agonisant de la créature, mais ce n’est pas elle qui t'intéresse mais son cavalier, tu te rues dessus dans intérêt malsain.\r\n\r\nTes mains griffues avides d’informations parcourent le corps sans retenue ni pudeur, tu veux comprendre, découvrir, savoir si cela te sera utile ou non. Tirant, arrachant sans scrupule. Tes ongles se blessent sur ce que tu devines être des écailles, ta chair s’abime sur des crocs. Collant ton oreille sur la poitrine de ta cible, t’assurant qu’il n’y a plus de vie dans ce corps, la chute semble avoir suffit à ôter la vie de cet étrange véhicule. C’est reptilien mais humanoïde. Utile donc. Inconnu à ta mémoire, tout comme ces montagnes. « Debout. » Un coup de pied dans le corps brisé de ta victime, tandis que tu ressens les volutes de ta magie nécromantique s’emparer du corps sans vie et désarticulé de la créature. Un éclair vert-de-gris perce tes ténèbres visible par toi seule, indiquant ton succès. Briser son esprit pour le soumettre prend en revanche un certain temps, quelque peu déconcentrée par les hurlements de la bête qui souffrait. Une fois la volonté terrassée et son corps ramené à son état d’origine - hormis sa gorge écrasée - puisque c’est ta volonté.\r\n\r\nTu comptes te présenter à ton pantin, glissant tes mains sur ton visage, humant le mélange d’odeur. Cela t’évoque une saison, oui c’est ça. « Je suis Automne, ancienne.. Peu importe. Tu me serviras jusqu'à ce que je décide du contraire. Achève la bête, nous aurons besoin de sa viande. » Ta voix tressaute une fois encore, ta phrase s’achevant dans un râle. Présentations faites, tu as une canne à présent pour te guider dans cet endroit inconnu, bien qu’il ne soit pas en mesure de s’exprimer autrement que par gargouillis inaudibles.\r\n\r\nIl se pourrait bien que quelques rumeurs se répandent avec sa disparition, mais cela t’importe peu, maintenant il fallait rejoindre la cour.\r\n"},{"name":"pseudoJoueur","value":"Asphodèle des Terres Sauvages"},{"name":"pronomsJoueur","value":"Iel"},{"name":"TrucADire","value":"Vous verrez."}
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- message #11009
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Une dame bien particulière et intriguante et une unseelie qui sort de ce qu'on pourrait voir, j'ai hâte de voir ça justement
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