{"name":"GroupPerso","value":"alMalaq"},{"name":"ChampTitre","value":"Khalidar, le Fils du Fauve"},{"name":"prenomPerso","value":"Khalidar"},{"name":"nomPerso","value":"Mansur "},{"name":"titreperso","value":"Fils du Fauve"},{"name":"originefeat","value":"Conan le Barbant de Robert E Howward"},{"name":"nomfeat","value":"Conan"},{"name":"iconfiche","value":"https://i.postimg.cc/DfcLs8RM/ghh.jpg"},{"name":"racePerso","value":"Humain"},{"name":"ageperso","value":"36 ans"},{"name":"metierPerso","value":"Mercenaire, Assassin, Tueur à gages, Homme de main, Garde du corps... tout est bon pour se faire de l'argent."},{"name":"LieuNaissance","value":"Al'Malaq"},{"name":"genreperso","value":"Masculin"},{"name":"pronomsperso","value":"Il"},{"name":"orientationperso","value":"Bisexuel"},{"name":"manicheismeperso","value":"Envie"},{"name":"magieperso","value":"Magie Curative"},{"name":"aptitudeperso","value":"Accumulateur"},{"name":"habilitesperso","value":"Magie Curative : La magie de Khalidar s'est manifestée à la mort de ses parents, lorsque Galish, le prit sous son aile. Il s'agit d'une forme de magie curative bien particulière, avec ses qualités et ses défauts. \r\nLa magie de Khalidar est passive, et s'active d'elle-même, sur l'entièreté de son corps lorsqu'il est blessé. Elle permet de guérir les blessures superficielles assez rapidement, ce qui peut être très utile en combat. En revanche, pour refermer les blessures les plus profondes, les plus graves, cela nécessite beaucoup plus de temps. En somme plus la blessure est grave, plus elle tardera à guérir. Autre point fort de cette magie, c'est qu'elle est toujours active même lorsque Khalidar est inconscient. Il est également possible d'accélérer le processus d'auto-guérison en entrant dans un état méditatif très profond.\r\nNéanmoins, ce fameux état méditatif est impossible à atteindre en plein combat. Il faut du calme et une grande concentration. Khalidar ne peut pas non plus auto-guérir de maladies. Lorsque son pouvoir s'active, il n'en reste pas moins soumis à la douleur. Il est également impossible à Khalidar de soigner d'autres personnes. De même que cette magie ne le protège guère contre les coups mortels, ou les frappes contendantes susceptibles de l'assommer. Elle ne fait pas non plus repousser les membres amputés.\r\n\r\nAccumulateur : Khalidar a hérité de son père adoptif d'un artefact bien particulier : un glaive dit maudit. Ce dernier porte le nom de \"Martyr\", et est fabriqué à partir de divers métaux, et surtout d'os humains. De petits crânes d'animaux ornent sa garde et son pommeau. Mais ce qui en fait un artefact rare, c'est que sa lame a été trempée dans de l'Enduit Noir. \r\n\r\nCombat : En tant que mercenaire, Khalidar possède de aptitudes martiales plutôt honorables. Il combat principalement avec son glaive à lame d'Enduit Noir \" Martyr \", ainsi que son arc pour les affrontements à distance."},{"name":"tailleperso","value":"1m76"},{"name":"poidsperso","value":"90 kilos"},{"name":"signesDistinctifs","value":"Khalidar n’impressionne pas par sa taille, mais par sa musculature remarquable. C’est un homme aussi trapu que costaud.\r\nSa peau est légèrement cuivrée à cause du soleil. \r\nIl n’y a aucune cicatrice sur son corps, preuve de son habileté au combat. Il en est très fier.\r\nSes longs cheveux noirs soyeux sont semblables à une crinière.\r\nKhalidar aime porter des bijoux qu’il fabrique lui-même, ou qu’il achète à des petits artisans (il s’agit de parures en bois, en os ou en pierres de toutes sortes)\r\nLe climat chaud d’Al’Malaq permet à Khalidar de se promener quasiment torse-nu. Il éprouve une certaine vanité à exposer sa virilité aux yeux de tous. Mais il sait également se faire plus discret en portant un ample manteau de soie.\r\nEn tant que mercenaire, il trimbale toujours avec lui son arc ainsi que son glaive maudit. "},{"name":"factsperso","value":"- Khalidar est un bon vivant. Il apprécie les alcools, les femmes, et est grand amateur de narguilé. \r\n- Khalidar est un coquet. Il aime les bijoux traditionnels en bois, os ou pierre. Il voue une obsession pour les baumes parfumés et les huiles pour le corps.\r\n- Le manteau de soie qu'il porte est son seul signe de richesse. Il a autrefois appartenu à l'Homme-Bête qui l'a élevé.\r\n- La lame de son glaive maudit mesure 50 cm. \r\n- Son objectif est de collectionner des artefacts aussi anciens que rarissimes, et de devenir quelqu'un de puissant et influent. \r\n"},{"name":"traitcaract","value":"Coquet - Courageux - Généreux envers les pauvres - Jaloux et cruel envers les riches - Fier - Tolérant envers les autres races - Epicurien - Immoral"},{"name":"caractereperso","value":"Khalidar est un aventurier par nature, avec toutes les qualités et les défauts inhérents à ce mode de vie. Il est incapable de se sédentariser, c’est un voyageur accompli, curieux, mais parfois méprisant avec le commun des mortels, sauf lorsqu’il s’agit des plus misérables de la société. Il est très tolérant avec toutes les races, ayant été élevé lui-même par un Homme-bête. Cette éducation dans le désert transparait au travers des mœurs parfois étranges de Khalidar, comme le fait qu’il préfèrera toujours dormir à la belle étoile, tant que le froid et la pluie ne sont pas au rendez-vous. \r\n\r\nC’est également un homme fasciné par les parfums et les senteurs des huiles et des baumes, n’hésitant pas à s’en acheter afin de se les appliquer sur lui-même. Même s’il peut paraître rustre, c’est un coquet qui prend le temps de se raser, de s’épiler, de s’enduire de toutes sortes de produits aux effluves exotiques, et même de se parer de bijoux traditionnels du désert. Khalidar aime plaire afin de pouvoir se lier plus facilement à des étrangers ou de manière générale à tous ses interlocuteurs. \r\n\r\nL’ambition de Khalidar se manifeste par sa boulimie d’aventures, toujours à courir après les contrats et les propositions de travail les plus juteuses. Devenir quelqu’un d’influent et d’important, reprendre sa revanche sur sa vie, fait partie de ses aspirations, de même qu’il a à coeur de dénicher les artefacts les plus rares de ce monde, afin de les collecter. \r\n\r\nLe Fils du Fauve, qui a grandi dans le désert, n’a que faire de la moralité. Quand il s’agit d’argent, il n’y a rien qui puisse l’empêcher de commettre des atrocités qui le rongeront tôt ou tard dans son sommeil. Il suspecte son glaive maudit, Martyr, d’avoir une influence mauvaise sur lui, mais peu importe. Et plus encore, il déteste les aristocrates, ou les riches de manière générale, jalousant leurs possessions et exécrant leur mode de vie, qu’il estime bien trop paresseux. "},{"name":"histoireperso","value":"Être un mercenaire n’est qu’un résultat. Le résultat d’une vie chaotique et d’errance. Oh, la chose n’est pas péjorative, bien au contraire. Se prélasser comme un nabab bien établi, très peu pour moi. Quoique je ne me considère pas réellement comme un mercenaire. Le terme englobe un ensemble d’activités plus ou moins louables, à mon sens. Combattre au service d’un seigneur de guerre, oui ça passe. Service d’escorte à des caravaniers du désert ? Admirable. Jouer les chasseurs de primes ? Me voilà saint homme. Briser les phalanges d’un pauvre bougre endetté après une folle soirée aux jeux ? Là, ça devient plus délicat. Et encore, je ne parle pas des assassinats commandités par des marchands jaloux, ou des expéditions punitives lancées par des courtisans pour une dame convoitée. Ni des extorsions musclées. Voilà ce que j’appelle le mercenariat. L’appât du gain, primitif, immoral. Et tout ceci, c’est le cheminement d’une drôle de vie.\r\n\r\nIl n’y a pas plus beau qu’Evren, en vérité. Un joyau sur cette terre sèche et sablonneuse. L’enfance que j’avais était semblable à celle d’un charmant bambin, bercé par des parents aimants et heureux. Des marchands d’épices qui ne manquaient de rien. Bien que cette première vie, n’en est plus qu’un souvenir estompé. Lorsqu’à mes sept ans, ils entreprirent sur un coup de génie magistral, de traverser le désert pour le travail, ils m’entraînèrent avec eux dans leur lubie. Une lubie qui se solda peur leur disparition après une tempête d’une violence inouïe. J’étais resté sur le carreau, je faillis perdre la vie, enseveli sous des tonnes de sable. Et à ma grande surprise, mon réveil se fit au coeur d’une oasis luxuriante. \r\n\r\nLe garçonnet que j’étais ne mit pas longtemps avant de hurler de terreur en voyant le visage de mon sauveur. Il s’appelait Galish. Et c’était un Beathach. Une espèce de lion monstrueux, à la tête disproportionnée, au corps incroyablement massif, enroulé d’étoffes splendides, de parures faites main, et armé d’un sabre immense. Il était juste à côté de moi, assis en face du point d’eau, à contempler la cascade qui s’écoulait. Moi, j’étais terrorisé. C’était la première fois que je voyais une bestiole pareille. Et pour tout dire, je croyais qu’il allait me bouffer. J’étais parti me planquer dans une caverne, à quelques dizaines de mètres de lui. Bien des années après, Galish me raconta que je restai muet et cloîtré dans ma caverne pendant près d’une semaine. Il gagna ma confiance difficilement, à coups de pitreries, de partage de nourriture et beaucoup de patience. Au bout de quelques mois, c’était moi qui avais adopté ce sympathique mastodonte, dont la taille dépassait les deux mètres. \r\n\r\nC’est aussi à cette période que mes dons magiques se manifestèrent. Visiblement, c’étaient ces derniers qui m’avaient permis de survivre à la fameuse tempête. Rapidement je compris également que mes parents véritables avaient péri de manière soudaine lors de la catastrophe. En résulta quelques nuits blanches secouées de sanglot. Mais Galish resta à mes côtés. Il prit malgré lui le relais, faisant de moi son protégé et son fils de coeur, et non de sang. L’Homme-bête vivait le plus clair de son temps dans cette oasis, qu’il avait fait sienne et dont il était devenu le gardien. Il entretenait de bonnes relations avec les éleveurs, les nomades et les chasseurs qui arpentaient le désert. Il m’apprit à perfectionner ma magie, mais aussi à survivre dans le désert et dans d’autres milieux hostiles. De petit gamin pourri gâté, j’étais devenu un garnement effronté plus à l’aise à dormir à la belle étoile que dans un lit douillet. \r\n\r\nMais Galish était plus complexe qu’il n’y paraissait. Et c’est en grandissant que je le compris. Une fois venue l’adolescence, le vieux lion m’apprit l’art du combat, de la furtivité, le tir à l’arc, l’escrime… J’étais, à son image, devenu un jeune guerrier qui n’avait pas froid aux yeux. Puis, nous nous mîmes à multiplier les allers-retour à la capitale. Retrouver ma ville natale me réchauffa le coeur plus d’une fois, mais ce n’était pas pour mon propre bien-être que Galish s’imposait ces déplacements. La moitié de l’année, il cherchait n’importe quel type de boulot. Protection, mercenariat, assassinat… et autres. Il m’entraînait avec lui dans ses escapades, pouvant ainsi m’utiliser à sa guise comme instrument de combat. Il était plus facile pour un gamin de quinze ans de se faufiler dans une maison pour un cambriolage, que pour un homme-lion de deux mètres de haut, vous imaginez. C’est comme cela qu’il me forgea. \r\n\r\nUn sobriquet revenait sans cesse, pour ceux qui me connaissaient : le Fils du Fauve. Flatteur et évocateur. Galish aimait ça. Lorsque je soufflai mes vingt bougies, mon père adoptif estima que nous étions fin prêt. Fin prêt pour quoi ? Je ne tardai pas à le savoir. Un périple de deux semaines dans le désert, éreintant mais magnifique, nous mena à un pic solitaire, qui se dressait au creux d’un vallon. Un lieu terrible. Et malheureusement pour nous, c’était la première Lune de Sang de ce nouveau cycle. \r\n\r\nTout le monde évite le désert pendant cette période, mais Galish n’en avait cure. Il fallait y aller. Coûte que coûte. Il était impossible de le raisonner lorsqu’il avait une idée en tête. Le Pic des Morts, comme on l’appelait, était une formation rocheuse en forme de pointe, et doté à sa base, d’une entrée. Galish connaissait ce lieu, il avait déjà tenté de pénétrer l’endroit par le passé, mais l’expédition s’était soldée par la mort de toute sa compagnie. L’endroit était une vieille tombe, disait-on. La tombe d’un guerrier inconnu, que l’Histoire avait oublié. Mais ce n’était pas le guerrier qui l’intéressait. Mais plutôt le contenu de sa tombe : une épée, selon la légende, maudite. Une vieille histoire qui circulait de nomade en nomade. Mais c’était une carte antique qui avait mené Galish et sa troupe juste ici, vingt années auparavant.\r\n\r\n« Si nous mettons la main dessus, l’épée sera pour toi », avait-il promis.\r\n\r\nL’exploration du Pic des Morts dura quelques heures. Il n’y avait rien, à part un dédale minéral, et quelques objets qui témoignaient d’un passé très lointain. Seule la tombe du guerrier, au centre, éveillait l’intérêt de Galish. Nous profanâmes les lieux, vidant tout le contenu de l’ultime demeure du guerrier, dont il ne restait qu’un vulgaire squelette en armure. Et nous la trouvâmes. La fameuse épée. Une épée qui se révéla être un glaive, avec une lame plus courte, d’environ 50 cm. Rangée dans son fourreau de cuir, l’arme d’apparence primitive était exclusivement constituée d’os, et décorée de crânes. En la libérant, Galish l’inspecta, remarqua son éclat sombre, et l’aura nauséabonde qui s’en dégageait. « De l’Enduit Noir », avait-il prononcé à demi-mot. Une arme interdite. Il la contempla, l’air satisfait et me la tendit. Je l’empoignai, sans me douter que j’allais tisser un lien unique avec ce glaive. Et la mort nous tomba dessus. \r\n\r\nUn dudadamia surgit de l’extérieur. Cette horreur sur pattes, serpentine, aux yeux innombrables nous toisa tous les deux. Lequel allait-elle dévorer en premier ? Je crus qu’il s’agissait-là de notre ultime combat. Mais c’était sans compter le courage suicidaire de mon mentor. Sans attendre Galish s’élança en premier contre le monstre, m’ordonnant de fuir immédiatement. Il brandit sa lance et perça la peau du monstre une première fois, puis une deuxième, dans une rage incontrôlée. Le dududamia recula de quelques enjambées avant de charger de nouveau. Le Beathach pointa son adversaire de l’index, d’où surgit un tourbillon de vent qui l’emporta hors de la structure. Nous en profitâmes pour nous enfuir, et ce fut finalement une nuit de combat et de poursuite dans le désert qui nous épuisèrent. Galish était un fin magicien de vent, mais ses sortilèges, lancés à répétition, le fatiguèrent grandement. Le dududamia nous abandonna après ses nombreuses blessures, et à mon plus grand malheur, l’esprit de mon père adoptif également. Le vieux fauve avait rendu l’âme, épuisé après un tel combat. \r\n\r\nLe chagrin me rongea une année durant, où j’écumai les tavernes d’Evren à boire et semer la pagaille dans de nombreux établissements. Et ce fut le vol du glaive maudit, qui me remit en selle. Lorsque je le récupérai de la main des pauvres voleurs qui me l’avaient subtilisé, je réalisai qu’il s’agissait du plus bel héritage de Galish. C’était l’artefact dont il rêvait en secret depuis vingt années, qui lui avaient coûté toute sa troupe à l’époque, et qui lui avait coûté la vie. Le glaive ne déméritait pas sa sinistre réputation. Je la nommai alors « Martyr », et cela marqua un renouveau. J’empruntai la même voie que mon défunt père. Mercenaire solitaire, je rôdai maintenant du côté du désert, un hors-la-loi poursuivant les hors-la-loi, un chasseur de prime, un Renégat ...\r\n"},{"name":"pseudoJoueur","value":"radj"},{"name":"pronomsJoueur","value":"il"},{"name":"TrucADire","value":"/"}