{"name":"GroupPerso","value":"vollheim"},{"name":"ChampTitre","value":"Delusions unfurled, lost in the waking world"},{"name":"prenomPerso","value":"Varech"},{"name":"nomPerso","value":""},{"name":"titreperso","value":"Forgefeu"},{"name":"originefeat","value":"Alchemy Stars"},{"name":"nomfeat","value":"Istvan"},{"name":"iconfiche","value":"https://zupimages.net/up/23/20/2yph.png"},{"name":"racePerso","value":"Draconide Styrke"},{"name":"ageperso","value":"328 ans"},{"name":"metierPerso","value":"Forgeron (Chef de la guilde de la forge)"},{"name":"LieuNaissance","value":"Handrist"},{"name":"genreperso","value":"M"},{"name":"pronomsperso","value":"Il/Lui"},{"name":"orientationperso","value":"Pansexuel"},{"name":"manicheismeperso","value":"Patience"},{"name":"magieperso","value":"Chaleur"},{"name":"aptitudeperso","value":"Maitre de la forge + Cracher du feu"},{"name":"habilitesperso","value":"(chaleur) Après combien d'années la chaleur insoutenable du volcan lui a semblé disparaître ? Varech ne saurait réellement dire quand il s’est éveillé à sa propre chaleur car on apprend à ses confrères à vivre dans un tel endroit, à ne plus sentir le vent glacial s’engouffrant entre les colonnes d’Eldur.\r\nCes derniers jours, les apprentis de la guilde s'arrêtent quelquefois à son enclume pour le voir lier la magie au fer, comme s’il était doué. Est-ce vraiment le cas ? Varech a pris l’habitude : le sort séduit car il est forgé d’habitude, de répétition, de plusieurs années brûlées à chaque fois qu’une lame naît. Varech utilise la chaleur pour que les métaux soient malléables, pour que son feu soit dompté. Varech utilise sa chaleur lorsqu’il doit descendre les grands escaliers en roches volcaniques, lorsque son souffle s’échappe de ses narines en nuée de glace. Sa magie a l'expérience de ses années, de ses mains calleuses.\r\nVarech n’utilise son don que pour ses forges, ses armes. Et c’est dans cela qu’il excelle.\r\n\r\n(maitre de la forge + cracher du feu) Il a appris de ses pairs comme laisser passer le feu en dessous de sa langue. Il a appris de ses maîtres comment utiliser chaque matériau et comment frapper le métal. Il a appris à forger le feu. S’il est à présent chef de guilde, Varech ne possède cependant pas la plus belle flamme des forges. Les gerbes de feu passant sous ses crocs sont brutes, nécessaires pour commencer un travail, nécessaires pour travailler au service d’une guerre sans qu’aucun magicien puisse y voir la beauté. A l’inverse, Varech possède la splendeur des anciens maîtres qu’il s’efforce de partager au fond du volcan d’Eldur."},{"name":"tailleperso","value":"2m47"},{"name":"poidsperso","value":"140kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"& Possède une cicatrice au visage. Elle blanchie avec les années. Il en possède des similaires sur son torse et sur ses bras.\r\n& Le bout de ses cornes est entremêlé d’or.\r\n& Ses écailles sont seulement visibles sur son dos et s’étendent sur ses dentelés.\r\n& Il marche avec une cane\r\n& Il porte des bijoux forgés dans le volcan d’Eldur ou offert par ses proches\r\n& Il est tatoué au bras gauche"},{"name":"factsperso","value":"Avec le temps, Varech a pris l’habitude de marcher avec une canne, il s’agit là d’un simple geste anodin même si les rumeurs vont qu’il ne serait plus apte à se déplacer sans.\r\n\r\nVarech n’est pas secrètement fasciné de magie : pas celle des grands magiciens, pas celles qui permettent de faire fondre la neige éternelle mais celles qui s'engouffrent dans les lames, celles qui permettent de bénir chaque artefacts portés par les plus grands. \r\n\r\nVarech a pour rituel de s’attacher les cheveux devant les escaliers de la grande forge. On peut facilement connaître ses humeurs à la façon dont ceux-ci sont liés.\r\n\r\nIl a longtemps été complexé par le fait de ne pas réellement avoir d’écailles.\r\n\r\nVarech est connue comme maîtrisant la forge des lames fines et son affect pour la confection des bijoux et autres ornements. Il est cependant plus que apte à réaliser toutes autres œuvres.\r\n\r\nIl aime dessiner de son temps libre même s'il est difficile de le voir ébaucher autre chose que des visuels d'armes.\r\n\r\nVarech aime se documenter et apprendre. Il est un fin et rapide lecteur."},{"name":"traitcaract","value":"assidu & pince-sans-rire & désabusé & perfectionniste & curieux & têtu & patient & méticuleux & rigide "},{"name":"caractereperso","value":"Varech a appris à se plier avec les années, à laisser ses os se tordent pour que ses rêves y survivent. Ils sont cependant enfouis bien loin en dessous de sa graisse. Varech n’a jamais connu l’âge d’or. Varech est né pour voir ses illusions soufflées d’un revers de main par le destin. Varech aspire à la paix. Alors pourquoi forge-t-il une guerre ?\r\nVarech est épris de la lumière de l’incandescence, des pierres à tailler et des gens portant ses créations. Qui a-t-il de plus terrible de voir les lames se briser, les porteurs s’effriter d’une démence certaine ? Oui, Varech aspire à la paix et s’il n’a aucun esprit combatif - le cœur trop lourd -, il affûte ses plans à sa manière.\r\n\r\nSon enseignement l'a vu devenir un styrke assidu : la forge est son repaire. Et combien d'années faudrait-il pour atteindre l’intérieur même du volcan ? Varech attend qu’un jour on ne le considère plus utile, Varech attend qu’un jour, ses mains ne puissent plus façonner son dernier ornement, une pierre à dresser sur la couronne d’un souverain mettant fin à ses années. Encore combien de temps ? \r\n\r\nEt si on pourrait l’imaginer froid, distant, il n’en est rien : Varech apprécie la compagnie. Varech apprécie observer, voir défiler les forgerons à Eldur, parler des pierres, parler du bronze et du fer qu’on chauffe à blanc. Il est cependant rare de l’entendre rire à gorge déployée, l’humour ne s’accompagne d’aucun sourire, d’aucune vérification. Il existe cependant, le sourire se permet d'étendre ses babines lorsqu’on félicite le portée d’un espieu, la légèreté d’une rapière.\r\n\r\nVarech est droit, élevé dans les coutumes d’un royaume qu’il ne peut que respecter. Varech ne connaît la révolte et obéir aux plans qui lui semble juste est la meilleure option. Le mépris ne vient qu’après de nombreuses années ou un sang gaspillé. Aussi la rancœur de son peuple n’est pas encore sienne bien qu’il cultive au creux de son âme les débuts d’un conflit. \r\nVarech ne partage pas ce qui se trame à l’intérieur. Varech n’en est cependant pas moins facile à lire. Il est cependant rare que quiconque lui ai changé une de ses propres réflexions : il y faudrait plus de patience que le styrke possède.\r\n"},{"name":"histoireperso","value":"Varech est né avant que l’Arbre Millénaire ne meurt. Il n’en a aucun souvenir. Se souvient-il réellement d’un temps où la paix existait ? Trois cent ans après, le sang est encore versé. Trois cent ans après et on déchire encore la chair dans un acte de dernier supplice, ultime colère. \r\nLors de ses deux ans, l’air de Volheim se fit plus sévère et il dû y perdre son père. Il part en guerre, défendre un royaume comme on défend son honneur, écrire une histoire de fer et de sang comme si cela pouvait avoir une quelconque importance. Et même s’il n’en dit mot, Varech grandit avec cette ombre comme s’il devait mourir avec une dignité qui n’était pas la sienne.\r\nSans doute, enfant, y avait-il lui aussi songé : venger ceux tombé pour des hommes emplit de cupidité. Cependant, Varech grandit bien plus faible que sa stature. Sa mère le présenta à Olgarr lorsqu’il fut en âge et elle fut son premier amour.\r\n\r\nLa beauté du monde était contenue dans un volcan à jamais à vif. La beauté du monde miroitait dans les armes portées à la ceintures des grandes figures, dans celles qui s’étaient plantées dans le sol de Muspelheim depuis des décennies, depuis bien avant la naissance de ses propres parents.\r\n\r\nC’est donc au cœur des forges qu’il grandit : son monde régi par la chaleur d’Eldur et de ses propres camarades. Il fut placé sous la tutelle d’un maître comme tout bon apprenti et il apprit ce qu’avait appris avant lui bien d’autres générations. Il forgea sa première lame en l’honneur de son père comme s’il y croyait encore. Il forgea ses premières armes en l’honneur d’une guerre qui commençait déjà à meurtrir son cœur. Combien attrapèrent la mort aux côtés d’un bout de lui ? Combien pour que ses efforts soient vains ?\r\nS’il apprit sa magie, ce fut aussi grâce aux siens. S’il en fut fasciné ce fut seulement pour ceux rentrant au pays, alimentant les étagères des bibliothèques en pierre taillée.\r\n\r\nC’est lorsqu’il eut consommé une centaines de lunes passées que la carcasse qu’était son père revint à Handrist. Comment aurait-il pu reconnaître quelqu’un qu’il n’avait jamais connu ? Comment avait-il fini par étouffer son dégoût naissant sinon autre part que dans le feu, les alliages nouant jusqu’à la dernière de ses pensées. \r\nLa bile fut crachée, les paroles remplies de colère tonnerre dans le foyer réunis après tant d'années. Il ne restait plus rien du vieux draconide sinon la foudre qui aurait dû être laissée là où il c’était perdu. Il ne restait plus rien sinon le miroir de la cruauté de leur époque. Qui avait commencé l’affront ? Varech ne pouvait imaginer le début d’un tel conflit, concevoir qu’on ne puisse aimer alors qu’il s’efforçait de relever encore son père perdant sa dépendance. \r\n\r\nEt après de nombreuses cicatrices face à l’enclume, il lui forgea sa dernière arme : une simple canne de marche pour le voir franchir les escaliers de la guilde une dernière fois. Elle ne fut jamais utilisée par celui pour lequel elle avait été conçue. \r\n\r\nVarech mit les pieds au centre de la tempête avant de devenir maître. Varech vit la colère de près comme pour le prévenir des vices de son peuple. Son père mourut comme un inconnu de plus succombant à l’appel du sang. Qui avait-il de si horrible à finir sa vie dans les bras de son aimée ? Varech ne sut jamais réellement ce qui fit tomber son père et sa droiture l’empêche sans doute encore maintenant de voir comment quiconque s’autorise à mourir d’une telle cruauté. \r\nOù était alors l’honneur d’une famille emportée d’une telle manière ?\r\n\r\nA la mort de son deuxième père, Varech se fut offrir sa place. C’est aussi tout naturellement qu’il prit le titre de chef de la guilde de la forge, sans plus personne pour lui l’en féliciter. Et alors peut être, aurait-il pu être une main de velours pour tout ceux s’abritant du champ de bataille comme l’on s’abrite de la pluie : aux alentours pour l’entendre tomber, encore ici pour regarder s’écraser non loin la foudre, à compter en attendant le tonnerre. Varech s’était déjà juré d’aimer la patience plus que la colère, de ne jamais tomber.\r\n\r\nL’an 0 fut sonné, comme un recommencement. Pour qui ? Pouvait-on se permettre d'espérer pour un peu d’ombre au pied d’un arbre même aussi grand que l’Arbre Millénaire ?\r\nIl était trop tard pour que Varech puisse rêver voir la paix de ses propres yeux. Il était trop tard pour simplement se bercer d’illusion quand l’alliance eut lieu, quand tout vola en éclat, encore. Il était déjà habitué à la guerre comme tous l'étaient depuis trop longtemps, les accalmies ne durant que pour espérer ne pas se vider de son sang.\r\nAlors, il y a encore beaucoup d’années pour regarder le monde ne pas changer. Il y a encore beaucoup d’années pour poser les yeux sur un monde qui ne bouge pas même après que tant de colère soit déversée."},{"name":"pseudoJoueur","value":"Memo"},{"name":"pronomsJoueur","value":"Ce qui vous chante"},{"name":"TrucADire","value":"Mon dieu l'image des Styrkes qui se replie pile poil bien dans le guidebook la satisfaisance hmmmmmm"}