Il fait trop chaud. Benhart maudit encore la situation.
Pas de chevalier entraînés disponibles, un groupe d’espion d’Al-malaq… Et lui uniquement pour les arrêter. Oh, ça n’a pas été difficile tant ils étaient sur l'île. En quelques heures, les uns après les autres… Mais celui qui s’est échappé a pu reprendre le bateau. Un grand; la taille n’était pas le problème. Le fait qu’il ai passé le voyage a vomit, en revanche… La neige n’est pas faite pour rester sur la mer.

Le temps de se rétablir, et le messager avait repris sa route avec une petite caravane.

Et maintenant, voilà plusieurs jours qu’il voyage dans le désert. Sa monture a rendu l'âme ; trop peu d’eau, et il n’est pas totalement certain de leur trajectoire… Pour le moment, il attend à l'ombre d’un petit canyon, passage fréquent des voyageurs, mais sans certitude de les y voir passer… Ni même de pouvoir les attendre à la capitale. Ses gourdes sont vides, son sac de provision a sacrément diminué, le moindre pas de le sable draine sa force, et son corps est au plus petit qu’il puisse l’être, à peine plus grand qu’un adolescent.

Sans l'oiseau, il n'aurais pas fait long feu dans le désert. il a toujours eut de la chance. L'oiseau l'a trouvé, l'a guidé jusqu'au camps de voyageur, et maintenant, Ben s'y repose, allongé sur un tapis a l'ombre.
Il y avait un peau d'eau, mais il à déja vidé le peu de reserve que contenait le camps...
“Merde..”
L’élémentaire se redresse sur son séant. Il lui faut un Oasis. Plus d’eau… Mais il n’y a rien ici. Le sable salé lui colle à la peau, les roches sont brulantes même a l'ombre, et il doit faire un effort surrhumain pour garder son corps a une température avoisinant les vingts degrés... Bien trop pour lui, sur une si longue periode.
L'oiseau revient après avoir fait un tours en éclaireur.
Benhart reste circonspect un instant, observant le plumage de l’oiseau.
Finalement, il lui tend un bras fatigué, mais ferme.

“Salut toi !”

Dit-il en observant le rapace de plus près.

“Tu m'a porté chance jusqu’à présent, j'ai bien fait de te suivre. T'a trouver quelque chose?... Cet endroit, c'est pas grand chose, mais ça me permettra de tenir jusqu'a ce qu'une caravane passe ici, ils auront bien d'l'eau pour moi..”
Ce faisant, il approche prudemment son indexe du bec de l’oiseau, et tente de le caresser sous le cou.
“c’est dans ces moments que j’aimerais parler aux animaux… Je peut faire quoi pour te remercier? Tu veux à manger? Il y a peut être de la viande quelque pars... Euh… Piou piou? Piou?”

Ben est gentil, mais Ben n'est pas très malin. Lorsque l'oiseau se lève de son bras, et se transforme en une élégante jeune femme, a la peau ébènes, et aux ailes d'or, l'élémentaire saute sur ses deux pied comme s'il avait été frappé par la foudre.
Il frotte ses yeux, il regarde bien... Mais non. L'oiseau qui parle est une femme.. Non la femme est un oiseau qui... Non, l'oiseau est une femme qui parle.. Ou ..
"MAIS TU PARLE !"
Oui, ça au moins, il en est certain.
L'élémentaire se rasseoit, se passe une main sur le visage, puis pousse un soupir... Et ricane. Puis soudainement il éclate d'un rire doux, cristallin, que l’écho du canyon refuse de lui retourner. Sa voix semble s'arrêter sur les premières surfaces qu'elle rencontre. Malgré tout, il ris.

"Bon sang et moi j'essayais de piou piouté comme un idiot !"

Il continue de rire ainsi quelques instants, avant qu'une vague de chaleur ne vienne le faire revenir a la raison. Il reste souriant, se redresse, mais il ne tien pas bien droit, et sa peau semble presque fondre a vue d’œil.

"Ahh.. Merci. Je vais les voir. Tu m'accompagne? T'a pas l'air d'avoir d'eau sur toi, toi non plus. Au fait, merci pour l'coup de main ! J'm'appelle Ben !"

a la question, il se contente de hausser les épaules.
"C'est des messagers; donc c'est urgent. J'ai pas le temps de les attendre, autant porter la nouvelle moi même sinon !"
Et il s'étire un bon coup, avant de se remettre en route.
"Par la c'est ça?"

l'élémentaire hoche la tête, pensif.
Il ne s'attendait pas vraiment a voir son oiseau se transformer. Non pas qu'il s'en plaigne cependant.
Maintenant, il la dévisage avec un grand sourire. Certes, les questions habituelles lui trottent dans la tête.
sa force, ce qu'elle sait, si elle devra mourir ou non... Ces choses la. Mais tout cela viendra un moment ou a un autre. Il met simplement les questions de coté.

La jeune femme lui fait également pars de ses tarifs. Benhart n'a pas vraiment "commander" quoi que ce soit...
Mais ce n'est pas comme s'il en avait grand chose a faire. Il sort sa bourse -plutôt légère-, accroupis, et la vide.
sur le sable s’étalent deux clou, dont un brillants, quelques roches, parfois aux formes amusantes, parfois banales, quelques liges de cuivres, ainsi qu'un vieux biscuit au miel qui colle un peu au cuir du contenant.

"Mhh..."
l'élémentaire se gratte la tête.
"Je vais pas les avoir tout de suite... ou tu veux p'tet un de ces trucs?"
il lève un regard attristé vers la femme oiseau. la commissure de ses lèvres tremble légerement, comme s'il alais pleurer.
"J'suis désolé. j'sais que pour les mortels c'est important.."

Ceci fait, l se redresse.
"Je vais p'tet trouver un truc pour ça dans mon sac.."
et il emboite le pas a la jeune femme tout en fouillant dans son sac. Malheureusement, sa recherche ce trouve être infructueuse.
Finalement, tout deux parviennent en vus des messagers. Le groupe, composé de cinq personnes, semble mieux équiper que l'élémentaire pour la traversé du desert. Leurs bêtes se reposent a l'ombre d'un large rocher, et eux, plus loins, se désaltèrent dans un tonellet d'eau fraiche, auprès d'un oasis aménagé.
En voyant les deux personnages arrivés, l'un d'eux se lève, méfiant. Cependant, son visage se décrispe lorsqu'il apperçois farah.

"Oh. C'est pour la relève?"
Demande t-il.

Benhart, quand a lui, marche a pas lent, titubant de temps à autre la moindre minute semble lui demander de l'énergie.
"Il n'a pas l'air bien. C'est un nouveau? "
continue le messager.

Sitôt que la femme oiseau annonce que le paiement de Benhart 'nest pas important, ce dernier semble l'oublier complètement. D'autant plus qu'ils arrivent auprès des messagers à ce moment la.

Le messager fronce les sourcils en écoutant la jeune femme, avant de se retourner vers Benhart.
"Vous dites que-"
Ce dernier n'a pas vraiment pris le temps des les saluer : a peine est-il à porté qu'une bourrasque enneigée passe entre les messagers. Les vêtements et les affaires de l'élémentaire sont au sol un instant plus tard, et un gros "Plouf" ne tarde pas.

Le vissage radieux de l'élémentaire émerge de l'eau avec un soupir de plaisir, ce qui semble déplaire aux nomades.

"Sortez de la enfin ! Vous allez salir le point d'eau ! "

"ça vas j'suis pas si sale que ça !" S'exclame l'élémentaire, sourire aux lèvres.

"Ce n'est pas la question ! Sortez de là ! Les voyageurs boivent la dedans !"

L'élémentaire redresse la tête, une moue ennuyée sur le visage, et garde le silence un moment, en fixant le rabats joie. Finalement, il pousse ou soupir et se redresse.

"Décidément, quel voyage... " Sur ces mots, il sort de l'eau. Il est plus grand de quelques centimètres, il apparais un peu plus musclé également. Maintenant qu'il est réhydraté, il semble en bien meilleur forme. "T'allais dire un truc ?"
Demande t-il en renfilant ses vêtements, sans grand respect pour la pudeur du groupe. Une des messagères détourne les yeux, Benhart s'en satisfait. ça fera une cible facile. Le chef des militaires semble de très mauvais poil. Il s'approche de l'élémentaire d'un pas menaçant -il domine toujours le Volhir d'une tête- et se plante devant lui, presque front contre front, et pointe son doigt sur Benhart. Celui ci semble peu affecté par cette démonstration de force.
Cependant, quand il ouvre la bouche pour parler, un troisième voyageur intervient.

" Allons Amir, calme toi." Dit-il calmement, une main sur l'épaule de son compagnon. Ce dernier recule d'un pas, et l'avenant jeune homme, aux yeux noisette et au sourire fatigué sépare l'étranger et le belliciste.

"Étranger, je m'excuse du comportement de mon ami. Les derniers jours ont été très éprouvants... Je comprends que la traversée du désert n'est pas évidente, mais il est important de laisser ces endroits plus ou moins intacte pour les prochains voyageurs."
Il continue ainsi son petit argumentaire, et Benhart l'écoute en opinant du chef de temps à autre, bien que son attention semble de moins en moins importante au fil des secondes.
Finalement, l'homme finit sa tirade, et Benhart Acquiesce, arguant qu'il y a un système similaire d’où il vient, et qu'il "ferra attention à respecter l'endroit."

"Merveilleux ! Merci à toi voyageur... D'ailleurs. Que fait tu ici ? Farah à dit que tu nous cherchais, comment savais-tu que nous serions ici ?"

Le visage de Benhart affiche un étonnement complet un instant, et il se tape le front avec le plat de la main.
"Mais bien sur ! j'avais presque oublier ! ou avais-je la tête? Rohlala, ne dites pas à mes copains que j'ai oubliés, ou je vais encore me faire taper sur les doigts.."
Et le voila qui trottine jusqu’à ces affaires, sous le regard curieux des messagers.
"Au fait ! T'avais pas l'air confortable avec ta main." Demande l'élémentaire. "Ta bague, là, c'est tout nouveau non?"

Le jeune homme sursaute, puis rougit a vu d'œil.
"Ou-oui. Je me suis fiancé il y a peu... On a prévu de se marier dés notre retour, mais je tenais à garder la bague pendant la mission..."
Benhart ris de bon cœur.
"C'est mignon comme tout ! J'te souhaite bonne chance ! Farah sera invité à la cérémonie ? Hey, tu sais quoi ? Je vais te faire un cadeau d'mariage !"

L'homme s'étonne un peu de cette déclaration, mais semble néanmoins intrigué. Malgré ça, alors qu'il s’apprête a parler, il se fige.

Ça, c'est passé très vite. L'élémentaire fouillait dans son paquetage. Un instant plus tard, d'un geste expert, il se retournait, et un éclair argenté volait près du visage du messager. Le moment d'après, un bruit de gargouillis étouffé, et l'homme robuste de tantôt s'éffondre, la rapière de Benhart enfoncée dans la gorge.

"Dans le mille !"
Fanfaronne l'élémentaire en trottinant pour récupérer son arme.
"Ah, zut, le sang va tomber dans l'eau ! Farah empêche le de tomber s'il te plaît ! "

Et il se dépêche, passant devant les messagers ébahis pour reprendre son arme... Tandis que les hommes restant dégainent finalement les leurs.

Bien que la première remarque de la messagère passe plus ou moins inaperçue, une fois la situation plus ou moins désamorcée, le gaillard se radoucit un peu.
Oui, des félicitation, il en reçoit avec plaisir. Après tout ce qu’il a traversé pour garantir à sa future épouse une vie stable…
“Merci. J’ai fait tout ce que je pouvais pour être sûr que nous ne manquerions jamais de rien”

C’est à ce moment que la lame passe pour se planter dans son camarade. Tout se passe très vite ; en un instant, une vie a été prise, aussi simplement que ça.
Cette idée fait frissonner l’élémentaire.

Lorsqu’il se penche pour récupérer son arme, l’élémentaire est interrompu. Son regard s'assombrit, mais son sourire ne s'efface pas. Un ennemi de plus?...
Non, il s'agit juste de la messagère.
Une seconde, il l’observe, à la fois curieux et surpris. Celle d’après, il dégage sa main et laisse échapper un gloussement.

“T’est drôle ! T’en fait pas vas, j’ai rien contre toi, bouge pas trop d'accord ?”

Et sur ces mots, il attrape son arme, et pare le coup qui arrivait derrière lui, pour envoyer un vilain coup de pied dans les côtes de son expéditeur -le futur marié-.
La femme parmis les méssagers tente une autre approche. D’une main, son bouclier contre une attaque de Benhart, laissant dans la garde du criminel une ouverture qu’elle cherche à exploiter…
Mais elle est trop lente, et sa lame croise celle du “jeune” homme.

“Ohoh ! Voila quelqu’un de capable ! C’est une lame courbe de belle qualité dit moi !”
La jeune messagère ne répond que par les grognements et le souffle du combat, trop occupée à se battre. L’élémentaire soupire.

“Vous êtes pas marrant… Hey, laisse moi l’essayer !”
Quelques passes d’armes, une parade du pâle Volhir, qui fait glisser son arme sur celle de son adversaire, et lui tranche la main d’un geste sec.
En évitant les coups du premier combattant revenus à la charge, il attrape l’arme, en détache la main qu’il jette nonchalamment dans le sable, et jette sa rapière dans le sable, non loins de Farah.

Le combat ne dure pas beaucoup. Ils étaient quatre messagers, et seuls deux sont encore capables de se battre. Bien que les choses deviennent bien plus dures pour l’élémentaire après qu’il ait changé son arme, il domine malgré tout la bataille, dansant entre ses adversaires de façon erratique. Etrangement, le sable et le vent semblent toujours dans son dos, ce qui complique encore les choses pour ses adversaire.

Le quatrième messager souffre plus que la troisième. Les coups de l’élémentaire, munis de cette arme, sont violent et imprécis. Ils déchirent la peau autant qu’ils coupent, et il doit toucher plusieurs fois, infligeant toujours plus de souffrance, pour enfin disposer d’une ouverture suffisante pour porter le coup fatal.
Une violente bourrasque soulève les sables et fait tomber le dernier a la renverse.
Benhart profite de l’occasion, et pose sa lame sur la gorge de l’homme.
La rage a disparu de ses yeux. Il ne reste que la peur.
Il ne veut pas partir comme ça, et qui peut lui en vouloir?
Il à-
“Tu a une future femme, non? C’est pas de chance quand même… Mais au moins, vous êtes pas encore mariés, donc elle n'aura pas de papiers à remplir en apprenant ton décès !”

“Attends ! Pitié je-... On t’a rien fait ! j-je t’ai aidé quand il t'engueules ! tu veux te baigner, vas-y !”
L’élémentaire ricane gaiement.
“Naaan c’est pas la question. T'as dû prendre un travail plus dangereux pour gagner plus de sous pour elle hein? C’est bien de manquer de rien, mais ça sert à rien si elle manque de maris, pas vrais?”

Il s’écarte un peu, et laisse le temps à l'homme de se redresser pour continuer le combat.

“C’est mon cadeau de mariage ! Je te tuerais sans douleur parce que t’a été sympas, et en plus je te laisse une vie ! il t’en reste plus donc soit prudent !”

Lance-t-il d’un ton guilleret.

Il jette un œil à Farah, un peu plus loin.
“J’suis désolé pour le désordre, j’ai presque fini… Tiens, si tu veux t’occuper, prend ma rapière et plante la dans la gorge de celle à la main coupée. Elle me fait de la peine avec ses gémissements.”
Et il ponctue cette phrase d’un clin d'œil avant de reporter son attention sur son adversaire. Elle n’est pas une menace à ses yeux.

La messagère à la main tranchée, quant à elle, sa main valide serrée autour d’un poignet sanglant, lève péniblement les yeux vers Farah.

“Le… Gnh !. Le message…”
parvient-elle à gémir.

L'élémentaire ne s'attendait pas vraiment a ce que l'oiseau ne lui fonce dessus avec tant de hargne. Au moment ou elle arrive a son niveau, il se protège le visage de l'avant bras en poussant des exclamations de surprises. Les serres percent sans difficulté la peau de son bras, lui causant de profondes lacérations, et son adverssaire profite de l'occasion pour bondir en avant et ascèner un coup a l'élémentaire, qui pousse un cris de douleur, suivis d'une bourasque suffisament violente pour écarter l'animal et faire reculer le messagers.

"Merde ça fait mal ! "
se plaint le jeune homme en frottant quelques griffures sur son vissage, et secouant son bras engourdis. Il recule de quelques pas pour contrer l'émissaire qui enchaine quelques bon coups, et l'air se rafraichis une seconde.
"Mais bien tenter ! J'aurais fait pareil a votre place, si j'avais eut de l’espoir !"

Malgré ses fanfaronnade, l'élémentaire peine a reprendre l'avantage.
"LE MESSAGE VITE!" Crie le messager pendant qu'il a l'ascendant sur Benhart.

Le reste se passe vite. Une fois que l'oiseau c'est envolé, la messagère au sol attrape les jambes de Benhart avec tous ce qui lui reste de force, et le messager bondit vers l'avant, lançant une estoque vers le cœur.

Un instant, le vent devient froid,et une violente bourrasque glaciale recouvre toute la zone, pour se transformer aussi vite en blizzard de sable et de neige a demie fondue. La visibilité est mauvaise, l'air difficile a respirer, et on entend a peine ce qu'il se passe dans le nuage.

Lorsqu'il se calme quelques secondes après avoir commencé, un projectile fuse en direction de l'oiseau.
Une tête humaine, que l'élémentaire a envoyer sur le volatile dans l’espoir de le ralentir. Cependant, ce n'est pas le seul problème. En dessous, Benhart cours aussi vite que le vent, les yeux rivés sur le faucon.

Trop haut? Pas pour lui. Un bond prodigieux le porte a quelques mètres du sol, projetant poussières et sable dernière lui... Mais il ne s'arrête pas la. Le jeune homme semble courir sur les airs eux même, de plus en plus haut, toujours plus vite.
Son visage affiche une concentration froide et inébranlable, son regard ne laisse rien présager de bon, pas plus que le sabre courbé ensanglanté qu'il tien encore en main.
Finalement, il tend une main, et d'une dernière poussée, il attrape les pâtes arrières de rapace.
Aussitôt, la concentration de son visage s'efface pour se transformer en un sourire joueur, et il se laisse retomber sans lâcher l'animal.

"Attrapée !"

L'élémentaire ralentis sa chute assez efficacement, et une fois au sol, il se laisse tomber dans le sable, essoufflé. Son visage est couvert de griffures, son bras, lacéré par l'aigle, et une longue coupure, bien que peu profonde, lesarde son bas ventre.

"Tu sait, c'etait pas prudent de m'attaquer comme eux !"
Commence t-il en soupirant. Pourtant, un large sourire finit par fendre son visage.
"Pourquoi tu t'est pas enfuie tout de suite? ça aurais été plus simple pour tous le monde!"