Automne du Val
Que dire du cœur quand il fait noir jour et nuit ? - Subah'tan.
Automne du Val
Automne du Val
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
La sorcière aveugle
Âge :
250 ans
Race·s :
Fée
Particularités de la race :
Unseelie
Métier :
Herboriste
Magie·s :
Magie Noire - Mort - Nécromancie
Nom de l'oeuvre :
Le Vuong
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Clairvoyance
Manichéisme :
colère
Liges :
490
champ vide pour le json :
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Automne du Val
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Automne du Val
- message #11058
feat.
Subah'tan
Une nouvelle destination inconnue s’offre à toi à présent, tu ignores où se trouve la frontière de tous les territoires que tu parcours, tu fréquentes bien peu de gens, à peine pour prendre quelques indications et comprendre que tu n’es plus vraiment chez toi, où en tout cas bien trop éloignée de la cours pour ne pas être simplement perdue, tu n’as rencontré personne qui a su te dire où trouver d’autres fées, ou même la cour et ta précieuse reine.. Étrangement caprice du destin que de te retrouver ainsi, sur une terre inconnue.
Tu sais que tu es dans une grande forêt, tes oreilles t’indiquent la présence d’oiseaux, ta peau ressent rarement la morsure du soleil et surtout il y a ces maudites racines qui te font trébucher en permanence et ce n’est pas l’aide indélicate apportée par ton pantin lorsqu’il te remet sur tes pieds qui te convaincra de ne pas avoir envie de détruire tous ces arbres. Mais l’endroit semble être sûr, pour le moment en tout cas.
Ayant passé sans doute ce que tu devines être la matinée et l’après-midi sous le couvert des arbres, fouinant la terre et la végétation à la recherche de feuilles, racines et autres fruits intéressants aussi bien pour ton estomac assez dérangé par ce changement d’environnement que pour remplir ta besace.
La créature reptilienne, t’apporte le fruit de sa chasse encore vivante et tu te jettes dessus, un preste coup de dague de ta part libère l’animal de la vie. Avide de découvrir ce que c’est, tes mains glissent sur la fourrure de la créature qui ne semble pas être lisse mais recouverte de diverses espèces de champignons, puis sur sa tête, longeant ce qui semble être une ramure. «Est-ce que ça se mange ? » Un gargouillis inaudible s’élève de la gorge brisée de ce que tu sais être un draconide à présent, sa réponse peine à te convaincre de l'innocuité de la chose, toutefois tu arraches tout de même un morceau de muscle pour le fourrer dans ta bouche, mâchonnant le morceau rudement obtenu d’un air étonnamment peu convaincu. Dans un soupir tu lui donnes de nouveaux ordres, le laissant partir à la recherche d’une plante en particulier, tandis que tu entends profiter de ce repas facile.
À présent, tu fouines dans la vase d’un ruisseau à la recherche de plantes aquatiques, la carcasse éventrée à quelques mètres de là. Le bruit de l’eau et sa fraîcheur réduisant tes autres sens à bien peu de choses, alors tu as fait le choix de disséminer tes oiseaux autour de ta position, pour te prévenir de l’arrivée d’un prédateur ou d'un Homme.
Le croassement d’une de tes corneilles indique une intrusion, relevant la tête, tu as la direction de l’intru, mais pour autant tu ne comptes pas aller à sa rencontre, attendant simplement davantage de renseignement. La corneille insiste encore sur l’étranger, rejointe rapidement par une deuxième puis une troisième, leurs cris se font plus rauques presque menaçants, mais voyant que la menace de fait pas demi-tour - qui le ferait à cause de quelques oiseaux ? - alors elles finissent par s'envoler venant se poser sur la berge tout près de toi, leurs yeux animés par ta magie scrutant dans une seule et même direction. «Mh ? » Tu te redresses, arborant l’illusion de quelque chose que tu as pu être autrefois, ou ce dont tu as le souvenir - bien peu mémorable et partiellement oublié -, une bien belle jeune femme à la longue chevelure brou de noix, si longue que lorsque tu te penches les ondulations baignent dans le liquide frais et sont emportées par le courant. Dissimulant ainsi ta nature de fée et ton handicap, tes mires retrouvant leur éclat vert-de-gris partagé avec les trois oiseaux, ton regard glissant dans la direction du bruit, mais sans cibler directement la source. Tu te redresses lentement, hésitant entre faire usage de ta magie ou non, particulièrement sur tes gardes. La fuite n’étant pas une option.
Tu sais que tu es dans une grande forêt, tes oreilles t’indiquent la présence d’oiseaux, ta peau ressent rarement la morsure du soleil et surtout il y a ces maudites racines qui te font trébucher en permanence et ce n’est pas l’aide indélicate apportée par ton pantin lorsqu’il te remet sur tes pieds qui te convaincra de ne pas avoir envie de détruire tous ces arbres. Mais l’endroit semble être sûr, pour le moment en tout cas.
Ayant passé sans doute ce que tu devines être la matinée et l’après-midi sous le couvert des arbres, fouinant la terre et la végétation à la recherche de feuilles, racines et autres fruits intéressants aussi bien pour ton estomac assez dérangé par ce changement d’environnement que pour remplir ta besace.
La créature reptilienne, t’apporte le fruit de sa chasse encore vivante et tu te jettes dessus, un preste coup de dague de ta part libère l’animal de la vie. Avide de découvrir ce que c’est, tes mains glissent sur la fourrure de la créature qui ne semble pas être lisse mais recouverte de diverses espèces de champignons, puis sur sa tête, longeant ce qui semble être une ramure. «
À présent, tu fouines dans la vase d’un ruisseau à la recherche de plantes aquatiques, la carcasse éventrée à quelques mètres de là. Le bruit de l’eau et sa fraîcheur réduisant tes autres sens à bien peu de choses, alors tu as fait le choix de disséminer tes oiseaux autour de ta position, pour te prévenir de l’arrivée d’un prédateur ou d'un Homme.
Le croassement d’une de tes corneilles indique une intrusion, relevant la tête, tu as la direction de l’intru, mais pour autant tu ne comptes pas aller à sa rencontre, attendant simplement davantage de renseignement. La corneille insiste encore sur l’étranger, rejointe rapidement par une deuxième puis une troisième, leurs cris se font plus rauques presque menaçants, mais voyant que la menace de fait pas demi-tour - qui le ferait à cause de quelques oiseaux ? - alors elles finissent par s'envoler venant se poser sur la berge tout près de toi, leurs yeux animés par ta magie scrutant dans une seule et même direction. «
Subah'tan Kagon
Subah'tan Kagon
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Race·s
•
Featuring
•
icon :
Âge :
25 ans
Race·s :
Homme-bête, Draconide
Particularités de la race :
Tigre Blanc
Métier :
Aventurier
Magie·s :
Magie Grise Légale - Astromancie - Magnétisme
Nom de l'oeuvre :
Jujutsu Kaisen
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Saturo Gojo
Manichéisme :
charité
Liges :
320
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Subah'tan Kagon
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Subah'tan Kagon
Subah'tan Kagon
- message #11342
Find your way...
feat. Automne du Val
Décidément, Subah’tan a l’impression de découvrir cette forêt sous un nouveau jour… Bon, il faut dire aussi que c’est la première fois qu’il s’aventure si loin et de plus, il est seul dans cette aventure qu’il a choisie de vivre de son propre chef, comme un grand ! Eh oui ! Bon, mis à part le fait que durant le jour, il se sent assez confiant pour continuer son chemin en faisant attention à son environnement et éviter des rencontres malencontreuses et dangereuses, c’est lors du crépuscule qu’il se rend compte qu’une peur se cache en lui pour ressurgir lorsque la lumière du soleil quitte ces terres pour laisser la place à la nuit. De ce fait, le crépuscule est symbole pour lui qu’il est temps de poser un petit campement, de faire un feu et de chasser. Heureusement, Subah’tan est bon chasseurs, toutes les conditions sont propices pour l’y aider et son ouïe fine ainsi que sa vue perçante est un atout certain.
Il s’aventure alors autours de son campement, armé d’un arc et d’un carquois rempli de flèches dans un rayon assez large pour mieux chasser et ainsi ramener un bon diner pour ce soir. Très discrètement et en essayant de faire qu’un avec l’environnement florissant qui l’entour, Subah’tan est à l’affut du moindre gibier et mouvements autour de lui. Très concentré dans sa quête de nourriture, mais manque de chance, il sursaute aussitôt quand il entend un croassement affreux et dans son dos, il se retourne vivement pour faire face au coupable et la flèche qu’il tenait jusque-là pour tuer un animal, lui échappe. La corneille s’envole avant que la flèche ne l’atteigne et ne vienne arrêter sa course dans l’écorce de l’arbre, sur lequel était posé tantôt la corneille. De plus, dans sa panique, il avait fait quelque pas en arrière pour avoir une bonne distance et mieux abattre sa cible, mais il trébuche malheureusement et c’est son bras se retrouve blesser au contact d’une plante aux épines épaisse et aiguisée. Le sang coule et la douleur se fait fulgurante. À tel point que quand il peut apercevoir de sa position un point d’eau et qu’il marche en sa direction, une autre corneille se met à croasser, puis une autre quand enfin, il tombe sur une silhouette inconnue. Mais Subah’tan n’a pas le temps de s’attarder sur cette personne qu’il accourt pour venir plonger son bras dans le ruisseau, se retrouvant de l’autre côté de ce dernier et face à la demoiselle. Le contact de l’eau sur sa plaie lui donne une sensation de fraicheur.. Temporaire.. Car il doit vite s’occuper de cette blessure.. Le sang pourrait attirer des créatures dangereuses et ça pourrait s’infecter..
Malheureusement son campement est assez loin et se balader comme ça.. Ce n’est pas l’idéal. Alors loin d’être méfiant, il se relève la tête vers l’inconnue, sans bouger d’un iota. « Pardon, mais vous auriez des bandages et quelque chose pour éviter l’infection.. ? » Mhhh.. Bizarre. Son regard est étrange, mais pas moins intriguant, Subah’tan n’a pas la mémoire d’avoir croisé la route d’une telle personne, quelque chose de mystérieux émane d’elle, mais Subah’tan doit maîtriser sa curiosité, là tout de suite, il a besoin d’aide, pas de satisfaire sa curiosité… Mais il met ses questions de côté, pour plus tard.
Il s’aventure alors autours de son campement, armé d’un arc et d’un carquois rempli de flèches dans un rayon assez large pour mieux chasser et ainsi ramener un bon diner pour ce soir. Très discrètement et en essayant de faire qu’un avec l’environnement florissant qui l’entour, Subah’tan est à l’affut du moindre gibier et mouvements autour de lui. Très concentré dans sa quête de nourriture, mais manque de chance, il sursaute aussitôt quand il entend un croassement affreux et dans son dos, il se retourne vivement pour faire face au coupable et la flèche qu’il tenait jusque-là pour tuer un animal, lui échappe. La corneille s’envole avant que la flèche ne l’atteigne et ne vienne arrêter sa course dans l’écorce de l’arbre, sur lequel était posé tantôt la corneille. De plus, dans sa panique, il avait fait quelque pas en arrière pour avoir une bonne distance et mieux abattre sa cible, mais il trébuche malheureusement et c’est son bras se retrouve blesser au contact d’une plante aux épines épaisse et aiguisée. Le sang coule et la douleur se fait fulgurante. À tel point que quand il peut apercevoir de sa position un point d’eau et qu’il marche en sa direction, une autre corneille se met à croasser, puis une autre quand enfin, il tombe sur une silhouette inconnue. Mais Subah’tan n’a pas le temps de s’attarder sur cette personne qu’il accourt pour venir plonger son bras dans le ruisseau, se retrouvant de l’autre côté de ce dernier et face à la demoiselle. Le contact de l’eau sur sa plaie lui donne une sensation de fraicheur.. Temporaire.. Car il doit vite s’occuper de cette blessure.. Le sang pourrait attirer des créatures dangereuses et ça pourrait s’infecter..
Malheureusement son campement est assez loin et se balader comme ça.. Ce n’est pas l’idéal. Alors loin d’être méfiant, il se relève la tête vers l’inconnue, sans bouger d’un iota. «
Automne du Val
Automne du Val
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Race·s
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Featuring
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Titre du joueur :
La sorcière aveugle
Âge :
250 ans
Race·s :
Fée
Particularités de la race :
Unseelie
Métier :
Herboriste
Magie·s :
Magie Noire - Mort - Nécromancie
Nom de l'oeuvre :
Le Vuong
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Clairvoyance
Manichéisme :
colère
Liges :
490
champ vide pour le json :
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Automne du Val
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Automne du Val
Automne du Val
- message #11353
feat.
Subah'tan
La situation semble chaotique, les oiseaux crient, fâchés d’avoir été la cible d’un chasseur bien mal avisé, faisant preuve en réponse d’une certaine agressivité, sans toutefois s’en prendre à lui physiquement, mais nul doute que s’il ne cesse pas ses attaques, ils répondront sur le même ton. Ce sont les seules de tes créatures à mériter de conserver un semblant de libre arbitre, en faisant sans doute tes meilleurs servants et à la fois les pires.. Toi, durant tout ce temps, tu continues ta tâche.
Et voilà que l’étranger manque de se jeter dans le ruisseau, sous l'œil presque perplexe des oiseaux encore sur la rive, toi-même affiche un air profondément circonspect, décidant de ne pas faire attention à cet individu plus que nécessaire. Tu finis par replonger les mains dans l’eau, arrachant à la vase une longue brassée d'algues aussi fines que des cheveux d’une teinte brunâtre et peu ragoutante. Finalement cela ne s’avère qu’être un pauvre homme, qui quémande de l’aide, tu ne sais pas si tu devrais l’aider ou non, mais tu as besoin de quelques informations sur la région.. Alors un prêté pour un rendu ? «J’ai des plantes et du tissu, oui. Ce sera tout ? » La mélisse est un excellent antiseptique naturel après tout, il y a aussi d’autres choses pour potentialiser les effets des plantes, tout ce qui te sauve à de nombreuses reprises, faute de mieux ou d’avoir accès à une magie curative. Quant à ton : ce sera tout ? Cela ressemble à la phrase de quelqu’un dont c’est le métier.
Regagnant péniblement la rive en prenant soin de ne pas poser ton pied nu sur une pierre recouverte d’algues, finissant par faire retomber les étoffes de ta robe sombre sur tes jambes. Une corneille se pose à côté de ta besace, croassant, illuminant ta route d’éclat de son pour te guider jusqu’à elle, les yeux animés par la magie nécromantique se posant ensuite sur l’étranger. Reposant ton butin non loin de là, tu feras sécher les algues plus tard.
Tu finis par t'asseoir dans l’herbe, manquant désastreusement de souplesse - il faut dire que tu n’es plus si jeune -, fouillant dans le sac de cuir, te servant de ton odorat et du toucher pour être certaine d’avoir la bonne plante, par chance celles que tu cherches ne sont pas difficile à distinguer. Néanmoins, tes gestes te trahissent, tu tâtonnes sans regarder ce que tu fais, sortant un pilon et un mortier ainsi qu’un flacon, tu sembles toutefois avoir une certaine expertise, murmurant des choses inaudibles. Ce n’est qu’une fois que tous les ingrédients récupérés que tu l’invites d’un geste de la main à s’approcher.
Et voilà que l’étranger manque de se jeter dans le ruisseau, sous l'œil presque perplexe des oiseaux encore sur la rive, toi-même affiche un air profondément circonspect, décidant de ne pas faire attention à cet individu plus que nécessaire. Tu finis par replonger les mains dans l’eau, arrachant à la vase une longue brassée d'algues aussi fines que des cheveux d’une teinte brunâtre et peu ragoutante. Finalement cela ne s’avère qu’être un pauvre homme, qui quémande de l’aide, tu ne sais pas si tu devrais l’aider ou non, mais tu as besoin de quelques informations sur la région.. Alors un prêté pour un rendu ? «
Regagnant péniblement la rive en prenant soin de ne pas poser ton pied nu sur une pierre recouverte d’algues, finissant par faire retomber les étoffes de ta robe sombre sur tes jambes. Une corneille se pose à côté de ta besace, croassant, illuminant ta route d’éclat de son pour te guider jusqu’à elle, les yeux animés par la magie nécromantique se posant ensuite sur l’étranger. Reposant ton butin non loin de là, tu feras sécher les algues plus tard.
Tu finis par t'asseoir dans l’herbe, manquant désastreusement de souplesse - il faut dire que tu n’es plus si jeune -, fouillant dans le sac de cuir, te servant de ton odorat et du toucher pour être certaine d’avoir la bonne plante, par chance celles que tu cherches ne sont pas difficile à distinguer. Néanmoins, tes gestes te trahissent, tu tâtonnes sans regarder ce que tu fais, sortant un pilon et un mortier ainsi qu’un flacon, tu sembles toutefois avoir une certaine expertise, murmurant des choses inaudibles. Ce n’est qu’une fois que tous les ingrédients récupérés que tu l’invites d’un geste de la main à s’approcher.
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