Amset Lareya
Enchanté, vous voulez pique-niquer ? [ft. Caliban]
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Amset Lareya
Amset Lareya
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Grand Inquisiteur
Âge :
183 ans
Race·s :
Elfe
Métier :
Grand Inquisiteur
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Vitalité - Hémomancie
Nom de l'oeuvre :
Critical Role
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Essek Thelyss
Manichéisme :
diligence
Liges :
670
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Amset Lareya
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Amset Lareya
- message #11357
feat.
Caliban
Le petit silence qui accompagne mon aveux de ne pas soutenir le Roi sur tout montre bien que pour Caliban et les arvandiens, le souverain doit être vu comme la seule autorité ayant raison. Celui de Clara Nocte a le dernier mot, mais ses conseillers sont justement là pour l'aider à voir différents points de vue... L'avouer n'est pas forcément une bonne chose, mais je n'aurais pas cru que ce soit si... « choquant ». Je m'éclaircis la gorge quand une légère gêne apparaît. Peut-être tout ce pollen, même si je n'y suis pas allergique.
Caliban joue encore avec un bouton d'or, parlant comme il le peut malgré les interruptions du conseiller. Moi, je sens la gêne dans ma gorge grossir même si je le camoufle au mieux pour l'instant. Mais... ça s'agite, du côté des arvandiens. Le fameux Mediem... ne semble pas dans son assiette. Que...
Bon sang, ma gorge me brûle. Et me gêne. Je sens bien que ma respiration est un peu plus difficile, et je remarque à peine le Roi céleste se faire bousculer par une de ses Valkyries, trop occupé à chercher un mouchoir pour cracher dedans histoire d'éliminer cette gêne. Mais des goutelettes s'écrasent sur ma main et me font remonter le regard sur leur origine, Mediem...
Qui s'écrase au sol.
Que... Non. Un empoisonnement ?
J'écarquille les yeux en réalisant que ma gêne n'est peut-être pas juste due à un aliment que j'aurais mal avalé. Sous la tension, je m'empresse de faire un geste vers mes gardes pour leur faire signe de ne surtout pas dégainer et éviter de faire dégénérer la situation.
- Grand Inquisiteur !
L'un d'eux s'empresse d'approcher alors que je suis pris d'une toux violente. J'en grimace sous la douleur, car j'ai l'impression qu'on m'arrache la gorge.
- Comment ça.... qu'est-ce que cela veut dire ?! Vous tentez de nous empoisonner ?!
C'est la colère qui parle tandis que je me reprend, essayant de poser mon souffle. Mes poumons augmentés prennent le relais, je le sens bien. Ils ne sont plus organiques, mais mécaniques ; un poison ne peut rien contre eux. Ma gorge est enflée, oui, mais ça ne semble pas s’aggraver plus que ça. Mon cœur lui aussi mécanique ne s'emballe pas comme semble l'avoir fait celui de Mediem, et bientôt je me relève, faisant quelques pas en arrière pour me rapprocher de mes gardes, toujours sur la défensive.
- Vous pensez que c'est le vin ? Cette bouteille était pourtant bien scellée ! Et c'est du vin arvandien, pourquoi serait-il empoisonné ?!
Je suis autant agacé de la situation que d'avoir perdu de ma superbe en m'étouffant ainsi publiquement. Je passe d'ailleurs une manche sur ma bouche pour essuyer un peu de salive, tant pis pour le peu de dignité qu'il me reste. Mon regard se pose sur le cadavre, puis sur Caliban. Non, il ne peut pas être responsable. Ce serait bien trop dangereux pour lui, surtout en n'ayant aucune idée que nous allions nous croiser. Et même si son but était seulement d'éliminer les arvandiens qui le collent, ce serait stupide puisqu'il serait aussitôt exécuté par le Souverain d'Arvandor.
- Qui a pu faire ça... Bon sang...
Je ne m'étend pas sur la raison pour laquelle je suis capable de tenir debout malgré tout, préférant garder secret mes augmentations. Aucun doute que sans ça, je serai tout aussi mort que Mediem. Je tourne mon regard vers mes gardes.
- Personne d'autre n'a bu de vin ?
Heureusement, aucun d'eux ne répond à l'affirmative. Bons soldats, qui ne boivent pas en service...
- Bien.
Je porte ma main à ma gorge douloureuse malgré tout, avec un peu de tournis.
Un effet à retardement...
Mon cerveau se prend le contrecoup de l'empoisonnement et la tête me tourne... Assez pour que ça se voit et que deux soldats approchent en vitesse pour me soutenir. Je les repousse d'un air agacé.
- Laissez-moi !
Mais malgré mon air fier et mon refus d'obtenir de l'aide, je le sens bien. Le poison me brouille l'esprit, le soleil devient trop puissant pour mes yeux, et je sens que je perd l'équilibre. Je manque tomber, mais les deux soldats précédemment repoussés reviennent pour me soutenir et m'allonger plutôt que me laisser m'écraser au sol.
J'ai du mal à réfléchir.
Bon sang.
Un bruit m'indique que certains de mes hommes ont tiré leur armes à feu pour les pointer sur les arvandiens comme les célestes. Une voix crie.
- Vous avez tenté de tuer le Grand Inquisiteur !
Oh non.
Caliban joue encore avec un bouton d'or, parlant comme il le peut malgré les interruptions du conseiller. Moi, je sens la gêne dans ma gorge grossir même si je le camoufle au mieux pour l'instant. Mais... ça s'agite, du côté des arvandiens. Le fameux Mediem... ne semble pas dans son assiette. Que...
Bon sang, ma gorge me brûle. Et me gêne. Je sens bien que ma respiration est un peu plus difficile, et je remarque à peine le Roi céleste se faire bousculer par une de ses Valkyries, trop occupé à chercher un mouchoir pour cracher dedans histoire d'éliminer cette gêne. Mais des goutelettes s'écrasent sur ma main et me font remonter le regard sur leur origine, Mediem...
Qui s'écrase au sol.
Que... Non. Un empoisonnement ?
J'écarquille les yeux en réalisant que ma gêne n'est peut-être pas juste due à un aliment que j'aurais mal avalé. Sous la tension, je m'empresse de faire un geste vers mes gardes pour leur faire signe de ne surtout pas dégainer et éviter de faire dégénérer la situation.
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L'un d'eux s'empresse d'approcher alors que je suis pris d'une toux violente. J'en grimace sous la douleur, car j'ai l'impression qu'on m'arrache la gorge.
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C'est la colère qui parle tandis que je me reprend, essayant de poser mon souffle. Mes poumons augmentés prennent le relais, je le sens bien. Ils ne sont plus organiques, mais mécaniques ; un poison ne peut rien contre eux. Ma gorge est enflée, oui, mais ça ne semble pas s’aggraver plus que ça. Mon cœur lui aussi mécanique ne s'emballe pas comme semble l'avoir fait celui de Mediem, et bientôt je me relève, faisant quelques pas en arrière pour me rapprocher de mes gardes, toujours sur la défensive.
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Je suis autant agacé de la situation que d'avoir perdu de ma superbe en m'étouffant ainsi publiquement. Je passe d'ailleurs une manche sur ma bouche pour essuyer un peu de salive, tant pis pour le peu de dignité qu'il me reste. Mon regard se pose sur le cadavre, puis sur Caliban. Non, il ne peut pas être responsable. Ce serait bien trop dangereux pour lui, surtout en n'ayant aucune idée que nous allions nous croiser. Et même si son but était seulement d'éliminer les arvandiens qui le collent, ce serait stupide puisqu'il serait aussitôt exécuté par le Souverain d'Arvandor.
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Je ne m'étend pas sur la raison pour laquelle je suis capable de tenir debout malgré tout, préférant garder secret mes augmentations. Aucun doute que sans ça, je serai tout aussi mort que Mediem. Je tourne mon regard vers mes gardes.
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Heureusement, aucun d'eux ne répond à l'affirmative. Bons soldats, qui ne boivent pas en service...
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Je porte ma main à ma gorge douloureuse malgré tout, avec un peu de tournis.
Un effet à retardement...
Mon cerveau se prend le contrecoup de l'empoisonnement et la tête me tourne... Assez pour que ça se voit et que deux soldats approchent en vitesse pour me soutenir. Je les repousse d'un air agacé.
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Mais malgré mon air fier et mon refus d'obtenir de l'aide, je le sens bien. Le poison me brouille l'esprit, le soleil devient trop puissant pour mes yeux, et je sens que je perd l'équilibre. Je manque tomber, mais les deux soldats précédemment repoussés reviennent pour me soutenir et m'allonger plutôt que me laisser m'écraser au sol.
J'ai du mal à réfléchir.
Bon sang.
Un bruit m'indique que certains de mes hommes ont tiré leur armes à feu pour les pointer sur les arvandiens comme les célestes. Une voix crie.
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Oh non.
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Enchanté, vous voulez pique-niquer ? [ft. Caliban]