Thidgials Ymir
Promenade Sylvestre ?
Thidgials Ymir
Thidgials Ymir
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Âge :
32
Race·s :
Homme-bête
Particularités de la race :
Lapin
Métier :
Botaniste, Marchand Ambulant
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Illusions
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XIV
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Erenville
Manichéisme :
patience
Liges :
190
champ vide pour le json :
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Thidgials Ymir
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Thidgials Ymir
- message #11264
feat.
Automne du Val
Une belle journée que voilà ! Il fait beau, les oiseaux chantent, une brise caresse les cimes des arbres... Non. Pas du tout. J'essaye de me convaincre que c'est un beau jour, une belle journée. En vain. Je soupire, marchant d'un pas décidé. Je suis à deux doigts de céder à la nonchalance. Je ne dois pas me laisser abattre, ma chance arrivera. Ou pas. Je verrai.
Pour dire vrai, il fait moche. Humide, surtout. Des insectes viennent se loger dans mes cheveux, dans les plis de chacun de mes vêtements. Je ne sais pas trop si j'aime les insectes ils sont... Particuliers. Je ferai avec, je dois avancer. J'enjambe un petit ruisseau qui coule doucement. Là, c'est le décor idyllique, si l'on omet la chaleur grimpante. De la sueur commence à se former sur mon front. Par réflexe, je sors ma gourde, je la tends à mes lèvres mais ce ne sont que de minuscules gouttes qui frappent ma langue. Déjà ? Heureusement pour moi, le ruisseau coule juste sous mes yeux. Je me penche, constatant la fraîcheur de l'eau et les petits êtres aquatiques qui peuplent ce cours d'eau. J'entends, au loin, des jacassements. Je ne saurai dire de quel animal. Je hausse les épaules et continue mon inspection. Je pense ne rien risquer. Je plonge alors ma gourde en basque. Encore un autre jacassement. Il faut croire que certains animaux sont de sortis. Je bois une gorgée. Divinement bonne ! Quelle bonne idée j'ai eue que de me désaltérer ici. Je reste accroupi. Cet endroit fera office de brève pause dans mon itinéraire.
Je sors la boussole. Je suis dans la bonne direction. Il faut dire qu'E... Pas le moment. Clairement pas le moment. Je m'étire. J'essaye, à la louche, d'évaluer l'heure. Nous sommes en fin d'après-midi. Je ne peux pas être plus précis. L'Orée est déjà loin. Je remets mon sac en place. Je risque de tomber à la renverse. Je n'ai pas fait attention aux racines. Plus de peur que de mal. Allez, il est temps de bouger, les choses ne bougeront pas d'elles-mêmes. Sauf que ça n'est pas moi qui vient de bouger. Loin de là. Je fronce les sourcils. Une bête ? Humpf. Je ne pense pas. Je risque quoi ? Rien, j'ai une arme. Et je n'hésiterai pas. Pour l'heure, je suis immobile. Je fixe... Rien. Je ne vois rien. Par rien, je veux dire de la végétation. C'est déjà beaucoup.
«Il y a quelqu'un ? Humpf. »
Félicitations Thid. Parler comme ça. Qu'est-ce que je peux être stupide.
Pour dire vrai, il fait moche. Humide, surtout. Des insectes viennent se loger dans mes cheveux, dans les plis de chacun de mes vêtements. Je ne sais pas trop si j'aime les insectes ils sont... Particuliers. Je ferai avec, je dois avancer. J'enjambe un petit ruisseau qui coule doucement. Là, c'est le décor idyllique, si l'on omet la chaleur grimpante. De la sueur commence à se former sur mon front. Par réflexe, je sors ma gourde, je la tends à mes lèvres mais ce ne sont que de minuscules gouttes qui frappent ma langue. Déjà ? Heureusement pour moi, le ruisseau coule juste sous mes yeux. Je me penche, constatant la fraîcheur de l'eau et les petits êtres aquatiques qui peuplent ce cours d'eau. J'entends, au loin, des jacassements. Je ne saurai dire de quel animal. Je hausse les épaules et continue mon inspection. Je pense ne rien risquer. Je plonge alors ma gourde en basque. Encore un autre jacassement. Il faut croire que certains animaux sont de sortis. Je bois une gorgée. Divinement bonne ! Quelle bonne idée j'ai eue que de me désaltérer ici. Je reste accroupi. Cet endroit fera office de brève pause dans mon itinéraire.
Je sors la boussole. Je suis dans la bonne direction. Il faut dire qu'E... Pas le moment. Clairement pas le moment. Je m'étire. J'essaye, à la louche, d'évaluer l'heure. Nous sommes en fin d'après-midi. Je ne peux pas être plus précis. L'Orée est déjà loin. Je remets mon sac en place. Je risque de tomber à la renverse. Je n'ai pas fait attention aux racines. Plus de peur que de mal. Allez, il est temps de bouger, les choses ne bougeront pas d'elles-mêmes. Sauf que ça n'est pas moi qui vient de bouger. Loin de là. Je fronce les sourcils. Une bête ? Humpf. Je ne pense pas. Je risque quoi ? Rien, j'ai une arme. Et je n'hésiterai pas. Pour l'heure, je suis immobile. Je fixe... Rien. Je ne vois rien. Par rien, je veux dire de la végétation. C'est déjà beaucoup.
«
Félicitations Thid. Parler comme ça. Qu'est-ce que je peux être stupide.
Automne du Val
Automne du Val
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
La sorcière aveugle
Âge :
250 ans
Race·s :
Fée
Particularités de la race :
Unseelie
Métier :
Herboriste
Magie·s :
Magie Noire - Mort - Nécromancie
Nom de l'oeuvre :
Le Vuong
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Clairvoyance
Manichéisme :
colère
Liges :
490
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"La sorcière aveugle","age":"250 ans","races":"Fée","metier":"Herboriste","magies":"Magie Noire - Mort - Nécromancie","manicheisme":"colère","taille":"180 cm","poids":"55 kg","orientation":"Nord-Ouest","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1329-i-m-blind-but-that-doesn-t-mean-i-can-t-see-you","nomdeloeuvre":"Le Vuong","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Clairvoyance","icon":"https://i.servimg.com/u/f29/19/56/15/07/image156.png","iconalt":"","autrescomptes":"Farah, Órfhlaith, Asrasterin du Néant"}
Automne du Val
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Automne du Val
Automne du Val
- message #11346
feat.
Thidgials
L’un de tes corbeaux croasse avant de s’envoler, tu entends distinctement le bruit du feuillage chahuté puis des battements d’ailes frappés, largement assez de quoi te faire lever le nez de ta cueillette, à la poursuite d’une plante au parfum doux et citronné, par chance ici tout semble pousser avec une facilité déconcertante et tu ne manques de rien, le nécessaire la forêt te l’offre. Bien que ce soit cette même étendue verdoyante qui cause la plupart de tes tracas, une cheville se tord aisément sur les pierres recouvertes d’algues des petits cours d’eau la traversant, et genoux s’éraflent tout aussi facilement à force de trébucher sur les racines. Pour tes mains ce n’est guère mieux à force de fouiner dans la terre et les buissons.
Tu t’es sans doute un peu trop écartée de ton campement lors de ton escapade, prenant le risque de croiser un bipède, tu n’es pas une créature sociable, alors lorsqu’il demande s’il y a quelqu’un, tu te contentes d’un haussement d’épaule, sans savoir si cet individu est assez proche ou non pour te voir. Mais prudente, tu le cherches, les gens que tu croises ont souvent beaucoup de mots assez peu flatteurs pour décrire tes yeux qui ne voient rien. Les iris et les pupilles ne sont plus démarquées, recouvertes d’un épais voile laiteux peinant à se distinguer du blanc de l’œil, donnant une impression étrange de vide, créant quelque chose sans émotion, c’est ce qu’ils disent en tout cas et tu n’iras pas les contredire. Mais ils s’accordent à dire que cela rend service à ce que tu es, te nimbant encore davantage de mystère et de surnaturel. En somme ? Cela ne te rend pas plus aimable, et cela te va bien.
Tu t’approches donc, portée par ta curiosité, trop tard pour t’éloigner. Tes longs doigts fins et abîmés glissent sur l’écorce des troncs et les branches, tu n’es pas la créature la plus vive de la forêt de toute évidence, tu te contentes de faire au rythme imposé par ton handicap, mais tout trahit en toi que l’idée d’avoir de la pitié pour toi sera une grossière erreur.
Sentant que tu t’approches, sans savoir à quel point, tu finis cependant par t’arrêter avant de prendre le risque de trébucher sur le malheureux, préférant garder une distance raisonnable entre vous. Finissant par t’immobiliser après avoir gratter quelques mètres, en prenant tout ton temps. «Qui es-tu, être de la forêt ? » Ta voix croasse, comme si ces trois mots te coûtent bien trop d’énergie à prononcer et te brûlent la gorge, ta tête légèrement penchée sur le côté et tes yeux fouaillant autour de toi, comme pour chercher sa présence.
Tu t’es sans doute un peu trop écartée de ton campement lors de ton escapade, prenant le risque de croiser un bipède, tu n’es pas une créature sociable, alors lorsqu’il demande s’il y a quelqu’un, tu te contentes d’un haussement d’épaule, sans savoir si cet individu est assez proche ou non pour te voir. Mais prudente, tu le cherches, les gens que tu croises ont souvent beaucoup de mots assez peu flatteurs pour décrire tes yeux qui ne voient rien. Les iris et les pupilles ne sont plus démarquées, recouvertes d’un épais voile laiteux peinant à se distinguer du blanc de l’œil, donnant une impression étrange de vide, créant quelque chose sans émotion, c’est ce qu’ils disent en tout cas et tu n’iras pas les contredire. Mais ils s’accordent à dire que cela rend service à ce que tu es, te nimbant encore davantage de mystère et de surnaturel. En somme ? Cela ne te rend pas plus aimable, et cela te va bien.
Tu t’approches donc, portée par ta curiosité, trop tard pour t’éloigner. Tes longs doigts fins et abîmés glissent sur l’écorce des troncs et les branches, tu n’es pas la créature la plus vive de la forêt de toute évidence, tu te contentes de faire au rythme imposé par ton handicap, mais tout trahit en toi que l’idée d’avoir de la pitié pour toi sera une grossière erreur.
Sentant que tu t’approches, sans savoir à quel point, tu finis cependant par t’arrêter avant de prendre le risque de trébucher sur le malheureux, préférant garder une distance raisonnable entre vous. Finissant par t’immobiliser après avoir gratter quelques mètres, en prenant tout ton temps. «
Promenade Sylvestre ?
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