{"name":"GroupPerso","value":"cerah"},{"name":"ChampTitre","value":"tout vient à point à qui sait attendre"},{"name":"prenomPerso","value":"Archambault"},{"name":"nomPerso","value":""},{"name":"titreperso","value":"le grand cuisinier très fort on sait pas pourquoi"},{"name":"originefeat","value":"Reinhardt demon lord skin"},{"name":"nomfeat","value":"Overwatch"},{"name":"iconfiche","value":"https://www.zupimages.net/up/24/37/tcn7.png"},{"name":"racePerso","value":"tezcatol"},{"name":"ageperso","value":"61 ans"},{"name":"metierPerso","value":"cuisinier"},{"name":"LieuNaissance","value":"jungle tropicale des royaumes oubliés"},{"name":"genreperso","value":"masculin"},{"name":"pronomsperso","value":"il"},{"name":"orientationperso","value":"pansexuel"},{"name":"manicheismeperso","value":"Acédie / Paresse"},{"name":"magieperso","value":"corps et perceptions — force"},{"name":"aptitudeperso","value":"mémoire guerrière"},{"name":"habilitesperso","value":"En dépit de votre éveil qui aurait pu, pour tout ce que vous savez avec certitude, survenir après des jours, vous êtes fort bien bâti, et sentez des muscles indéniablement travaillés remuer à chacun de vos mouvements. De surcroît, vos réflexes habiles vous surprennent vous-même ; vous vous sentez l’âme d’un guerrier chevronné pas même lésé par un sommeil prolongé, combattant émérite, vainqueur indétrônable de moult conquêtes et affrontements dont la difficulté ne semble pas vous avoir marqué tant vous peinez à vous remémorer vos tours de force martiaux. Cet état morphologique ne colle pas avec le peu de souvenirs qui subsistent tant bien que mal dans votre caboche amochée, mais vous vous accrochez à ceux-ci d’une poigne féroce. Vous vous dotez d’une assurance à toute épreuve : vous êtes convaincu que vous percerez les mystères autour de vos compétences anatomiques et combatives singulières… Pour l’heure, vous êtes plus que satisfait d’être en mesure de vous défendre efficacement vous-même ; vous n’omettez toutefois pas que vous n’êtes pas seul acteur de cet aboutissement physique remarquable : la nature vous a doté d’une stature bien intimidante qui se suffit à elle seule. Cela en deviendrait presque comique malgré tout ; vous pourriez écraser à la force seule de vos bras massifs une pauvre pomme lancée en votre direction et saisie au vol indépendamment de votre volonté —réactivité impressionnante oblige— tant vos bras semblent avoir été entretenus pour anéantir ! Vous, vous vous rappelez simplement les avoir exploités derrière les fourneaux à couper frénétiquement multitude de tubercules. Vous pourriez vous servir de ce formidable don afin d’aider ceux qui ont accepté de vous recueillir et participer à la vie commune si seulement la motivation n’était pas régulièrement aux abonnés absents..."},{"name":"tailleperso","value":"218 cm"},{"name":"poidsperso","value":"124 kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"peau de couleur rouge légèrement plus foncée au niveau des genoux, coudes et extrémités des cornes · deux épaisses cornes · tatouages blancs qui émanent du sternum, au bas du dos et sur les biceps · barbe hollandaise blanche très fournie · oreilles pointues et percées · yeux roses fonctionnels mais dépourvus d’iris ·"},{"name":"factsperso","value":"true neutral · acts of service · le plus grand des carnistes · maître des soupes · se tresse la barbe quand il s’ennuie · gaga des animaux de compagnie · asexuel · aucune compétence martiale malgré ses gros bibis disons qu’il peut juste mettre des grosses claques · can’t read social cues · fan de pêche (aux poissons) · grande endurance pour quoi vider quinze courges d’affilée ? · sait difficilement soutenir un regard · un peu un himbo quoi faut pas le dire · a le crush facile mais ne sait pas 1. draguer et 2. le reconnaître · déteste les jeux de réflexion · aime bien les alcools sombres genre la prune de papy au sous-sol depuis 12 ans · boit raisonnablement on est sérieux ici · facilement agacé par les beuglements d’enfants mais ne dira jamais rien et est très protecteur envers eux mais bon des fois ça casse les oreilles quoi ·"},{"name":"traitcaract","value":"procrastinateur · indolent · oisif · hédoniste · obtus · crédule · flegmatique · entêté · franc · spontané · modeste · tolérant · concis · patient · loyal· impartial · protecteur ·"},{"name":"caractereperso","value":"Votre propension à l’atermoiement vous met fréquemment dans l’embarras tant les tâches qui vous sont confiées s’achèvent bien souvent avec un délais additionnel que vous vous octroyez vous-même. Vous parvenez parfois, en puisant dans une source d’énergie férocement gardée, à accomplir en temps et en heure les devoirs qui vous incombent, au prix d’une lassitude agaçante puisque vous avez en absolue horreur d’être contraint à la tâche. Vous êtes un électron libre mû par des valeurs vous appartenant qui, bien qu’elles puissent être associées à une ligne de conduite honorable et philanthrope, entrent en conflit direct avec ce désir assumé de mener votre existence comme vous l’entendez, et pas autrement ! Partisan du moindre effort, vous êtes aisément bouleversé si jamais l’on vient à interrompre une sieste amplement méritée ou un succulent repas, vous réfugiant occasionnellement dans l’agréable réconfort des plaisirs gustatifs et festifs, avec tempérance néanmoins ! Vous ne supportez pas vous donner en spectacle. Ce refus de vous mêler davantage à la vie en collectivité prend sans doute racines derrière une grande modestie et indiscutable timidité.\r\n\r\nVous prétendez jamais n’avoir suffisamment de temps à accorder à l’exécution des missions qui vous barbent, pour autant l’on s’accorde à reconnaître que vous ne lésinez pas sur les occupations secondaires qui semblent éveiller en vous un intérêt frémissant. Si les interactions sociales ne vous contrarient pas en elles-mêmes, vous admettez de bonne foi que vous appréciez cependant vous recueillir dans votre petit jardin secret afin de vous ressourcer, s’adonner à des pratiques que vous avez choisies de votre propre chef ! Vous savez apprécier la présence d’autrui ; vous avez en revanche du mal à supporter les échanges inintéressants répétés et, conscient de votre manque de tact, sans doute n’osez-vous guère exprimer ce malaise grandissant par peur de chagriner tant votre langue franche se dénoue avec maladresse et votre prédisposition à la concision pousse à la méprise.\r\n\r\nVous êtes en tout temps d’un calme olympien. Les malins qui cherchent à vous décontenancer se fatiguent à la tâche en règle générale. La colère, quant à elle, ne se lit pas sur votre front, vos lippes ne se déforment pas sous la tristesse, et votre esprit semble ignorer la signification des mots « échec » et « abandon ». Vous êtes extraordinairement doué pour remonter le moral d’autrui, car bien qu’une telle entreprise s’annonce possiblement laborieuse, vous êtes enclin à sacrifier votre temps et énergie —avec raisonnabilité— dans le but d’extirper un individu des griffes du désespoir. C’est une aptitude dont vous usez avec parcimonie ; votre bonté a des limites —telles que la flemme, la fatigue ou l’incompréhension. Vous semblez de fait d’un naturel détaché et peu regardant sur votre environnement ; en réalité, vous condamnez les actes malveillants et vous sentez parfois l’âme d’un héros voguant au secours de la veuve et de l’orphelin —vous pourriez sans nul doute disposer des vilains d’un revers de la main de surcroît. Vous menez cependant rarement vos lubies à fruition.\r\n\r\nVous êtes grand et fort, ainsi vous ne craignez personne —parfois ne saisissez-vous tout simplement pas à quel moment opportun se méfier d’autrui. Vous n’avez jamais flirté avec la susceptibilité, pour autant vous affubler d’un terme visant à moquer vos capacités intellectuelles, par exemple, vous ferait presque sortir de vos gonds. Vous n’êtes certes pas l’acajou le plus massif de la jungle tropicale des royaumes oubliés, mais jusqu’à preuve du contraire, la perspicacité n’est pas une qualité sine qua non à la réussite et au renom d’un individu  —bien que vous ne recherchiez activement ni l’un ni l’autre. En effet, de votre simplicité découlent de multiples attributs précieux : la tolérance et l’impartialité, car vous jugez impensable de ternir la réputation par simples idées reçues, de vous méfier à outrance. En toute honnêteté, vous oubliez facilement de faire appel à vos bas instincts ; cette omission est tout simplement innée chez vous ! Quant à la raison principale, bien moins respectable : vous n’avez pas de temps à perdre en sottises pareilles. Au diable les céphalées à force de réflexions répétées ! Si l’on s’en montre digne, vous devenez un allié fidèle et dévoué —si tant est qu’on fasse preuve de compréhension à l’égard de votre mode de vie peu orthodoxe, autrement vous n’allez certainement pas vous faire prier.\r\n\r\nIl vous arrive quelquefois de faire preuve d’entêtement ou de spontanéité de manière inattendue, lorsque les astres sont alignés et que vous vous êtes levés du bon pied —ou l’inverse. La paresse guide votre corps mais vous semblez en mesure de vous en défaire exceptionnellement : vous êtes un minimum lucide au sujet de ce vilain défaut. Pour autant, les vieilles habitudes ont la vie dure… Et vous vous aimez bien comme vous êtes."},{"name":"histoireperso","value":"Vous vous éveillez à l’ombre d’un arbre singulier, extirpé de ce somme piqué selon vos propres caprices. Seulement, vous éprouvez un mal de chien à vous remémorer ce qui a bien pu vous pousser à vous recueillir hors de votre douillet matelas, bien qu’il arrive éventuellement, vous en convenez, que vous vous réfugiez sur la terre humide, bercé par l’odeur de pétrichor ou de sève, à même le sol pour une courte sieste après de pénibles efforts. Peut-être avez-vous cette fois-ci abusé du repos, car votre esprit embrumé peine à vous remettre sur la route des besognes matinales qui vous ont été confiées —vous supposez. Après d’atroces réflexions interminables, vous finissez par partir du principe qu’il s’agit d’un jour bienheureux où vous avez tout simplement quitté votre jolie maison de votre propre chef afin de s’atteler à vos propres envies. En revanche, quelques détails clochent... Théâtralement, vous portez votre main à votre menton, et finalement vous mettez à balayer votre environnement du regard. Le soleil est bien haut ; la matinée est donc achevée depuis belle lurette. La végétation ne ressemble à rien que vous jugez connaître —car en réalité présentement, vous avez l’impression que tout vous est étranger. Perdu et confus, vous êtes de surcroît peu équipé, dans la mesure où vous seriez dans la nécessité de vous défendre. Curieusement, vous pressentez toutefois que là où vous vous trouvez, vous n’avez rien à craindre. Quoiqu’il en soit, de quel genre de prouesses physiques serait capable un cuistot tel que vous ? Vous paraissez bien fort il est vrai, peut-être étiez-vous simplement un as de l’épluchage.\r\n\r\nPeu importe où vous vous situez actuellement, il est grand temps de vous remettre en route ; vous ne pouvez pas vous être égaré si loin de votre lieu de vie, bien que vous admettiez qu’il soit particulièrement ardu de se repérer là où rien ne vous est familier. Vous avancez, agacé de ne décidément rien saisir à la situation, mais se faisant vous vous enfoncez vers on ne sait où, obnubilé par les arbres majestueux. Bientôt, des signes de vie se présentent sur votre chemin, que vous remarquez de justesse tant votre cœur semble tenter d’insuffler d’incompréhensibles réminiscences tandis que vos pieds remuent machinalement. Alors que tout essaie désespérément de vous pousser à une nouvelle fois lever les yeux, vous vous concentrez sur cette grossière barrière faite de bois posée là afin d’indiquer le sentier à suivre. Ah, si seulement vous posiez votre regard sur ces astucieuses maisons greffées à la surface de l’écorce de ces solides arbres, si haut qu’elles semblent hors de portée de tout danger —ce serait parfait pour vous qui n’aspirez qu’à vivre sereinement à l’écart des tracas. Vous forcez vos méninges à déduire la prochaine étape à suivre avant de tout simplement vous asseoir en tailleur au milieu de la route, contrarié ; vous voulez rentrer maintenant tout de suite, cette exploration a assez duré. Un spectacle qui amuse la voix qui s’élève derrière vous et vous fait sursauter. Une plante bénie de parole ! Oui, vraiment, vous êtes tombé dans un lieu saugrenu !\r\n\r\nUne créature végétale, humanoïde, vraisemblablement apte à lire votre désarroi grandissant, d’une bonté remarquable accepte de vous glisser quelques indications, qui toutefois n’ont pour ultime conséquence que de vous assommer sous davantage de questions intérieures. Vous suivez le doigt de l’individu qui semble pointer vers un poteau en bois que vous n’aviez pas vu jusqu’à présent, puis votre saint sauveur remue brièvement, un peu exaspéré, pour vous intimer d’observer au-delà ; effectivement, vous ne vous étiez pas aperçus de ces constructions formidables ! Diantre, votre sens de l’observation vous fait bien défaut… Soudainement une idée germe dans votre esprit en ébullition ; peut-être avez vous eu un épisode inédit de somnambulisme où vous auriez voyagé à votre insu toute une nuit durant, voire plus ! Vous partagez cette réflexion absurde à l’homme-plante qui se tient face à vous et se contente de vous regarder d’un air perplexe avant de vous offrir l’hospitalité du moins pour ce jour ; il exprime vouloir en premier lieu s’enquérir de votre inoffensivité. Vous acquiescez qu’il est plus sage d’agir ainsi sans doute, et vous efforcez de vous afficher sous votre meilleur jour —mais au fond vous avez juste envie de reposer vos guibolles, boire un coup et qu’on cesse de vous marteler de questions auxquelles vous n’avez pas les réponses. L’idée de partager la demeure d’un parfait inconnu suffit à vous rendre nerveux, et si votre instinct de survie n’est pas le plus aiguisé, votre sommeil ainsi que votre estomac s’en porteront bien mieux en acceptant cette main tendue.\r\n\r\nVous suivez sans vous perdre en questions encombrantes votre guide fait de feuilles et de lianes, disposé à profiter de là où le vent vous mènera puisque ce bois insolite semble aux antipodes de l’hostilité et que vous êtes chagriné à l’idée de dorénavant —cette sensation sournoise s’est accrochée à vous et depuis ne vous lâche plus— ne plus avoir d’endroit à considérer comme votre foyer. En trajet, vous sentez des regards curieux s’abattre sur vous, mais plus fâcheux encore, vous ne distinguez aucun de vos semblables. Vous songez à nouveau à cette idée farfelue de somnambulisme que vous oubliez très vite ensuite lorsque votre bon-samaritain vous propose de grimper dans un ascenseur en bois, ingénierie très sommaire mais pour le moins efficace, qui ensuite vous mène au niveau supérieur. Vous êtes accueilli dans l’antre d’un botaniste, et enfin pouvez reposer votre dos meurtri par la route et les multiples découvertes inattendues depuis votre éveil en Arathia.\r\n\r\nPar la suite, et après un repos indispensable, vous montrez patte blanche afin que la communauté Ceranne accepte de vous laisser vivre à leurs côtés le temps de rebondir et de développer vos affinités avec ce nouveau continent. Vous êtes mis au fait des mœurs du peuple qui vous héberge progressivement, difficilement vous vous pliez à leur mode de vie qui par moments vous semble familier, puis d’autres vous inconforte. D’un côté, vous êtes ébloui par tous ces nouveaux aliments qui ne demandent qu’à passer sur vos fourneaux, et votre esprit est saturé de nouvelles expériences culinaires potentielles. Quelquefois, cette idée de vie nomade répandue en ces lieux vous laisse dubitatif : vous ne voulez pas avoir à courir partout et exigez d’être en mesure de vaquer à vos propres occupations. Cette coutume ceranne de redevance est si forte que vous sentez bien que vous allez devoir exprimer votre gratitude d’une manière ou d’une autre avant de chercher à vous établir dans un village où les valeurs s’alignent plus fidèlement avec les vôtres.\r\n\r\nVous pourriez souffrir de cette isolation et de cette amnésie, mais vous parvenez à voir le bon côté de cette mésaventure : peut-être votre vie antérieure ne vous satisfaisait-elle pas, que vous n’aviez pas même la possibilité de vous recueillir sans que l’on vienne vous chercher par la peau des fesses pour vous traîner ailleurs. Brièvement parfois votre cœur se serre, car vous non plus n’êtes pas exempt de ce besoin d’appartenance et de vie en communauté en dépit de vos lacunes en compétences relationnelles ; il est possible que vous ayez abandonné à votre insu une dulcinée ou un fiancé, mais puisque vous ne vous en souvenez guère, nul besoin de se ronger les sangs. Vous venez tout juste d’arriver, et cette hospitalité si gracieusement offerte vous touche ; vous ne comptez pas laisser des différences raciales se mettre en travers de possibles relations amicales ! Vous en aurez sans doute bien besoin pour démarrer votre nouvelle vie en Arathia. Mais ce sera un tracas remis à plus tard, une problématique à la fois : c’est bien éreintant de planifier une nouvelle vie !"},{"name":"pseudoJoueur","value":" liv"},{"name":"pronomsJoueur","value":" il"},{"name":"TrucADire","value":" j'ai testé un nouveau style si c'est trop pénible à lire je change sans problème!!"}