Alberich
Attendez, j'vous connais ! [ft. Subah'tan]
Alberich
Alberich
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
Armure du Buffle
Âge :
348 ans
Race·s :
Homme-bête, Maudit
Particularités de la race :
Darragh
Métier :
Chevalier Saint
Magie·s :
Magie Grise Légale - Bestiale - Langue sauvage
Nom de l'oeuvre :
Elden Ring
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Maliketh
Manichéisme :
colère
Liges :
430
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"Armure du Buffle","age":"348 ans","races":"Homme-bête, Maudit","metier":"Chevalier Saint","magies":"Magie Grise Légale - Bestiale - Langue sauvage","manicheisme":"colère","taille":"232cm","poids":"140kg","orientation":"Selon l'instinct","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1358-alberich-preying-on-yo","nomdeloeuvre":"Elden Ring","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Maliketh","icon":"https://zupimages.net/up/24/34/r2us.png","iconalt":"","autrescomptes":"Varin\nAmset"}
Alberich
dévoiler
masquer
Alberich
- message #11351
feat.
Subah'tan
Alberich se surprend à adorer Cerah bien plus qu'il ne l'aurait pensé. C'est très certainement car voir une nature vivante, florissante, en pleine santé, c'est un énorme changement par rapport au paysage désolé d'Ananda. Ça, et puis son ascendant darragh, mi-animal mi-plante. Si son corps corrompu n'est plus couvert que de ronces et d'épines depuis pratiquement trois siècles, ça n'empêche pas qu'il ressent encore un profond lien avec les plantes autour de lui. Les sentir en si bonne forme ici lui fait du bien. Il n'a aucune crise de douleur depuis qu'il est là, si on oublie celle causée par une plante avant que Solmari ne le sauve de là.
Il aurait bien envie de s'installer ici, mais il ne peut lutter contre son instinct de protection de son chez lui, d'Ananda. Il veut défendre les gens, tuer les créatures qui rôdent dans les marais, et il ne peut donc pas s'éterniser à Cerah. Il doit rentrer. Mais avant ça, il s'est donné la mission de chercher des traces des élus, près de l'Arbre Millénaire. Il n'a aucun doute qu'au moins l'un d'entre eux doit être curieux de son lien avec lui, et donc venir pour essayer de comprendre. On ne sait jamais, des fois même que l'un d'eux se trouve sur place actuellement...
Il respire profondément, autant pour profiter de l'air pur que pour repérer les odeurs autour de lui. Tant d'arômes, de senteurs uniques... ça change de l'odeur de mort permanente qui plane chez lui. Il repère les odeurs des animaux passés là il y a peu, celles de quelques humains, et puis cette fraîcheur qui vient des arbres, de l'herbe sous ses pas... Il se sent chez lui, finalement. Dommage que ça ne le soit pas réellement, à ses yeux. Quoiqu'on lui dise, il ne s'enlèvera pas de la tête que son rôle est de protéger ceux d'Ananda.
Son corps difforme s'adapte mal à son armure, qu'il serait bien temps de changer vu comme elle est abîmée et ne correspond plus à sa morphologie. Il marche pieds -ou plutôt pattes- nus, et il peut sentir l'humidité de la rosée. Il est encore tôt, et il se remet d'une nuit plus ou moins agréable, puisqu'il ne dort jamais profondément sauf lorsqu'il est en parfaite sécurité, comme dans le quartier général des chevaliers saints. Ou quand Solmari veillait sur lui. Il n'avait pas quitté l'invocateur de bon cœur, mais il n'allait pas non plus rester vers lui un temps infini. Maintenant, il allait vers l'Arbre Millénaire.
Une odeur curieuse attire son attention, quelque chose qui sent plus le prédateur. Curieux, il en approche, lentement, trouvant vite une odeur tout aussi fraîche : celle d'un humanoïde qu'il n'arrive pas à identifier mais qui titille sa mémoire. En approchant encore, il finit par remarquer un animal, là, dos à lui, tapis dans l'ombre des buissons et fixant un homme-bête dans la petite clairière qui s'ouvre à eux. Sans réfléchir plus longtemps, le maudit se met à grogner pour alerter l'animal, qui fait volte face d'un bond pour fixer celui qui le menace.
Oh.
Ces yeux. Ces cornes. Ces plantes.
Un darragh ?
Mais déjà, l'animal fuit à toutes pattes face à Alberich, bien plus massif que son ascendant animal, mais aussi bien plus monstrueux. Il reste interdit un moment, réalisant que c'est la première fois qu'il croise un représentant de son espèce, mais finit par revenir à l'homme-bête qui l'a forcément entendu grogner. Il approche donc, cherchant à parler de sa voix la moins menaçante possible.
- Je te veux rien. Mais un prédateur te menaçait.
Ou pas ?.. Il le sait du peu de souvenirs qu'il lui reste de ses parents, les darraghs ne sont pas agressifs, si ce n'est pour ceux envahissant leur territoire. Peut-être surveillait-il simplement que cet homme ne venait pas troubler la tranquillité de l'endroit. Le maudit n'en sait rien, mais la rencontre l'a troublé. Et cet homme, là, devant lui...
Un hybride tigre, visiblement, avec une belle fourrure blanche aux oreilles et à la queue, de ce qu'il voit... et puis ces yeux, cette odeur. Il le connaît, non ? Il n'arrive pas à remettre le doigt dessus et sa confusion se voit, lorsqu'il se met à le renifler de plus près, sans doute menaçant pour la plupart des gens. Mais non, Alberich essaie juste de mieux capter chaque senteur de cette personne, pour aider sa mémoire fatiguée par le temps et la malédiction. Il se fie bien plus à son nez qu'à sa vue.
Il aurait bien envie de s'installer ici, mais il ne peut lutter contre son instinct de protection de son chez lui, d'Ananda. Il veut défendre les gens, tuer les créatures qui rôdent dans les marais, et il ne peut donc pas s'éterniser à Cerah. Il doit rentrer. Mais avant ça, il s'est donné la mission de chercher des traces des élus, près de l'Arbre Millénaire. Il n'a aucun doute qu'au moins l'un d'entre eux doit être curieux de son lien avec lui, et donc venir pour essayer de comprendre. On ne sait jamais, des fois même que l'un d'eux se trouve sur place actuellement...
Il respire profondément, autant pour profiter de l'air pur que pour repérer les odeurs autour de lui. Tant d'arômes, de senteurs uniques... ça change de l'odeur de mort permanente qui plane chez lui. Il repère les odeurs des animaux passés là il y a peu, celles de quelques humains, et puis cette fraîcheur qui vient des arbres, de l'herbe sous ses pas... Il se sent chez lui, finalement. Dommage que ça ne le soit pas réellement, à ses yeux. Quoiqu'on lui dise, il ne s'enlèvera pas de la tête que son rôle est de protéger ceux d'Ananda.
Son corps difforme s'adapte mal à son armure, qu'il serait bien temps de changer vu comme elle est abîmée et ne correspond plus à sa morphologie. Il marche pieds -ou plutôt pattes- nus, et il peut sentir l'humidité de la rosée. Il est encore tôt, et il se remet d'une nuit plus ou moins agréable, puisqu'il ne dort jamais profondément sauf lorsqu'il est en parfaite sécurité, comme dans le quartier général des chevaliers saints. Ou quand Solmari veillait sur lui. Il n'avait pas quitté l'invocateur de bon cœur, mais il n'allait pas non plus rester vers lui un temps infini. Maintenant, il allait vers l'Arbre Millénaire.
Une odeur curieuse attire son attention, quelque chose qui sent plus le prédateur. Curieux, il en approche, lentement, trouvant vite une odeur tout aussi fraîche : celle d'un humanoïde qu'il n'arrive pas à identifier mais qui titille sa mémoire. En approchant encore, il finit par remarquer un animal, là, dos à lui, tapis dans l'ombre des buissons et fixant un homme-bête dans la petite clairière qui s'ouvre à eux. Sans réfléchir plus longtemps, le maudit se met à grogner pour alerter l'animal, qui fait volte face d'un bond pour fixer celui qui le menace.
Oh.
Ces yeux. Ces cornes. Ces plantes.
Un darragh ?
Mais déjà, l'animal fuit à toutes pattes face à Alberich, bien plus massif que son ascendant animal, mais aussi bien plus monstrueux. Il reste interdit un moment, réalisant que c'est la première fois qu'il croise un représentant de son espèce, mais finit par revenir à l'homme-bête qui l'a forcément entendu grogner. Il approche donc, cherchant à parler de sa voix la moins menaçante possible.
-
Ou pas ?.. Il le sait du peu de souvenirs qu'il lui reste de ses parents, les darraghs ne sont pas agressifs, si ce n'est pour ceux envahissant leur territoire. Peut-être surveillait-il simplement que cet homme ne venait pas troubler la tranquillité de l'endroit. Le maudit n'en sait rien, mais la rencontre l'a troublé. Et cet homme, là, devant lui...
Un hybride tigre, visiblement, avec une belle fourrure blanche aux oreilles et à la queue, de ce qu'il voit... et puis ces yeux, cette odeur. Il le connaît, non ? Il n'arrive pas à remettre le doigt dessus et sa confusion se voit, lorsqu'il se met à le renifler de plus près, sans doute menaçant pour la plupart des gens. Mais non, Alberich essaie juste de mieux capter chaque senteur de cette personne, pour aider sa mémoire fatiguée par le temps et la malédiction. Il se fie bien plus à son nez qu'à sa vue.
Attendez, j'vous connais ! [ft. Subah'tan]
|
|