Órfhlaith
La paresse est un lit où la luxure se couche volontiers. - Luan.
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informations
Race·s
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Featuring
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icon :
Titre du joueur :
Élue de la Luxure - Souveraine des bas-fonds
Âge :
350 ans
Race·s :
Anarkhia
Particularités de la race :
Métisse (Celeste/Elfe)
Métier :
Élue ?
Magie·s :
Magie Grise Illégale - Contrôle - Incitation
Nom de l'oeuvre :
Charlie Bowater
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Choreomania
Manichéisme :
luxure
Liges :
1650
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Órfhlaith
- message #11329
feat.
Luan
Été 85.
L’un de ces merveilleux après-midi d’été ensoleillé mais pas étouffant, même si l’humidité apportée par les arbres et les ruisseaux rend l’air étrange et un peu lourd. Tu as dû troquer tes lourdes étoffes pour quelque chose de différent, évanescent, plus impudique pour ne pas souffrir de ce climat. Délaissant un peu tristement tes toges, pour simplement rester dans l’une de tes tuniques longues, en mousseline de soie. D’ordinaire tu te serais sentie gênée, étrangement alors que tu es loin d’être à moitié nue, tu es une fille de la saison estivale, alors tu relègues la pudeur à la partie de toi qui a été autrefois bénie par la Chasteté.
Cette rencontre a un goût de secret, dans un endroit un peu reculé, loin de tout ou presque, à l'abri des regards et des oreilles. Tout à été soigneusement orchestré pour votre confort. Cela se résume en un mot, l’amimétobie, mais est-ce anormal pour les êtres presque divins que vous êtes ? Toi qui a l’intention de durer en satisfaisant le moindre des caprices de la déesse fantasque, c’est tout ce dont tu peux rêver à l’heure actuelle.
Ton âme indolente se reconnaît aisément dans les vices offerts par la Paresse et tu ne comptes rien faire de plus que de te laisser faire - ou presque - dans cette entrevue. Cela ne t’inquiète pas le moins du monde, la Paresse ne saurait te nuire, le voilà le seul péché que tu ne crains pas et qui ne peut rien te faire. Ne dit-on pas que quand l'âme est paresseuse, le corps s'abandonne à la luxure, car le vide appelle toujours des désirs démesurés ? L’idée d’un semblant de pouvoir te fait étirer un sourire.
Tu profites des fruits mûrs mis à ta disposition, ainsi que de ce vin doux et sucré. L’ambroisie et le nectar divin. Le tout avec une certaine modération, voulant garder l’esprit clair et éveillé. Occupant ton esprit par un livre. Malgré toute cette délicate prudence, la chaleur n’aidant pas, tu finis inévitablement par piquer du nez, tombant dans les bras d’une divinité mineure du sommeil.
Plongée dans un demi-sommeil, qui te donnerait presque l’air innocent lorsque tu te couches, tu ne rêves de rien, t’accordant simplement ce temps mort dans ta journée. Tu t’éveilles lentement lorsque tu perçois un bruissement dans l’herbe environnante, un œil s’ouvre, puis l’autre, nullement troublée d’avoir été ainsi dérangée, ni même d’avoir été surprise en délit de paresse. En retard ? Ce n’est guère étonnant, tu n’en attendais pas moins de la paresse. «Bonjour. » Une petite salutation charmante, encore ensommeillée, alors étalée sur le dos, profitant largement du confort des tapis, couvertures et autres coussins, visiblement tu as su t’occuper avec la nourriture, les livres et le reste laissé à ta disposition. Ta garde est invisible, tu es donc seule en tout cas en apparence.
Vous avez eu le temps de communiquer épistolairement avant de vous rencontrer, assez pour passer rapidement le moment des présentations, toujours un peu gênant et désagréable, assez peu pour garder un soupçon de mystère et attiser votre curiosité. De toute évidence aucune de vos lettres n’ont été écrites par vos mains, cette tâche ingrate sans doute reléguée à une main digne décrire vos paroles.
L’un de ces merveilleux après-midi d’été ensoleillé mais pas étouffant, même si l’humidité apportée par les arbres et les ruisseaux rend l’air étrange et un peu lourd. Tu as dû troquer tes lourdes étoffes pour quelque chose de différent, évanescent, plus impudique pour ne pas souffrir de ce climat. Délaissant un peu tristement tes toges, pour simplement rester dans l’une de tes tuniques longues, en mousseline de soie. D’ordinaire tu te serais sentie gênée, étrangement alors que tu es loin d’être à moitié nue, tu es une fille de la saison estivale, alors tu relègues la pudeur à la partie de toi qui a été autrefois bénie par la Chasteté.
Cette rencontre a un goût de secret, dans un endroit un peu reculé, loin de tout ou presque, à l'abri des regards et des oreilles. Tout à été soigneusement orchestré pour votre confort. Cela se résume en un mot, l’amimétobie, mais est-ce anormal pour les êtres presque divins que vous êtes ? Toi qui a l’intention de durer en satisfaisant le moindre des caprices de la déesse fantasque, c’est tout ce dont tu peux rêver à l’heure actuelle.
Ton âme indolente se reconnaît aisément dans les vices offerts par la Paresse et tu ne comptes rien faire de plus que de te laisser faire - ou presque - dans cette entrevue. Cela ne t’inquiète pas le moins du monde, la Paresse ne saurait te nuire, le voilà le seul péché que tu ne crains pas et qui ne peut rien te faire. Ne dit-on pas que quand l'âme est paresseuse, le corps s'abandonne à la luxure, car le vide appelle toujours des désirs démesurés ? L’idée d’un semblant de pouvoir te fait étirer un sourire.
Tu profites des fruits mûrs mis à ta disposition, ainsi que de ce vin doux et sucré. L’ambroisie et le nectar divin. Le tout avec une certaine modération, voulant garder l’esprit clair et éveillé. Occupant ton esprit par un livre. Malgré toute cette délicate prudence, la chaleur n’aidant pas, tu finis inévitablement par piquer du nez, tombant dans les bras d’une divinité mineure du sommeil.
Plongée dans un demi-sommeil, qui te donnerait presque l’air innocent lorsque tu te couches, tu ne rêves de rien, t’accordant simplement ce temps mort dans ta journée. Tu t’éveilles lentement lorsque tu perçois un bruissement dans l’herbe environnante, un œil s’ouvre, puis l’autre, nullement troublée d’avoir été ainsi dérangée, ni même d’avoir été surprise en délit de paresse. En retard ? Ce n’est guère étonnant, tu n’en attendais pas moins de la paresse. «
Vous avez eu le temps de communiquer épistolairement avant de vous rencontrer, assez pour passer rapidement le moment des présentations, toujours un peu gênant et désagréable, assez peu pour garder un soupçon de mystère et attiser votre curiosité. De toute évidence aucune de vos lettres n’ont été écrites par vos mains, cette tâche ingrate sans doute reléguée à une main digne décrire vos paroles.
La paresse est un lit où la luxure se couche volontiers. - Luan.