Varín
informations
Race·s
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Featuring
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icon :
Titre du joueur :
Foudre de Guerre
Âge :
77
Race·s :
Draconide
Particularités de la race :
Laerte
Métier :
soldate
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Vol
Nom de l'oeuvre :
Final Fantasy XIV
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Sadu
Manichéisme :
colère
Liges :
6685
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Lilienthal Feliisythar
Promis, je suis blanc comme neige
feat. Varin
La main sur ton dos, immense mais délicate, te tire un soupir de bien-être. Sur les écailles et contre la peau, la sensation est différente mais les deux sont agréables. Un échange, tes caresses dans ses cheveux, celles qu’il t’offre, les deux avec une douceur qui ne vous ressemble pas. Tu souris aux remerciements, rassérénée. Tu ne déranges pas, au contraire.
Il ne t’en faut pas beaucoup plus pour sombrer, accrochée à Varin, jusqu’à ta queue qui s’ancre autour de sa peau, mollement, comme pour t’assurer qu’il ne disparaîtra pas lui aussi. Sa chaleur, sa respiration, sa main, son cœur… Le bonheur parfois réside dans la simplicité.
Comme cette main dans tes cheveux, ces quelques paroles qui te tirent du sommeil. Tu grognes, soupires. Tu ouvres les yeux sur le visage du compagnon d’armes qui ne t’a pas lâché un seul instant, tu l’observes en silence, quelques secondes suspendues entre sommeil et éveil. Où tu ne sais pas quoi faire, comment réagir, où tes désirs se battent avec tes barrières intérieures.
Tu n’as pas envie que cette proximité entre vous soit une erreur de parcours.
Et tu ne sais pas quoi faire de ce sentiment, auquel tu n’as pas réellement appris à prendre garde ou à écouter.
Mais tu ne peux rester ainsi, suspendue entre deux idées, et tu te mets en mouvement. Peu gênée par ta nudité, tu te redresses, cherchant la joue du géant pour y poser un baiser lent.
“Merci pour hier.”
Tu t’échappes cependant. Un saut, pour descendre du lit, récupérer l’écharpes que tu noues à nouveau avec adresse. Vu la luminosité de la pièce… clairement, tu ne seras pas discrète à repartir de chez lui. Et qu’importe au fond ?
“Je laverai l’écharpe avant de te la rendre et… à charge de revanche !”
Il n’est pas encore sorti du lit que tu files déjà, préférant éviter toute conversation qui te ferait te questionner trop profondément ; tu n’as pas envie, juste de profiter de la chaleur qu’il a su ancrer en toi. Et si elle ne se dissipe pas… Tu aviseras à ce moment là.
Il ne t’en faut pas beaucoup plus pour sombrer, accrochée à Varin, jusqu’à ta queue qui s’ancre autour de sa peau, mollement, comme pour t’assurer qu’il ne disparaîtra pas lui aussi. Sa chaleur, sa respiration, sa main, son cœur… Le bonheur parfois réside dans la simplicité.
Comme cette main dans tes cheveux, ces quelques paroles qui te tirent du sommeil. Tu grognes, soupires. Tu ouvres les yeux sur le visage du compagnon d’armes qui ne t’a pas lâché un seul instant, tu l’observes en silence, quelques secondes suspendues entre sommeil et éveil. Où tu ne sais pas quoi faire, comment réagir, où tes désirs se battent avec tes barrières intérieures.
Tu n’as pas envie que cette proximité entre vous soit une erreur de parcours.
Et tu ne sais pas quoi faire de ce sentiment, auquel tu n’as pas réellement appris à prendre garde ou à écouter.
Mais tu ne peux rester ainsi, suspendue entre deux idées, et tu te mets en mouvement. Peu gênée par ta nudité, tu te redresses, cherchant la joue du géant pour y poser un baiser lent.
“Merci pour hier.”
Tu t’échappes cependant. Un saut, pour descendre du lit, récupérer l’écharpes que tu noues à nouveau avec adresse. Vu la luminosité de la pièce… clairement, tu ne seras pas discrète à repartir de chez lui. Et qu’importe au fond ?
“Je laverai l’écharpe avant de te la rendre et… à charge de revanche !”
Il n’est pas encore sorti du lit que tu files déjà, préférant éviter toute conversation qui te ferait te questionner trop profondément ; tu n’as pas envie, juste de profiter de la chaleur qu’il a su ancrer en toi. Et si elle ne se dissipe pas… Tu aviseras à ce moment là.
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Promis, je suis blanc comme neige [ft. Lilienthal]
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