Automne du Val
Sous les illusions, il paraîtrait que les yeux sont les fenêtres de l'âme. - Kaliene.
Automne du Val
Automne du Val
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
La sorcière aveugle
Âge :
250 ans
Race·s :
Fée
Particularités de la race :
Unseelie
Métier :
Herboriste
Magie·s :
Magie Noire - Mort - Nécromancie
Nom de l'oeuvre :
Le Vuong
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Clairvoyance
Manichéisme :
colère
Liges :
460
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"La sorcière aveugle","age":"250 ans","races":"Fée","metier":"Herboriste","magies":"Magie Noire - Mort - Nécromancie","manicheisme":"colère","taille":"180 cm","poids":"55 kg","orientation":"Nord-Ouest","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1329-i-m-blind-but-that-doesn-t-mean-i-can-t-see-you","nomdeloeuvre":"Le Vuong","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Clairvoyance","icon":"https://i.servimg.com/u/f29/19/56/15/07/image156.png","iconalt":"","autrescomptes":"Farah, Órfhlaith, Asrasterin du Néant"}
Automne du Val
dévoiler
masquer
Automne du Val
- message #11060
feat.
Kaliene
D’ordinaire tu fuyais la ville et plus particulièrement ses habitants, préfèrant les grandes étendues sauvages où tu es libre d’accomplir ton art et tu regretterais presque déjà ta solitude, qui elle ne te dérange pas, même lorsque tu es seule. Ici le bruit te semble assourdissant, les gens bien plus sauvages que la moitié des créatures que tu es susceptible de croiser dans les marécages, l’on te bouscule ou l’on te pousse ou bien est-ce toi, tu ne saurais le dire.
Privée de tes pantins tu dois arpenter les rues seule, une créature relevée attirerait inévitablement l’attention, les pavés par chance ne sont pas si peuplés que cela, bien que dans ces terres corrompues tu peines à distinguer les périodes de la journée, tu ne penses pas qu’il soit particulièrement tard ou tôt, mais tes sens peuvent largement de tromper.
Mais tu n’es pas ici pour très longtemps, simplement pour grappiller quelques informations sur la flore locale avant de replonger à coeur perdu dans les terres, loin de la foule hurlante et agitée. Tu essayes de faire avec les maigres informations dont tu disposes, cachant à merveille ce que tu es derrière l’une de tes illusions, t’offrant à la ville sous l’un des plus merveilleux jours que tu as connu, seule l’odeur que tu traînes te trahis, tu sens l’humus, la terre fraîchement retournée et une légère odeur de mort, pas ce que l’on attend d’une grande dame à l’air un peu étrange, fanée et esseulée dans une ville trop grande et labyrinthique.
Les doigts de ta main droite glissent sur la pierre, guidant ton chemin, tu avances un peu lentement tes yeux vert-de-gris figés avec détermination droit devant toi, l’illusion peut prêter à sourire pour ceux qui savent observer, mais il n’y a devant toi que les ténèbres. Un coup à gauche, trois coups à droite, jusqu’à parvenir à rejoindre une ruelle presque déserte. Un bruit attire ton attention, tu penches la tête sur le côté essayant d’en deviner la source mais sans succès. Peut-être un chat ou un chien fouillant une poubelle, mais rien de plus grand qu’un lapin adulte.. Probablement ?
Balayant cette pensée ridicule d’un geste agacé de la main tu poursuis ta route, jusqu’à te retrouver face à un dilemme, est-ce à droite ou à gauche qu’il faut tourner à présent ? N’ayant jamais été quelqu’un de très patient, tu finis par lâcher le mur, glissant une main dans ta besace tu allais ramener une corneille avant de te rendre compte de quelque chose, une impression étrange, indescriptible. Tu ne te sens pas aussi seule que tu le devrais, tu fais mine de te retourner et de scruter ton environnement sans parvenir à saisir l’endroit juste, fouillant là où tu as cru entendre le bruit sans te fixer sur la source, prête à produire une illusion qui fera détaler la menace.
Voilà une des autres raisons qui te poussent à haïr la ville, les coupes gorges, les gens mal intentionnés, les âmes plus sombres que la tienne, plus tourmentées aussi. Ceux qui sentent la faiblesse comme toi flaire les carcasses faisandées. Tu n'as rien à envier aux criminels hantant ses rues, tu es du même bois qu'eux et peut-être même pire. Si seulement tu te souvenais.
Ta voix éraillée finit par se montrer dans quelques mots qui n’ont rien d’aimable mais dont la plainte est largement audible. «Laissez-moi. » Une demande bien rauque, qui brûle ta gorge, qui correspond bien peu à l’apparence que l’illusion t'offre, mais qu’importe ! Tu ne veux pas être dérangée et tu le signales, que cette personne - à supposer que ça en soit bien une - soit bienveillante ou non.
Privée de tes pantins tu dois arpenter les rues seule, une créature relevée attirerait inévitablement l’attention, les pavés par chance ne sont pas si peuplés que cela, bien que dans ces terres corrompues tu peines à distinguer les périodes de la journée, tu ne penses pas qu’il soit particulièrement tard ou tôt, mais tes sens peuvent largement de tromper.
Mais tu n’es pas ici pour très longtemps, simplement pour grappiller quelques informations sur la flore locale avant de replonger à coeur perdu dans les terres, loin de la foule hurlante et agitée. Tu essayes de faire avec les maigres informations dont tu disposes, cachant à merveille ce que tu es derrière l’une de tes illusions, t’offrant à la ville sous l’un des plus merveilleux jours que tu as connu, seule l’odeur que tu traînes te trahis, tu sens l’humus, la terre fraîchement retournée et une légère odeur de mort, pas ce que l’on attend d’une grande dame à l’air un peu étrange, fanée et esseulée dans une ville trop grande et labyrinthique.
Les doigts de ta main droite glissent sur la pierre, guidant ton chemin, tu avances un peu lentement tes yeux vert-de-gris figés avec détermination droit devant toi, l’illusion peut prêter à sourire pour ceux qui savent observer, mais il n’y a devant toi que les ténèbres. Un coup à gauche, trois coups à droite, jusqu’à parvenir à rejoindre une ruelle presque déserte. Un bruit attire ton attention, tu penches la tête sur le côté essayant d’en deviner la source mais sans succès. Peut-être un chat ou un chien fouillant une poubelle, mais rien de plus grand qu’un lapin adulte.. Probablement ?
Balayant cette pensée ridicule d’un geste agacé de la main tu poursuis ta route, jusqu’à te retrouver face à un dilemme, est-ce à droite ou à gauche qu’il faut tourner à présent ? N’ayant jamais été quelqu’un de très patient, tu finis par lâcher le mur, glissant une main dans ta besace tu allais ramener une corneille avant de te rendre compte de quelque chose, une impression étrange, indescriptible. Tu ne te sens pas aussi seule que tu le devrais, tu fais mine de te retourner et de scruter ton environnement sans parvenir à saisir l’endroit juste, fouillant là où tu as cru entendre le bruit sans te fixer sur la source, prête à produire une illusion qui fera détaler la menace.
Voilà une des autres raisons qui te poussent à haïr la ville, les coupes gorges, les gens mal intentionnés, les âmes plus sombres que la tienne, plus tourmentées aussi. Ceux qui sentent la faiblesse comme toi flaire les carcasses faisandées. Tu n'as rien à envier aux criminels hantant ses rues, tu es du même bois qu'eux et peut-être même pire. Si seulement tu te souvenais.
Ta voix éraillée finit par se montrer dans quelques mots qui n’ont rien d’aimable mais dont la plainte est largement audible. «
Kaliene
Kaliene
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
La maîtresse sereine
Âge :
147 ans
Particularités de la race :
Unseelie
Magie·s :
Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Chakra
Nom de l'oeuvre :
League Of Legends
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Karma
Manichéisme :
luxure
Liges :
820
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"La maîtresse sereine","age":"147 ans","races":"","metier":"","magies":"Magie Grise Légale - Corps et perceptions - Chakra","manicheisme":"luxure","taille":"","poids":"","orientation":"","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1285-kaliene-transcendee#10583","nomdeloeuvre":"League Of Legends","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Karma","icon":"https://i.servimg.com/u/f21/19/32/14/66/kalien10.png","iconalt":"","autrescomptes":""}
Kaliene
dévoiler
masquer
Kaliene
Kaliene
- message #11304
Amsupolis n'était pas le genre de ville où il fait bon vivre, ça, Kaliene avait fini par le comprendre. Mais même dans ce genre de cité sombre et gangrenée par la corruption, il y avait tout de même du bon à trouver chez les personnes. N'était-ce pas ainsi qu'elle avait rencontré Liora ? Toujours était-il que la moniale préparait peu à peu son départ de la ville, pour où, elle ne savait guère, là où ses pas la porteraient probablement. Mais s'aventurer au dehors seule et sans préparation serait définitivement du suicide, même pour une adepte du combat comme elle.
Elle passait donc d'échoppe en échoppe, achetant avec ses maigres ressources de quoi survivre en extérieur. Un peu de fruits secs et de viande séchée feraient parfaitement l'affaire. Et à présent, elle se dirigeait vers le quartier marchand, non loin des fortifications extérieures de la ville, avec l'idée de se renseigner sur une possible prochaine caravane en partance pour un ailleurs qui lui rappellerait moins sa nature profonde. Lutter contre celle-ci lui prenait chaque jour des heures de méditations et d'entrainements physiques.
C'est là qu'elle croisa cette femme. D'ordinaire elle faisait rarement attention aux personnes qui croisaient sa route sans s'arrêter, bien qu'elle regarde tout le monde. Celle-ci avait quelque chose en plus... Une illusion ? Sa connaissance de sa propre magie naturelle lui permettait de plus aisément le ressentir. Qu'avait-elle à cacher ? Les illusions étaient toujours intrigantes, donnaient à penser concernant les raisons qui poussaient la personne à se dissimuler. Mais peu lui importait, elle se contenta de la dépasser au détour d'une ruelle avant que celle-ci ne l'interpelle. Mais était-ce vraiment à elle, la simple moniale, qu'elle s'adressait ?
" Ce n'est pas à moi que vous vous adressez, n'est-ce pas ? "
Le ton était doux, mais le corps de Kaliene était, lui, alerte. Elle savait cette ville regorger de coupe-gorge et de banditisme, alors peut-être certains avaient-ils vu là une opportunité en cette femme d'apparence fragile. Elle concentra son chi, laissant une aura quasi imperceptible émaner d'elle, alerte à son environnement, avant que les malandrins ne se montrent. Quatre hommes aux corpulences variées et maniant des armes de fortune.
" Allez mesdemoiselles, jetez donc votre argent et on vous fera pas mal. "
Elle passait donc d'échoppe en échoppe, achetant avec ses maigres ressources de quoi survivre en extérieur. Un peu de fruits secs et de viande séchée feraient parfaitement l'affaire. Et à présent, elle se dirigeait vers le quartier marchand, non loin des fortifications extérieures de la ville, avec l'idée de se renseigner sur une possible prochaine caravane en partance pour un ailleurs qui lui rappellerait moins sa nature profonde. Lutter contre celle-ci lui prenait chaque jour des heures de méditations et d'entrainements physiques.
C'est là qu'elle croisa cette femme. D'ordinaire elle faisait rarement attention aux personnes qui croisaient sa route sans s'arrêter, bien qu'elle regarde tout le monde. Celle-ci avait quelque chose en plus... Une illusion ? Sa connaissance de sa propre magie naturelle lui permettait de plus aisément le ressentir. Qu'avait-elle à cacher ? Les illusions étaient toujours intrigantes, donnaient à penser concernant les raisons qui poussaient la personne à se dissimuler. Mais peu lui importait, elle se contenta de la dépasser au détour d'une ruelle avant que celle-ci ne l'interpelle. Mais était-ce vraiment à elle, la simple moniale, qu'elle s'adressait ?
" Ce n'est pas à moi que vous vous adressez, n'est-ce pas ? "
Le ton était doux, mais le corps de Kaliene était, lui, alerte. Elle savait cette ville regorger de coupe-gorge et de banditisme, alors peut-être certains avaient-ils vu là une opportunité en cette femme d'apparence fragile. Elle concentra son chi, laissant une aura quasi imperceptible émaner d'elle, alerte à son environnement, avant que les malandrins ne se montrent. Quatre hommes aux corpulences variées et maniant des armes de fortune.
" Allez mesdemoiselles, jetez donc votre argent et on vous fera pas mal. "
Automne du Val
Automne du Val
informations
Race·s
•
Featuring
•
icon :
Titre du joueur :
La sorcière aveugle
Âge :
250 ans
Race·s :
Fée
Particularités de la race :
Unseelie
Métier :
Herboriste
Magie·s :
Magie Noire - Mort - Nécromancie
Nom de l'oeuvre :
Le Vuong
Nom du personnage dans l'oeuvre originale :
Clairvoyance
Manichéisme :
colère
Liges :
460
champ vide pour le json :
{"titredujoueur":"La sorcière aveugle","age":"250 ans","races":"Fée","metier":"Herboriste","magies":"Magie Noire - Mort - Nécromancie","manicheisme":"colère","taille":"180 cm","poids":"55 kg","orientation":"Nord-Ouest","fichedepresentation":"https://7goldenrings.forumactif.com/t1329-i-m-blind-but-that-doesn-t-mean-i-can-t-see-you","nomdeloeuvre":"Le Vuong","nomdupersonnagedansloeuvreoriginale":"Clairvoyance","icon":"https://i.servimg.com/u/f29/19/56/15/07/image156.png","iconalt":"","autrescomptes":"Farah, Órfhlaith, Asrasterin du Néant"}
Automne du Val
dévoiler
masquer
Automne du Val
Automne du Val
- message #11311
feat.
Kaliene
Tes yeux glissent vers ta cible, une femme de toute évidence à en juger par sa voix, sans savoir s’ils l’atteignent ou non, un instant tu réfléchis tête légèrement penchée sur le côté un sourire étrange aux lèvres, perturbée, avant que d’autres intrus ne fassent interruptions, n’était-ce pas au moins un homme que tu as cru entendre ? Mh, bonne question. Mais pour l’heure tu l’estimes tout autant indésirables que les intrus. Tu chasses cette pensée distrayante un instant, t'écartant de ton mur, pour manquer de rentrer dans celui lui faisant face, faisant mine de rien.
Ta mémoire envolée, tu n’es plus sûre de rien, si ce n’est que tu n’as sans doute jamais été une montagne de sociabilité, c’est même tout le contraire, la solitude et la tranquillité des terres sauvages te conviennent bien. Mais la ville t'est utile, ne serait-ce que pour grappiller de maigres informations, pour le reste tu te débrouilles.
Toutefois la situation te demande un peu plus de réflexion que le commun des mortels, tu ne vas pas t’enfuir en courant, de toute évidence, tu ne vas pas leur donner ton argent puisque tu n’en as pas. Eux parlent fort, et viennent de front ourdissant leurs menaces alors tu n’as aucun mal à les atteindre dans ton attitude si particulière.
L’un des hommes - au choix le plus malin ou le plus stupide, dépendant du point de vue - ose un pas en avant, donnant du courage aux autre et immédiatement ta magie répond à cette bravade, s’étirant comme un fluide épais au-dessus de la ruelle, formant une masse changeante, indicible, dont les contours se dissolvent, se réarrangent et se recomposent sans cesse. C’est peut-être vivant mais sans aucune logique anatomique. L’on peut dire beaucoup de choses au sujet de tes illusions, mais en faire une réelle description est difficile, elles sont aformes, chaotiques et cauchemardesques. Hors de toute compréhension. Et celle-ci se contente de flotter au-dessus de la ruelle, dardant son regard sur ses cibles, passivement menaçante, n’ayant généralement pas besoin de l’être pour provoquer la terreur. L’image est atrocement effrayante mais pour un fin connaisseur l’illusion ne fait aucun doute, ce genre de chose ne peut exister tant elle ne répond à aucune logique.
Voilà donc ce que se représente une aveugle quand elle cherche à forger la chose la plus terrifiante qui soit. Et lorsque tu reprends la parole, le ton est bien moins cordial que la fois précédente. «Hors de ma vue, misérables. » Généralement les gens s’enfuient avant que la création ne se mette en marche, que déjà elle se tord et se déforme, prête à agir contre les inopportuns.
Ta mémoire envolée, tu n’es plus sûre de rien, si ce n’est que tu n’as sans doute jamais été une montagne de sociabilité, c’est même tout le contraire, la solitude et la tranquillité des terres sauvages te conviennent bien. Mais la ville t'est utile, ne serait-ce que pour grappiller de maigres informations, pour le reste tu te débrouilles.
Toutefois la situation te demande un peu plus de réflexion que le commun des mortels, tu ne vas pas t’enfuir en courant, de toute évidence, tu ne vas pas leur donner ton argent puisque tu n’en as pas. Eux parlent fort, et viennent de front ourdissant leurs menaces alors tu n’as aucun mal à les atteindre dans ton attitude si particulière.
L’un des hommes - au choix le plus malin ou le plus stupide, dépendant du point de vue - ose un pas en avant, donnant du courage aux autre et immédiatement ta magie répond à cette bravade, s’étirant comme un fluide épais au-dessus de la ruelle, formant une masse changeante, indicible, dont les contours se dissolvent, se réarrangent et se recomposent sans cesse. C’est peut-être vivant mais sans aucune logique anatomique. L’on peut dire beaucoup de choses au sujet de tes illusions, mais en faire une réelle description est difficile, elles sont aformes, chaotiques et cauchemardesques. Hors de toute compréhension. Et celle-ci se contente de flotter au-dessus de la ruelle, dardant son regard sur ses cibles, passivement menaçante, n’ayant généralement pas besoin de l’être pour provoquer la terreur. L’image est atrocement effrayante mais pour un fin connaisseur l’illusion ne fait aucun doute, ce genre de chose ne peut exister tant elle ne répond à aucune logique.
Voilà donc ce que se représente une aveugle quand elle cherche à forger la chose la plus terrifiante qui soit. Et lorsque tu reprends la parole, le ton est bien moins cordial que la fois précédente. «
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
informations
Race·s
•
Featuring
•
Contenu sponsorisé
dévoiler
masquer
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
- message #0
Sous les illusions, il paraîtrait que les yeux sont les fenêtres de l'âme. - Kaliene.
|
|