{"name":"GroupPerso","value":"arvandor"},{"name":"ChampTitre","value":"Stand up and live"},{"name":"prenomPerso","value":"Arie"},{"name":"nomPerso","value":"Ji"},{"name":"titreperso","value":""},{"name":"originefeat","value":"The Legend of Zeld"},{"name":"nomfeat","value":"Ganondorf Dragmire"},{"name":"iconfiche","value":"https://yaoidomination.fr/ForumsRP/Arie/ico.png"},{"name":"racePerso","value":"Siren (Naga)/humain"},{"name":"ageperso","value":"42"},{"name":"metierPerso","value":"Ménestrel"},{"name":"LieuNaissance","value":"Al'Malaq - village des éleveurs"},{"name":"genreperso","value":"masculin"},{"name":"pronomsperso","value":"il/lui"},{"name":"orientationperso","value":"homosexuel"},{"name":"manicheismeperso","value":"Générosité"},{"name":"magieperso","value":"Magie curative"},{"name":"aptitudeperso","value":"Touché par les éléments (feu)"},{"name":"habilitesperso","value":"Magie curative : A travers sa musique, Arie peut transmettre son énergie et soigner les gens. En fonction de la blessure, de la maladie, il peut s’épuiser facilement pour maintenir quelqu’un, le remettre sur pieds. A noter qu’il ne peut pas miraculeusement remplacer le besoin d’un acte chirurgical, ou aller contre le destin et sauver quelqu’un qui ne peut pas l’être (si la maladie est incurable, pas de miracle). \r\n\r\nTouché par les éléments (pyromancie : feu) : aime agrémenter ses prestations de flammes qui l’accompagnent, pour accentuer ses histoires, ses danses ou ses chants.\r\n\r\nAutre : Arie ne se bat pas. Il préfère apprendre le maniement d’un nouvel instrument que d’une arme. A l’aise avec quelques instruments à cordes pincées et quelques percussions, il joue également de l’ocarina et apprend la bombarde.\r\n"},{"name":"tailleperso","value":"222cm"},{"name":"poidsperso","value":"140kg"},{"name":"signesDistinctifs","value":"> Plusieurs cicatrices sur le torse, principalement au niveau des côtes. Leur symétrie est dûe à un mélange avec du branding et des scarifications.\r\n> Très, très longue queue encombrante (222cm quand il se tient “debout”, deux bons mètres supplémentaire de queue qui ondulent derrière lui)\r\n> jamais sans bijou\r\n> voix d’alto très douce\r\n> la couleur de ses yeux varie en fonction de l'utilisation de ses pouvoirs\r\n> queue de serpent boa arc-en-ciel (rouge avec des motifs noirs, le tout légèrement irridescent)"},{"name":"factsperso","value":"> A un fils d’un an et demi, partiellement céleste, qui s’appelle Riku. Arie angoisse du moment où il se mettra à voler n’importe où.\r\n> Il lui invente d’ailleurs régulièrement des berceuses et comptines pour l’occuper\r\n> Officiellement, il est encore marié à Seung-won Ji, et porte toujours son nom de famille. C’est ce qui fait de lui un citoyen aldani.\r\n> Câlin quand il est ivre\r\n> Il mue à peu près tous les ans, sauf stress intense, et a besoin d’aide pour éviter que ça dure deux semaines\r\n> Ca ne le choque pas de vendre sa mue ou de l’utiliser pour confectionner des petits objets.\r\n> il est recherché à Xing Alda, pour enlèvement. Prime effective seulement s’il est ramené vivant et intact, avec son fils.\r\n"},{"name":"traitcaract","value":"Doux x Calme x Patient x Imaginatif x humaniste x rêveur x gentil\r\nBorné x Introverti x Farouche x S’écrase devant trop d’autorité x Rancunier x Peu bavard \r\n"},{"name":"caractereperso","value":"Le ménestrel : C’est un numéro, un costume qui prend le dessus comme si rien d’autre ne comptait qu’éblouir le public. Impliqué, fascinant, dramatique, Arie se plie à l’ambiance, la fait changer s’il le veut, donne le rythme ou le retire. A l’aise aussi bien lorsqu’il conte les gestes héroïques des guerriers d’antan que lorsqu’il chante la comptine des trois petits chapotters en imitant leurs démarche joyeuses avec des flammes. Ce qu’il transmet, c’est aussi bien une histoire, une expérience, qu’une émotion. Il aime sentir qu’il captive son public, a toujours l’espoir qu’il changera un peu le monde autour de lui, pour plus de tolérance, d’amour et d’humanité.\r\n\r\nLe père : Avant tout une responsabilité, beaucoup de tendresse, beaucoup d’amour. De l’angoisse à n’en plus finir, de faire les choses mal, de perdre son fils. S’il en a fait sa raison de vivre principale, Riku n’est pourtant pas l’unique centre de son monde. Une preuve de confiance est lorsqu’il accepte de confier son enfant à quelqu’un.\r\n\r\nL’homme : Reste-t-il encore de la place pour ça ? Pour cet homme qui s’efface un peu trop facilement, qui préfère s’écraser plutôt que d’aller vers la confrontation. Qui se tait même lorsqu’il a le sentiment d’avoir raison, qu’il devrait parler pour se défendre. Persuadé qu’il ne mérite rien de bien, qu’il gâche facilement les chances qu’on lui offre, ses relations, il estime qu’on le fréquente certainement par pitié ou parce qu’on ose pas lui dire qu’il gêne. Il n’est même pas assez manipulateur pour rendre service dans l’espoir qu’on l’apprécie : il cherche généralement à ce que les gens se sentent bien, sans réaliser qu’il peut être étouffant ainsi.\r\n"},{"name":"histoireperso","value":"TW : violence domestique\r\n\r\nRésumé\r\nAn 42 : naissance au village des éleveurs, à Al’Malaq. Destiné à \r\nAn 61 : rencontre avec Seung-won, un médecin aldani céleste. Seung-won se pose en Pygmalion, et Arie part avec lui à Xing Alda.\r\nAn 62 : les deux se marient très rapidement. La relation met quelques années à se dégrader.\r\nAn 82 : naissance de Riku\r\nAn 84 : Arie s’enfuit avec son fils et grimpe en catimini sur le Hurleur des sables pour quitter les côtes Aldani.\r\n\r\nSeung-won. C’était un médecin de passage, présent dans le village des éleveurs où nous vivions dans le cadre d’un quelconque échange commercial, dont les finalités passaient au-dessus de la tête de la personne que j’étais alors. Mais nos regards se sont accrochés, un soir, alors que je jouais de l’angélique pour soigner les genoux écorchés d’un enfant. Et ma vie a commencé à ce moment-là, lorsqu’il a vu qui j’étais vraiment - il le disait souvent - et qu’il est tombé amoureux. \r\n\r\nDans son regard, j’étais plus qu’un malaqi introverti. Il voyait mon potentiel, il voyait ce qu’il pouvait me faire devenir. Et dans son regard, j’avais le sentiment d’être libre, brillant. J’étais cet incommensurable possible, et lorsqu’il parlait de la vie qu’il menait chez lui, je sentais que mon chez-moi était petit, étriqué, étroit. A son sens, le village était trop insignifiant pour moi. A son sens, ma place était à ses côtés et lorsqu’il est parti pour Fang, je l’ai suivi sans hésiter. \r\n\r\nNous étions heureux, lui médecin réputé, moi son compagnon fantasque créant musiques et spectacles pour ses riches clients. Grâce à lui, j’apprenais qui j’étais réellement et je m’épanouissais. Notre mariage fut tout simple, tendre, avec quelques uns de ses amis. Ses mots devenaient le sens de ma vie, ses idées les miennes, ses envies pour ma personne se réalisaient sur ma peau, trop facilement sûrement. Lui qui était fasciné par le processus de cicatrisation et les possibilités de l’accélérer, je passais sous sa lame bien trop souvent, et les tisons ardents traçaient des motifs pâles sur ma peau sombre. Car je ne me sentais jamais plus beau que quand il m’admirait souffrir.\r\n\r\nMais à mesure que son cercle d’amis devenait le mien, que mon horizon s’élargissait à autre chose que lui, mes idées aussi s’élargissaient, ne devenaient plus une exacte copie des siennes. Et il m’admirait moins, et il commençait à se lasser de mes chants, de ma musique. J’aurais dû partir la première fois qu’il a franchi les limites. Mais c’était ma faute ; pour ne plus être comme il aurait voulu que je sois, pour être trop rustre, trop limité, pour oser dire non, parfois.\r\n\r\nRiku, c’était aussi son envie, une tentative peut-être de réparer ce qui était déjà bien trop brisé pour même faire du kintsugi. Et si le porter n’a pas été une partie de plaisir, au début j’y ai cru. Seung-won était plus doux, plus attentionné. J’avais le sentiment de revivre nos premiers mois, et j’aurais pu oublier. C’était agréable de se sentir aimé sans avoir à s’écraser. J’ai même pensé pouvoir - vu sa fortune - prendre une nounou pour s’occuper de Riku et reprendre mes activités… Et quand j’ai cru qu’il allait s’en prendre à notre enfant, sous la colère, parce que je n’avais pas envie de rester sagement à tenir son logis, coupé comme je l’avais été du monde par la grossesse et les premiers mois de Riku, quand j’osai enfin lever la voix pour me faire entendre, ce fut la fois de trop. \r\n\r\nGarder profil bas pendant quelques jours, attendre le bon moment, partir lorsqu’il fut enfin absent, négocier une place dans une des caravanes qui traverse le désert d’Akaara et me rappeler qu’il y a un monde, au-delà de ce trou formé par la Sainte Sauveuse. Et une fois arrivé au port où la caravane avait prévu de s’arrêter… Oh, ce n’était pas le plus intelligent, sûrement, mais je décidai d’embarquer clandestinement - pour éviter que mon époux ne puisse me tracer - dans le premier navire où j’arrivai à monter. Pas forcément le plus malin de me retrouver caché dans les cales du Hurleur des sables… \r\n"},{"name":"pseudoJoueur","value":"Alia"},{"name":"pronomsJoueur","value":"elle"},{"name":"TrucADire","value":"On aime, on y revient... "}