{"name":"GroupPerso","value":"ananda"},{"name":"ChampTitre","value":"La lumière de Galate"},{"name":"prenomPerso","value":"M'sing"},{"name":"nomPerso","value":""},{"name":"titreperso","value":"Premier Archidiacre"},{"name":"originefeat","value":"Hollow Knight"},{"name":"nomfeat","value":"Troupe Master Grimm"},{"name":"iconfiche","value":"https://art.ngfiles.com/thumbnails/1512000/1512042_full.png?f1605830168"},{"name":"racePerso","value":"Maudit, mort vivant, ancien Beathach chauve-Souris"},{"name":"ageperso","value":"430 ans"},{"name":"metierPerso","value":"Premier Archidiacre"},{"name":"LieuNaissance","value":"Lava Proditores"},{"name":"genreperso","value":"Homme"},{"name":"pronomsperso","value":"Il/lui"},{"name":"orientationperso","value":"Pansexuel"},{"name":"manicheismeperso","value":"Envie"},{"name":"magieperso","value":"Flammes Impies"},{"name":"aptitudeperso","value":"Magie corporelle"},{"name":"habilitesperso","value":"Depuis sa résurrection, son corps est alimenté par des flammes impies. A volonté, son corps lui-même devient ces flammes écarlates. Un instant, il est de chaire, l’autre moment, il est de feu. Ses changements de matière peuvent se faire relativement sur une partie du corps ou l’entièreté. \r\n\r\nSon lien avec la magie est suffisamment bonne que pour que les flammes impies soient une extension directe de son corps. Il peut ainsi générer des flammes d’un peu prêt n’importe où de son corps. Il peut étendre ses flammes pour bruler de larges zones. Bien que ses flammes soient dévastatrices, pouvant un peu prêt consumer n’importe quoi, elles ne se propagent pas comme un feu ordinaire. Il est obligé d’utiliser sa conscience pour faire avancer le feu ou l’étendre. Une perte de concentration peut également facilement réduire l’intensité de ses flammes. \r\n\r\nIl est certes capable de créer de grosses zones d’attaques, mais comme dit, il a besoin de rester concentrer sur ses flammes et n’a pas donc vraiment le luxe de faire attention à choisir ses cibles. Autant dire qu’avec des alliés autour, il ne peut presque jamais se laisser aller. Puis, si on arrive à séparer les flammes du reste de son corps, celles-ci s’éteignent. Donc, oui, si votre pied se retrouve dans ses flammes, vous pouvez juste le lever pour que les flammes cessent. Il y a aussi la possibilité de mettre un gros obstacle sur le chemin des flammes pour les couper. \r\n\r\nCes flammes, comme dit, consument tout et n’importe quoi. Certes, si la résistance de l’être ou de l’objet est grande, plus long sera la consumation. Rien ne subsiste, même pas des cendres. Ces flammes ne s’embarrassent pas non plus des limites physiques du feu, pouvant se répandre sans trop de soucis sur l’eau. Même le vent ne les éteint pas réellement, mais peuvent assez rapidement les dévier avec de gros déplacement d’airs. \r\n\r\nAssez étrangement, quand il l’utilise de manière spectaculaire (en créant des figures, des formes complexes, par exemple), il se trouve être extrêmement mobile, mais en combat, il agit bien plus défensivement, restant assez peu mobiles pour mieux se concentrer sur la propagation de son feu. Même si le corps à corps est relativement dangereux vu que c’est comme combattre des flammes impies, ça a pour avantage de l’empêcher de trop étendre ses flammes car il doit penser à se mettre en état enflammée pour éviter les dommages. \r\n"},{"name":"tailleperso","value":"2m"},{"name":"poidsperso","value":"73 kilo"},{"name":"signesDistinctifs","value":"Ses yeux brillent d'une lumière écarlate\r\nIl semble porter une cape, mais il s'agit de ses ailes"},{"name":"factsperso","value":"Excellent chanteur\r\nFredonne régulièrement\r\nAime faire des tours de passe-passe\r\nAime se reposer la tête à l'envers.\r\nA un visage peu expressif"},{"name":"traitcaract","value":"Loyal- Protecteur- Borné - Persévérant - Charismatique- Sarcastique- chaleureux- empathique - déterminé - envieux - romantique - poli - courtois"},{"name":"caractereperso","value":"Il s’aime penser comme le feu de la Tour et d’Ananda. Une deuxième lumière. Il connait la souffrance du rejet, de la différence. Il a toujours voulu être là pour les autres, un point où s’appuyer. Il a beau être de Galate, être de ceux que le monde veut voir mourir, il se refuse à une violence absolue et gratuite. Il aime une certaine élégance et savoir vivre. On dit de lui qu’il est largement poli et relativement avenant. \r\n\r\nIl est connu pour être celui qui veille à inviter les âmes en peine à rejoindre la Tour. Certes, il peut avoir quelques tendances à jouer sur les mots, mais il ne se montre pas inutilement cruel. Au contraire, il se veut être un partisan de l’amusement. Il aime le monde du spectacle et du show. Il cherche à amuser le peuple à sa façon. Ceci est surement du aussi à la flamme de l’envie qui l’enivre. Il veut être aimé des dépéris. Il souhaite la reconnaissance de son art. Il envie ceux qui peuvent briller dans leur monde. Ainsi, il souhaite briller à tout jamais dans Ananda et le monde.\r\n\r\nCette envie de briller vient aussi de ses restes de sa vie précédente. Il a une haine viscérale des elfes et des abrutis qui se pensent meilleurs par droit de naissances. Il n' a qu'un mépris profond pour les arnankha qui se croient supérieur. Il en est naturellement plus froid à la parole et il n'a pas forcément sa langue dans sa poche. Il aime aussi leur donner de frayeurs en devenant que flammes. Juste une plaisenterie... ou plus? Car oui, même s’il se montre bon, il est connu pour aimer insuffler la peur chez les autres. \r\n\r\nMalgré des gestes parfois quelque peu extravagants, il est sans conteste un réservoir de connaissances. Il a vécu bien des siècles, suffisamment pour garder un certain caractère détaché des choses. Oui, il veut le bien de son peuple, mais on sent un certain détachement. Ses protégés peuvent mourir, il exprimera de la colère, mais cette émotion, son deuil semblera vide de tout, quasiment inexistant. Il ressent les émotions, avec intensité, mais c’était comme si elles ne pouvaient prendre le dessus. Il est un feu ardent d’apparence, mais son corps semblait gelé dans le temps. \r\n\r\nChose intéressante, il ne déteste pas l’armée révolutionnaire. Il semble même s’en désolé. Il aimerait bien les convaincre d’arrêter cette mascarade, mais ils continuent vainement à s’opposer. Il pourrait être partant à les laisser choisir la voix de la raison, mais il sent qu’il n’y arrivera pas. Quel dommage. Même ses invasions, il n’est pas haineux sur les autres pays (sauf les elfes, bien sûr). Il accepterait la soumission, mais un refus et il n’hésitera pas à bruler femmes et enfants si c’est nécessaire… uniquement si nécessaire. \r\n\r\nMais si malgré tout ce qu’il fait, il ne peut convaincre les peuples ou les soumettre, il espère que la tour de Galate aura suffisamment obligé les peuples à illuminer leurs yeux devant leurs propres crimes. Si la Tour ne peut être le bien suffisant, elle sera le mal nécessaire.\r\n"},{"name":"histoireperso","value":"An -348 à -333 : Naissance et douce jeunesse\r\n\r\nL’enfant est né. Il est le nouveau-né du clan. Il n’était personne. Juste un bébé né dans la nuit éternel. On n’attend rien de lui. Il est juste né, heureux d’avoir ses deux parents. Il eut une enfance, peut-être pas parfaite, mais dans l’ensemble, peut-être assez agréable ? Les elfes étaient là, rodant… Mais est-ce que cela pourrait si mal finir ? Pour l’enfant qu’il était, cela n’avait pas trop d’importance. On nota cependant qu’il était différent. Il avait certes l’apparence d’un Beathach, mais il n’en avait aucune capacité et sa magie ne semblait se manifester. \r\n\r\n-333 à -300 : Grandir\r\n\r\nM’sing continua de grandir de jour en jour. Il était un brave parmi les braves, un synonyme de joie et d’amusement. Il était le premier à faire de petits tours de prestidigitation. Car oui, même sans magie, il avait développé celle-là. Rien d’incroyable, de petits tours de passe-passe. Il chantait aussi. Certes, il n’avait pas que des amis. Il fallait dire qu’il avait toujours été un peu taquin, peut-être parfois un peu trop naif. Il disait qu’il rêvait d’un monde où les elfes et eux seraient réunis. Il était un pacifique, mais il était aimé. Pas le plus grand mage, il était cependant agile dans ses mouvements et acrobatiques dans les airs. Et pourtant, tout changea.\r\n\r\n-300 à -285 : La magie\r\n\r\nEn ce début de siècle, un conflit était terminé. Les seigneurs élémentaires avaient été vaincu. Une date importante dans l’histoire, mais aussi d’étranges coïncidences. En cette même année, alors qu’il se promenait, il la vit : une elfe, splendeur incarnée. Mais splendeur fragile. Une attaque d’animaux. Soyons honnête, il n’était pas fait pour un combat, il les fuyait même. Pourtant, il déploya ses ailes et chuta pour l’aider. Et quelque chose se réveilla en lui, car il tomba comme la foudre, la foudre divine. Il ne faisait qu’un avec elle pendant quelques instants. Les bêtes furent apeurées devant cela. C’était si inattendue.\r\n\r\nLeur regard se croisèrent. J’aimerai vous dire que ce fut le coup de foudre. Ça aurait été amusant vu la mise en scène, mais l’elfe n’était pas par essence ouverte à son espèce. Elle fut presque outrée quand il lui tendit une main pour elle se relever. Il n’insista pas. Il fallait dire qu’il ne comprenait qu’à peine ce nouveau pouvoir. Et quand elle partit, ce fut elle qui dit son nom « Liliane ». Et la chauve-souris la regarda interrogative. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle lui donne son nom… \r\n\r\nEn tout cas, les prochaines années furent riches en découvertes. Certains crurent que c’était une bénédiction, un signe divin. Quelqu’un d’aussi bon avec une magie divine ? Il ne pouvait être qu’un futur élu, c’était obligatoire. Etrangement, cela le propulsa au-devant de la scène, certains commençant à le placer comme un petit chef de clan.\r\n\r\nIl dut aussi apprendre à gérer sa magie. Nouvelle découverte pour lui et il fallait dire qu’il s’en donnait à cœur joie. Etrangement, il voulait tenter de reparler à cette elfe et il retournait dans les environs du lieu. Il fut surpris de parfois la croiser de loin. Ils échangèrent des regards, mais cela n’alla pas plus loin, pour le moment.\r\n\r\n-285 à -240 : Passion interdite\r\n\r\nEst-ce vraiment si surprenant ? Oui, digne d’un conte de fée. Finalement, M’sing fit le premier pas en entamant la conversation. Ce ne fut guère très fructueux. La méfiance de l’elfe n’aidait guère. Pourtant, ils continuèrent à se voir, à échanger des points de vue. Liliane voulait s’assurer que sa méfiance était justifiée et M’sing voulait s’assurer qu’une entende était possible. M’sing gagna le duel et la romance naquit.\r\n\r\nPourtant, tel un drame shakespearien, il ne pouvait s’aimer librement à la lumière de la lune. Leurs deux peuples étaient si opposés. Et même dans le clan de la chauve-souris, ça parlait d’attaquer les elfes avant d’être attaqués. Il refusait cette option. Et ne parlons même pas de l’autre côté.\r\n\r\nM’sing réfléchissait à cette relation. Elle durait depuis des années. Amitié devenu romance, il ne pouvait se résigner à l’abandonner ou la forcer à abandonner. Et pourtant, elle arriva avec son baluchon au bout de plusieurs années et elle lui dit deux simples phrases :\r\n« Si les tiens ont un dixième de ta bonté, je viens avec toi. Prouve-moi que vous êtes prêts à m’accepter. »\r\n\r\nLa gueule ouverte, il ne put s’empêcher de rire. Il l’avait nommé chef, ils allaient devoir assumer la décision.\r\n\r\n-240 à -233 : Vie en communauté\r\n\r\nL’intronisation d’une elfe ne fut pas évident… Pour personne. Liliane dut apprendre à se passer de l’ingénierie elfique et les hommes-bêtes à gérer la nouvelle arrivante. La méfiance était de mise et certains craignaient que la bonté de M’sing ne l’aveugle. Lui qui n’avait semblé n’avoir jamais connu l’amour, le voilà ramener celle qui avait su gagner son cœur.\r\n\r\nDonc… Ce fut compliqué, mais à force de progrès, d’effort elfique, elle réussit plus ou moins à s’introduire dans le clan. Mais un couple ne fait pas que se regarder les yeux dans les yeux. D’une union interdite allait naitre le plus beau cadeau de la vie.\r\n\r\n-233 à -223 : Vie de père.\r\n\r\nL’enfant naquit : M’iane, le joyau de son père et de sa mère. Le symbole des deux peuples opposés. Les yeux de M’sing s’illuminaient d’une joie si intense, si pure. Il était devenu son univers. Des décennies à être chef, à s’éloigner de ce qu’il aimait : divertir. Il put recommencer, il voulait tant lui apprendre à ce bout de chou. Ses premiers vols, ses premiers tours de passe-passe. Le chant aussi ! Il avait des projets plein la tête, tellement d’idée. Cruelle destinée\r\n\r\n-223 : La fin\r\n\r\nLa vie n’avait jamais été vraiment simple, mais la conclusion de la sienne fut terrible. Il ne prêta pas vraiment compte des premiers symptomes de la corruption. Bien sûr, la magie noire commençait à se répendre. Certains Anarkias se faisaient voir non lui. Evidemment, sa magie blanche et leur magie noire faisaient naturellement des étincelles. Il ne comprit cependant pas les signes et les conséquences de la disparition des élus. Cela lui avait été toujours été un monde dont il préférait se tenir à l'écart. Ils étaient des personnes qui ne faisaient pas réelIement quelque chose pour eux. Il ne soucia pas dans l'immédiat du problème. A vrai dire, il n'eut clairement pas penser au problème car il ne lui restait plus assez de temps pour y songer.\r\n\r\nCar la purge arriva et il ne pourrait jamais oublier ce qu’il s’était passé cette nuit. Les cris, les pleurs, le sang. Il avait tenté de raisonner, d’aider. Il esquivait aussi bien qu’il pouvait. Il voulait aider son clan, sa famille. Durant cette bataille, il dut tuer pour la première fois, mais il n’eut jamais eu le temps de s’en rendre compte. La dernière image qu’il vit fut celle de sa femme tenant leur enfant, leur visage figé dans la terreur et l’agonie. Il avait échoué sur tout. Sa peine ne se soulagea pas dans la souffrance, il abandonna juste d’esquiver réellement. Il passa simplement entre les armes, le corps meurtri. Son clan était mort ou dispersé. A l’agonie, il prit sa famille et partit dans une lumière éclatante. Son corps fait d’éclairs divins s’échoua plus loin, loin de la bataille. Et M’sing, la lumière, s’éteignit, regrettant d’avoir cru aux autres elfes. Le monde était corrompu bien plus qu’il avait pensé.\r\n\r\n-221 : Le début\r\n\r\nSes yeux s’ouvrirent. Son réveil ne se fit pas dans un grand bruit, il ouvrit simplement les yeux. Autour de lui, quelques visages connus… Il cligna lentement des yeux. Il ne comprenait pas. Ses souvenirs étaient confus. Les mots sonnaient creux. Deux ans disparus ? Il était revenu pour le grand moment ? Il s’en moquait. Il cherchait sa famille des yeux. Mais personne, pourtant il vit autre chose. La tour qui s’élevait, la lune devenant de sang. Il ne ressentit rien. Juste de l’incompréhension. \r\n\r\n-221 à -220 : Le déni\r\n\r\nIl était revenu à la vie. Il ne comprenait même pas le sens de ces mots. Il chercha seulement sa famille dans cette tour où on lui promettait que tout était possible. Il semblait hors du temps, hors de ce que le monde devenait. Il cherchait simplement sa famille. Il ignorait ce que voulait les anciens membres de son clan. Il les cherchait juste, refusant simplement de comprendre.Le monde avait changé et il avait accepté dans une nette indifférence\r\n\r\n-220 à -215 : La colère\r\n\r\nSa mort enlevée, sa vie enlevée, il n’était qu’une âme sans accroche. Il fallut juste une impulsion, un élément. Un arnakhia elfe qui abusa de son influence sur une Beathach damné. Quelque chose se réveilla en lui. Son corps de lumière n’était plus, il était corrompu jusqu’au fond de son cœur. Il était devenu une flamme vivante. Sa colère fut monstrueuse. Il donna une peur bleue à ce damné qui ne demanda pas son reste.La rumeur s’était répandue sur la chauve-souris à la colère enflammée. La tour s’intéressa bien plus à son cas. Il avait déjà une certaine influence sur les beathach. Pendant de longues années, la colère l’envahissait. Il se tenait à l'écart, aigris contre un peu tous. Il en voulait au fort d’abuser, d’utiliser leurs pouvoirs injustement. Leurs pouvoirs, oui…\r\n\r\n-215 à -208 : Le marchandage \r\nDes hauts-placés de la tour finirent par prendre réellement contact avec lui. S’il travaillait pour la tour, ils l’aideraient à lui faire revenir sa femme. Bien que sceptique, il ne put s’empêcher d’accepter. La situation ne serait pas simple car le corps devait être retrouvé depuis les années où il avait erré. Il voulait revoir la beauté de sa femme, mais comment y arriver ? Il ne le savait pas. Il obéit ainsi. Il était patient dans sa quête.\r\n\r\nMais patience ne rimait plus avec naiveté. Il était très surveillant sur ce qu’on lui demandait et des progrès pour retrouver sa femme en premier lieu. Son fils devait suivre après. Après 7 années de loyaux services, il fut récompensé. Sa femme retrouva la vie, les nécromanciens ayant réussi à lui recréer le corps qu’elle avait. Mais quelque chose avait changé, son esprit était comme embrumé. M’sing avait pourtant foi. Il avait retrouvé le sourire, il voulait lui montrer le monde d’Ananda, le monde qui était leur. Il était bien plus motivé à aider la tour pour le retour de son fils.\r\n\r\nLiliane était, comme dit, changée. Elle n’arrivait pas à se souvenir. Quand elle regardait le monde autour d’elle, elle n’était pas convaincue qu’elle voulait rester ici. L’asséchement des lacs finirent de la convaincre et elle partit. M’sing la vit s’enfuir. Elle s’était crue discrète. Elle ne se rappelait plus de lui. Il détourna le regard alors qu’elle disparaissait dans la nuit. Pour la première fois depuis son retour, des larmes coulèrent. Il abandonna le retour de son fils. Il avait eu encore le cœur brisé, pas une fois de plus\r\n\r\n-208 à 000 : La dépression\r\n\r\nLe deuil était là. La tristesse aussi. Pourtant, on le voyait plus souriant. Il était toujours dans la tour. Il protégeait les faibles, créait des spectacles, amusait les gens. Il partait dans le monde aussi, émissaire, yeux de la tour. Il put voir tant de choses, rencontrer tant de personnes. Quand il revenait, il racontait ce qu’il avait vu, mais aussi pourquoi le monde était si…étrange. Ananda était le monde des rejetés. Il le sentait. Mais pourquoi leur sorts, leurs magies seraient tant à bannir ? Oui, la corruption n’était pas forcément la meilleure solution, mais les leurs étaient ternis de leur idéaux ignobles. Puis, les elfes étaient toujours, fringuant, orgeuilleux, fêtant chaque année le massacre perpétré. Il voulait tant ravager ce pays. Plusieurs, il observa en silence sa bien aimée, voir ce qu’elle devenait, mais jamais plus ils ne se parlèrent. Sa vie n’était plus. Il devait avancer.\r\n\r\n000 à 84 : La renaissance.\r\n\r\nCurieux sort du destin, mais la relève des élus vint avec la relève de M’sing. Enfin, il put se relever la tête. Il prit une part plus active dans Ananda. Il comprenait où était sa place. Etrangement, il pouvait prétendre à prendre un rôle plus élevé. Il en avait la puissance, la validation des plus faibles. Il était un symbole fort pour certains, chargés de siècles de rumeurs. Beaucoup de qualités connues, on le dit qu’il a souvent été là pour conseiller certaines prises de décision. Il brillait pour divertir et réconforter tous les nouveaux venus et il restait actif pour aider les intérêt de la Tour (et d’Ananda en général pour lui).\r\n\r\n84 : Le pouvoir\r\n\r\nAn 84, une attaque était lancée, elle devait être flamboyante ! Enfin faire mordre la poussière aux elfes, mais… ce ne fut qu’une semi victoire. Comment était-ce possible ? Quelque chose s’était réveillé en lui. La colère du feu était montée en lui et, finalement, ses siècles à observer le monde, à être un symbole, à parfaire sa maitrise des flammes impies, il l’embrassa pleinement. Il accepta ce qu’il était. Il avait envie d’autres choses, mais c’était là qu’était sa vraie place. Il écarta ses ailes et maintenant il brille comme le premier frère. Et plus jamais, son peuple ne sera l’opprimer. Les autres rejoindront ou bruleront. "},{"name":"pseudoJoueur","value":"Treag"},{"name":"pronomsJoueur","value":"Peu importe"},{"name":"TrucADire","value":"Et de 4"}